Femme BCBG, escorte, non, pute… (129)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (129) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)

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Femme BCBG, escorte, non, pute… (129)
Je suis sur la 125 de Livia libre de rouler même sans mon permis goûtant au vent venu de la mer.
Quatre fois nous sommes doublées par une moto noire avec un conducteur portant un casque gants et combinaison noire comme les miens, est-ce un signe du destin ?
Il va falloir que j’arrête, depuis que je suis arrivé dans cette vieille demeure le présent, le passé, l’infini, le nombre de fois où une moto noire, nom féminin, nous croise peu importe, je me sens libre et je sens la moto vibrer entre mes cuisses.
J’espérais retrouver cette impression ressentie sur l’autoroute sur la selle de la moto de Livia en rentrant de vacances mais je dois faire attention et mon esprit n’est dirigé que vers mon guidon, la roue avant ou l’embrayage chaque fois que je passe une vitesse.
De retour dans notre nid nous reprenons une douche, quand j’enlève ma combinaison je m’aperçois que l’entre jambe est bonne à mettre à sécher, je récupère celle de Livia elle est dans le même état.

• Tu es une grosse cochonne, Livia, j’avais bien senti l’odeur de ta cyprine sur la combinaison que tu m’avais apportée à l’hôtel, c’est ta nouvelle moto qui t’a fait mouiller ?
• Je te l’ai dit une moto c’est comme l’intimité de la personne que l’on aime, il faut l’apprivoiser jusqu’au moment où nous fusionnions, l’as-tu ressenti sur ma moto.
• C’est plus difficile à dire que cela, je pilotais mais je vois que ma combinaison est aussi mouillée que la tienne, elle a dû aimer sans que je m’en rende compte.
• Demain sur la plage, je te promets tu vas ressentir les choses beaucoup mieux.

Nous nous couchons, le voyage, ma première sortie moto en solo ont raison de nous et c’est amoureusement blotti dans ces bras que nous plongeons dans un monde où l’homme en noire vient me hanter sans pour autant m’empêcher de dormir.
Il est presque midi quand j’émerge.

• Si nous allions manger des fruits de mer, je connais un petit resto où on va nous servir des langoustines aussi grosses que des langoustes, tu as une tenue autre que nos combinaisons ?
• Aucun problème j’ai tout prévu dans mon sac à dos.

Je sors un short rose, ras mon sexe, un débardeur rose qui laisse la moitié de mes seins visibles et une paire de chaussures rose à talon plat pour quel prenne le moins de place possible.
De son côté Livia en fait de même mais avec un short en jeans et débardeur identique, la seule différence c’est les talons qui me montrent qu’elle sait être très féminine quand elle le souhaite, mais avec un maquillage plus discret.
Nous sommes venues à pied et nous en faisons de même pour nous en retourner, dès que l’on arrive je pense digérer mais c’est mal connaître la pro qu’est notre amie qui enfile une combinaison pleine de cambouis m’en donnant une dans le même état.

• Christine que fais-tu quand un de tes clients te déverse du sperme sur toi.
• Impossible, j’avale et je lèche tout.
• Alors supposons que fais-tu ?
• Le repas et surtout les langoustines sont excellents, elles sont tellement fraîches que j’ai l’impression qu’elles ont sauté directement de la mer à nos assiettes à deux pas l’une de l’autre, je vais faire la sieste.
• Hier nous avons communié avec nos motos alors nous allons les nettoyer après tu auras droit à une sieste.
• Que mange ton de soir ?
• Diète, il faut garder la ligne, tu as assez manger à midi, tu vas finir par être obligé de changer de taille de combinaison.

Toute la fin d'après-midi après nous êtres amusés et après comme nos motos nettoyées, nous sommes rutilantes pour rouler sur la plage comme Livia me l’a promis.
Nous remettons les combinaisons, sortons les motos et la porte refermée nous faisons quelques mètres sur la corniche pour dépasser le village et nous descendons une rampe à bateau qui nous amène sur la plage.
Au départ le sable est mou et ma moto se met à patiner.

• Tu as trop accéléré dans le sable mou et ta roue arrière c’est enfoncé, il faut la dégager, il faut creuser.

Mes premiers tours de roue sur le sable démarrent mal mais rapidement nous dégageons ma bécane et nous faisons une centaine de mètres jusqu’à des rochers.

• Je t’avais promis des sensations fortes, enlève ta combinaison, on va les cacher dans ce trou c’est un endroit sûr.
• J’ai eu quelques sensations hier nul doute que je vais m’éclater.

Une fois déshabillées, gardant nos bottes et nos casques, nous remontons sur nos engins la nuit ou la lune joue avec les nuages me permet de l’admirer dans sa nudité.
La sensation liée à la vitesse est extraordinaire, rapidement je peux dire ce que les mots faire corps avec sa machine veulent dire, ma chatte s’ouvre avec les vibrations sur ma selle qui me tien lieu de godemichet sans pénétration.
Je suis à deux doigts de jouir mais le pilotage de cette petite bombe que j’ai entre les cuisses est bien plus difficile que la maîtrise des bites de mes clients, ma moto requiert toute mon attention même si nous sommes sur du sable mouillé.
Je prends de l’assurance et je suis les jolies petites fesses de Livia qui tressaute malgré la plage lisse comme la peau d’un bébé.
C’est à ce moment que j’ai la peur de ma vie, je vois une lumière qui se rapproche rapidement dans mon rétroviseur, le temps de le dire et la moto noire qui nous a doublé hier en fait de même, le pilote à la même combinaison noire.
Il nous double, fait une manœuvre qui le replace dans l’autre sens et repart, nous croisant en nous regardant.
C’est moi qui dois retarder Livia qui semble m’attendre quand je revois le phare dans mon rétro, nous sommes vite rattrapés et doublés, je jette un œil en décélérant un peu pour éviter la gamelle, il passe et il est aussi nu que nous avec comme nous son casque sécurité oblige mais pieds nus.
Nous parcourons 500 mètres la moto noire qui elle aussi a ralenti pour suivre mon rythme roule à la hauteur de la moto de Livia, l’homme car quand je regarde ses fesses moi qui en aient vu, en restant humble, un certain nombre depuis que j’ai suivi Valérie sait faire la différence entre celle d’un garçon ou d’une fille.
C’est à ce moment que je vois la moto de Livia déraper faisant tomber ma copine qui roule plusieurs fois avant de s’immobiliser sur le dos, sa moto allant se coucher quelques mètres plus loin.

• Livia, ça va.
• Laissez-lui son casque c’est dangereux de l’enlever sans précaution après une chute.

C’est le garçon à la moto noire qui me donne se conseille.

• Livia revient à toi, je t’ai déjà perdue une fois, j’ai reconnu ton pilotage hier, ce soir j’ai vu que tu avais gardé nos bonnes habitudes avant que Camille te vole à moi.

Livia semble bouger ce qui me rassure, elle se redresse, le visage du garçon sous la lune, qui semble être de notre côté, éclaire la scène.
Livia enlève son casque tournant la tête de droite à gauche déployant sa chevelure et contre toute attente prends le garçon par la nuque et pose sa bouche sur la sienne, scène délirante pour ma petite lesbienne car je vois nettement leurs langues tourner de plus en plus intensément, elle s’écarte de quelques centimètres.

• Corentin fait moi l’amour.

Elle s’allonge de nouveau et me laissant complètement incrédule elle reçoit le garçon sur elle qui lui reprend la bouche et je vois clairement sa bite bien tendue entrer dans le vagin de mon amie.
J’ai envie de poser des questions mais je respects le couple qui s’embrasse fougueusement Livia recevant la queue qui manœuvre en elle semblant aimer.
Que faire, une seule chose, je me redresse vais couper le contact de la moto pour éteindre le phare ?
Je repasse à leurs côtés, Livia roucoulant comme toute femme qui aime être prise par un sexe qui la pilonne avec fougue, je redémarre ma moto et je laisse les amoureux, j’aurais le temps de comprendre ce qui vient de se passer.
Je roule prudemment ayant un peu de mal à retrouver ma combinaison et les clefs de la maison, coup de chance elle les a posés sur le dessus et je peux faire mouvement pour rentrer.
À poil, je reste à poil sachant qu’il y a peu de chance que je rencontre des habitants dans ce bout du monde.
Dès que je suis entrée je me douche pour enlever le sable et la cyprine que les trépidations de la moto ont fait couler de ma chatte.
Il est encore assez tôt et je me vois mal seule dans cette maison aussi je remets la tenue que je portais et je me dirige vers un café que j’ai vu non loin du restaurant où nous avons mangé avec ma copine devenue bi.

• Bonsoir messieurs, je peux boire encore un verre à cette heure.

Il y a deux hommes qui jouent avec des dés sur une piste au 421.

• Je vais fermer et j’allais refaire mes stocks il faut que je descende à la cave, qu’est-ce que vous buvez, Lionel fait passer le temps à la dame, tu es expert pour dialoguer avec les gens.

Le patron va dans la pièce contiguë.

• Que faîte vous à Villerville, une jolie femme comme vous dans nos rues à cette époque c’est rare.

J’ai envie de m’amuser, voir Livia baiser avec Corentin m’a mise en joie.

• Disons que je suis une fille éphémère et je cherche un client pour la nuit.
• Vous prenez combien ?
• À Paris la nuit m’est payée 2 000 € mini mais dans ce bled je me contenterais de 1 000.
• Êtes-vous une pute ?
• Je vous fais marcher, vous avez l’air si mignon à m’écouter, je suis chez Livia pour le week-end.
• Alors vous êtes lesbienne, Livia est très connue ici depuis qu’elle a eu une aventure avec Camille sa copine, toutes les filles qu’elle amène depuis sa rupture sont des lesbiennes.
• Lesbiennes, Livia quand je l’ai quitté sur la plage où nous faisions de la moto la bite de Corentin qui la perforait m’a montré que vous êtes dans l'erreur beau jeune homme.
• Livia a retrouvé Corentin, je suis étonné mais je suis ravi, c’est un poids de moins pour le curé que je suis.
• Le curé ! Et moi qui vous avait pris pour un homme…

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