Titre de l'histoire érotique : Prêtresse de Lacta

- Par l'auteur HDS Azenor -
Récit érotique écrit par Azenor [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Prêtresse de Lacta Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2017 dans la catégorie Fétichisme
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Titre de l'histoire érotique : Prêtresse de Lacta
Bonjour ! Me voici de retour avec un nouveau récit, qui n’a rien à voir avec le premier, même si je compte faire une suite au Libre-échange. J’espère que ce récit vous plaira, n’hésitez pas à me laisser vos impressions.

J’ai toujours su que je voulais être prêtresse de la déesse Lacta. Dans notre monde, être au service d’une divinité est un honneur, être au service de Lacta en est un plus grand encore.

Lacta est la déesse des femmes qui veulent tomber enceinte, ou sont enceintes. Je ne suis que l’intermédiaire entre la croyante et la divinité, une messagère. Je prends beaucoup de plaisir à accomplir ma tâche, vraiment beaucoup.

La déesse communique par nous à travers notre lait, que nous devons offrir à nos croyantes. Chaque jour, des dizaines de femmes viennent téter nos mamelles remplies de lait et ainsi connaître la décision de Lacta quant à leur futur. Je reçois une réponse de la divinité à travers le plaisir que je prends lorsque l’on me tète. Parfois il ne se passe rien, et la réponse de Lacta est négative, mais d’autres fois, mon plaisir est si fort que toutes les autres prêtresses du temple m’entendent m’exprimer au nom de Lacta. Dans ces cas là, la déesse se montre clémente et donne sa bénédiction à celle qui est venue demander ses faveurs.

Pour que mes seins soient toujours pleins, je dois tomber enceinte environ tous les deux ans, et même pendant ce temps, je dois boire plusieurs fois par jour, des tisanes faites de plantes dont nous seules prêtresses de Lacta avons le secret et qui permettent à notre lait d’être toujours aussi nourrissant et de ne jamais se tarir.

Je suis mariée à un homme qui n’a été élevé que dans un seul but : m’épouser. J’ai de la chance car j’ai la chance de l’aimer, et d’être aimée de lui en retour. Il y a cependant une seule condition à respecter : il ne doit jamais toucher au liquide sacré qui s’écoule de ma poitrine, jamais.

J’aime me retrouver seule au lit le soir avec lui. La lueur des chandelles donne un éclat irréel à sa peau, et son corps, aussi nu que le mien, est une invitation à mille délices. Allongés sur le côté, nous nous embrassons langoureusement, savourant le fait d’être dans les bras l’un de l’autre. Il prend son rôle très à cœur, et me donne sa semence presque chaque soir. Les cuisses écartées, je le reçois en moi avec délice. C’est chaud, enveloppant. Dans ces moments là, il me complète totalement et tout comme au commencement du monde, nous ne faisons plus qu’un. Mon homme m’offre ses fesses, ses cuisses, son sexe, son ventre, son torse aux petits tétons roses perdus dans une forêt de poils terriblement virils. Lorsqu’il offre son membre aux caresses de ma bouche, je remercie intérieurement le dieu de la force viril qui me fait une offrande. Goûter à ce met est un cadeau, un privilège dont je suis toujours reconnaissante. Comme toutes celles qui viennent prier Lacta, le sont avec moi.

Un jour, alors qu’une croyante m’avait tétée et donné du plaisir à en faire trembler les murs du temple, une femme vint me voir avec un rouleau de parchemin. J’étais convoquée au palais de l’empereur et de l’impératrice ! On m’avait donné rendez-vous le soir, en toute discrétion.

Le moment venu, une servante m’introduisit dans les appartements de l’impératrice. Cette dernière, toute parée d’or et de bijoux, demanda à ce que l’on nous laisse seules.
- Quel est ton nom ?
- Alcidia, Votre Altesse.
- Alors tu es bien celle que je cherche. Toutes celles qui sont venues prier Lacta à travers toi sont reparties satisfaites et ont eu un bon accouchement ou sont tombées enceintes.
- Pas toutes, Votre Altesse.
- Celles dont les demandes n’ont pas été satisfaites sont si peu nombreuses que c’est insignifiant. Mais il ne s’agit pas de cela. Je suis mariée à l’empereur depuis bientôt un an, et je ne suis toujours pas enceinte. Je ne veux pas être répudiée. Donne-moi les bonnes grâces de Lacta, donne-moi tes seins.
- Je ferai tout ce que Votre Altesse voudra.

Elle fit revenir les servantes, qui me déshabillèrent puis me firent allonger sur la couche impériale, le dos soutenu par de gros oreillers de plumes. A ma grande surprise, la souveraine se déshabilla elle aussi. J’étais prête à lui donner mon lait, mon esprit seulement tourné vers Lacta.

Le contact de sa bouche sur mon mamelon me mit plus profondément encore en transe. L’impératrice avait agrippé mon autre sein, faisant couler mon lait sur son cou et son épaule. Le bruit de succion de ses lèvres sur ma chair provoquait un incendie entre mes cuisses. Oui, la déesse était favorable à la demande impériale.

A la demande de l’impératrice, je vins plusieurs soirs de suite. Petit à petit, j’avais compris que ma souveraine éprouvait du plaisir, et il m’arrivait de m’écarter du rituel en emprisonnant son visage entre mes seins, ce qui visiblement, lui donnait un plaisir incommensurable.

Un soir, j’eus la surprise de trouver l’empereur présent dans la chambre de son épouse. Je m’inclinais avec respect devant lui. Ma surprise grandit encore lorsque j’appris qu’il participerait au rituel. Ainsi, l’impératrice se retrouva couchée, les jambes tendues vers le ciel, son mari profondément plongé en elle, tandis qu’elle me tétait les mamelles. Mon lait coulait partout : son menton, son cou, ses seins et son ventre…

Quatre séances comme celle-ci furent encore nécessaire mais finalement, neuf mois plus tard, un héritier mâle pointa le bout de son nez. Avoir participé à la continuité de la dynastie impériale est l’une de mes plus grandes fiertés, moi, Alcidia, simple prêtresse de Lacta.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Une belle petite histoire dans un cadre impérial très bien décrit sur le thème délicieusement sensuel et érotique de la lactation. Trop peu d'histoires sur ce sujet, je ne peux que vous encourager à en publier d'autres...

Histoire Erotique
Un texte qui dégouline, si vous êtes d'humeur, continuez, écrivez...moi...



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Histoire sexe : Une rose rouge
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