La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°916)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°916) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°916)
Selena au Château – L’arrivée –

La journée, au Château de Monsieur le Marquis d’Evans, est bien avancée. Il fait chaud en ce bel été et chacun a sa place et s’affaire, à l’intérieur ou à l’extérieur de l’ancestrale demeure effectuant son travail sans broncher. Chacun faisant tout à l’évidence pour plaire au Vénéré Maître des lieux. Le Château est vraiment immense et le parc l’entourant s’étend à perte de vue jusqu’à la vaste forêt bordée de nombreux étangs et Terres agricoles. L’ensemble faisant également partie du vaste Domaine de la Famille des Evans. Tout ce Domaine est gardé en permanence par des vigiles employés par le Noble. Parmi eux, deux rustres gardes-forestiers patrouillant dans la forêt, entendent soudain des cris au loin. D’abord, ils n’y prennent pas trop d’attention, pensant à un cri d’animal. Mais les cris reprennent de plus belle, ce qui finit par attirer véritablement leur attention. Parcourant la forêt pendant de très longues minutes, ils décident donc de se rendre dans la direction des appels visiblement sortis d’une voix humaine. Tout en se rapprochant, les cris deviennent de plus en plus distincts. Ils arrivent aux abords d’une petite clairière au centre de laquelle une jeune femme, qu’ils ne connaissent pas, crie un nom en pleurant à la fois par contrariété et désespoir. Elle est habillée dans ce qui devait être une simple et belle robe en partie déchirée, mal ajustée et souillée. Elle est décoiffée, salie et par endroit on peut deviner de légères blessures telles des égratignures et quelques petits hématomes. Visiblement, elle se croit seule, ne se doutant pas qu’elle est observée et donc continue ses lamentations et ses débats dans le vide comme pour exprimer une profonde colère mêlée de tristesse. Les deux gardes costauds et à l’allure militaire, mais aussi grossière dans leur attitudes sont d’abords surpris puis amusés. Alors ils se font discrets pour profiter quelques instants de ce curieux spectacle… Tout à coup, elle aperçoit les gardes. Surprise, elle stoppe net ses cris tout en fixant l’un des deux gardes qui s’approche déjà :

- Que faites-vous donc ici, dans le Domaine de Monsieur Le Marquis d’Evans ? Vous êtes sur Ses Terres, vous ne devez pas être ici ! Vous êtes ici sur une propriété privée, dit d’un ton ferme et sévère celui qui devait être le chef.
- Messieurs, aidez-moi ! Mon cheval s’est emballé à cause d’un animal qui l’a apeuré et je suis tombée. Je le cherche depuis un moment mais je crains m’être perdue dans cette forêt que je ne connais pas, dit-elle en restant à distance des gardes-forestiers.

Le garde lance un regard complice à son compère et avec un sourire malicieux de perversité, s’approche un peu plus de la jeune femme. Elle se recule instinctivement, intimidée par une telle situation mais se redresse courageusement fixant son regard sans sourcilier. Celui-ci s’approche au plus près, pose son regard imposant et pénétrant dans les yeux de cette jeune effrontée, qui tressaillit légèrement, puis sur un ton amusé lui demande :

- Et que feriez-vous pour que nous acceptions de vous aider, jeune demoiselle ?

Son visage se fige quand elle sent son cœur s’accélérer.

- Heu… je voudrais simplement rentrer chez moi. La nuit va tomber et mon cheval est quelque part dans nature, répond-t-elle hésitante.
- Et qui donc vous attend, si ce n’est votre cheval qui visiblement est bien loin maintenant ?, demanda lentement le garde avec un regard de plus en plus vicieux.
- Personne, mais c’est juste que je n’aime pas le savoir en dehors de sa pâture et …
- Alors, il vous faudra nous contenter si vous voulez de l’aide de notre part, j’espère me faire comprendre, n’est-ce pas …, rétorque le garde avec un aplomb obscène qui se fait ainsi comprendre sans aucune ambiguïté sur ses perverses intentions !

La jeune femme s’arrête net bouche bée de stupeur comprenant vite ce que le garde veut dire. Celui-ci l’impressionne vraiment par son air de plus en plus Dominant, son regard envieux et pervers et elle aperçoit très vite dans ce regard gourmand qu’il n’est pas insensible à son corps de femme et qu’il a de mauvaises intentions à son égard. Alors elle commence à avoir peur et craint qu’il ne lui arrive des malheurs même si au fond d’elle-même, elle veut rester ne sachant pas où elle est et certainement pour une autre véritable raison beaucoup plus profonde et qu’elle n’ose s’avouer… En effet de vieux fantasmes inavouables ressurgissent soudainement en elle, des rêves profondément ancrés dans son esprits depuis longtemps refont surface, provoqués par la situation du moment, des pensées lesquelles elle n’a jamais osé en parler à personne, des envies de … soumission ! La jeune femme rêve en effet d’être possédée, dominée... Alors de furtives interrogations surgissent subitement dans son esprit : Est-ce le destin qui l’a amené ici, est-ce une occasion de vivre ce qu’elle se sent être, soumise ? prise sous le joug de ces rustres gardes ?... Sans attendre plus de réponse, l’autre garde s’avance. Le cœur battant, le souffle court, tentant de rassembler ses forces et après avoir jeté un œil sur les côtés, la jeune femme tente tout de même de s’échapper. Mais il est trop tard pour elle, déjà le garde l’a saisi par la gorge d’une main puissante.

- Lâchez-moi, laissez-moi partir ! Vous n’avez pas le droit de me toucher ! Crie-t-elle au garde, tout en se débattant

Le deuxième garde s’est approché, légèrement en retrait pour laisser à son chef l’honneur de contrôler la situation.

- Nous allons te montrer le chemin mais ici, tu es sur les Terres de notre patron, Monsieur Le Marquis d’Evans, et rien ne nous empêche de corriger des intrus qui osent pénétrer Son Vaste Domaine…

Puis tout ce passe très vite, la jeune femme se débat, tente de faire desserrer l’étreinte qui l’étouffe, elle veut crier mais ne peut pas et commence à manquer cruellement d’air. Soudain, le deuxième garde lui saisit les bras et les lui maintient de force dans le dos. Ceci ne manqua pas de la faire redoubler d’effort pour tenter de se libérer. Une magistrale gifle s’abat sur son visage, l’étourdissant et la déstabilisant. Sous le choc, elle vacille et tombe à genoux dans un cri de surprise. Profitant de la proximité de son visage, le garde dénoue ses chausses, fait sortir son sexe déjà tendu et le présente à la jeune femme encore étourdit. Elle résiste encore malgré ses forces diminuées et le garde lui saisit la tête par de grosses poignées de cheveux, ce qui lui fait échapper un cri de douleur et ouvrir la bouche de douleur. Alors, le garde n’hésite pas une seule seconde pour engouffrer sa queue jusque dans sa gorge et commença à lui limer la bouche pendant quelques minutes, il lui baise sa cavité buccale jusqu’à la jouissance. Un long flux de semence s’écoule dans sa bouche qui laisse échapper un filet de sperme, montrant qu’elle n’a pas tout avalé… Une gifle s’abat de nouveau, la faisant tomber sur le côté. Le garde qui la tient toujours, les bras croisés derrière elle, se met rapidement en appuie, genou sur son dos, afin de l’empêcher de se relever pendant que l’autre garde relève dans un grand geste le bas de sa robe. Libérant ainsi la croupe de l’effrontée, il commence par la fesser à pleine main, lui arrachant des cris difficiles à cerner entre douleurs ou plaisirs (ou les deux ?)... Lorsque ses fesses sont bien rougies, il entame une exploration de son intimité de toute sa main et, à sa plus grande surprise, se rend compte que celle-ci mouille abondamment. De la cyprine coule en effet sur ses cuisses…

- Regarde donc comme elle mouille, cette petite catin ! Dit-il en montrant à son compère ses doigts dégoulinant de cyprine. C’est qu’elle a l’air d’aimer ça, la salope !

Sur ces mots, il l’empoigne par les hanches, la forçant à relever sa croupe et lui plante sans aucun préambule sa queue de nouveau durcit dans son intimité entièrement lubrifié. Il la lui laboure sauvagement, bestialement avec une telle ferveur, une telle fougue qu’elle ne peut plus contenir ses cris de douleur mêlés au plaisir qu’elle a tant de mal à contenir et cacher. L’autre garde, existé par cette scène, en veut pour son compte aussi. Ainsi, il libère sa verge tendue et c’est à tour de rôle que chacun des deux rustres gardes-forestiers pénètrent la jeune femme tandis que l’autre va se faire sucer pour pouvoir jouir de toute sa force dans sa bouche. La jeune femme ne peut plus cacher son excitation et laisse échapper des cris d’orgasmes puissants à maintes reprises. En réalité, elle a rarement autant joui si intensément et de si nombreuses fois… Une fois les deux hommes vidés, la nuit est presque tombée. Epuisée et souillée, mais elle se rend compte intérieurement qu’elle est contente ce qui la rend honteuse, elle se laisse alors ramasser par les deux gardes qui la conduisent jusqu’au Château.

- Nous allons maintenant te mener à Monsieur le Marquis d’Evans, peut-être daignera-t-il t’aider mais Lui seul décidera … comment…

Et ils éclatent de rire. Arrivés au Château, menant la jeune femme avec eux, ils vont prévenir Walter le Majordome et lui expliquent fièrement tout ce qui s’est passé sans omettre aucuns détails. Les deux gardes-forestiers restent persuadés de la bonne réaction du Majordome. Mais celui-ci est au contraire scandalisé par l’attitude des rustres personnages :

- Quoi ? Vous avez osé toucher une personne qui n’est pas sous le joug de Monsieur le Marquis ? Ca fait une seule semaine que vous êtes embauchés ici au Château et visiblement vous n’avez pas compris le comportement exemplaire que vous devez avoir sur toute personne ne faisant pas partie du Cheptel. Je vous avais pourtant bien expliqué comment vous deviez agir en toutes circonstances. Autant vous êtes autorisés à baiser les esclaves du Château pour vous soulager, autant nous n’avez pas à faire de choses pareilles envers une personne externe au joug de Monsieur le Marquis...
- Mais… (tente d’expliquer le chef des gardes)… nous avons pensé que … Et puis cette salope mouillait fortement d’excitation alors nous …
- Je ne veux pas savoir ce que vous avez pensé … Nous n’avez pas à agir ainsi, que cette jeune femme soit excitée ou pas de votre attitude. Vous devez vous montrer exemplaire, encore une fois…. Je vais en référer à Monsieur le Marquis mais je gage que vous pouvez déjà faire vos valises car le connaissant pour son éthique, Il ne gardera pas parmi ses employés des gens qui ont agi de la sorte… Et espérez une chose encore, plus grave pour vous, espérez que cette jeune femme ne porte pas plainte … Mais ça se sera votre problème et comptez pas sur Monsieur le Marquis pour vous défendre, bien au contraire. Maintenant rentrez dans la maison des gardes et attendez la décision de Monsieur le Marquis, répliqua Walter sur un ton grondant et autoritaire.

C’est tête basse que les deux hommes s’en retournent, quasi honteux de leurs agissements. Le Majordome Walter se tourne vers la jeune femme et l’invite à le suivre, sur un ton rassurant :

- N’aillez crainte, de lourdes sanctions seront prises envers ces deux hommes fraîchement embauchés ici et qui visiblement n’ont pas à avoir une telle attitude. Je vous conseille d’ailleurs de porter plainte. Et nous vous soutiendrons sans problème… J’ai juste besoin d’une précision avant que j’explique toute l’affaire à Monsieur le Marquis. Mais vous n’êtes pas obligé de répondre si cela vous parait déplacé comme question : Avez-vous vraiment été excitée par la situation provoquée par ces deux ignobles personnages ? Pardonnez ma question, mais je ne dois d’omettre aucun détail à mon patron.

La jeune femme rougie instantanément et alors qu’elle allait répondre que non, une petite voix intérieure qu’elle ne s’explique pas elle-même lui intime de répondre la vérité et donc par la positive. C’était la voix de ses fantasmes qui revenait de ressurgir … Et donc elle baisse la tête et s’étonne elle-même de s’entendre répondre tout simplement :

- Je … Heu … Oui Monsieur …

(À suivre…)

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