Se sentir chienne, quel bonheur !

- Par l'auteur HDS Philippe74 -
Récit érotique écrit par Philippe74 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Se sentir chienne, quel bonheur ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Se sentir chienne, quel bonheur !
Je ne suis heureux sexuellement quand on me baise comme si on baisait une salope, principalement par la bouche!
J'adore cette technique qui consiste à s'allonger sur le dos, la tête pendante et se faire ramoner le gosier par une grosse queue. J'aime encore plus quand je suis à genoux les mains attachées dans le dos et le gars debout. Cette position démarque bien la différence entre le maitre et le soumis. Adepte du "gagging slaping" j'aime avoir un partenaire brutal qui m'écrase le nez contre ses poils en me tenant fermement jusqu'à étouffement puis me relâche pour me gifler. Puis, prit d'une frénésie dominatrice il s'empare à pleines poignées de mon cuir chevelu pour me gaver sauvagement en m'insultant de ce qu'il veut.
Je ressens, dans ces moments là, toute la perversion de ma nature. Se sentir "lope" ou simple objet sexuel le temps d'un instant, à la merci d'un homme. Si celui ci est équipé façon "Rocco Sifredi" ce n'est que mieux.
J'ai 19 ans, je connais cette pratique pour l'avoir exécuté plusieurs fois avec mon propre oncle et son ami. Deux quinquagénaires qui s'encouragent mutuellement pour m'utiliser comme un réceptacle à foutre. Je suis heureux de les servir et de m'apprendre à me conduire comme une chienne sans que mes parents le sachent.
Oncle Jean a 52 ans, il est divorcé et travaille dans un banque. Il m'a toujours attiré et ça aussi loin que je me souvienne. Ma relation avec lui a commencé au cours d'un mariage, je venais d'être majeur, j'avais bu bien au-delà du raisonnable et j'ai parié que je pouvais, sans aucun problème, lui faire une pipe sur le champ. Il m'a prit au mot, m'a emmené sur le parking et, entre deux voitures je me suis exécuté ! Seulement, le lendemain je ne m'en suis plus souvenu, c'est en me montrant la vidéo qu'il avait tourné avec son portable qu'il me l'a prouvé. J'étais mort de honte, mais cela ne m'a pas empêché de continuer.
Maintenant il me considère comme sa putain. Je suis sa petite femme qu'il baise tous les weekends avec son copain Bernard et ce sont deux pervers ! Il n'y a pas longtemps que je connais Bernard, ça doit faire trois mois environ, le temps que tonton me dresse, j'ai ça dans le sang il parait. C'est vrai que j'aime lui obéir, je lui ai même avoué, du coup, pour lui prouver, j'ai acheté sur un site internet, avec son aide, une cage de chasteté que je porte en permanence sur mon sexe rasé et que j'ai du payer moi-même par carte bancaire !
Donc voilà ! Impossible de me branler la semaine. Il me libère que le samedi pour me la remettre le dimanche. Avec ça entre les jambes je me sens encore plus chienne, je ne pense qu'à baiser 24/24 même quand je suis chez moi avec mes parents, où la semaine dans mon travail je deviens fou, je n'attends qu'une chose c'est d'être avec lui et de faire ma pute du haut de mes 1 m 70 et de mes 60 kilos !
Bien docile, bien obéissant, sachant me donner d'un côté comme de l'autre, il était temps pour lui de me partager, c'est là que j'ai connu Bernard. C'était un samedi, je venais d'arriver chez lui, à peine entré il m'a présenté comme étant sa petite pute et m'a ordonné de me déshabiller devant cet inconnu, j'étais mort de honte à l'idée que cet homme allait voir que j'étais porteur d'une cage de chasteté et en même temps, terriblement excité. Bernard est bel homme aussi, bien muscle, bien membré, je me suis vite retrouvé à genoux pour le gratifié d'une fellation avant que mon oncle nous rejoigne et lui montre comment m'utiliser. Moi qui aime les gorges profondes j'ai été servi.
Vide couilles est ma fonction du weekend. Le samedi après midi avec ces deux messieurs que j'ai appris à honorer ensemble. Je subis des doubles pénétrations anales qui me font partir au huitième ciel, des "gagging slaping" qui me font comprendre qui sont les dominateurs et qui est la chienne, puis, plus amoureusement, quand Bernard est partit, que vient le moment d'aller se coucher, je dors avec mon oncle qui est insatiable. Vient le dimanche qui commence toujours par une tendre pipe avant de finir l'après midi à trois. On ne change pas une équipe qui gagne !

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