Titre de l'histoire érotique : LE STAGE. (2/2) - histoire érotique

Je suis venue dans une entreprise pour faire mon stage de B.T.S. avant de rendre mon mémoire qui validera mes très bonnes années d’études.
Nous venons d’aller passer une soirée avec un client venu du Texas, Houston plus précisément aux portes de la Louisiane.
Lors de cette soirée Claude, mon patron m’apprend que Bill me prend pour une escorte girl donc une pute qu’il aurait engagée pour séduire le gros connard avec qui je suis dans sa limousine en route vers son hôtel.
Je joue le jeu pour éviter à mon patron de perdre son entreprise laissant 60 personnes sur le carreau.

• Entre, j’ai bien fait de venir à Paris, j’ignorais que je rencontrerais une jeune femme de ta classe, veux-tu du champagne.
• Bien sûr, c’est la moindre des choses.

Je suis un tantinet agressive, par moments je me demande si j’ai bien fait de suivre cet homme, jusqu’à ce jour l’homme avec qui j’ai échangé des moments de plaisir était à mon goût mais là si je devais choisir entre écarter les cuisses ou lui mettre un coup de couteau on peut voir dans quel état de sentiment je me trouve.
Le service nous sert et le garçon me regardant d’un air circonspect quitte la chambre me faisant sentir la femme de mauvaise vie qu’il a devant lui.

• À votre santé, mettez-vous dans ce fauteuil.

Il s’installe son verre à la main et écarte ses jambes, je comprends l’invitation, je m’agenouille et je lui défais son ceinturon, il m’aide à dégrafer son jean, je sors sa verge au repos, mais d’un bon calibre.

Je vais pour la mettre dans ma bouche, mais j’ai un moment de panique, si je fais ce geste, la limite entre le bien et le mal sera franchi, serais-je devenue une prostituée ?
Contrairement à ce que je pensais je sens que je mouille, la situation m’interpelle, j’ai baisé avec mon dépuceleur en le suçant lui donnant du plaisir mais me donnant aussi du plaisir, pourquoi refuser ce moment comme tel.
À partir de ce moment je franchis le pas gardant au fond de moi le moment ou je vais pouvoir le blouser et lui faire signer le contrat qui assurera mon avenir.

• Vous êtes efficaces vous les Françaises, tu suces divinement, arrête, je vais jouir, je veux te baiser.

J’enlève mes vêtements lui faisant un semblant de strip me présentant nue ma chatte à portée de sa propre bouche.

• Suce !

Il avance sa tête, j’écarte mes grandes lèvres et j’attends qu’il mette sa langue, mais il se recule.

• Tu veux que je mette ma langue dans ton intimité, vous êtes dégoûtant les français, allonge-toi que je te la mette.
• Bill tu es en France, suce.

Je lui prends la tête et je lui plaque le visage sur ma moule, il a du mal à respirer, mais d’un coup il craque, sa langue entre en moi et s’occupe de mon bouton.
Je sens ses mains entourer mes fesses pour aller le plus loin en moi, je pose ma main sur sa verge, il bande comme, un fou.
Il pense que je vais m’empaler, mais je m’écarte récupère mon sac et le contrat.

• Signe et tu pourras faire ce que je veux de moi, je serais à toi pour la nuit, tu verras, je vais t’apprendre des choses dont tu sembles tout ignorer.

Il me regarde incrédule.

• Salope, tu crois que je marche au chantage.

Je lui prends la verge en main.

• Regarde, elle veut que tu signes, quatre machines comme nous en avons décidé cet après-midi.
Non, mon cul vaut mieux que cela, change le chiffre cinq et je te fais jouir.

Au poker, c’est faire tapi.

• Tu es une garce, mais j’aime les mecs qui en ont, au Texas les tantouzes ont les massacres, j’ai besoin de ces machines et je pense que tu vas y trouver ton compte, tu me demande de signer pour cinq, c’est fait.

Incroyable je suis juste au-dessus de son pieu et sans aucun scrupule je me laisse tomber, il entre en moi jusqu’à ce que ses couilles tapent mon intimité.
Il est puissant et alors que pour la première fois je trouve sa bouche, je monte et je descends rapidement jouissant comme une folle.
L’adrénaline qui a été échangée entre nous m’a fait atteindre l’orgasme comme jamais je n’ai joui avec mon premier amant.
Je le prends par les épaules et malgré la fatigue de la position je retombe et je retombe encore reprenant un pied encore plus intense que le précédent, je hurle de plaisir, les voisins vont certainement se plaindre à la réception.

• Oh ! mye god je jouis prend mon sperme dans ta chatte, je veux t’épouser.

Incroyable, j’ai réussi ma mission mieux même, il veut m’emmener aux State.
Pour lui faire voir que j’apprécie, sa proposition je me remets à genoux et je lèche du mieux possible son sexe, je le nettoie, mais il a du tonus, il veut me reprendre, mais je lutte et il finit par me décharger dans ma bouche.
Je m’affaisse à ses pieds, satisfaite d’être devenue une parfaite pute même s'il n’y a eu aucun argent direct entre nous.
Je me rhabille et je vais pour partir.

• Voilà ma carte, quand je te dis que je veux t’épouser, tu as 24 heures pour prendre ta décision, je rentre à Houston dans mon jet demain en fin d’après midi.

Le lendemain le contrat en main j’arrive à la société et je suis à quelques mètres de la porte du bureau de Claude qui est entrouverte quand j’entends deux personnes parlées.

• J’espère qu’elle va arriver pour me dire si elle a réussi à faire signer le contrat qui va nous sauver Josette.
Quand je lui ai proposé d’aller chez Bill faire la pute, je pensais qu’elle allait se sauver en courant, lorsqu’elle arrive, on ferme notre gueule, il faut qu’elle ignore que j’avais tout calculé quand je l’ai vu arriver pour faire son stage connaissant notre client texan.

J’ai un moment de stupeur, mais je me ressaisis aussi vite que je l’ai fait, la veille quand je suis revenu sur mes pas pour l’aider à gruger le Texan.

• Bonjours Claude super journée.
• As-tu réussi ?
• Deux minutes, puis-je téléphoner ?

Sans attendre sa réponse je contourne le bureau et m’empare du combiné.

• Allo, Bill, ta proposition de m’emmener à Houston tient toujours.

J’écoute sa réponse.


• Ok, attends, j’arrive.

Le téléphone reposé je prends le contrat et, en fait des confetti.

• La pute elle te salue, j’ai mieux à faire que de jouer petit bras avec des salopards comme vous.

Je quitte le bureau.

Deux ans passent.

• Bonjour Claude surpris de me voir ici dans cet appartement ?
• Alexandra que me veux-tu, si tu cherches à te venger, j’ai tenu la tête hors de l’eau pendant quelques mois grâce à de petites commandes pour faire tourner mon entreprise mais depuis quelques semaines plus rien et je viens de vendre à un groupe français.
Ils m’ont convoqué à New York me payant mon voyage et je me retrouve dans cet appartement devant toi.
• Bien sûr, cette boîte française m’appartient et c’est mon avocat qui t’a donné ce billet.
• Je suis dans le brouillard, tu vas me tuer pour te venger de ce que je t’ai fait.
• Me venger d’avoir fait de moi une pute, tu es malade si tu es là, c’est pour que je te récompense.

Il me regarde d’une façon incrédule.

• Si tu as fait de moi une fille qui couche pour arriver avec ta salope de secrétaire, paix à son âme celle-là, depuis que je t’ai obligé à la licencier, elle pointe régulièrement au chômage, mais si tu es un gentil toutou, je te permettrais de la reprendre pour balayer ton bureau, pardon mon bureau.
Je t’autoriserais peut-être à la sauter de nouveau, car c’était ta maîtresse, inutile que je te montre les preuves visuelles qu’un détective m’a apportées dans les semaines qui ont suivi mon mariage ici à Houston.
A oui, mon mariage, quand j’ai déchiré le contrat que j’avais tiré à Bill, tu as vu que je l’avais appelé, il m’a confirmé sa proposition de m’épouser malgré ses cinquante ans et mes dix-neuf ans.
Il y avait huit jours que j’avais convolé quand un adjoint de mon mari est venu à notre domicile pour lui apporter les papiers lui étant nécessaire dans une affaire.
Il était beau et sentait le sable chaud, il m’a fait un compliment, mon côté salope est venu lui prendre la queue et il m’a baisé me faisant prendre un pied terrible.
C’est à ce moment que Bill est entré et que je l’ai vu faire la carpe, son visage était figé et j’ai rapidement compris que quelque chose n’allait pas, j’ai laissé mon orgasme se terminer avant de faire venir les secours.
À ce moment j’ai pensé à toi, j’étais à la hauteur de la garce que tu avais dû déceler en moi.
J’ai été inquiété, car au début des responsables de mon mari ont trouvé bizarre que son attaque ait eu lieu aussi près mon mariage, mais Bill avait déjà eu deux alarmes et cette dernière a été considérée comme naturelle.
• Est-il mort ?
• Non, je le chouchoute, tu penses mon petit amour qui me permet de valoir plusieurs millions de dollars, il est ici dans la chambre avec sa nourrice qui s’occupe de lui comme un enfant.
En passant, l’amant qui était dans ma chatte quand Bill est entré, tu le connais, c’est lui qui est venu acheter la première machine qui t'a maintenue à flot, il en est de même pour mon second puis troisième et quatrième amant.
Tu vas me livrer les deux dernières machines, mais tu vas le faire toi-même.
Tu vois Claude, tu avais bien vu en moi, je suis une pute et j’adore cela, Bill adore me voir me faire baiser devant lui, nous avons un amour fusionnel entre nous, fait voir à ta patronne si tu es un aussi bon amant que tous ceux que j’ai eus et que j’aurai après toi.

La vie est belle, je vous souhaite vous les jeunes de trouver un stage aussi lucratif que celui que Claude m’a proposé et qui conditionne ma vie.