Titre de l'histoire érotique : COLLECTION PUCEAU – PUCELLE. Le copain de mon fils. (2/2) - histoire érotique

Ce qui m’arrive est inimaginable, je suis en train de tromper David, mon mari avec Joaquim, un copain d’enfance de Thomas, mon fils qui était notre voisin, il y a quelques années et qui lui a fait poser des questions sur la taille de leurs zizis.
C’est dans les vestiaires du club de foot où les douches étaient obligatoires que mon fils eût vu la longueur de la verge de celle de Joaquim et qu’il m’en eût parlé.

Après environ dix ans, Joaquim sonne chez nous alors que je suis seule, réveillant du fond de ma mémoire le souvenir de la conversation avec mon fils j’en arrive à accepter de la voir, mieux de la prendre dans ma bouche tout en la masturbant.
Que je le suce, est bien loin de satisfaire ce jeune homme bien que du haut de ses vingt-deux ans mes trente-six ans sont loin d’être un obstacle.
Quatorze ans, j’avais quatorze ans quand il est né aussi acceptant cet état de fait, c’est naturellement que lorsqu’il ouvre mon chemisier pour admirer mes seins qu’il a vus quand je me faisais bronzer, je le laisse faire attendant même avec impatience la suite de ce qui va se passer.

• C’est bien, je vois que ma mémoire était bonne, je les retrouve comme dans mes pensées, la seule différence, c’est que maintenant, je peux les prendre en main et les caresser.

Ils me brûlent, ses mains sur moi me brûlent, il y a si longtemps que David les oublis, depuis combien de temps son sexe est étranger au mien, si je réfléchis, c’était le jour de ses trente-six ans, il y a 2 mois, à bien regarder ça a été son cadeau d’anniversaire.
Alors, je me laisse porter par les événements, seule la belle verge mise à la disposition par Joaquim m’importe, au diable la morale, mon homme me délaisse, laisse-toi aller Irène.

Je suis mes pensées et me commence à me laisser faire.

• Mets-toi à quatre pattes sur ton canapé.

Je me retourne quand il me libère.

• Oui comme cela tes obus posés sur le dossier, tu es bandante ne crains rien, je soulève ta jupe.
Joli cul je l’ai moins vu que tes seins et ta chatte mais je dois dire que tu l’entretien bien, pas un poil de cellulite.

Il me flatte la croupe comme un maquignon le ferait avec le cul d’une vache, mais j’apprécie cette main sur mes rondeurs.
Je sens qu’il écarte ma petite culotte en dentelle et avant que j’aie le temps de me rebeller, il me plante sa verge au fond du vagin en écartant mes grandes lèvres.
Dès qu’il est profondément entré en moi il me reprend les seins comme s’il tenait le volant de sa voiture et me pilonne sans ménagement.
J’adore cette façon d’être prise bestialement moi qui depuis mon dépucelage me fait prendre dans la position du missionnaire, alors je me laisse aller et un orgasme bien plus fort que les petites décharges que me procure mon mari traversant mon corps et irradiant ma colonne vertébrale, jusqu’à monter dans mon cerveau.

• Tu vois c’était facile, te sens-tu coupable ?
• Un petit peu mais cela a été si bon.

J’ai encore sa verge au fond de mon vagin, car lui est resté sans jouir, je tourne la tête et pour la première fois une autre bouche que celle de mon mari me prend la mienne dans un baiser dévastateur.
Je sens qu’il me quitte et s’assoie à mon côté.

• Je suis loin d’en avoir fini avec toi, vient t’empaler sur ma bite, je crois que tu l’as conquise, elle adore avoir été séduite, j’ai bien fait de revenir en France à partir de maintenant tu seras toujours à sa disposition.
Je vais faire de toi une salope, excuse ma salope.

Je l’enjambe et nos sexes viennent se souder l’un à l’autre, il a raison, nos sexes s’emboîtent impeccablement surtout quand je force un peu et que malgré mes chaires intimes qui sont compressé mes fesses arrivent au contact de ses cuisses.
Je jouis une nouvelle fois aussi fort que toutes les fois qui vont suivre car ce jour là c’est avec bien du mal que nous séparons.

• Bon anniversaire ma chérie, deux ans déjà que j’ai sonné à ta porte à mon retour en France et que tu viens tous les jours t’occuper de mon sucre d’orge, j’ai réussi ce que je t’avais promis la première fois, tu es devenue ma fieffée salope.
• Je te l’ai dit l’autre jour et je crois que tu dois intégrer que je suis ta pute à la limite d’être ta chienne, si tu le veux, nous pourrions passer une étape et j’aimerais que tu sois un homme qui me domine.
• Va voir ailleurs, j’aime nos rapports mais à part des claques sur ton cul, nos rapports seront toujours emprunt de douceur et de respect pour toi, si tu le veux je veux bien te faire un enfant.
• Tu es en mal de reproduction, je comprends qu’un jeune homme de 24 ans aspire à être père, regarde Thomas il se marie dans huit jours et j’ai réussi à ce que tu sois son garçon d’honneur, fait comme lui trouve toi une petite qui aura un ventre plus jeune pour te faire de beaux enfants.

C’est ainsi que la noce a lieu à la mairie et dans la salle près de chez ma belle-mère ou Thomas a connu Babette.
C’est ce jour-là que j’ai la confirmation que Davis à une maîtresse qui est présente car les regards qu’ils s’échangent chaque fois qu’ils le peuvent, bien qu’ils semblent faire attention leurs envies l’un pour l’autre, sont aussi forts que ceux que j’ai pour Joaquim.
C’est la belle-mère de mon fils qui doit avoir le même écart d’âge que nous avec mon amant.

• Joaquim, rejoint moi derrière la salle, j’ai envie de toi.

Je me retourne et le quitte pour rejoindre le petit coin tranquille ou je vais pouvoir lui faire voir la chienne qu’il a fait de moi.

• Sens, passe ta main sous ma robe, j’espérais que l’on baise et j’ai oublié ma culotte.
• La mère du marié s’est promenée toute la journée devant ses invités la chatte à l’air, j’ai réussi à faire de toi la petite pute que je souhaitais.

Le peu de clarté me montre qu’il a sorti sa verge, il m’attrape me plaque contre le mur et m’embroche sans aucun préliminaire, il peut se le permettre car j’ai mouillé toute la journée et ma chatte s’ouvre sans aucun problème pour le recevoir.
Il sort mes seins, me retourne et me plaque sur le mur, je sens que le crépie les agresse, mais sans m’entailler ajoutant au plaisir que j’ai une nouvelle fois à être à lui.
Il décharge en moi au moment où je m’envole comblant le vide qui s’est instauré avec Davis, j’ai bien compris qu’il a sa vie avec sa vieille maîtresse alors que je vis la mienne avec mon jeune amant.

• Tu as réfléchi à ce que je t’ai proposé afin que tu es un enfant.

Joaquim est dans mes bras après que nous ayons fait éclater nos corps, quand je lui refais ma proposition.

• J’hésitais à t’en parler, je croyais que c’était des paroles en l’air, mais il y a bien une petite qui pourrait faire office de mère porteuse.
• Je la connais.
• Plutôt deux fois qu’une, c’était la demoiselle d’honneur de ta belle-fille à son mariage.
• Viviane, la sœur de Babette, tu es un beau salop, tu m’as baisé derrière la salle et tu as dragué cette pétasse après.
• Ouah, elle est jalouse, je t’aime ma chérie, si tu divorçais je t’épouserais, je serais le garçon le plus heureux du monde.
• Merci mon cœur mais je veux que tu sois père et cette petite fera parfaitement l’affaire.
• Si elle veut bien m’épouser car nous avons simplement danser ensemble et j’ai senti que j’étais loin de lui être insensible.

Joaquim vient d’épouser Viviane deux mois plus tard et dès son retour il m’appelle et me couche dans son lit.

• Ou est ta femme ?
• Chez ses parents, ont est un peu en froid.
• Vous vous êtes disputés ?
• Non, elle refuse que nous ayons une nouvelle fois des rapports après que je l’ai dépucelé, me trouvant trop gros pour son petit vagin, je l’ai dépucelé, j’ai déchargé et depuis elle se refuse à moi.
• Si notre plan veut marche essaye de l’amadouer, regarde j’ai moi aussi eu un peu peur de toi quand tu m’as enfilé sur mon canapé mais maintenant j’en redemande.

Quelques semaines passent, nous nous retrouvons au même rythme qu’avant son mariage et son amour pour lui est toujours aussi fort que le siens pour moi, nos rapports ont encore évolué, il y a une heure qu’il est chez moi et pour rigoler j’ai fais la petite chienne devant lui.
C’est à quatre pattes sur la moquette qu’il est venu derrière moi et qu’il m’a sodomisé, son énorme engin ayant eu du mal à me pénétrer, mais quand on veut on peut et il a réussi à me rentrer les trois quarts de son pieu en moi avant de me remplir mes intestins de sperme.

• Ma chérie si je te disais que je vais être papa, regarde mon fils sur échographie.
• Tu as réussi à renouer avec ta femme, tu vois elle a aimé se faire prendre par ta monstruosité.
• Que nénies ma belle, cela t’arrangerait, mais elle a continué à se refusé mais coup de change la première fois pendant ma nuit de noce a suffit pour qu’elle devienne mère, je lui ai dis que j’avais une maîtresse et que je l’aimais.
• Elle va t’enlever ton fils.
• Certainement pas, mes beaux-parents sont très cato et il est impossible pour elle de penser divorcer, elle va élever notre fils en bonne mère et je pourrais continuer à te voir.

Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes, David se tape la belle-mère de mon fils et de mon amant et moi je suis fidèle… à mon amant.