Titre de l'histoire érotique : COLLECTION DOMINANT DOMINE. La forge de l’enfer (2/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION DOMINANT DOMINE. La forge de l’enfer (2/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION DOMINANT DOMINE. La forge de l’enfer (2/4)
J’ai hérité de la forge de mes grands-parents près de Perpignan et situé dans un endroit considéré comme maléfique, le trou de l’enfer.
Ayant perdu mon emploi nous emménageons avec ma femme dans cette forge que nous nettoyons, jusqu’au soir où je la suspends nue à un palan après avoir allumé un feu qui nous rappelle les histoires de mon grand-père.
Je me sers d’un fouet pour rire au commencement mais que Valérie semble apprécier.

• Tu en veux encore, fait oui ou non de la tête.

Le premier mouvement est un non, vite suivi de nombreux oui.

• Tes fesses ?

Oui, franc et massif.
Je passe derrière, elle apprécie le soin que je mets à lui donner du plaisir même si cela passe par la douleur sa tête faisant de nombreux mouvements.
Je me recule, je zèbre une fesse que j’atteins et j’entends un son roque sortir du chiffon.
Je viens voir son visage mais ces bras hypertendus le cache, ses pieds ne reposant plus du tout sur le sol, je prendre conscience qu’elle a tourné de l’œil.
Je prends le sceau qui m’a servi à remplir l’auge et je lui jette dessus la ramenant à moi.
Les flammes se reflètent sur sa peau rougie par le fouet, ces mêmes flammes qui doivent la chauffer tellement elle en est rapprochée.
C’est à ce moment que j’entends la sirène des pompiers au loin.
Dans un premier temps, je pense qu’il s’agit d’un accident sur la route passant au-dessus de la forge ou un incendie dans les premières maisons du village sans pour autant penser que c’est notre feu qui est la cause de leur déplacement.
Voyant qu’ils se rapprochent et que j’entends le bruit du moteur de la camionnette de première intervention, je repousse sans ménagement Valérie dans la forge, ma main touchant son entre-jambe ou je sens de la cyprine couler le long de ses jambes.
Je viens juste, de refermer les deux portes massives quand ils débouchent freinant en catastrophe manquant de s’arrêter au milieu de notre feu.

• C'est un feu de la saint Jean ?
• Non, je brûle des vieilleries, j’ignorais avec ma femme que c’était la nuit de la Saint-Jean.
• Et votre femme, ou est-elle ?
• Cela vous regarde, elle est partie se coucher ayant accompli un gros travail depuis ce matin.
• On vous laisse, attention que le feu soit bien éteint avant à votre tour d’aller vous coucher, nous voudrions éviter de revenir ici une nouvelle fois dans la nuit, vous avez du courage de vivre ici après la réputation du secteur.
• Qui vous a prévenu ?
• Une voiture passant sur la route là-haut, la passagère a vu la lueur rouge du feu et a cru que la forge brûlait, ils nous ont appelés avec leur portable.
Nous avons demandé qu'ils se rendent sur les lieux, ils ont refusé certifiant qu’ils avaient trop peur pour descendre jusqu’ici, sur ce nous vous saluons.

Même les pompiers semblent atteints du syndrome du trou de l’enfer, après m’avoir salué, je les vois remontés dans la camionnette sans demander leur reste et partir presque plus vite qu’ils sont arrivés.
Dès que j’entends qu’ils ont rejoint la départementale, j’ouvre la porte, Valérie toujours pendue semble dormir, mais est plutôt sans réaction.
Je manœuvre la chaîne pour la descendre, je la prends dans mes bras et je vais la déposer dans l’eau de l’auge, l'eau froide la ramène à moi.
J’enlève le bâillon m’attendant à un flot d’injures.

• Oh ! Christian, Oh ! Christian.

Et une troisième fois, Oh ! Christian me montrant qu’elle a aimé.
Une fois remise je la sors de l’eau, la couche sur l’herbe tendre près de nous, tout le restant de la nuit nous faisons l’amour en missionnaire, en levrette, elle pousse de petits cris de plaisir et de souffrance chaque fois que mes couilles battent ses fesses où la lanière l’a touchée plus profondément.
Les jours passent et régulièrement elle me demande de l’emmener dans la forge, ayant fait mettre l’eau courante et surtout le courant électrique, nous rigolons de la réaction des ouvriers, nous l’avons entendu oblige leur patron à terminer à 17 heures bien que la nuit tombe bien plus tard.
Je me mets à souder comme mon aïeule me l’avait appris.
Je commence par lui faire un lit avec fixés par des chaînes des menottes que j’ai fait venir d’un site internet ayant récupéré mon ordinateur et une connexion.
Quand l’envie nous prend, je l’attache soit sur le dos sois sur le ventre, en plus du fouet très long et peu pratique dans la première pièce que j’aménage sur un côté de la forge, j’ai fait venir des cravaches avec des spatules plus ou moins grandes et des godemichets de plus en plus gros, le maxi étant la réplique d’un black considéré comme le plus gros connu sur ce genre de site.
Je la libère dans la journée, mais elle se cache chaque fois que l’on sonne à la porte de clôture avec Interphone que j’aie posée pour éviter d’être surpris comme nous l’avions été par les pompiers.

Sur ce lit nous jouons des heures entières au début puis elle reste attachée des jours sans manger et sans changer de position.
Chaque matin j’arrive discrètement et je lui balance un seau d’eau glacé que je tire du puits principalement sur son intimité, quand elle est sur ce lit il lui est impossible de faire autrement que de se vider des nécessités de la vie pour tout corps humain.
Cette première pièce est construite avec un carrelage facilement nettoyable soit par seau d’eau soit au jet glacé grâce à la pompe que je démarre et qui remonte l’eau du puits.
Elle hurle, mais elle ne me demande jamais de m’arrêter, encore toute dégoulinante j’adore soit lui baiser la chatte ou son anus qui en permanence dans cette position est pénétré par un plug soit par un gros gode.
Mais le lit est devenu banal à un détail près, Valérie se plaignant d’être un peu grosse perd rapidement des kilos et sa taille s’affine.
Elle est devenue accro à notre lit où je la menotte, mais se plaint que ma seule queue la satisfaisant de moins en moins.
Internet est parfait pour cela, je contact un site où des personnes principalement des espagnoles se proposent pour venir l’honorer, le week-end suivant j’ouvre le postrail à deux hommes bien membrés comme je l’ai demandé, je les conduis dès leur arrivée vers ma dulcinée.
La voir se faire prendre par deux gars en même temps est une découverte pour moi comme pour elle, elle hurle de plaisir pendant deux jours ayant de multiples orgasmes, je prends plaisir à la voir se faire enfiler comme une jeune mais vieille salope qu’elle est devenue.
Quand ils partent, je récupère leurs numéros de téléphone si j’ai de nouveaux besoins d’eux pouvant même venir avec des copains au gré de ma pute.
Le lit devenant répétitif, je construis une pièce avec une croix ainsi qu’une cage que je suspends à un autre palan fixe ou elle se fait caresser la chatte pendant des heures sans pouvoir se défendre ce qui la comble de joie surtout que, de temps en temps je la place sur la croix ou je la fouette allégrement.
J’adore voir son cul et ses seins zébrés de rouge en permanence et surtout ses fraises qui ont doublé de volume à force qu'elle soit excitée.
Plus son corps s’affine, plus la pointe de ses seins augmente de volume, je deviens le Maître de ma femme jusqu’à ce matin où elle me fait une proposition qui dans un premier temps me paraît saugrenue.

• J’ai regardé sur Internet, des personnes sadomasochistes cherchent des lieux pour venir s’éclater sans être gêné par leurs voisins, j’aime que tu me maltraites, mais j’aimerais rendre la pareille à des hommes ou des femmes.
• Tu es diabolique, je me vois bien en Maître des forges avec mon adjointe, toi Valérie qui pourrait tout à loisir serais dominé ou être dominé suivant mes envies.
Je vais commander des tenues en latex noir et de nombreux accessoires qui vont nous être nécessaire pour achever ton projet.
Pour la peine, tu peux venir dormir dans mon lit, il y a si longtemps que je dors seul.

Pendant le temps de finir de tout mettre en place, nous oublions nos jeux tant que le site Internet face son travail et nous amène nos premiers clients.

• Bonjour Maître Christian, pouvez-vous nous ouvrir la porte de votre forge nous avons loué vos services pour deux jours.

Ce sont les premiers clients que nous recevons, le mari souhaitant que sa femme profite de tous les avantages de la forge, mais comme ils vont tester notre système, nous leur avons fait une remise de 50 %.
C’est un homme prénommé Christophe qui me fait une proposition que je m’empresse d’accepter.
Pierre, Pablo, Domingo et Emanuel sont arrivés depuis trois jours, Pierre et Pablo ayant été les deux premiers amants de Valérie étant venus d’Espagne et comme je le souhaitais, ils sont venus accompagnés de deux autres garçons Christophe souhaitant que les femmes aient à leur disposition un maximum de sexe pour cette nuit de débauche.
Valérie voulant que notre forge soit performante a soigné tous les détails, elle a cousu des vêtements pour ces quatre garçons les faisant ressembler à des lutins avec pour dégager leurs attributs un système de pont identique au pantalon de ceux des jeunes marins de la nationale.

• Bonjours Maître Christian, pouvez-vous nous ouvrir la porte de votre forge ?

La phrase mot de passe étant prononcée, j’ouvre le portail à distance et je vois arriver une voiture de marque Ford d’où en descendent quatre personnes.
Je reconnais Christophe à son crâne rasé, il m’a même dit qu’il était entièrement épilé.
À ses côtés se doit être obligatoirement Tristan le mari du deuxième couple alors qu’a l’arrière se trouve les épouses qui ont dû commencer à se donner du plaisir en chemin, leur tenue montre que leurs mains ont déjà fait des dégâts dans leur vestimentaire.
Notre premier week-end sado-maso se présente bien…

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