Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°937)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°937) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°937)
Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°937) –
A la suite de ce déjeuner succulent, il faut l’avouer, n’ayant pas eu droit à la bouillie des soumis mais au même et succulent repas que le Châtelain. Repas coupé en morceau pour que je puisse l’ingérer dans ma position de chienne. Puis le Maître me reconduisit dans mon Cachot, m’intimant l’ordre de me reposer jusqu’au lendemain matin, et cette fois-ci, je n’eus aucun mal à m’endormir… et, de plus est, si heureuse … ! Chaque Cachot possédait une lucarne en soupirail donnant sur l’extérieur. Lorsque je me réveillais, la nuit était tombée. J’avais donc dormi longtemps, même s’il me restait encore quelques heures avant qu’on ne vienne me chercher. D’un coup, les nuages qui peuplaient le ciel s’écartèrent, laissant apparaître une magnifique pleine lune, dont la lumière tomba sur moi. J’eus l’envie irrépressible de me prosterner, en pensées devant le Maître, ne le pouvant pas, je le fis devant la lune, et je laissais couler mes larmes. Ce week-end avait été très intense, remplis d’épreuves, d’émotions, et de la plus belle récompense ! Après être restée ainsi un long moment, remerciant la Destinée qui m’avait menée jusqu’ici, remerciant de toutes la force de mon âme, Monsieur le Marquis, espérant qu’elle serait assez forte pour pénétrer Ses songes pour qu’Il puisse m’entendre, je décidais de me recoucher, en chien de fusil, et étrangement, je me rendormis très facilement… Cette nuit-là fut peuplée de rêves érotiques de soumission tous autant intenses les uns que les autres …
Les jours passèrent, se ressemblant, mais sans jamais être banals, sans jamais être monotones. Le matin, Walter venait me chercher avec mes sœurs de soumission. Nous prenions notre douche, puis il nous amenait aux cuisines pour le repas des soumis sous les ordres sévères de Marie la cuisinière. Ensuite, nous étions chacun affectées à des corvées, jusqu’à l’heure de retrouver le Maître pour la partie « professionnelle », souvent entrecoupée par Ses exigences, d’une nature ou d’une autre. Puis à la fin de la journée, entre corvées et dressage, et le retour au Cachot… Jusqu’au jour où le Châtelain organisa une réunion de travail qui semblait de la plus haute importance. Il voulait connaître la faisabilité d’un projet : La rénovation d’une aile du Château qui ne servait plus depuis longtemps. Il donna quelques précisions sur le type de matériaux qu’Il voulait, sur les délais, la nature même du projet n’avait pas été révélée pour l’heure à nos petites personnes mais à voir les personnes présentes, nulle doute qu’il s’agissait d’un objectif pharaonique ! Il y avait, en effet, des banquiers, des financiers, des architectes et des corps de métiers du bâtiment et de décorations intérieures (tapissier, restaurateur du patrimoine ancien, peintre de fresques, etc…) Donc sans encore dire ce qu’Il ferait de cette immense espace, il nous parla plus du financement, du budget à investir, ce qui me donnait le tournis aux vertigineux chiffres annoncés à investir dans son projet. Puis, il annonça à tout Son personnel qu’Il allait partir en voyage, sans savoir le temps que cela durerait, ni s’Il partait seul ou non. Clôturant cette réunion pleine de mystères, Il sortit, nous laissant travailler. Avec ma spécialisation en comptabilité, je devais m’occuper de tout le côté financier. Parmi ceux qui se trouvaient là, il y avait aussi, comme moi, des soumis ayant une spécialité pouvant être utile, comme charpentier, carreleur, marbrier, …, des employés normaux, mais connaissant le mode de vie du Marquis, et ce que je ne pouvais me douter, c’était que parmi eux il y avait des personnes soumises mais également Dominantes, dont le chef de projet, Monsieur Whip. Celui-ci portait bien son nom car il maniait à la perfection le fouet. Le téléphone de plusieurs d’entre nous, tous soumis sous le joug du Châtelain, sonna, nous indiquant que nous devions travailler, mais avant tout satisfaire les personnes Dominantes présentes, quelque soit ce qui nous serait exigé. Monsieur Whip m’appela, et me demanda de le suivre dans une pièce attenante. Il m’ordonna d’enlever les vêtements que je portais, pour l’occasion de la réunion professionnelle, suite aux exigences du Maître.

- Bien petite chienne ! Tous ceux qui sont entrés dans un des Cachots de ce Château sont passés sous mon fouet. Monsieur Le Marquis est un ami avec qui je travaille depuis longtemps, et Il aime visiblement les dessins que je laisse sur la peau de Ses femelles. Alors je vais te faire prendre les positions que j’exigerai, et je veux que tu te taises ! Je ne veux pas entendre le moindre son de ta part.

Il commença par m’attacher les bras à un anneau accroché à une poutre du plafond, mes pieds touchaient à peine le sol. Je me préparais déjà à ressentir une vive douleur lorsque je le vis armer son bras. Mais à ma grande surprise, les coups étaient légers et ne marquaient pas. En fait, ils étaient très excitants. Monsieur Whip tournait autour de moi, et aucune parcelle de mon corps n’était épargnée. Il avait une manière de manier son instrument qui commençait à me rendre folle, folle d’excitation, folle de désir. Je mourrai d’envie de le supplier de me prendre. Je tenais à peine sur la pointe de mes pieds, mais j’arrivais pourtant à bouger mon bassin, à « danser » pour essayer de l’appeler à me baiser. Quand il revint en face de moi, il s’interrompit, me regarda dans les yeux tout en glissant ses doigts entre mes cuisses.

- Humm, bien, tu es trempée ! Lèche mes doigts, nettoie les biens, et ne me quitte pas des yeux !

J’obéissais. J’avais l’impression qu’un lien commençait à se tisser entre nous, mais je n’aurai pas su le définir. J’étais comme hypnotisée. Monsieur Whip s’éloigna et arma de nouveau son bras, après m’avoir embrassée langoureusement, je dirai même embrasée ! Et le fouet recommença à tomber, beaucoup plus sec, cinglant, et véritablement marquant. Mais la douleur ne m’impactait pas tant que ça, les coups préliminaires m’avaient comme anesthésiée, et tellement surexcitée que je l’aurai presque réclamée ! Je me laissais totalement allée à la morsure du fouet. J’avais perdu la notion du temps. Il me détacha et me mit en position prosternée, mais au lieu d’avoir les bras tendus en avant, il me les mit en croix. Et il continua à jouer de son instrument. Et enfin, il me fit mettre sur le dos, jambes repliées et écartées. À part quand j’étais attachée à la poutre, il ne m’attacha plus, m’intimant juste l’ordre de ne bouger sous aucun prétexte. Quand il eut fini, il me releva doucement, ne me laissant pas la possibilité de me mettre à genoux, il me tira vers le haut pour que je reste debout. Il m’entraina vers un coin de la pièce et ouvrit un pan en bois, à l’intérieur duquel se trouvait un trépied de miroirs. Il les plaça de telle manière que je pus me regarder sous tous les angles. Et je dois avouer que mon corps était magnifique ! Monsieur Whip capta mon regard dans un des miroirs, et je ne pus m’empêcher de verser quelques larmes. Ses mains ne me maintenant plus, je me laissais glisser au sol, à genoux, tête baissée, pour le remercier.

- Ce travail est aussi endurant pour le Maître qui s’y emploie que pour la soumise qui subit. Viens, suis-moi !

Et alors que je me plaçais en quadrupédie, une nouvelle fois, il me releva et me prit par la main pour me conduire au travers des couloirs du Château, jusqu’aux chambres. Il en ouvrit une, la sienne car il venait de loin, et nous entrâmes. J’étais toujours nue. Il me conduisit jusqu’au lit.

- Après une telle séance de marquage, j’aime faire l’amour à la soumise qui s’est donné à mon fouet !

Encore sous les effets excitants des coups préliminaires que j’avais reçu, toujours ce sentiment d’hypnose, de l’existence d’un lien entre nous, il fit ce qu’il avait dit. Je crois bien que je n’avais jamais ressenti autant de douceurs, de tendresse, avec un inconnu. Jamais je n’avais ressenti quelque chose d’aussi intense du temps où j’étais mariée. Seules les relations avec le Maître, quand il voulait me récompenser, étaient supérieures à ce que j’étais en train de vivre. Nos ébats durèrent une grande heure. J’étais émerveillée par le pouvoir de ce Maître du fouet… Je ne pensais pas pouvoir aimer et désirer des coups de fouet. Je venais de vivre une expérience véritablement exceptionnelle ! Il sortit du lit et se tint près de moi
- Bien, maintenant que j’ai eu la femme, je veux revoir la chienne. Alors sors de ce lit, qui n’est en aucun cas ta place, et place toi à quatre pattes à mes côtés.

Après que j’eus obéi, il saisit ma laisse qu’il avait enlevé avant que nous nous accouplions en de torrides ébats, et la replaça sur mon collier. Puis donnant une impulsion sur celle-ci, il me ramena, nue dans la salle de réunion. Visiblement, je n’avais pas été la seule à avoir dû satisfaire un Dominant présent à la réunion. Il y avait quelques personnes habillées, et plusieurs nues comme des vers. Un Dominant frappa dans ses mains afin d’attirer l’attention de tous ceux présents.

- Bien, maintenant que cette longue « récréation » est terminée, remettons-nous au travail. Notre Hôte attend des résultats rapides. soumise Aphrodite MDE, de ton côté, c’est la partie financière qui t’incombe. Retourne donc dans le bureau qui est mis à ta disposition, et prépare la situation financière actuelle. Nous te transmettrons les devis, et tout ce qu’il te faudra pour que tu puisses indiquer à Monsieur le Marquis la faisabilité du projet financier. Tu repars évidemment à quatre pattes, sans vêtements !

Je saluais les personnes présentes. Un homme, dominant au vu de ses vêtements, m’ouvrit la porte et me claqua les fesses lorsque je passais devant lui. Je frappais à la porte du bureau du Maître. Sur Son injonction d’entrée, je poussais la porte et allais me prosterner au centre de la pièce.

- Eh bien, eh bien ! Tu m’as l’air bien « dessinée » ! Lève-toi et tourne sur toi-même, tête baissée, afin que je regarde l’œuvre de mon ami.

Il m’observa longuement. Les marques du fouet avaient perdu toutes leurs boursoufflures, et les marques étaient bien visibles.

- C’est vraiment magnifique ! Avant que ces traces ne disparaissent, tu vas me suivre dans le petit salon, qui est bien éclairé. Un photographe attend pour immortaliser ces dessins, et j’en suis sûr, les émotions fortes que tu auras ressenti entre les mains de mon ami.

Le photographe me fit prendre plusieurs poses. Il était exigeant, et à son ton, je me demandais s’il n’était pas également Dominant. Le Maître s’était assis dans un fauteuil confortable dans un coin de la pièce. Je sentais Son regard posé sur moi, et j’avais du mal à me concentrer sur les directives du photographe. Quand il s’arrêta de me mitrailler et commença à ranger ses accessoires, le Châtelain se leva et s’adressa à lui.

- Mon ami, je vous laisse ma chienne pour vous remercier. Faites-en ce que vous voulez !

Et il partit. Le photographe ne fit aucunement attention à moi le temps qu’il rangeait. Je m’étais mise en position d’attente, à genoux, près du canapé où il avait pris quelques clichés. Quand il eut fini, il s’éloigna le plus loin possible de la pièce, et m’ordonna de le rejoindre en rampant. Je m’exécutais, essayant de rendre ma démarche reptilienne aussi gracieuse que possible, mais c’était un exercice que je n’avais encore jamais pratiqué. Et visiblement je ne devais pas réussir à faire ce que je voulais, car les rires moqueurs de l’homme m’accompagnèrent jusqu’à ce que je sois à ses pieds.

- Bien, je dirais à Monsieur le Marquis que Sa chienne a besoin d’un sérieux entrainement ! Maintenant à genoux, et occupe-toi de ma queue, qui commence à se sentir à l’étroit !

Je me mis à genoux, et je commençais à défaire la ceinture de son pantalon, ouvrit le bouton, et j’allais descendre avec mes doigts sa fermeture éclair, quand il m’arrêta.

- Non, pas avec les doigts, avec les dents !

J’obéis donc, et poursuivis jusqu’à ce que son sexe soit libéré. Je m’employais alors à lui faire une divine fellation. Si, lorsque le Maître m’avait pris sous Son joug, c’était une pratique qui m’était quasiment inconnue, j’étais devenue plutôt habile dans cet exercice, et effectivement le photographe ne tarda pas à se vider dans ma bouche.

- Je suis pressé, je ne m’occuperai donc pas de toi comme je l’aurais voulu si j’avais eu plus de temps ! Mais ce sera pour une autre fois, peut-être !

Et il partit sans plus un mot. J’attendis de ne plus entendre le bruit de ses pas dans le couloir, et je me dépêchais de retrouver le Maître dans Son bureau. A Son sourire, je compris, que je l’avais satisfait. Il m’ordonna de me m’être au travail. Je travaillais donc toute la semaine sur les comptes, les bilans, avec les devis que m’envoyaient les différentes personnes qui allaient intervenir sur le projet du Châtelain. Le vendredi soir, alors qu’Il me faisait venir à quatre pattes à Ses pieds, comme chaque jour, pour avoir un compte-rendu de mon travail effectué durant la journée, je pus Lui confirmer, après lecture des énormes financements acquis, que Son projet était réalisable, du moins pour les informations que nous en avions, ne sachant toujours pas exactement ce que voulait faire le Maître de cette aile du Château.

- Bien ! Ce que tu m’annonces me réjouit ! Hummm, il n’y a pas de vacances scolaires de prévues avant un mois, tu vas donc pouvoir m’accompagner et m’être utile en tant que secrétaire particulière, sans être sur une période où tu pourrais avoir tes filles à garder ! C’est bien, je vais donc préparer tout ce qu’il faut. Maintenant va rejoindre Walter pour les corvées du soir !

Et il sortit, me laissant sur ces mots énigmatiques. Même lorsque je gardais mes filles, depuis la villa qu’Il voulait bien me laisser occuper, je continuais à travailler. Alors pourquoi voulait-Il que je sois libre de toute autre obligation pendant un mois ? Je décidais de ne pas trop me poser de questions, et de ne pas traîner pour rejoindre le Majordome, afin de ne pas mériter de sanction, après une journée qui avait été assez longue, voulant à tout prix boucler mon travail avant le week-end pour satisfaire au mieux le Maître...

(A suivre …)

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