Titre de l'histoire érotique : Terma-8- Suite avec deux blacks

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Terma-8- Suite avec deux blacks Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Terma-8- Suite avec deux blacks
Et effectivement, l’étudiant est venu me voir vers dix heureux, alors que je sommeillais encore. J’étais repu de sexe, de zob et de sperme et mon corps continuait à gouter les plaisirs des sodomies d’hier et de la nuit. Mon ami étudiant m’a informé qu’il sera absent pendant dix jours de congé et qu’il fallait que je lui rende sa clé. Alors, je lui ai dis que j’avais un dossier, une étude difficile, à finaliser et que sa chambre était l’endroit rêvé pour faire ce travail, dans la tranquillité de la cité. Je ne suis pas sûr qu’il m’ait cru, mais il a accepté, pensant peut-être à un rendez vous avec une fille. En me confiant sa clé pour les dix jours, il m’a conseillé de faire attention et de ne pas trop me faire remarquer dans la cité.
Moi, je pensais que j’allais, peut être, user de cette chambre avec mes amis blacks, juste pour le week end. Je pensais, déjà, que Djaffar et Sousou seraient de retour, dans la semaine et que mes besoins sexuels seraient aussi de retour avec eux. Et j’ai patienté durant plus de deux longs jours, mais j’ai attendu pour rien. Alors que ma terma commençait à me démanger et réclamer des zobs, je ne pouvais qu’essayer de revoir mes deux blacks. Heureusement, ils m’avaient informé sur l’hôtel ou ils logeaient.
Lors, j’y suis allé en fin de soirée pour voir s’ils étaient libres. Notre rencontre a été très joyeuse. Ils m’ont présenté à leurs trois autres compagnons de chambre, comme responsable social, mais je voyais bien que les autres n’y ont pas crus, car ils me lorgnaient avec avidité et soupesaient mon derrière.
Je voyais bien que tous avaient une bosse bien visible et qui gonflait à vue d’œil, au niveau de leurs braguettes. J’étais sûr qu’ils bandaient à fond sur moi. Alors, je suis rapidement sorti avec Moussa dans la rue. Ensuite, et à ma demande, Moussa m’a confié que lui et Keita pouvaient se libérer seulement en fin de journée. Donc, on s’est donné rendez vous pour le lendemain soir, dans la chambre de mon ami étudiant. J’étais affamé de zobs depuis trois jours et je crois qu’eux aussi étaient avides de ma terma.
Ma dernière expérience avec deux gars noirs et quatre pénétrations a été une révélation pour ma personnalité presque totalement dépendante des désirs de mon cul. Mais j’avais encore le choix des partenaires et du lieu. Je voudrais refaire la même mais dans un lieu plus confortable et plus sur, par exemple dans une chambre d’hôtel ou dans un appartement. Et puis on pourra faire l’amour toute la nuit et dans des positions variées et à poil.
Alors je me suis débrouillé, grâce à un copain étudiant, la clé de sa chambre à la cité pour un ou eus, car j’avais un rapport à finaliser. Cet ami allait souvent chez ses parents pendant le week end. Ainsi j’avais la chambre, au moins pour la journée complète du lendemain, avec mes deux amants blacks. Le matin, j’ai pris avec moi, dans un cabas, deux draps, une couverture et deux grandes serviettes de bain, car je ne voulais pas salir les effets de mon ami étudiant.
Puis, je suis allé au rendez-vous près des WC, ensuite, je les ai amenés à la chambre de la cité. On a aussi acheté quelques nourritures, des boissons et des suppositoires quoique jusqu’à maintenant je ne me suis jamais soucié de ce problème de protection. C’est Moussa qui m’a dit de faire cette expérience et de m’en servir le cas échéant.
Heureusement, jusqu’à maintenant, je n’ai eu aucun problème, peut-être que mes amants étaient sains puisque je baisais sans protection. Moi, je n’aime que les sodomies directes, chair contre chair et qui me ma terma exige cette sensation des zobs directs sur son anus et ses entrailles. Et j’aime aussi la sensation des jets de sperme et sa chaleur dans mon sphincter et vers mon ventre. C’est donc un problème à étudier les prochaines fois. Pour aujourd’hui je sais que mes amis sont sains, ou du moins, mes anticorps les ont acceptés avec jouissances.


Dans la chambre, on s’est mis tout de suite à poil puis on a pris des douches pour s’amuser et s’exciter. Ils voulaient connaitre tout mon corps en entier, pas uniquement mon derrière et mon cul. Moi aussi, je désirais les voir à poil, quoique ce soient leurs zobs qui retenaient toute mon attention et celle de ma terma. Ils m’ont lavé ensemble en insistant sur mes parties charnues et du doigtage au cul à gogo. Mais ils se sont aussi intéressés à mes sains, à mes cuisses et même à mon sexe.
Moi je ne me suis pas privé de les branler ensemble et de leur faire des sucettes, ce qui a mené leurs bites à se gonfler, s’allonger et durcir à poing. Puis en sortant de la douche, Keita, excité à fond, s’est collé à mon dos, en me poussant avec son zeb entre mes fesses et ses mains pelotant mes seins. Arrivés au lit, j’étais déjà tellement excité que mon cul commençait à mouiller et dès que je me suis accroupi, mon copain s’est pointé derrière moi et sans crier gare m’a pénétré en force avec sa grosse queue toute chaude et dure, pleine de désir. Je lui ai dis en français : « deux jours seulement et tu es affamé de mon cul ! teremti a ensorcelé ton zob, mon ami ! vas-y ! bourres la ! frottes la !»
( youmen faqat ! t’wa7achet qari ! teremti sahar’t zebek ! ya sahbi ! a’g3arha ! houkou l’ha !) Puis me tenant par les hanches, il m’a besogné avec des coups de reins puissants. Son zeb pénétrait au fin fond de mon cul et frottait mes parois avec délice. Je commençais à souffler et à gémir de plaisir pendant que je l’entendais lancer des grognements de bête fauve, ce qui augmentait mon désir.
Je m’ouvrais à fond et tortillais du cul pour sentir totalement les mouvements de son zeb qui semblait ainsi faire vibrer mon derrière. Et au bout d’un certain nombre de vas et viens, il se colla à moi avec force et vida le sperme de ses couilles par une dizaine de jets brulants dont je sentais les coups dans le fond de mon cul. Puis il se retira et je me suis effondré sur le lit. J’ai remarqué qu’on avait oublié de mettre les préservatifs qu’on était sensé expérimenter, quoique inutiles dans notre cas.
Je restais couché à plat ventre sur le lit en essayant de reprendre mon souffle. Ma position tentatrice, le cul ouvert et luisant de sperme et les fesses blanches et rondes ont du exciter Moussa. En vitesses, il se coucha sur mon dos. Il fouilla entre mes fesses avec ses doigts et trouvant le trou de mon cul, il plaça son zob dans le sillon de mes fesses et frotta quelques instants. Moi, j’étais déjà ouvert et lubrifié, alors sa grosse bite glissa immédiatement à l’intérieur de mes entrailles.
J’ai légèrement soulevé mon derrière en écartant encore plus les cuisses pour lui nous permettre une pénétration bien pénétrer à fond jusqu’aux couilles. Son bas ventre et ses poils me chatouillaient et le poids de sa poitrine sur mon dos me donnait la sensation de possession complète. J’étais à lui totalement, à son corps, à son zob et ses coups de reins rageurs.
Il me besogna longuement et avec force, son zob glissait aisément. Malheureusement, ses vas et viens ne m’ont pas donné autant de plaisir qu’avec Keita, peut-être à cause du reste de sperme de ce dernier dans mon cul. Par contre, Moussa a réussi et chauffer son zeb suffisamment, car au bout d’une quinzaine de vas et viens, il se bloqua et m’envoya son jus au fond de mes intestins, en complément du sperme de Keita. Je me sentais totalement inondé et j’avais hâte d’aller me laver. Trop pressé, Moussa m’a fait rater cette sodomie, bien différente de celle de Keita. Alors, je l’ai poussé avec mon derrière pour me dégager.
Il se releva, moi aussi et je l’ai regardé avec déception. Il m’a compris et s’est excusé. Il m’a expliqué sa hâte en m’avouant que l’image de mon gros derrière, de ma blanche terma et de mon cul luisant de sperme, bien exposés sur ce grand lit, l’avaient affolé. J’étais prêt à lui pardonner si sa prochaine sodomie sera à la hauteur de mes espoirs. Puis je suis allé me laver dans le petit cagibi faisant office de salle de bain, avant de les rejoindre à table qu’ils avaient garnis de nourritures et de boissons. Nous étions entièrement nus et nous avons commencé à manger et à boire.


A coté de moi je voyais la longue et lourde queue de Keita, allongée mollement sur ses cuisses, alors poussé par du désir, je me suis levé pour m’assoir sur ses genoux. Aussitôt, la queue de Keita se logea entre mes fesses et chatouillait mes cuisses par-dessous. J’ai écarté les jambes, et je voyais le gland et une petite partie de sa longue queue dépassait.
Je pouvais y avoir accès, alors, j’ai commencé à lui caresser le gland et lui donner quelques légères tapes par-dessous. Puis je faisais osciller légèrement, à droite et à gauche, mes cuisses sur sa bite. Rapidement, je sentais sa queue se réveiller et durcir entre mes cuisses et mes fesses. Alors, je me suis légèrement soulevé et j’ai réussi à la mettre totalement entre mes fesses et je me suis assis dessus, à tel point que j’ai senti son gland exactement à la hauteur de mon anus.
Alors, pour finir mon programme, tout en continuant à manger, boire et discuter, je me suis soulevé un peu, et j’ai réussi à placer son zob dans le trou. Ensuite, j’ai poussé doucement, doucement jusqu’à ce que cette merveilleuse queue ouvre mon anus et pénètre de tout son long, tout au fond de mon cul. Comme chaque fois, dans cette position, j’étais entièrement en extase, bien calé sur cette grosse bite qui me remplissait totalement.
Je suis resté un bon moment sans bouger, goutant ce tronc dur mais si doux, en même temps, au fond de moi. Je ressentais sa force, cette bête qui frétillait et se gonflait de plus en plus. Elle avait faim, elle était affolé de désir et essayait de bouger, alors je l’ai aidé en tortillant légèrement du derrière. Mes mains sur la table, assis sur le zob de mon ami, j’ai joué du cul et des fesses et j’étais heureux.
Mon ami Keita, le timide, avait gardé son calme apparent pendant toutes mes manœuvres mais maintenant il commençait à souffler, alors, me tenant fortement par les hanches, il commença à me faire sauter sur son zeb. Il me soulevait légèrement puis me laisser tomber sur sa queue jusqu’au fond, c’était merveilleux, mon cul coulait et je haletais de désir.
Je voyais son copain Moussa qui souriait et dont le zob commençait à branler en face de nous, sous nos yeux. Cette image de son gros zob gonflé au vertical et qu’il branlait doucement a augmenté notre plaisir et, rapidement, trop rapidement, Keita libéra son sperme par jets puissants au fond de mes entrailles.
Je criais de plaisir. Je suis resté quelques instants sur ses cuisses pour mieux gouter son sperme chaud et sa queue dans mon cul, puis je me suis levé. Puis, je me suis courbé sur sa queue pour la nettoyer. Je l’ai sucé, léché et lavé pour avaler les derniers restes de son sperme. J’étais courbé sur le sexe de Keita, soudain j’ai senti une autre queue dure plonger dans mon cul. C’était Moussa, incorrigible, qui encore une fois, à la vue de ma position courbée et avec le cul en l’air, n’a pas résisté à ses instincts. Excité à fond, et au lieu de finir de se branler, il a préféré m’enfoncer son zob dans le cul bien lubrifié, et malgré le sperme qui coulait e mon anus. Ca devient une habitude chez lui. Mais que pouvais-je faire avec un gros zob affamé et excité par ma terma bien exposée.
Rapidement, j’ai fini de nettoyer le zob de Keita qui est allé ensuite se laver un peu mieux. Et, toujours penché, et pour vite liquider cette pseudo-sodomie, j’ai tortillé du derrière pour accélérer le plaisir du zob de Moussa. Rapidement, comme la première fois, il a vite éjaculé mais, dès la première rafale, je l’ai repoussé pour le sortir de mon cul et, me retournant rapidement, j’ai englouti sa queue pour profiter de son jus dans ma gorge et non dans mon cul qui n’en avait pas besoin. Et j’ai réussi à avaler le maximum de sperme.
J’ai aimé le gout du sperme mais chaque fois c’est ma terma qui en bénéficiait. Alors, maintenant, je continuais à sucer le zob de Moussa pour lui extirper tout le jus de ses couilles. Sa queue trépignait dans ma bouche et projetait son jus sur le fond de ma gorge. C’était vraiment agréable, ce gout chaud, visqueux, vivant et très prolifique dont ma bouche semblait gourmande.



Enfin, il s’est arrêté de juter, mais j’ai continué à le nettoyer. Moussa, d’un air désolé, m’a regardé pour s’excuser encore une fois, mais je l’ai rassuré car je voulais son sperme dans la bouche et non dans ma terma et nous avons réussi. Alors il a souri de toutes ses dents et m’a remercié en promettant qu’il en avait encore, de la vigueur et du sperme. Puis on a rejoint Keita dans la salle de bain.
On avait fini de manger et on semblait être rassasiés de sexe. Pour ma part ces quatre coups m’ont physiquement épuisé mais mon cul qui s’est bien ouvert pendant cet exercice était toujours affamé, d’autant plus que Moussa ne m’a pas sodomisé comme il convient à ma terma.
Puis Moussa m’a demandé les raisons de ma bite qui bandait toute seule quant je me faisais sodomiser dans certaines positions. Je lui ai expliqué que ce sont les excitations et les satisfactions de ma terma qui amenaient ma bite à se raidir. Les sensations de leurs zobs dans mes entrailles faisaient bander ma bite. Peut-être seulement si je fais le jeune sexuel deux ou trois jour d’affilée, ma bite accepterait de se réveiller en me masturbant. Mais le véritable moteur de mon sexe, c’est ma terma sans hésitation.
Alors il m’a proposé de faire une autre expérience, sans ma terma, pour me faire bander et éjaculer. Il m’a couché sur le dos puis il a pris ma bite, toute molle, pour la lécher, la sucer et la branler pendant plusieurs minutes, sans succès. Je n’avais pas la tête à ça. Il a demandé à Keita de prendre sa place pour me branler, mais sans résultat probant. Je lui ai répété que c’est par ma terma que ma queue gonfle.
Alors, on a immédiatement fait une autre expérience. Moussa s’est couché sur le dos, puis il s’est un peu branlé et m’a demandé de l’aider. Je l’ai un peu sucé et branlé et rapidement, la queue de Moussa s’est mise à la verticale et frémissait de désir. Alors, Moussa m’a demandé de m’assoir sur sa queue et en lui tournant le dos, comme il m’a vu faire cela auparavant avec Keita.
Accroupi sur le torse de Moussa, j’ai ouvert mon cul et son zob m’a pénétré facilement. Puis il a demandé à Keita de s’agenouiller face à moi et de prendre ma queue dans sa bouche. Ma bite était molle et moi sans aucun désir. Puis Moussa commença à me baiser doucement, il me demanda de me concentrer non sur ma bite mais sur sa longue qui me fouillait le cul. J’ai fermé les yeux, sans m’occuper de Keita qui me suçait et me branlait et j’ai fantasmé, comme d’habitude, sur ma terma et ses sensations de plaisir. Aussitôt tout a démarré, mon cul répondait facilement.
Keita me branlait avec sa bouche et ses mains, ma queue s’etait redressée sans que je me rende compte et du plaisir commençait à chatouiller mon bas ventre et mes couilles. Au bout d’un moment, j’étais dans un état de désir si intense que, des deux cotés, je coulais et rapidement le désir de ma bite commençait à monter. Je l’ai dis à Moussa sur le quel j’étais assis, alors il a accéléré ses vas et viens et chaque fois qu’il m’enfonçait sur sa bite, ma propre queue semblait presque à faire jaillir son plaisir.
Effectivement, cinq ou six coups de ce genre et Moussa éclata dans mon cul, salves puissantes et chaudes qui ont rejaillies sur ma bite qui s’est déclenchée elle aussi en évacuant dans la bouche de Keita mon propre jus. Je n’ai jamais eu un plaisir, un jaillissement aussi fort, aussi étourdissant. Je criais et je tenais la tête de Keita pour la plaquer sur ma queue afin de vider au maximum mon plaisir. Je sentais mon cul totalement ouvert et plein de zob de Moussa et de son sperme. C’est aussi une sensation devant-derrière formidable. Moussa a eu, enfin, la sodomie que je voulais et s’est réconcilié avec ma terma exigeante.
Puis on s’est dessoudés et je restais étourdi sans pouvoir prononcer un mot. Au bout d’un moment j’ai repris mes esprits et regardant mes deux copains qui rigolaient, je leur ai souri en les remerciant de cette nouvelle expérience.



J’étais tout de même étonné que Keita, qui m’avait déjà baisé aujourd’hui et l’autre jour, se soit prêté à me sucer et me branler puis d’avaler mon jus. Alors Moussa m’a expliqué que son jeune ami était mixte, c'est-à-dire qu’il baise parfois mais donne aussi son cul le plus souvent. D’ailleurs m’a-t-il avoué, Keita faisait fonction de femme pour Moussa quant ils sont seuls. J’étais surpris mais après tout pourquoi pas ! le plaisir est total et devant ou derrière le désir est commun.
Alors je me suis surpris à jeter des coups d’œil indiscrets sur les fesses et le cul du jeune Keita. Moussa, comme un renard, a remarqué mon manège, alors il m’a proposé, si j’avais encore des possibilités d’essayer le cul de son copain. J’étais totalement surpris, alors il m’a encouragé en demandant au jeune de réveiller mon zeb, encore une fois. Je crois que ce sera très difficile, sinon impossible.
Je me suis allongé de dos sur le lit et le jeune a commencé à me branler, sucer, lécher et secouer la queue. Au début j’étais froid et je regardais bêtement l’un et l’autre, j’étais gêné. Alors Moussa s’est éloigné vers a la salle de bain et cela m’a permis de me concentrer sur ma queue. Effectivement, Keita avait une technique qui forçait et secouait ma bite avec vigueur, puis il l’avalait en lui effectuant des sussions prolongées dans sa bouche si chaude et douce. Sa langue commençait à me faire de l’effet, et après une dizaine de minutes, il a réussi à réveiller ma bite et je la sentais se gonfler et se durcir. Keita, nu, m’a tourné le dos exprès pour me montrer son derrière puis il s’est assis sur ma bite qui s’est rapidement logée dans son cul. Je voyais, face à moi et pour la première un large cul noir, luisant même mais si lisse et beau et mon zob qui ouvrait sa rondelle.
Pendant que je l’activais avec mes coups de reins et qu’il m’était avec ses mouvements de ses fesses, je distinguais, parfois, une partie de l’intérieur de son anus qui était rouge et cela m’a excité encore plus. J’ai pensé à la vulve rouge des filles que j’ai eues autrefois et cette pensée m’a complètement libéré. J’ai tenu fortement ses hanches et en me soulevant parfois et alternativement je l’ai aidé dans ses vas et viens jusqu’à ce que j’ai senti mon bas ventre frémir et rapidement j’ai vidé mes couilles dans son fond.
Il s’est baissé encore plus sur mes cuisses et j’avais face à moi un large cul bien rond duquel pulsait un long filet de sperme. Alors, j’ai retiré doucement ma queue et j’ai bien observé ce trou de cul effectivement bien ouvert, rouge à l’intérieur et brillant de sperme. Mon sexe s’est ramolli et s’est couché sur ma cuisse.
Sincèrement, mes anciens désirs de baises féminines me sont totalement revenus et j’ai même pensé que le cul de ce jeune me semblait plus doux que la vulve de mes conquêtes. C’est étonnant et bizarre mais c’est une expérience que je ne regrette pas du tout. Je suis même prêt à la recommencer sans pour autant priver mon propre cul de ses appétits. Les exigences de ma terma chérie sont prioritaires. Enfin, on s’est désunis, puis on s’est lavé dans la salle de bain. Puis on s’est réuni pour une synthèse de cette expérience.
J’ai fait mes remarques à mes deux amis sans rien cacher et je fus étonné de constater qu’ils étaient totalement d’accord avec moi. Même mon souhait de refaire ce genre d’expérience a été accepté par les deux et nous sommes tombés d’accord pour le futur de satisfaire, d’abord, Moussa de nos deux culs, pour gouter son merveilleux zeb, puis me permettre de sodomiser Keita pour satisfaite ma propre bite le cas échéant. Encore une fois, c’est ma terma qui décidera car elle a une plus grande influence sur ma propre bite que le cul de Keita.
Nous étions assez fatigués et décidés de dormir, il était presque minuit. On a partagé le même lit, j’étais au milieu donnant mon cul à Moussa pour sentir sa bite sur ou entre mes fesses et mettant la mienne contre le cul de Keita qui me tournait le dos. Position de sandwich qui me ravissait totalement.





Au milieu de la nuit, j’ai été réveillé par Moussa qui forçait mon anus avec sa queue bien gonflée. Il avait une brusque envie de baiser. Alors, je me suis couché sur le ventre et Moussa s’est allongé sur mon dos et sur mon derrière. J’ai écarté un peu mes cuisses tout en soulevant légèrement mon derrière. J’étais chaud et mon corps assez détendu par le sommeil, ce qui a facilité le zob de Moussa pour se glisser facilement à travers mon trou de cul.
Couché sur mon dos, et dans un silence complice, juste dérangé par nos souffles de plaisir, il m’a sodomisé tranquillement, sans trop de précipitations. Ses coups de reins et ses vas et viens étaient lents, langoureux et appuyés comme des caresses. Son zob allait et venait doucement dans ma terma et moi, je faisais des efforts pour ouvrir au maximum ma terma qui commençait à mouiller.
Et pendant les vas et viens du Zob de Moussa à l’intérieur de mes entrailles, on entendait de légers clapotis. C’était la musique de nos deux organes qui se faisaient plaisir. Puis quant j’ai senti la queue de Moussa se gonfler encore plus, et que j’ai compris qu’il allait juter. J’ai serré les fesses et mon anus et cela a amplifié nos sensations.
Et rapidement, Moussa s’est déversé dans mon cul par cinq ou six salves de sperme chaud. Puis il s’est rejeté sur le côté pour, rapidement s’endormir. Moi, j’ai préféré me lever pour aller me laver, puis revenir me recoucher en faisant attention de ne pas réveiller mes amis. On s’est quitté, le lendemain très tôt car j’avais peur que mon ami étudiant se pointe, malgré le week end. J’étais très satisfait de ma journée d’hier et des expériences réussies, devant et derrière. Mais on s’est fixé rendez vous, dans cette chambre pour samedi prochain.

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Histoire Erotique
Super bandant. Vite la suite.



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