Les lettres d’une libertine – Hôtesse de caisse pour Intermarché (1/1)

- Par l'auteur HDS Breizfrissons -
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Récit libertin : Les lettres d’une libertine – Hôtesse de caisse pour Intermarché (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les lettres d’une libertine – Hôtesse de caisse pour Intermarché (1/1)
J’ai mis quelques temps à accepter une nouvelle proposition de sortie coquine. En effet, la tournure qu’avait prise la dernière rencontre avait entamé la confiance aveugle que j’avais envers mon organisateur préféré.
Nous en avions reparlé brièvement et j’avais fermement mis les points sur les i : je ne suis pas d’une nature soumise et ne recherche pas à évoluer sous la coupe d’un maître ou d’un mâle dominant.
L’été approchant, le manque de nouveauté sexuelle commença à me titiller jusque dans mes rêves qui devenaient, ainsi, fréquemment érotiques. Je sollicitais donc mon homme pour une sortie coquine mais dans les limites initialement fixées.
Dans les jours qui suivirent, je reçue donc l’invitation suivante :----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------INVITATION AUX PLAISIRSThème : Code barreLieu : Sud CharenteConsignes : acrobaties à prévoir, tenue à compléter sur place, test HIV et MST du partenaire OKDress-code : Guêpière rose à jarretelles, pas de culotte, escarpins noirs 9 cm, bas fantaisie auto-fixant, robe d’été courte facile à retirer, manucure de couleur assortie à la lingerie y compris pieds, PAS de parfum, petits bijoux de fantaisie.
Date et heure : jeudi soir prochain à 19h30. Départ 18h30 du domicile. Temps sur place minuté !
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------C’était intriguant car ces informations ne délivraient rien qui puissent être assemblé ou donner des idées sur le lieu et le scénario à envisager.
La précision nouvelle que des tests HIV et MST avaient été effectués me questionnait. Qu’attendait-il de moi avec cette information. Car être libertine est une chose mais prendre le moindre risque sanitaire était une voie sur laquelle je ne souhaitais pas m’embarquer.
C’est donc dans la voiture, sur le route vers mon lieu de plaisirs que j’interrogeais mon organisateur sur le sujet. Il m’indiqua simplement que le partenaire souhaitait profiter de ma bouche plusieurs fois et m’offrir son essence de mâle à déguster. « A de nombreuses reprises ? » demandais-je ? « Tu verras le moment venu. Mais tu n’as aucune raison de t’inquiéter puisque tu ne dédaigne pas avaler » me répondit-il.
Avaler le sperme n’a jamais été problématique chez moi car j’apprécie à la fois cet acte d’abandon au féminin et les saveurs internes propres à chacun de mes partenaires. Ce qui m’interrogeait c’était la succession à envisager ou la quantité possible.
Nous sommes arrivés dans une bourgade à la limite de la Gironde. Je mis mon bandeau sur la requête de mon homme et la voiture alla stationner. Mon homme parlait au téléphone et une voix masculine lui expliquait qu’il fallait encore un peu de patience, le lieu ne semblant pas encore totalement évacué. Je surpris le terme de « personnel » et de « frigo » sans réussir à comprendre le reste des échanges.
La voiture redémarra près de dix minutes après et roula quelques instants au ralenti. On devait entrer quelque part à proximité du parking.
Puis je fus invitée à sortir et guidée par les mains. Une odeur forte de poisson avarié m’assaillit et me transperça les narines ! Beurk …pitié, pas une poissonnerie ou le local réfrigéré d’un mareyeur.
Puis l’odeur s’estompa rapidement, et des mains accompagnèrent celles de mon homme directement sur mes fesses, calleuses mais caressantes avec sensualité. Des portes s’ouvrirent et furent refermées avec des tours de verrous. Je dus retirer ma robe sans autres préliminaires et l’on me mit une espèce de gilet sans manches par-dessus la guêpière. Puis je fus assise à genoux sur une chaise, face au dossier. Celle-ci était pivotante et à roulettes et je commençais à comprendre la notion d’acrobaties qui était incluse dans l’invitation.
Une bouche gourmande commença à m’offrir des baisers sur le fessier et très rapidement investit ma fente qui n’avait aucune protection. La bouche se transforma rapidement en langue gourmande et inquisitrice de mes orifices. Elle était douée et rapidement l’intensité érotique déployée m’embarqua dans cette nouvelle aventure sexuelle.
Elle venait masser et explorer mes lèvres intimes dans un rythme changeant au gré des secondes, la pointe titillant mon petit bouton à orgasmes de temps à autres, juste pour me faire monter dans les tours. Puis elle glissait jusqu’à mon anneau de bronze, s’y étalait avec une douceur incroyable, tournicotait puis repartait dans la fente en se durcissant et s’y ré étalait. Je fondais littéralement et mon partenaire le ressentait bien, adaptant sa technique à ce qui me faisait gémir et tendre ma croupe vers son visage. Il était redoutablement accompagnateur de la montée de la jouissance.
Ma vulve palpita dans un premier orgasme, mes jambes furent parcourues, un bref instant, de tremblements et j’avais quelques étoiles blanches dans les yeux sous mon bandeau. Excellente entrée en matière et de bonne augure me dis-je.
Puis un très beau membre se présenta à mes lèvres. Je mis alors moi-même de l’application pour remercier mon mâle du jour dans son savoir-faire, sa façon de percevoir ma montée et m’accompagner dans l’orgasme. Ma langue s’attardât sur la peau des bourses qui était glabre de tout poil, bien détendue, très douce et parfumée comme j’aime. Je titillais chacune des glandes comme si je les soupesais de ma langue, évaluant leur potentiel, les calibrant dans le remplissage. Puis je remontais sur la hampe de la verge, avec délicatesse, que j’enserrais, massais en m’y étalant puis reprenant mon chemin gourmand vers le frein du gland.
Je fis quelques allers-retours de la pointe de langue, sur le dessus, avant de me jeter voracement sur le gland que j’embouchais. Mon partenaire fut surpris et ne tint pas plus que quelques secondes à mes caresses buccales. Sa verge palpita sous ma langue, je sentis son gland se tendre à son maximum puis le gout délicat de la semence virile envahit mon palais. Elle n’en finissait pas de couler cette verge et m’emplir la bouche, jusqu’à mon palais. Je déglutissais une première fois mais bientôt à nouveau ma bouche se remplit pour une seconde gorgée de jouissance.
Mon partenaire repris sa respiration et je sentis son bas ventre se détendre, les testicules se replaçant dans les bourses, bien en bas. Je poursuivi ma fellation et la verge, un instant plus molle, repris sa vigueur initiale. Mon partenaire était doucereux sucré-salé, sans l’once d’une amertume et avec ce doux parfum de morille que j’aime bien. J’appréciais en gourmet, que je suis, ce énième gout viril que l’on offrait à mes sens.
Je compris alors le sens de notre échange avec mon homme sur la notion « de nombreuses reprises », mon partenaire ayant certainement la rare capacité à éjaculer plusieurs fois durant un rapport sexuel. En effet, il me contourna et sans autre manière il investit mon vagin de son beau membre.
J’étais très disponible, si vous voyez ce que je veux dire. Et il n’eu aucune difficulté à m’envahir jusqu’à la garde. Il était épais et court ce qui augmentait les sensations sur mes parois sans avoir la douleur de la butée de fond de course.
Il alternait les rythmes et ses allers-retours prenaient parfois la forme de petits cercles qui travaillaient mes lèvres et l’intérieur de mon minou, augmentant mon plaisir. Je pensais alors à un homme chocolat dont c’est l’une des particularités et savoir-faire.
Il m’offrit ainsi deux orgasmes, coup sur coup, avec à peine une petite redescente. J’avais très envie de lui, de son corps qui venait claquer sur mon fessier, de son membre en moi qui m’investissait pleinement. Une claque d’excitation fusa sur mon fessier, augmentant ma sensation de femme bien prise. Il se servait de la chaise à roulette pour amplifier le va et vient et lui donner de la puissance. Je m’écroulais sur le dossier … de plaisir !
Puis mes deux hommes me firent changer de position, m’aidèrent à grimper sur un rebord saillant et m’allongèrent, sur le dos, au contact d’une matière pas trop froid et caoutchouteuse. Je fus de nouveau fouillée par cette langue très douée et même si je n’eu pas le droit à un nouvel orgasme, je l’aurais bien laissé me travailler le minou … des heures et des heures.
Puis mon partenaire vint se positionner à cheval sur mon ventre et cracha (au sens littéral) sur ma poitrine après avoir libéré mes seins se leur prison de tissu. Il positionna sa verge entre les deux globes qu’il maintenait tendu en les compressant. Sa verge prise en sandwich coulissa dans cet orifice artificiel. De nouveau des crachats et les allers-retours prirent leur rythme de croisière. Un coussin me fut proposé par mon homme, positionnant ainsi ma bouche à portée de la verge. Avec ma langue et mes lèvres je formais comme un réceptacle pour recevoir, de temps à autres, son gland en fin de course du mouvement.
Cela formait un petit bruit de clapotis érotique, mêlé à une respiration saccadée et bruyante du mâle qui monte cérébralement vers son orgasme. Puis ma bouche, mes narines furent envahies de sperme, de cette odeur si forestière à mon sens, presqu’originelle. J’ouvrais grand la bouche pour en recevoir le plus possible sur ma langue. De nouveau cette quantité incroyable, comme s’il n’avait pas joui depuis plusieurs jours.
Un doigt pris soin de tout racler vers ma bouche, remontant les coulures depuis mes joues, voire ma nuque vers ma bouche et m’offrir l’intégralité du don viril. Celui-ci était encore meilleure que la première fois, onctueux et d’un gout plus subtil de musc animal.
On me releva sans plus attendre, et je fus mise à genoux. Le sexe à peine moins dur me réinvestit. Je peux dire que les minutes qui suivirent furent intenses. Les deux corps claquaient fortement l’un contre l’autre, j’étais marteau-pilonnée et le gras du postérieur subissait une pluie de claque d’excitation et mes oreilles une pluie de mots orduriers.
Si je subissais ? Oui bien sur ! Mais l’étrange sensation d’être sa femelle ne me déplaisait finalement pas du tout. Je comprenais aisément sa montée d’excitation, sa tension de mâle en rut qui s’accouple avec une femelle qui montre sa disponibilité. Car j’étais très disponible ce jour là et mon envie devait se ressentir ? … c’est non d’avance ! ».
Depuis, je repense souvent à mon chef de rayon. A écrire ces mots, j’ai le souvenir ému de son goût qui me monte en bouche. Un vrai plaisir !

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