Marlène se faite faire un épilation intégrale.

- Par l'auteur HDS Zygomax -
Récit érotique écrit par Zygomax [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Marlène se faite faire un épilation intégrale. Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2007 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Marlène se faite faire un épilation intégrale.
Marlène 1 : Débroussaillage.

Je m’appelle Marlène.
J’ai 26 ans et un grand appétit de la vie. Elle est trop belle pour la laisser s’envoler sans en profiter un peu. Je ne m’en prive donc pas ! Je suis toujours en éveil, prête à saisir l’instant présent. Carpe Diem ! S’il le faut, je n’hésite pas à provoquer parfois de nouvelles rencontres, à vivre de nouvelles expériences, toujours plus étonnantes, amusantes ou excitantes les unes que les autres.

Ce vendredi matin je vais aller faire un tour chez Cécile. Ma copine esthéticienne. Dimanche je retrouve Mario, mon plus bel amant et je souhaite lui faire honneur.
J’enfile rapidement un petit top noir à fines bretelles qui dévoile largement ma gorge (mais quelle gorge ! J’en suis fière. Je n’ai pas de soutien gorge, comme souvent car j’aime me sentir libre et à l’aise, de toute façon je ne fais pas de chichi avec ma copine Cécile. Je me débarrasse de mon jogging d’intérieur pour me glisser dans mon mini string léopard, avec son petit liseré de dentelle en plein milieu du sexe qui laisse voir ma toison brune taillée bien raz : c’est celui qu’elle m’a offert à Noël, ça lui fera plaisir ! Une jupette un peu courte dévoilera bien mes jambes et mettra en valeur mon postérieur si rond et si ferme. Quand on est belle, ce serait un péché de ne pas en faire profiter les autres ! Il fait froid en févier, mais le salon de ma copine dispose d’un parking souterrain, je ne risque pas de m’enrhumer. Et puis ça fera se tordre le cou à sa patronne qui n’arrête pas de me mater quand je viens : ça m’amusera beaucoup ! J’achève le costume par une paire de talons hauts assortis qui affineront élégamment mon mollet.

Arrivée cours Berriat à Grenoble, je me gare et prend rapidement l’ascenseur pour entrer. Comme d’habitude, il fait une chaleur terrible dans ce salon ! Vous me direz que c’est préférable, la tenue des professionnelles présentes est toujours très légère, comme celle de leurs clientes. Je soupçonne même la patronne de le faire exprès afin de mieux reluquer les cuisses et les seins de ses clientes et de ses employés ! Celle là, elle est homo à fonds et ne s’en cache guère.

C’est elle qui m’ouvre. Elle me fait entrer avec bienveillance comme à son habitude :
- bonjour Marlène ! Me lance-t-elle en louchant immédiatement dans mon décolleté,
- bonjour Liliane répondis-je désinvolte,

J’en profite pour la taquiner en lui claquant une superbe bise sur la joue gauche, ce faisant je me colle un peu à elle en lui faisant bien sentir, sein contre sein, la fermeté de la poitrine qu’elle vient de détailler du regard.
Elle suffoque un peu, s’empourpre, mais poursuit :
- Cécile n’est pas là aujourd’hui mais c’est notre nouvelle recrue Sylvia qui s’occupera de toi, installe-toi, elle arrive. Tu verras c’est une gentille « Italienne » très compétente ! …
Je me dirige alors vers la luxueuse cabine. Comme d’habitude, la musique douce est déjà en route et un bâton d’encens discret se consume lentement sur la commode décorée de jade.
L’absence de ma copine me contrarie un peu, ma tenue n’est peut être pas la plus appropriée face à une inconnue.
D’ailleurs la voilà qui entre…
Sylvia est petit un bout de femme de vingt-cinq ans environ, mesurant dans les un mètre soixante, ce qui devait faire son désespoir vu l’altitude des talons hauts qu’elle portait ! Elle devait être fille d'immigrés italiens, c’est courant à Grenoble, elle avait du hériter de ses parents transalpins, de son teint mat, d’une longue et abondante chevelure d'un noir brillant, de deux merveilleux yeux vert-irisé, d’une grande bouche aux lèvres épaisses et sensuelles ; « d’une bouche parfaite pour faire des pipes », auraient dit crûment mes amis libertins, et qui s'ouvrait sur une rangée de dents petites et brillantes. Et surtout, ce qui affligeait certainement la jeune femme, c'est que malgré sa petite taille, la nature l'avait gratifié d'une paire de seins aux mensurations imposantes, un quatre-vingt-quinze C de tour de poitrine ne passe pas inaperçu, et rare étaient les hommes qu'elle croisait qui ne devaient pas loucher avec concupiscence sur les volumineuses figures de proue qui déformaient le devant de ses corsages. Dotée d'une taille assez fine, elle possédait par contre des hanches rondes, évasées, qui donnaient naissance à une croupe bien dessinée, nerveuse, bombée, extrêmement arquée : une croupe qui, comme sa poitrine, devait attirer irrésistiblement le regard des mâles et qui se trouvait bien mise en valeur par une courte jupe noire très ajustée.
Joyeuse et souriante, Sylvia se laisse admirer de pied en cape, consciente que la fraîcheur de sa venue nécessite un temps d’adaptation.. Nous échangeons quelques banalités et nous en venons à ce qui m’amène : l’épilation de mes jambes et du maillot afin de rendre mon corps plus doux aux mains de Mario, mon bel Italien.
- « Enlevez votre jupe maintenant, ce sera plus pratique une fois installée, » me coupe t elle immédiatement,
Bon, il va donc bien falloir que je dévoile le cadeau de Cécile …
Je me surprends alors à me tourner un peu pour ôter ma jupette assortie. Je ne vais pas jouer à la timide tout de même ! D’habitude j’adore ce moment. Devant mes partenaires, je plie légèrement les genoux, fait saillir mon postérieure pour faire glisser lentement le tissu fluide par-dessus mes reins, cambrés par la position. La jupe balaye alors lentement ma peau avant de s’effondrer à mes pieds, tel un disciple éblouis …
Là, je la joue plus soft, je fais glisser la fermeture d’un coup sec et récupère immédiatement l’étoffe avant qu’elle ne se trouve au sol. Je devine le regard de Sylvia qui parcourt en même temps mes fesses, ma cuisse et qui s’égard brièvement dans mon entrejambe exposé au moment où j’écarte une cuisse et soulève mon talon afin d’ôter définitivement ma jupe.
- « Original ce sous-vêtement ! » fit-elle mi-amusée mi-moqueuse en détaillant mon mini string léopard,
- « C’est à dire, que, heu !, il s’agit d’un cadeau que m’a fait ma copine Cécile que vous remplacez, je pensais lui faire plaisir en le mettant »
- « C’est gentil de penser ainsi à ses copines » répondit-elle, « on y va ? Allongez-vous sur ventre, on va commencer par les mollets »
A moitié nue, je m’allonge à plat ventre sur la table de massage en skye noir. La fraîcheur du plastique me procure un petit frisson qui me rappelle celui ressenti la semaine passée, au donjon de Vizille, avec Mario. Mais c’était pour une cause plus sensuelle !
Sylvia éclate alors de rire : « je vais vous enlever vos talons non ?! ». Je dois être un peu perturbée, je les avais oubliés !
Sylvia délace alors les fins liens de cuirs. Je sens la paume de sa main chaude délicatement enserrer mon tibia alors que son autre main parcourt un bref instant mon mollet afin de rejoindre la chaussure et de l’ôter. De même avec l’autre jambe. Mais je me rends compte alors que quelque chose a changé. En reposant mes jambes sur la table, Sylvia s’est débrouillée pour les écarter chacune de 5-6 cm par rapport à leur position initiale, bien jointe. Vu l’étroitesse de la très fine bande de tissu de mon string, elle a maintenant une excellente vue sur mon postérieur, dans lequel plonge profondément le bandeau zébré. Enfin, quand je dis « bandeau », je devrais dire « ficelle » zébrée, tellement cette pièce de lingerie est « mini » !
Je suis allongée, quasi nue, mes seins s’écrasent sur le skye froid et leurs pointes durcies doivent déjà marquer le plastique. La ficelle de se maudit string s’enfonce entre mes fesses et écarte, j’en suis sur, le bas ma vulve pour s’y enfoncer en partie. Je suis certaine que c’est ce quelle voulait voir : et bien la voici servie !
- vous vouliez également faire le « maillot » je crois non ?
- et bien oui pourquoi ?
- Il faudrait faire mieux …
- ??
- Vous savez que vous avez quelques poils qui dépassent de votre string au niveau des fesses ? Il faudrait les enlever également, c’est très inesthétique !
- Heu,…. Et bien, je ne sais pas …si vous voulez, oui, pourquoi pas,
- Retournez-vous s’il vous plait,
J’obtempère, un peu surprise, découvrant ainsi les quelques centimètres de tissu triangulaire qui me protègent de la nudité complète. Sylvia balaye du regard mon entrejambe, avance une main vers le liseré de fine dentelle léopard qui fend en deux mon pubis et esquisse une moue réprobatrice :
- là aussi il faut faire quelque chose, laisser des poils dépasser de ce sous-vêtement serait bien dommage. De plus c’est très à la mode et les hommes adorent ça.
- adorent ça quoi ?
- la « totale » !
- ??
- l’épilation totale ! On enlève tout, tout simplement, comme ça l’esthétique est parfaite et Monsieur pourra se délecter de vos trésors, une petite minette sans poil vous allez adorer !
- Mais je vais avoir l’air d’une gamine !
- Peut être, c’est justement ce qu’ils adorent ! On y va ?
- Heu … et bien, si vous voulez.
- Alors, on va commencer par là. Je vais vous mettre une serviette humide et chaude sur le visage afin de vous détendre un peu, et maintenant laissez moi faire.
Elle pose alors sur mon visage un linge doux tiède et parfumé qui me tourne légèrement la tête et retourne vers mon bas ventre qui semble tant l’intéresser

Je sens ses mains glisser au long de mes jambes, lissant la peau sur les tibias, glissant autour des genoux, et déroulant leur geste jusqu'en haut de mes cuisses. Ses doigts entrent entrés en contact avec la dentelle du mini string léopard, à l'échancrure de la hanche. Elle a du se pencher un peu car je sens son souffle sur mon pubis à peine recouvert.
Un instant passe. Que fait-elle ?? Mes yeux sont couverts par la serviette délicatement parfumée et ne perçoivent plus rien. Seules mes pensées et les frôlements m’indiquent désormais ses gestes. J'ai maintenant fermé les yeux, décidée à me laisser faire et à me concentrer sur ces sensations tactiles qui sont loin de me laisser indifférente …
Peut être admire-t-elle le spectacle de plus prêt ?!! Deux pouces se glissent alors sous la minuscule dentelle africaine couvrant mes aines. Elle soulève l’ensemble et fait lentement glisser le fin tissu, découvrant progressivement mes premiers poils blonds, puis le cœur de mon mont de vénus un peu ébouriffé. Une pause. Je me surprends à retenir mon souffle. Décidément cette séance prend une drôle de tournure.
Le mouvement de descente de mon dernier rempart arachnéen se poursuit alors, mais se trouve bientôt entravé par mes fesses posées sur la couche. Les mains contournent alors mon ventre pour se faufiler sous mes pommes d’amour, les soulèvent à pleine paume, attrapent le fil de tissu, le fait basculer jusqu’au plis de la cuisse et se repositionnent sur mon aine.
Mon string est maintenant presque ôté. Seule la fine bande de tissu de l’entrejambe est resté coincée dans ma fente déjà humide. Elle tire encore sur le tissu et je sens le petit vêtement étirer mes petites lèvres, dévoilant ainsi un bref instant un peu du cœur nacré de ma vulve, jusqu’à ce que la tension soit telle qu’elle libère d’un coup mon cache sexe de fortune, faisant jaillir mes petites lèvres oblongues hors de la cachette humide de mes grandes lèvres.
Je sens alors le string tiré vers le bas le long de mes hanches.
Bientôt, le vêtement quitte mes hanches et roule sur mes cuisses, mes mollets. Sylvia me débarrasse alors complètement des quelques grammes de dentelle qui m'entravaient encore et repose mes jambes sur le matelas en les écartant bien davantage encore que tout à l’heure, lorsque j’étais sur le ventre.
Mon esprit anticipe le contact qui va forcément se produire. Les yeux à nouveau fermés sous mon voile parfumé, j'imagine la chaleur de la cire puis la douleur de l’arrachage …
Mais ce sont les poils humides et gorgés de savon d’un blaireau qui me caressent.
- Comme vous n’êtes pas habituée, je vais plutôt procéder à un rasage, nous ferons une épilation dans les règles de l’art la prochaine fois.
Elle entreprend d'étendre la mousse sur toutes les parties de mon sexe qui sont à sa portée. Elle se rend vite compte qu'il n'y parviendra pas si facilement dans la position qu'elle m'a fait adopter, et elle dépose son petit matériel pour me soulever à nouveau les reins et poser un traversin sous mes fesses. Elle repousse mes jambes vers ma poitrine, et m'indique en me prenant les poignets, de saisir et de maintenir mes genoux avec les mains.
Je l'entendis souffler doucement. Bien sûr, ma position offre une vue parfaite sur la partie inférieure de la touffe de poils frisés, quelle n'a pas encore touchée de son blaireau, se contentant de poser la mousse tout autour. Je me sens envahie d'une curieuse sensation, un peu comme si quelques milliers de fourmis avaient soudain entrepris un pèlerinage le long de mon pubis. J’imagine que ses yeux parcourent le profond sillon sombre qui fend en deux parties bien charnues ma vulve qui s’échauffe maintenant de plus en plus. Ce sillon se perd un peu plus loin, au-delà du petit espace hyper sensible du périnée, entre mes deux globes fessiers, au creux duquel elle doit découvrir mon œillet rectal entrouvert par la position. J’espère au moins que ma liqueur ne se devine pas encore sous la lumière chaude de la pièce…
.
- Restez comme vous êtes, ordonne-t-elle sur un ton devenu autoritaire. Vous devez vous rendre compte qu'il est moins dangereux pour votre ravissant coquillage de vous tenir tranquille. Tenez bien les jambes comme elles sont. Non, écartez les légèrement et maintenez les bien fermement. »
J'obéis, et ma peau fait entendre un léger bruit de succion en se décollant du skye du matelas. Je commence à transpirer. Le blaireau reprend son travail directement sur mon sexe, et je dois me mordre les lèvres sous l'abominable chatouillis. Je devine brièvement l'éclair de la lame du rasoir qui s'ouvre, et elle doit être horriblement grande, brillante et terriblement annonciatrice de dégâts irrémédiables. J'ouvre la bouche et la referme finalement. Je me mords la lèvre inférieure. Pourquoi suis-je en train de laisser cette fille me faire tout cela, aux dépens de mon indépendance en matière de « décoration intime » ?...
Elle entreprend de raser très soigneusement mon pubis, en commençant par l'extérieur, là où les poils sont plus clairsemés. Elle me fait rabaisser les jambes, et je me retrouve les pieds pendant hors du lit. Elle me les fait ensuite ouvrir, et je sens la paume de sa main libre peser sur ma hanche, tendant la peau de l'aine et dégageant bien les zones à attaquer. Je devine la lame glissant aux abords de mon ventre, en suivant la courbe selon laquelle celui-ci s'incurve en cet endroit. Elle passe à nouveau de la mousse, puis elle rase, à petits coups précis. Et elle passe d'un côté à l'autre. Elle dispose sans doute d'une serviette éponge sur laquelle elle doit essuyer régulièrement la lame du rasoir, y déposant savon et poils. D'un geste, elle me fait reprendre ma position initiale. Ainsi, comme elle me dispose, mes bras enserrant mes jambes, elle ne peut plus apercevoir qu'une infime partie de ma toison, dont la taille rétrécit à chaque coup de lame.
Lorsqu'elle parvient vers le milieu, je ne peux résister à une crispation de tout mon être. Elle fait alors quelques bruits de langue désapprobateurs, et je tente de me laisser aller. Je sais que le rasage va petit à petit lui révéler les détails de mon intimité, et que vraisemblablement cela va l'émouvoir. J'espère qu'elle continuera de tenir fermement sa lame ! Celle-ci glisse à grands coups plus francs, là où elle est déjà passée, ramassant ici et là une boucle oubliée. Je suis troublée, toujours bien décidée à serrer jambes et fesses pour ne lui dévoiler que l'extérieur de mon pubis, gardant secrets les replis de ma vulve. Elle fait voler les derniers reliefs de ma touffe, au centre du triangle, et elle glisse sur la légère bosse signant ma féminité, trace incurvée vers l'extérieur de ses formes internes. Je sens en sursautant un doigt reconnaître légèrement une peau enfin nue et lisse, s'assurant de la réussite de l'opération.

Maintenant, la courbe fine du sexe doit être complètement révélée. J’aimerais me voir avec ses yeux à elle, découvrir de l'extérieur de mon corps ces lignes que seul un miroir a jamais pu me divulguer. La position révèle certainement parfaitement le bourgeonnement de l'orifice, les plis de chair tendre protégeant le clitoris, les bords plus larges et colorés des lèvres. Je voudrais bouger, maintenant, toujours plus nue et sans défense, mais la lame demeure proche de ma chair.
« Ouvrez les jambes, et maintenez les bien. »
Je ne dois pas réagir suffisamment vite, car elle pense devoir être plus explicite.
« Ecartez les jambes en les tenant levées, il y a encore des poils plus bas... »
Autant aller jusqu'au bout. Je me laisse faire, et je sens bientôt ses doigts entre mes fesses. Elle entreprend de raser, à nouveau tout doucement, tout au long du périnée, jusqu'à l'anus. Le froid de l'acier à cet endroit me fait littéralement frissonner.
Désormais, ainsi ouverte, ainsi dénudée et davantage que nue, je lui offre « la totale ». Elle peut plonger son regard tout du long, du pubis jusqu’à mon cul, et admirer cette longue fente, cette « bouche » comme disent certains hommes, cette longue bouche verticale qui sait si bien parler, avec ses doubles lèvres... Une bouche qui, pourtant, ne s'ouvre pas de la même manière que celle de mon visage, une bouche dont les lèvres ne s'écartent que si je décide de les faire saillir. Là, tout de suite, elle ne peut encore voir que deux lèvres closes, barrage au désir de vue totale –sans doute- qui l'a fait manier le rasoir jusqu'à ce moment précis.
Je suis le ventre nu, mais fermée. Je souris sous ma serviette qui refroidie.
- maintenant, c’est déjà mieux ! dit-elle,
Je devinais qu’elle attendait que je lui offre un spectacle plus impudique, les lèvres ouvertes, offrant à chacun leur intérieur, plus pâle, plus mystérieux, mais je ne veux pas lui montrer de suite toutes les couleurs de ma chair, et je sers à nouveau les jambes, convulsivement.
Elle rit : vous savez que je vais vous « ouvrir» ?!
Elle reprend son blaireau et le rince dans le bol. Elle se met alors à le passer délicatement sur mon sexe, glissant jusqu'aux petites lèvres, montant et descendant du bourgeon au périnée, allant et venant sans discontinuer. Je tente de me contracter. Elle ne m'aura pas aussi facilement, pas après ce révélateur d'acier qu'a déjà été le rasoir. Je dois garder quelque chose pour moi.
- égoïste...
C'était sa voix, mais également une autre petite voix tout à l'intérieur de moi.
Je fonds.
Elle garde maintenant mes jambes dans le creux d'un bras, et je sens contre ma cuisse sa propre cuisse nue qui m’effleure, et elle me brosse avec minutie et délicatesse l'arête des petites lèvres et le capuchon du clitoris. Mon bouton d’amour est turgescent à éclater, je sens son volume s’amplifier et sa petite tête mauve tendre son cou avide de caresses. Je respire de plus en plus vite.
Alors, à mesure que le blaireau va et vient sur ma vulve électrisée, je sens mes fesses rouler vers l'avant et mon bassin basculer, précipitant sans retour tout mon sexe glabre vers une ouverture encore refoulée. Mes lèvres du haut se dessèchent et je les humecte de salive, et mes lèvres du bas se décollent imperceptiblement. Leur nudité parfaite doit lui montrer avec tous les détails, le plus infime de leurs mouvements. Je m'ouvre. Lentement. Implacablement. Irrésistiblement. Mes pétales vont être bientôt complètement écartés, lui offrant les corolles successives qu'elles sont censées protéger et dissimuler, les corolles pâles qui aiment tant le contact d'une langue, d'un doigt, d'une verge, et qui se plissent au seul contact d'un regard...
Je suis maintenant complètement écartée.
- encore, dit-elle …
Elle avance alors une chaise à ma gauche et une autre à ma droite, au niveau de mon bassin à un mètre de ma couche de suppliciée. Sa main attrape ma cheville gauche, et la pose sur le dossier de la première chaise. Elle enlace alors ma seconde cheville et commence à l’écarter en direction de la seconde chaise. Elle le fait lentement, consciente que ma grande souplesse, qu’elle a pressentie, l’autorise, mais que les muscles vont résister.
Ils résistent peu en définitive, le grand échauffement de tous mes sens a été communicatif, tout mon corps et tout mon être est concentré vers le but qu’elle me fixe.
Mon grand écart est maintenant à son maximum. Je suis maintenant complètement écartelée, mon pubis parfaitement lisse et proéminent saille outrancièrement au-dessus de mon ventre creusé, mes grandes lèvres distendues par la tension de mes adducteurs ont presque disparu dans l’étirement de la position. Elles ne cachent plus rien de mes petites lèvres, un peu longues et dentelées, qui pendent à l’extérieur de ma vulve, pauvres remparts pourpres et inutiles ne pouvant plus me protéger de rien. En leur centre, un volcan profond et mauve, découvre son cratère encore étroit. Mais je ne me retiens plus. Les muscles de mon vagin cèdent et se relâchent, mes chairs se disjoignent et préparent l’irruption imminente.
Et moi, de l'intérieur, maintenant je pousse comme pour déplier ma vulve vers l'extérieur, comme pour exhiber tous les replis de mon sexe, tous les replis de mon être aussi... Je veux renverser les rapports de l'intérieur et de l'extérieur. Mon ventre suit le rythme et mes reins commencent à se mettre en mouvement par longues ondulations. Mon sexe est désormais béant comme une bouche qui s’ouvrirait sur une verge à engloutir, et sa lave luisante remonte en spasmes magmatiques de mes entrailles, explose en jets pyroclastiques et commence à sourdre en de longues coulées visqueuses et brûlantes sur mon anus à vif et le plastique noir de la table où je suis crucifiée par l’attente.

Elle s’appuie plus fermement sur mes genoux.
Je m’entends murmurer...
« Viens... viens... » …

Maxime
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