Titre de l'histoire érotique : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (20) : aucune limite à l’hypersexualité et au candaulisme ?

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (20) : aucune limite à l’hypersexualité et au candaulisme ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (20) : aucune limite à l’hypersexualité et au candaulisme ?
Marie avait cru arriver à ses fins, mais avait échoué. Certes, elle avait passé une nuit d’amour avec Philippe et ce, en ma présence, partagée entre douleur d’assister impuissante à l’adultère de Philippe et l’excitation de l’érotisme torride de leurs ébats.
Mais au matin, la dominatrice qui rêvait de m’arracher mon mari candauliste subit un échec humiliant. Philippe lui affirma qu’il avait passé une nuit exceptionnelle, mais que c’était moi et personne d’autre qu’il aimait. Je savais que j’aurais à payer le prix de cet échec, puisqu’elle avait annoncé que Jean et Christine avaient mis à sa disposition le « château », la maison de campagne où j’avais connu ma première partouze SM (voir récit 16). Malgré les demandes insistantes de Philippe, j’en avais accepté le principe. Je ressentais le besoin d’être punie. Marie avait compris que j’aimais ça et que les pratiques les plus extrêmes ne me faisaient pas peur, au contraire.
En attendant ce moment, Marie essaya une autre tactique. Elle voulait pousser Philippe à s’éloigner de moi en organisant, avec Rachid, des séances de débauche où je n’aurai plus aucune limite. Qu’ainsi, pour éviter que sa réputation ne soit définitivement ruinée, qu’il se décide à me quitter. Dès lors, elle était certaine de le récupérer.
Marie avait, là également, compris que mon hypersexualité n’avait aucune limite et que voir se succéder un nombre toujours plus grand d’hommes entre mes cuisses ne me faisait pas peur. Ils étaient bien loin les scrupules que j’avais encore quelques mois auparavant, avant de devenir la femelle de Rachid. J’étais devenue insatiable, folle de mon corps. Des récits que j’ai pu lire à ce sujet, il n’y avait guère que l’impératrice romaine Messaline qui avait été plus « salope » que moi.
Là où Marie se trompait, c’était au sujet de Philippe. D’une part, sa réputation était depuis un moment ruinée. Notre couple était un objet de scandale. Philippe était « le cocu, le pédé ». Moi j’étais « la salope, la catin » Et surtout Marie n’avait pas mesuré que le candaulisme de Philippe était lui aussi sans limites, et donc que l’idée de voir de nombreux mâles me passer dessus l’excitait énormément.
Vous vous souvenez que, peu après le début de notre relation, Rachid avait commencé par m’offrir à d’autres hommes. Le premier fut le concierge Georges, qui se vengea ainsi de mon comportement deux ans auparavant, quand je l’avais à tort accusé de viol. Georges avait aussi été récompensé, car c’est lui qui avait fait en sorte que mon chemin croise celui de Rachid. C’était son triomphe et un vrai coup de génie, car la bourgeoise hautaine qui le méprisait était devenue la dernière des salopes, une putain gratuite à la disposition d’un petit caid du quartier chaud de la ville.
Georges passait m’honorer quand l’envie lui prenait ou quand Rachid l’appelait, en lui disant qu’il était épuisé et que je n’en avais « jamais assez ». Comme je détestais ce sale type, j’espérais qu’il ait vite fait son affaire et j’avais honte de moi quand, malgré moi, je prenais mon pied sous ses assauts brutaux.
J’étais devenue pour Rachid et ceux à qui il m’offrait un vide-couilles, mais je le l’acceptais pour au moins trois raisons. Premièrement, cela répondait à mon incroyable libido, qui fait que je suis capable d’enchaîner les orgasmes. Deuxièmement, je connaissais ma récompense, je savais que je me ferai prendre par Rachid. Son endurance et sa bite d’étalon faisaient de lui le mâle qu’il me fallait. J’ai connu depuis les débuts de ma vie sexuelle des milliers d’amants, Rachid fait partie de ceux que je n’oublierai jamais, avec Gianni, l’homme qui m’a dépucelée, Pedro et Joao, mes amants de Rio, Hassan qui fut mon mâle après Rachid et, plus récemment N.
J’ai été amoureuse de Rachid et de Hassan, comme je le suis aujourd’hui de N. Notre couple avec Philippe traverse actuellement des turbulences (mais il en a déjà surmonté beaucoup) d’autant que Philippe est lui aussi tombé amoureux d’une autre femme, cette petite garce de Théodora. Mais ceci est une autre histoire dont je parlerai ultérieurement.
Et la troisième raison de mon acceptation était que Philippe avait donné son aval, mais qu’en plus il adorait ça. Quand il rentrait de son travail, il me demandait de lui raconter ma journée, sans omettre le moindre détail et je voyais qu’il était excité en imaginant le plaisir que j’avais pu prendre. Et il était encore plus heureux quand il pouvait être présent. Il encourageait mon amant du moment, lui disait combien j’étais belle, qu’il ne devait pas se gêner et surtout me faire bien jouir. Philippe aimait et aime toujours me donner des consignes, m’intimant de faire une fellation à mon amant du moment, lui disant « vous verrez, personne ne taille mieux une pipe que mon épouse ».
Le moment qu’il préfère est naturellement celui où je me fais prendre. Il demande à mon amant quelle position il souhaite, en lui conseillant de me « baiser en levrette, car c’est celle qui la fait le plus jouir ».
Pendant que l’amant me baise, que ses couilles tapent sur mes fesses, mes gémissements se transforment en cris de plaisir, mon Philippe me prend la main, m’embrasse, me dit des mots d’amour.
Le macho qui me pilonne, plein de mépris pour ce couple qu’il ne comprend pas, nous couvre souvent d’injures. Mais peu nous importe, Philippe et moi sommes tout entier dans notre plaisir, moi de m’envoyer en l’air, lui d’être le complice et le témoin de mon plaisir.
• Qu’elle est bonne cette salope. Prends-ça, petite pute ! Tu aimes ?
• Oui, salaud, pilonne-moi, mets la bien au fond. Comme ça, plus fort. Ouiii ! Philippe, mon chéri, je t’aime, merci d’avoir voulu tout ça
• Et toi, cocu, comment tu peux aimer voir ta femme se faire sauter sous tes yeux ? Faut pas être un homme pour vouloir ça !
• C’est tout simplement la preuve d’un amour sans limites. Eprouver le plaisir de voir la femme qu’on aime jouir et être heureuse. Ne vous en plaignez pas et ne nous jugez pas, profitez-en à fond plutôt et faites bien jouir mon Olga.
Sur les conseils et par l’entremise de Georges, mes « services » furent bientôt proposés aux autres résidents de l’immeuble. L’étape suivant fût lorsqu’il m’a été demandé de les draguer moi-même. Cela me rappelait quand, une décennie auparavant, lycéenne puis étudiante, je draguais mes profs et collectionnais amants et adultères. Les hommes mariés n’étaient pas les derniers, sauf rares exceptions, à profiter de l’aubaine. Ca se passait chez nous et même quelquefois chez eux, car j’aimais cocufier dans le lit conjugal une épouse coincée, qui ne cachait pas son mépris à mon égard. Par le canal de Gilbert, le fils de Georges, notre dévolu a porté sur les adolescents de l’immeuble et j’en ai déniaisé plusieurs. Ce n’est pas ce que je préférais car, dans cet immeuble bourgeois, ces jeunes gens étaient plutôt coincés et peu performants, à la différence des copains de cité de Rachid, dont je parlerai un peu plus loin.
Bref, mon dévolu s’est porté sur tous les mâles de l’immeuble, y compris Robert, un veuf de 70 ans, qui, avec l’aide de Viagra, a été un amant vigoureux et à qui j’ai donné un immense bonheur, lui qui n’avait pas fait l’amour depuis des années. Avec l’accord de Rachid et de Philippe, je venais de temps en temps passer la nuit avec Robert. J’étais devenue sa maîtresse et il fut même autorisé, à la différence des autres, à me prendre sans préservatif et à jouir en moi. J’en profite pour dire qu’à l’exception de mes amants de Rio et de Rachid, j’ai toujours été attirée par des hommes plus âgés que moi. Sans doute la conséquence du complexe d’Electre de mon adolescence et que je n’avais pu réaliser jusqu’au bout.
Je me suis occupée de déniaiser les « puçeaux » de l’immeuble. Ils étaient généralement contactés par Gilbert, le fils de Georges. Même si j’ai toujours préféré des amants expérimentés et plus âgés que moi, j’acceptais de rendre ce service, car je sais que ces jeunes gens n’oublieront pas leur première expérience avec la belle Olga T.
Le cas le plus torride fut celui de Thierry, un lycéen de 17 ans. Ses parents nous étaient particulièrement hostiles, et je n’avais pas réussi à mettre le mari dans mon lit. J’avais remarqué que Thierry flashait sur moi et il ne m’est pas indifférent. Il est musclé, beau garçon, jeune, bien sûr et avec un sexe pas mal, car j’avais remarqué son érection un jour où nous étions ensemble dans l’ascenseur. Ce jour-là, je portais une jupe très courte et un chemisier échancré sans soutien-gorge. Je devais me rendre à la cité où Rachid m’offrait chaque semaine à ses potes. Je me suis fait un plaisir d’ouvrir un bouton supplémentaire pour qu’il puisse profiter de la vue.
Je lui dis :
• Passe me voir demain quand tu rentres du lycée !
A l’heure prévue, je laisse la porte de l’appartement entrouverte. Quand j’entends Thierry entrer, je suis dans ma chambre. Je suis déjà nue depuis un moment, couchée, les jambes ouvertes : je me masturbe. Son pas s’arrête devant la porte, il doit me regarder. J’entrouvre les yeux : il est bien là à me regarder faire. Je vois sa main aller sur sa queue qu’il masse à travers son pantalon.
Je lui fais signe d’approcher. Je sais qu’il bande. Je n’y tiens plus, je lui prends le paquet dans la main. Je sors sa queue : une belle queue quand il bande. J’en ai rarement vue d’aussi grosses et longues. Je le branle lentement, son visage rougissant devient normal. Je ne lâche pas et à mon étonnement il jouit rapidement. Je dirige son jet de sperme vers mon visage.
Tant pis, il est jeune, il ne tardera pas à bander encore. Je prends ses mains pour qu’il me pelote. Maladroitement il me caresse. Je ne peux pas lui dire que ce qu’il fait n’est pas excitant. Je ne vais pas le décourager. Je dois être sa première vraie femme. Je prends ses mains pour les diriger sur mes seins. C’est beaucoup mieux ainsi. Je défais sa ceinture et fait tomber d’un seul coup son pantalon et son slip. Il ne s’en formalise pas. Je reprends encore sa bite qui ne bande pas beaucoup. Cette fois je me baisse devant lui pour lui prendre la queue dans ma bouche, cette fois je suis certaine que je suis la première à le sucer. Je vais lui apprendre quelques trucs : je passe une main vers son cul où je rentre deux phalanges, je lui caresse les couilles. J’ai ma langue qui lèche son gland, avant que je le prenne presque à moitié dans ma bouche, je ne peux réellement pas en entrer plus. Je me relève avant qu’il jouisse.
Je veux qu’il me baise avant de jouir encore. Je me couche sur le lit, nos lèvres enfin se réunissent pour un baiser où c’est lui qui met sa langue dans ma bouche. Thierry vient sur moi dans l’intention de me baiser. Je veux lui apprendre certains principes tels que faire jouir sa compagne avant lui. Je lui fais mettre sa langue sur mon sexe. Il ne sait comment faire: je le lui explique surtout avec des mouvements explicites de mon bas ventre. Il comprend vite qu’il doit me sucer le clitoris, chose qu’il semble découvrir. Je lui fais mettre sa langue directement dans le trou de ma chatte où là aussi il découvre qu’il faut aller et venir et tourner la langue à l’intérieur. J’hésite à le faire venir sur mon anus. Et puis, après tout, j’ai envie de jouir, il est là, j’en profite. Il s’applique à entrer toute sa langue dans mon cul. Il doit penser que je suis vicieuse et pourtant c’est normal de jouir par le cul.
Quand j’ai jouis trois fois, je lui permets de venir sur moi.
Je le dirige vers mon entrée secrète, pas tellement pour lui qui y mit la langue. Il voudrait entrer brusquement : je la fais entrer doucement sans à coup. Il obéit sagement et je peux enfin avoir sa bite dans mon con. Je le dirige pour faire durer mon plaisir.
Je sens bien sa queue en moi. Je sens encore mieux ses mouvements que j’accompagne. Je le laisse me faire jouir trois fois avant de me retourner en levrette. Il vient à la recherche de mon vagin. Ce n’est plus là que je le veux: II faut que je lui explique que les femmes ont aussi un cul et qu’elles aiment se faire mettre par là aussi. Je mouille mon anus avec ma cyprine, il y rajoute de sa salive avant de venir sur moi. Là encore je lui demande d’aller très doucement, un cul n’est pas ouvert et humide comme un con. Il entre très lentement, même trop lentement à mon goût. Il me la met au fond sans que je le lui demande: il m’a fait jouir plusieurs fois. Soudain il accélère son rythme pour lâcher son sperme. Je sens sa pine qui grossir à chaque giclée.
J’aurai aimé avoir un peu de sa liqueur dans ma bouche. Je le ferais tout à l’heure.
Il est tard, il faut qu’il rentre chez lui, il me quitte en m’embrassant sur la bouche. Il revint le lendemain.
Il m’embrasse encore. Il me met sa main directement sur mon sexe, avec un doigt sur le clitoris. Il commence à me branler, le petit saligaud. Je le laisse faire. Il m’a donné encore envie de jouir, je m’abandonne à ses caresses d’autant que connaissant les lieux il m’emmène dans la chambre. Il veut me baiser encore une fois. Je refuse, je le veux dans ma bouche. Je décalotte son gland avec mes lèvres, je le lèche encore sans le prendre dans la bouche, je commence par ses couilles velues, en mettant toujours un doigt dans son cul. Enfin mes lèvres entourent son membre. Je fais aller et venir très lentement ma bouche sur sa bite. Je sens qu’elle enfle de plus en plus. J’accélère pour qu’il jouisse vite. Je reçois toi ou quatre jets magnifiques de spermes dans la bouche. Je reste suspendue à sa queue un bon moment pour ne rien perdre de sa semence. Je me relève et devant lui lentement j’avale son liquide qui ne l’est pas tant que ça. Je lui trouve un goût eu peu amer.
Il n’est pas en bonne forme pour me baiser. Je lui montre comment je me branle, je commence par écarter les lèvres pour faire ressortir le clitoris de sa protection. Je mouille trois doigts de la main droite avec de la salive et les passe sans arrêt sur le haut du clitoris. Je jouis une première fois. Je fais suivre immédiatement après trois doigts, jamais moins, dans le vagin, je me baise carrément. Enfin je me sodomise un peu, juste le temps d’une jouissance avec toujours ces mêmes trois doigts. Je le regarde depuis que j’ai commencé, sa bite bande petit à petit.
Elle est assez grosse maintenant : il vient sur moi pour une dernière baise. Il a bien compris les leçons de ce matin. Il me fait encore jouir avant lui pour enfin décharger sa dose.
Il va sans dire que tout ce manège n’a pas plu à tout le monde dans l’immeuble. Mes frasques ont même été à l’origine d’un divorce, ce que je regrette bien entendu, même si aujourd’hui je partage l’opinion qu’avait exprimé Philippe lors de notre mariage au sujet de la fidélité. Le véritable amour n’est pas dans la fidélité, mais dans la liberté assumée de chacun, dès lors que les relations ne sont pas dissimulées et que la franchise est la règle. Je sais que ce n’est pas facile et moi-même j’ai toujours eu du mal quand d’autres femmes ont été les maîtresses de Philippe, comme ce fut le cas de Christine et, encore plus de celles qui ont cherché à me le prendre, comme Marie C, Flavienne et, actuellement, Théodora. En ce qui me concerne, la fidélité est impossible à demander à l’hypersexuelle que je suis. C’est parce que Philippe est candauliste que notre couple a toujours tenu.
Nous avons finalement été contraints de quitter cet immeuble pour une villa où nous étions plus à nos aises pour notre vie intime, même si je gardais la nostalgie de l’immeuble qui avait vu la transformation de ma vie de femme. Je ne pouvais par exemple pas prendre l’ascenseur sans me rappeler ce qui s’y était passé lors de ma première rencontre avec Rachid.
Rachid est allé plus loin que de m’offrir aux autres mâles de notre ancien domicile. Très rapidement après que je sois devenue sa «femelle» et qu’il se soit installé chez nous, il me demanda de m’habiller particulièrement sexy, m’annonçant qu’il m’amenait à sa cité. J’avais compris qu’il voulait m’exhiber mais surtout m’offrir à ses potes.
J’avais choisi de porter une jupe très courte, un débardeur très décolleté, des talons aiguilles. Je m’étais maquillée outrageusement, insistant sur le khôl autour des yeux et le rouge pour mettre en valeur ma bouche et mes lèvres.
• Ca te plait, Rachid ?
• Tu es parfaite, on croirait une professionnelle !
• J’en suis une désormais. Gratuite, mais je suis devenue ta pute, mon chéri
• Tu me fais bander, Olga. Mais je patienterai jusque ce soir, car des mâles t’attendent avec impatience.
• Comme tu me l’as demandé, je porte mon alliance.
• Parfait, ça les excite particulièrement de baiser l’épouse d’un notable.
Toujours soucieux de m’exhiber, Rachid avait insisté pour que nous allions à la cité en bus. Je voyais aux regards de désir de certains mâles ou de réprobation des autres que je ne passais pas inaperçue. Rachid ne se privait pas de poser une main sur mes fesses, en signe
Arrivés à la cité, la difficulté pour moi fut de marcher, bien que Rachid me tienne par le bras. Il prenait tout son temps. De temps en temps, il me prenait par l’épaule, puis sa main se posait sur mes fesses. Il s’arrêtait régulièrement, me serrait dans ses bras et nous échangions de longs et fougueux baisers. Je sentais contre moi son désir, et de mon côté, mes tétons étaient durs, signe de mon désir d’être baisée. Rachid me l’aurait demandé, je me serais offerte à lui ici, en public, en pleine rue.
• Rachid, je t’aime. Je ferai tout ce que tu veux. Tu seras fier de moi, je ne te décevrai pas. Je suis prête à baiser avec tous ceux à qui tu voudras bien m’offrir. Merci chéri de m’offrir tant de plaisir.
• Tu ne seras pas déçue non plus, Olga, je veux t’offrir tout le plaisir que ton corps réclame.
• Ils seront combien aujourd’hui ?
• J’ai dû établir des listes d’attente. Nous reviendrons ici chaque semaine et tu en as pour des semaines. Je ne veux pas simplement te faire saillir. Je veux que mes frères puissent bien profiter de toi, de ton corps, de tes trous. Ils vont te faire l’amour. L’abattage, ce sera une autre fois et à un autre endroit. J’ai donc prévu en moyenne une dizaine d’amants pour chaque après-midi passée ici.
• Tu ne seras pas jaloux de me voir jouir avec un autre que toi ?
• Ce ne sera pas la première fois.
• Tu prends des risques. Peut-être qu’ici je rencontrerai un autre mâle qui voudra m’avoir pour lui seul.
Je ne pensais pas alors à ce qui s’est produit ensuite avec Hassan.
• Pas de risque, tu es à moi et seulement à moi. D’ailleurs, pour ce qui concerne ton vagin et ton anus, j’ai posé comme condition préservatif obligatoire. Moi et seulement moi suis autorisé à jouir en toi. Je ferai une exception pour mes potes Kamel et Yanis, qui sont comme des frères pour moi et qui, à partir de la semaine prochaine, nous recevrons chez eux.
Nous commencions à être entourés.
• Rachid, tu ne t’étais pas vantée. Ouah, elle est superbe ta bourge !
• Et j’ai tenu ma promesse, je vous la ramène. Son mari voulait être cocu, il va être servi !
• Elle est beaucoup plus jolie que celle que tu nous avais amenée la dernière fois.
Ils parlaient de Sylviane, l’ancienne prof de Rachid, qui avait été sa proie pendant près de deux ans.
• Et vous verrez, elle est encore plus salope, plus chaude. Elle est insatiable, je compte sur vous les gars pour qu’elle prenne son pied.
• Et en plus, il parait que c’est l’épouse de T. On va bien la lui baiser, sa meuf, on va la démonter !
Nous nous sommes dirigés vers une entrée, et de là, vers une grande cave où était installé un matelas, des coussins, quelques chaises pour ceux qui allaient être spectateurs, avant de profiter de moi à leur tour. Sur une table, des boites de préservatifs.
Le lieu n’était pas sordide, comme je l’avais craint, il était correctement éclairé et était propre.
• C’est ici qu’on fait nos tournantes. C’est assez rare qu’on puisse avoir des bourge comme toi. Et avec le bouche à oreille sur tes performances, à mon avis, nous n’avons pas fini de venir chaque semaine à la cité. La prochaine fois, ce sera plus confortable. Notre pote Kamel nous mettra à disposition un appartement. Pour cette raison, il sera le premier à t’honorer. C’est OK pour venir chez toi la semaine prochaine, Kamel.
• Oui, c’est libre. Il ne faudra juste pas que ça arrive aux oreilles de mon grand frère Hassan, il me tuerait !
• Hassan ne sait pas ce qu’il perd. Bon les gars, on passe aux choses concrètes ! Olga est à vous, prenez-en soin ! D’autant que nous avons un spectateur !
C’est alors que je vis, installé sur une chaise, Philippe, que Rachid avait fait venir. J’allais faire en sorte qu’il ne soit pas déçu, il allait en avoir pour son argent.
• Faut quand même être vicieux pour mater sa meuf en train de faire baiser ! Mais puisqu’il aime ça, on va bien le cocufier !
• Tu es là, près de moi, mon Philippe. Ca augmente encore mon excitation. Profites-en bien, je sais que tu adores voir ta chérie prendre son pied. Rachid fait de moi une pute, c’est ce que tu voulais !
Rachid s’approcha, me prit dans ses bras, m’embrassa longuement, me dit à l’oreille « Je te ferai l’amour toute la nuit, je suis fier de toi », puis fit tomber ma jupe, passa par-dessus mes bras mon débardeur. Je n’avais pas de soutien-gorge, comme bien souvent et mes petits seins se dressaient, exprimant mon excitation. Le mini-string fut aussi descendu. J’étais désormais nue et offerte, ne portant plus que mon alliance, devenue symbole de mon adultère permanent.
• Elle est à vous. Faites-la bien jouir. Kamel, à toi l’honneur !
Kamel s’était déjà mis nu et s’approcha de moi, exhibant une verge dont l’érection était déjà impressionnante.
Je ne savais pas ce qui se passait en moi. Je ne me reconnaissais plus ! J’étais devenue, sous la coupe de Rachid, une espèce de garce qui utilisait, presque naturellement, le vocabulaire des garces. Et, plus grave encore, leur comportement ! Et le pire, c’était que je me sentais parfaitement à l’aise. Il n’y avait pas la moindre gêne en moi. C’était comme si j’avais toujours vécu ainsi : comme une pute ! J’étais devenue ce qu’ils appelaient une kahba, ce que dans l’histoire antique de mon pays on appelait une hétaïre. C’était ce que mon mari Philippe avait tant voulu et ça se réalisait sous ses yeux, dans cette cave de la cité de notre ville !
Kamel était tout en muscles fins et sans un seul gramme de graisse. Ses épaules, ses muscles pectoraux, ses muscles abdominaux, ses cuisses, étaient celles d’un adolescent qui pratiquait, régulièrement et intensément, un sport pour entretenir son corps. Et entre ses jambes, l’objet de mon désir! Un magnifique zob en érection, aussi imposant que celui de Rachid, mais avec une forme différente. Un gland très large, en forme de tête de champignon. Et il bandait très fort ! Il était dressé vers le plafond. Il paraissait très ferme et très dur. Le garçon avait gardé une légère touffe de poils noirs sur son pubis, mais tout le reste de son sexe - la hampe et même les bourses - était soigneusement épilé. Je jubilais en pensant à tout ce que ce sabre-là allait me donner comme plaisir. Je tendis la main pour le tâter et le caresser. Kamel me laissa faire un court moment, puis pris ma main pour lui imposer un mouvement de masturbation en douceur.
Je le regardais dans les yeux pendant que je le branlais légèrement. Je voyais à son sourire et aux petits gémissements presque inaudibles qu’il poussait, qu’il aimait cette entrée en matière. Il semblait de plus en plus excité. Je me demandais comment les choses allaient évoluer. Qu’est-ce qu’il voulait me faire – ou que je lui fasse- en priorité. J’étais tentée de me mettre tout de suite à genoux devant l’homme et de m’occuper de le faire jouir avec ma bouche. D’un autre côté, je voulais voir - et sentir- le magnifique engin prendre possession, à la hussarde, de l’un de mes trous. Je coulais littéralement.
Ce fut Kamel qui régla le problème en me susurrant à l’oreille :
• Je veux te baiser debout !
Cette idée d’être tirée dans cette position accentua encore plus mon excitation. Je voulais qu’il le fasse sans plus tarder.
Kamel était aussi impatient que moi. Il voulait me tirer et jouir, sans plus attendre. Je sentais qu’il voulait y aller en force. Qu’il voulait prendre son plaisir en me faisant mal. Qu’il voulait me prendre brutalement.
Plus tard, j’ai fini par comprendre que c’était ma manière de me tenir et de bouger qui déclenchaient chez les mâles, qui me regardaient ou me parlaient, l’envie de me tirer à la hussarde. C’était ce genre de sentiment que je déclenchais invariablement chez les hommes. J’étais le genre de femme faite pour être brutalisée. Rachid l’avis compris, comme Marie d’ailleurs. Kamel semblait hésiter encore un peu, pensant que je n’allais pas apprécier son comportement de brute. Il ne savait pas encore que j’adorais être brutalisée et avoir mal.
• Qu’est-ce que tu attends ? Montre-moi la force de ton zob ! Enfonce-le moi !
Il attrapa ma jambe droite en dessous du genou, la remonta très haut, et me souleva d’environ une dizaine de centimètres au-dessus du sol, pour pouvoir mettre ma chatte au niveau de son piston recourbé. Sa main gauche s’insinua entre mes cuisses et farfouilla un moment à la recherche de la meilleure manière pour permettre à son gourdin de prendre possession de ma chatte. Il y arriva, non sans peine. Et puis tout chavira !
Je sentis l’homme qui plia un peu les genoux pour se mettre sous moi et guider la tête de son engin entre mes grandes lèvres dégoulinantes de mouille. D’un coup violent, il me pénétra jusqu’au fond de mon vagin. Je poussai un hurlement, tant la pénétration avait été brutale et douloureuse. J’étais servie! La position verticale ajoutait beaucoup d’intensité à la force de l’engin qui limait furieusement les parois de mon vagin.
Rachid aussi avait pour habitude de me tirer furieusement. En me sodomisant chaque jour, il m’éclatait le cul sans aucune précaution, en me déchirant littéralement le sphincter. Mais ce n’était rien cette queue qui était en train de me déchirer la vulve. La forme courbée du monstre devait certainement augmenter sa force de pénétration. Kamel allait et venait en moi, en soufflant comme un phoque. Il me traitait de tous les noms d’oiseau, pendant qu’il me défonçait le con, relayé par les autres, spectateurs pour le moment, mais qui savaient que leur tout viendrait. Ils étaient fascinés et plein de mépris.
• Prends ça, espèce de pute ! Tu le sens bien ? Tu aimes le zob ! Tu es une pute ! Dis-moi « je suis une pute » ! Dis-le !
Mon excitation augmenta d’un cran à l’écoute des mots à peine audibles, crus et avilissants que Kamel prononçait. J’avais envie de lui répondre sur le même registre, mais je n’osais pas. J’avais envie de hurler les mots crus qui me venaient à l’esprit. Je me contentais pour le moment de pousser un cri de satisfaction à chaque fois que le mâle me pénétrait en force. J’écoutais le bruit impudique que faisait la verge de Kamel en allant et venant dans mon vagin. Ma cyprine s’échappait de dessous mes grandes lèvres et aller s’étaler par terre. Les clapotis que j’entendais ajoutaient de l’intensité au plaisir que je prenais et à mon désir de hurler pour pousser ce mâle à y aller encore plus fort.
• Encore ! Encore ! Tire-moi encore ! Continue de baiser ta pute ! Pute ! Je suis devenue une pute, la pute de Rachid ! J’adore être une pute ! J’adore ton zob ! J’adore les zobs comme le tien ! Nique-moi ! Continue de me niquer ! Regarde mon mari, comme il aime ça !
Assis sur une chaise, Philippe avait sorti sa queue et se caressait doucement.
• Ca te plait, mon chéri ?
• Oui, mon Olga, tu réalises tous mes fantasmes. Vas-y, mon amour, continue !
Kamel continuait de me défoncer la vulve avec force et brutalité. Le large gland, en forme de tête de champignon, qui le terminait, limait mon vagin avec fureur. J’avais mal. Mais que cette douleur était agréable ! J’étais accrochée à la nuque de Kamel. Et je continuais de recevoir avec délectation, ses coups de boutoirs de plus en plus forts et rapides. Je sentais qu’il fatiguait: il me portait depuis maintenant une dizaine de minutes. Je sentais qu’il était sur le point de jouir. Mais moi je voulais que cela dure encore longtemps.
• Ne décharge pas tout de suite ! Attend encore un peu ! Continue! Continue de me baiser debout ! J’adore ça ! Laisse la pute jouir avant toi ! Continue de la baiser !
Kamel, revigoré par la teneur fortement érotique de mes paroles, reprit de plus belle son pilonnage de ma chatte. Et il se mit lui-même à lâcher un flot de paroles crues, en écho aux miennes.
• Elle est bonne ta chatte! Le suivant, mon frère Yanis, veut te tirer par derrière ! Par ton cul ! Quand j’en aurai fini avec ta chatte, il te défoncera le cul !
Je sentais le plaisir monter, monter et continuer de monter très haut en moi. , jusqu’à atteindre des sommets. Et puis l’orgasme arriva avec force. Je m’accrochais encore plus fort à la nuque de l’homme et posais ma tête sur son épaule. J’eus tout de suite envie d’y mordre à pleine dents. Ce que je fis, sans même me poser la question de savoir si cela allait lui plaire. Il me faisait très mal et j’adorais ! Je lui rendais la pareille en mordant dans la chair de son épaule gauche ! Je le sentis qui se crispa une fraction de seconde, avant de reprendre le pilonnage intensif de mon vagin.
Je me mis à hurler comme une folle des dizaines de « oui ! » de jouissance, qui finirent dans un souffle pratiquement inaudible. Si je n’avais été retenue par le mur contre lequel Kamel m’avait plaquée et immobilisée et, s’il ne m’avait pas empoignée le dessous du genou pour remonter ma jambe, j’aurais chuté lourdement par terre, tellement je mes muscles étaient tétanisés.
Kamel continuait à aller et venir dans ma chatte en grognant. Et puis, tout s’arrêta subitement. Il y eut un silence qui dura une fraction de seconde, mais qui me sembla une éternité, puis un rugissement de lion sortit de la gorge de l’homme, qui se mit à éjaculer des litres de spermes, en plusieurs giclées, à l’intérieur de ma chatte. Je sentis le liquide qui ressortait, traçait un sillon le long de ma jambe gauche et allait s’étaler par terre sur le sol de cette cave.
Vaincu par la fatigue, il sortit sa verge, toujours en érection, de ma chatte et me déposa par terre.
Impatient, Yanis s’approcha à son tour et ne voulait pas me laisser de répit. Pour ces jeunes gens, je n’étais plus qu’une machine à plaisir. Excité par ce qu’il venait de voir, Il bandait très fort. Je sentis les mains de Yanis se mettre en mouvement et aller à la recherche de mes fesses et de mon cul.
Il me susurrait à l’oreille qu’il me sodomiser. En fait il n’utilisa pas cette terminologie; il me dit simplement qu’il avait envie de me baiser par derrière. Tout en continuant de parler de mon cul, de mes fesses, de mon trou de balle, il farfouillait le long de la raie de mes fesses à la recherche de mon anus. Je sentis un doigt qui s’arrêta longuement à l’entrée de mon anus et qui s’y insinua.
• Pute, le chemin est déjà ouvert ! Très ouvert ! C’est Rachid qui a ouvert la voie comme cela ? Tu as aimé ?
• Rachid m’éclate régulièrement le cul. Et il me fait encore très mal. Avec un tel zob, tu vas me tuer !
Je ne me posais aucune question. Je me demandais seulement comment il allait s’y prendre pour m’enculer. Rachid, pour me sodomiser, me mettait à quatre pattes. Yanis, lui, voulait le faire dans une autre position. Il empoigna mes chevilles et me fit lever les jambes et les replia de part et d’autre de ma poitrine. Il avait ainsi une vue totale sur ma chatte, encore toute dégoulinante et sur mon anus que je sentais palpiter. Il allait m’enculer dans cette position ! En jubilant, je me fis la réflexion que j’allais pouvoir admirer l’engin qui entrera et ressortira de mon cul.
Yanis plongea trois doigts dans ma chatte pour y recueillir une bonne dose de mouille, qu’il étala autour de mon anus palpitant. Il refit l’opération une deuxième fois en introduisant cette fois-ci deux doigts dans mon cul pour le lubrifier quelque peu, puis sans autre forme de procès, posa son gland, au milieu de mon anneau et donna une forte poussée à ses hanches.
• Prends espèce de pute ! Je vais te démolir le cul !
Dès qu’il pénétra dans mon anus, son engin réveillé la douleur des sodomies de Rachid. J’avais le cul en marmelade. Mais mon Dieu ce que le spectacle de ce magnifique vit qui entrait et sortait de mon trou était divin ! La douleur que je ressentais à chaque pénétration était neutralisée par la merveille du spectacle que j’avais sous les yeux. Yanis faisait maintenant sortir totalement son engin de mon cul, attendait une fraction de seconde, pour que je profite du spectacle, et repartait à l’assaut de mon boyau avec encore plus de brutalité que la fois précédente.
J’étais au paradis ! Je pensais avoir connu, avec Rachid, le paroxysme du plaisir, et je ne pensais pas qu’il pouvait y avoir plus que cela. Yanis prit ma main et la guida vers ma chatte. Il lui imprégna un mouvement montant et descendant entre mes grandes lèvres.
• Caresse-toi la chatte ! Branle-la !
Il voulait que je me masturbe en même temps qu’il m’enculait. Cette idée me parut tout de suite merveilleuse. J’introduisis trois doigts dans mon vagin et me mis à me branler énergiquement. Une double pénétration ! La sensation que me procuraient la bite de Yanis allant et venant furieusement dans mon cul, en y allumant un véritable incendie et mes doigts qui faisaient le même mouvement dans mon vagin, étaient indescriptible. Et le frottement de mes doigts sur l’engin de Mohand, à chaque fois qu’ils se croisaient à travers les parois rectale et vaginale, créait en moi - en nous - une forte décharge qui nous faisait tirer à tous les deux un immense rugissement de plaisir.
J’aurais voulu que cela dure longtemps, très longtemps. Ceux qui attendaient leur tour avaient sorti leur queue et ne pouvaient plus attendre, se branlaient. Ils s’approchèrent. L’un m’enfonça son pieu dans la bouche, pour que je le suce. Un autre me plotait les seins sans ménagement. Trois autres étaient proches, je savais qu’ils allaient gicler sur moi.
Ni Yanis, ni moi ne purent arrêter l’orgasme qui fonçait sur nous. , tel un ouragan. Je fus la première. J’avais l’impression de mourir, tant la sensation de plaisir était immense ! Je haletais et la bite qui occupait ma bouche m’étouffait.
Je ne sentais plus les battements de mon cœur. Je crus un moment qu’il s’était arrêté. Celui à qui je pratiquais une fellation se vida dans ma bouche et attendit que j’aie tout avalé avant de se retirer. Ma bouche dégoulinait de bave, le sperme coulait aussi sur mon menton ! Et je hurlais ! Les mots se bousculaient dans ma bouche et n’arrivaient pas à sortir dans un ordre compréhensible. Des tas d’images et d’idées me traversaient l’esprit, que je n’arrivais pas à exprimer avec des phrases ou des mots. Tout ce qui pouvait sortir de ma bouche, c’était une série de « oui ! », qui me semblait-il, suffisaient à exprimer tout mon plaisir. Tout le plaisir que je prenais à me faire enculer par Yanis et à me masturber en même temps, à m’offrir à la débauche la plus totale et la plus avilissante.
Yanis, qui, pendant tout ce temps, continuait imperturbablement à pilonner mon cul en me traitant de kahba, attendit la fin de mon orgasme pour prendre la relève et décharger dans un rugissement d’enfer à l’intérieur du boyau. Je le sentais qui se remplissait de foutre brulant et épais.
Il déversa, en plusieurs giclées successives, une quantité incroyable de sperme. Quand il se retira, il resta un long moment à regarder le liquide blanc et visqueux qui s’échappait de mon anus, pour aller s’étaler sur le sol de cette cave, où ces jeunes honoraient comme il se devait l’épouse d’un des notables de la ville, que leur avait offerte leur pote Rachid.
C’est à ce moment-là que je reçus des autres qui se branlaient près de moi une douche de sperme. J’en reçus sur le visage, les cheveux, les seins. Parmi ceux qui m’honoraient ainsi, il y avait Rachid, mais aussi mon mari Philippe, qui me tenait la main et me disait des mots d’amour.
Dans ma tête, plein de choses se bousculaient. Je me disais que ces jeunes allaient me baiser plusieurs fois encore et qu’il allait me transformer en chiffe molle, sans tonus et énergie.
J’espérais être à la hauteur de leurs désirs. Jamais je n’avais poussé jusque-là mon hypersexualité. Il me restait encore beaucoup de chemin à parcourir.
• Tu es fatiguée ? Tu n’en as pas encore fini avec eux, ils vont t’épuiser, me dit Rachid.
Un nouveau mâle me prit par les hanches, me força à me mettre à quatre patte sur le matelas et entreprit de me tirer en levrette. J’étais morte de fatigue. Je me disais que je n’allais rien ressentir et surtout, que je n’allais lui donner aucun plaisir. Mais au bout de quelques secondes, au moment où le gourdin pénétra dans ma chatte et que sentis les bras puissants de l’homme tirer sur mes hanches pour une pénétration à la hussarde, l’excitation et le désir revinrent en trombe. J’eus un autre orgasme aussi puissant que les précédents
Quand nous quittâmes cette cave, tard dans l’après-midi, avec la promesse que je reviendrais chaque semaine, j’étais sur les genoux. Mais tellement heureuse.
Je n’avais plus la force de prendre une douche, pour effacer la trace de mes ébats. Je commençais par rejoindre Philippe dans son lit.
• Tu ne dors pas encore ?
• Non, je t’attendais ! C’était merveilleux mon Olga. Tu as pris beaucoup de plaisir, tu as beaucoup joui. Tu me rends heureux, ma chéri
• On en parlera demain mon chéri, je suis fourbue ! Je ne tiens plus debout !
• Je veux tout savoir sur les sensations que tu as eues, sur les capacités sexuelles de tes amants. Tu es encore pleine du sperme de tes amants ! Montre à ton cocu de mari les traces de ton bonheur !
Les paroles de Philippe avaient sur moi un effet très fortement aphrodisiaque. Philippe me lécha la chatte et l’anus et avala toutes les sécrétions qui y étaient restées. Mais c’est à Rachid, mon homme, que je m’offrais une dernière fois, et bien entendu devant mon mari, car je savais combien il adorait ça. . Même morte de fatigue, je ne pus résister au désir de subir ses assauts. Et cette nuit-là encore, Rachid se comporta en amant vraiment à la hauteur. Je n’eus aucun besoin de simuler l’énorme jouissance qu’il m’avait procurée, en me tirant comme un taureau !
Et pourtant Rachid allait encore me faire aller plus loin dans mon hypersexualité.

Les avis des lecteurs

@ Leo, je n'ai pas tenu de comptabilité précise. Ca a commencé au printemps 2008 et j'y suis allée chaque mardi après-midi, sauf pendant une partie de ma première grossesse (à partir du 3ème mois) et ce jusqu'à la rupture avec Rachid, à l'automne 2009, ce qui fait donc environ neuf mois. Il y a avait en général entre 3 et 5 jeunes qui en profitaient. Donc ils ont donc été nombreux à être instruits

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Combien de jeunes as-tu ainsi "instruit", lors de ces séances à la cité?
Leo

@ Didier, tu as raison de conclure en relevant qu'à l'époque nous n'avions aucune limite, Philippe poussé par son candaulisme, moi par mon hypersexualité. Nous poursuivions notre descente aux enfers, avec une réputation ruinée et obligés de changer de domicile à cause du scandale. De par notre faute, rien ou presque ne nous fut épargné.

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Olga,
Ce récit n'est que la démonstration de ce que j'ai appelé dans mon précédent commentaire "ta fuite en avant", répondant de plus à l’une de mes précédentes interrogations.
En effet, ton désir de jouissance étant vraiment insatiable comme l’est tout autant l’envie de Philippe d’y assister, et confortée de plus par la récompense d’étreintes viriles de ton Mâle, tu ne peux donc que poursuivre dans cette voie de perdition, sur laquelle Rachid t’entraine.
C’est ainsi que sur ses préconisations et celles de l’infâme concierge complice, tu te vois séduire et pervertir la majorité ou presque de la gente masculine de ton immeuble, en faisant les maris adultère, et en déniaisant les fils...
Mais surtout, Rachid poursuit son plan de perdition et d’humiliation envers votre couple, en t’emmenant dans sa cité afin de t’offrir aux jeunes pour des tournantes hebdomadaires.
Là, affublée comme telle, fière de faire plaisir à ton Homme, et sous le regard émerveillé de ton bien aimé Philippe, cela te semble d’un coup naturel de faire la pute.
En effet ton excitation est telle, que tu en perds toutes inhibitions et que tu te donnes ainsi, sans contraintes aucunes, à tous ces jeunes pour leur plus grand plaisir.
Eux qui cependant n’ont aucune retenue à ton égard et que du mépris envers Philippe…
Le soir venu, fatiguée, repue, et heureuse par cette après-midi de jouissance, tu as la satisfaction d’obtenir les remerciements de ton Philippe et la récompense tant espérée, dont tu es tant friande, une puissante saillie de ton Mâle Rachid...
Je conclurai mon propos ainsi, en te disant juste qu’après la lecture de ce chapitre, la réponse à son titre ne peut-être que "non aucunes...".
Didier

@ Ibrahim
Oui j'étais totalement sous emprise alors

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ahah ton séjour en grece a bien dérapé ma salope. pas surpris vu comme tu t'y es faites soulevé avec l'autre pute
ton immeuble a perdu une décharge à foutre. heureusement que t'y repassais souvent pour purger le consierge et son fils. les autres pouvaient encore en profiter
y a un droit d'entrée à payer pour les cocus qui veulent entrer dans la cité mater comment on tronche nos chiennes. et toi t'es faite pour les caves. t'y a bien décolé ma salope. les deux potes de Rachid gèrent bien. ils t'ont mis à l'amende et t'en a jouis de fou. t'as eu ta dose avec eu et t'a appris qu'on partait pas de là tant que toutes les couilles étaient pas vide
Ibrahim

Merci à tous pour vos commentaires. Pour nos amis du couple qui a commenté, vous avez raison, j'en parlerai plus tard, il y a encore d'autres choses à raconter avant. Merci aussi à Mourad qui n'a pas oublié. Moi aussi j'ai eu beaucoup de plaisir à cette cité.

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Olga, On m'avait dit que tu avais raconté cette journée sur ton blog, aujourd'hui fermé. J'ai appris il y a peu que tu racontais votre histoire sur ce site. C'était il y a près de 10 ans. Je faisais parti de ces jeunes, si fiers de pouvoir baiser une telle femme, épouse d'un notable. Un moment inoubliable. Merci tout simplement! Mourad

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Je n'ai jamais autent joui en lisant une histoire
-Clary

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Olga tu as été un vrai service public pour ces jeunes! Luc

Super, vivement la suite.
Je pense qu'il ne faut pas mélanger l'histoire de maintenant avec la suite de ton récit.
Ou alors faire une suite de l'histoire que tu avais commencé la fois dernière avec N...
A bientôt...

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Philippe l'a voulu, on peut dire qu'il est servi! Maurice

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Hum, très chaud! J'ai adoré! Clara



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (20) : aucune limite à l’hypersexualité et au candaulisme ?
Histoire sexe : Une rose rouge
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