FEMMES MARIÉES. (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : FEMMES MARIÉES. (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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FEMMES MARIÉES. (1/2)
Notre histoire a commencé lors du bal annuel de la choucroute de notre club de foot local, j’y assistais pour la première foisJe suis venue à ce bal endroit qui est un peu étranger à ma culture pour suivre mon mari Gaétan qui joue tous les vendredis soir avec les vétérans du club.
Nous avons des jumelles Aline et Alice qui ont 16 ans qui font de la danse et qui sont loin de pratiquer ce sport.
À cette soirée nous nous sommes inscrits à trois couples d’âge identique, nous évoluons dans la tranche des 35 à 40 ans.
J’ai personnellement 37 ans, je suis brune aux yeux verts et j’ai souvent le regard des hommes qui se porte sur moi.
Je sais que dans mon dos de nombreux mecs pensent que Gaétan a de la chance d’avoir une pouliche comme moi.
Je dis bien pouliche car un jour où j’allais chercher mes filles à l’école l’année qui précédait leur entrée au collège pour les amener chez le médecin j’ai entendu deux d’entre elles parler de moi et me nommer ainsi.
Je suis une femme discrète et je me suis retirée sans qu’elles me voient.
À cette soirée c’est le couple Michel et Véronique qui nous ont inscrits, ils ont deux garçons Adrien et Jule, lui est informaticien et elle travaille à la boulangerie tous les matins jusqu’à douze heures.
Nos filles ont accepté de venir à la soirée à la seule condition d’être à la table des jeunes avec Adrien pour Aline et Louis pour Alice qui semble être leurs petits copains du moment, il faut bien que jeunesse se passe et qu’elles apprennent ce qu’est une peine de cœur.
Louis est le fils de leur âge du troisième couple à notre table Benoît et Stéphanie.
Pour clore le tableau Stéphanie est comme moi infirmière à l’hôpital de la ville voisine dans le même service mais en équipe opposée, nous nous croisons à chaque relève.

À ce bal nos hommes sont plus enclins à boire des demis de bière qu’à s’occuper de nous faire danser.
J’ai toujours aimé me trémousser surtout les danses plus classiques que celles modernes dont mes filles raffolent.
Un paso-doble attaque la soirée et Stéphanie me demande de la faire danser, cela me fait plaisir et je reprends ma place à table la remerciant.
Je suis face à Véronique et plusieurs fois nos regards se croisent, mais je n’interprète pas du tout ces échanges.
Mes filles viennent me chercher et je me trémousse sous le regard de ces messieurs qui sont encore à l’apéro au bar.
Viens le moment où les notes me font comprendre que le D.J. a mis une valse sur ses platines.

• Veux-tu danser Jennifer ?

Je viens de m’asseoir un peu exténuée à avoir voulu suivre mes filles mais j’aime tellement la valse que j’ai beaucoup dansée avec mon beau-père le jour de mes noces, Gaétan étant incapable de suivre un rythme et étant une catastrophe pour les pieds de ses cavalières donc les miens.

• Bien sur Véro.

Je me relève et c’est elle qui d’entrée conduit, étrangement j’aime ma main dans sa main et la douceur de sa paume me chamboule légèrement.
Bien sûr mes pensées sont loin d’être malhonnêtes mais c’est la première femme qui me fait de l’effet.
Sexuellement avec Gaétan tout est parfait, j’ai un mari attentionné qui sait me donner du plaisir, il sait à la seconde près le geste à faire pour que je sois en confiance et chaque fois qu’il est en moi il m’apporte un magnifique orgasme.
Est-ce là mon point faible car je sens que depuis notre mariage il essaye désespérément à faire redémarre mon corps une seconde fois aux cours de ses rapports mais hélas dès que j’ai joui je reste sans réaction.
J’attends qu’il se déverse en moi et satisfaite je me retourne pour m’endormir.

• Un slow veux-tu continuer à danser ?
• Bien sûr, j’aime toutes ces danses.
• Regarde nos ivrognes il va falloir qu’on les couche bourrés une nouvelle fois.
• Tu sembles avoir l’habitude moi c’est la première choucroute du club que je fais.

Un mouvement se produit dans la salle et le DJ arrête la musique.

• Mesdames et messieurs, nos cuistots vont vous servir une assiette bien chaude de la choucroute qu’ils vous préparent depuis deux jours, servie par tous les joueurs seniors de votre club.

Les assiettes sont servies et Adrien le fils de Véronique m’en apporte une et l’autre à sa mère qui amoureusement l’embrasse, au mouvement qu’il fait j’ai l’impression que pour ce garçon de 17 ans une vipère l’a piqué, la musique a repris là où elle s’était arrêtée.

• Tu viens danser, la choucroute peut attendre.
• Oui Jennifer tu as raison.

Nous nous levons et je la reçois dans mes bras, une de ses mains se trouve sur mon cou et l’autre sur la chute de mes reins.
Les miens sont placés sensiblement au même endroit et nos bassins sont presque à se toucher, ce qui arrive de temps en temps.
Elle approche sa bouche de mon oreille.

• C’est bizarre ce qui m’arrive j’ai une folle envie de t’embrasser.
• Moi aussi, attention, regarde-nous sommes seuls sur la piste tous les autres mangent.
• Je viens de le voir mais je n’arrive pas à me détacher de toi.
• Moi non plus, puis-je te poser une question ?
• Bien sûr, mais je crois savoir ce que tu vas me demander.
• Es-tu lesbienne ?
• Pas le moindre du monde mon cœur, c’est la première fois qu’une femme me fait l’effet que tu me fais.
• Séparons-nous évitons de nous donner en spectacle, tu sais à la boulangerie j’entends tous les ragots, évitons d’en faire partie.

Nous nous séparons et pendant de longues minutes aucune bouchée ne monte à ma bouche tellement je suis chamboulé.
Et si c’était moi qui suis lesbienne sans le savoir.
Nos hommes sont revenus manger et chacune de nous donnons le change de la femme amoureuse, mon homme commence à avoir une haleine de chacal et j’interromps ses élans.
Je vois Véroniques sortir un stylo de son sac avec un petit carnet et écrire avant de me les passées.
C’est le moment que nos hommes choisissent pour retourner au bar accompagné par Stéphanie qui semble aussi avinée que son homme, je devrais dire de nos hommes quand ils se lâchent en soirée.

« Jennifer, tu viens on s’en va, j’ai envie d’être seule avec toi. »
Je prends le stylo et comme la sono crache à fond des danses modernes.

« J’en ai aussi envie que toi mais pour nos enfants il faut rester sage, lundi la boulangerie est fermée ? »
Elle reprend et écrit avant de me rendre le tout.

« Oui et toi travailles-tu ?
« Je travaille demain après-midi et lundi c’est mon jour de repos. »
Échange.

« Viens prendre un café à quatorze heures, je serais seule Michel est à son entreprise jusqu’à 19 heures. »
Échange.

« Moi aussi, Gaétan part sur son chantier jusqu’à vendredi, je crois que… »
J’ai failli écrire je crois que je t’aime mais les trois points sont explicites, je reçois en réponse.

« Moi aussi je crois que… j’ai un coup de foudre pour toi. »
Nous retournons danser et comme le reste de la soirée est réservé à nos jeunes nous nous trémoussons nous touchant soit la main soit les fesses chaque fois que la danse nous le permet.
La soirée terminée elle vient dans mes bras.

• Je t’aime à lundi.
• Je t’aime aussi, j’ai un peu peur de ce qui nous arrive.
• Moi aussi.

Le retour à la maison est un peu difficile, il faut dire que nos hommes au bar ont fini au Get, j’ai peur d’être obligé de nettoyer l’intérieur de la voiture mais j’ai épousé un grand garçon qui attend d’être sur notre pelouse pour gerber le trop-plein de liquide qu’il a ingurgité.
Nos filles sont restées pour nettoyer la salle avec tous les jeunes joueurs du moins tous ceux qui voient encore clair avant de rentrer raccompagné par le président qui est resté sobre.

• Tu viens chérie, je vais te baiser, regarde je bande pour toi.

C’est d’une voix incertaine qu’il me dit cela son sexe en main arrosant la pelouse de son urine et de ses vomissements.

• Viens, j’ai aussi envie de toi.

C’est la seule tactique que je sens pouvoir employer pour éviter qu’il dorme sur la pelouse où une fine pellicule de neige la recouvre.
J’arrive à ce qu’il s’assoie sur notre canapé où en une seconde il dort, je rejoins notre chambre et après avoir enlevé mes vêtements je me prélasse dans mon bain.
Comme à mon habitude je pose mon portable sur le tabouret à mes côtés lorsqu’il sonne…

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