Titre de l'histoire érotique : Guillian attend le train

- Par l'auteur HDS MisterScenar -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Guillian attend le train Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Titre de l'histoire érotique : Guillian attend le train
Je m'appelle Guillian, je viens d'avoir mes 18 ans le 14 septembre dernier, le jour où a commencé mon bachelier en informatique de réseau dans une Haute Ecole à Bruxelles. Je fais 1m82, 60 kg, j'ai les cheveux bruns foncés, courts, des yeux noisette et des lunettes qui renforcent sans aucun doute dans mon apparence le geek que je suis. En effet, depuis très jeune, je suis passionné par l'informatique, les jeux vidéos et les technologies et j'y passe tout mon temps libre. Je n'ai jamais rien vécu ni amoureusement ni sexuellement. J'ai même parfois envie de penser que ça ne m'intéresse pas, un peu comme si j'étais en couple avec mon ordinateur.

Pourtant malgré mon look boutonneux d'ado en pleine puberté, je semblais plaire aux filles de mon école secondaire, et même à un mec, Thomas, qui ne me l'avait pas caché. Je n'étais même pas flatté par l'intérêt qu'ils me portaient, ça ne m'intéressait pas tout simplement. Je ne vais pas mentir, à 18 ans, j'avais quand même les hormones qui me travaillaient depuis quelques années mais jusque là, je me contentais une fois par semaine à satisfaire mes pulsions dans une masturbation rapide à l'appui de photos ou vidéos que je trouvais sur Internet. J'avais néanmoins pu remarquer que dans ce que visionnais, j'étais régulièrement fixé sur les sexes masculins que je voyais. J'ai longtemps pensé que c'était parce que moi même je ne pouvais pas prétendre être fort gâté par la nature avec mes petits 15cm assez fins et que je fantasmais sur le potentiel d'en avoir une plus grosse et plus longue ayant peur de ne pas pouvoir satisfaire un ou une partenaire sexuelle. Oui oui vous avez bien lu, je parle de un ou de une. Je ne me décrirais ni comme hétéro, ni comme bi, ni comme homosexuel parce qu'aucune des trois possibilités ne m'apparaissaient comme une évidence et aucune ne me dégoûtait non plus.

Je prenais le train tous les jours pendant environ 30 minutes. Je ne connaissais personne de ma classe qui démarre de la même gare que moi et au final ça m'était un peu égal puisque même là j'étais plongé dans mon univers d'obsédé de technologies. Depuis la rentrée, on peut dire que je m'étais un peu plus socialisé que dans mon cycle d'études précédent mais il faut reconnaître que quand on est entouré de personnes qui ont les mêmes passions que vous, ça aide à interagir plus facilement. On était une majorité d'hommes, seule une fille était inscrite dans notre cursus mais on ne peut pas dire qu'elle était le centre d'intérêts de tous les mâles qui l'entouraient. J'étais devenu proche de 3 mecs de ma classe et on finissait par se retrouver le soir derrières nos écrans à jouer à des jeux de rôle en réseau. On a bien parfois tenté le sujet des filles, de l'amour ou du sexe mais on aurait pu croire que tous étaient comme moi, des vrais puceaux de tout même si certains essayaient de sauver l'honneur en prétendant avoir déjà plein d'expériences. Nous en rigolions beaucoup car nos fantasmes exprimés avaient plus l'apparence d'un jeu vidéo que d'une once de réalité.

Les semaines passaient et j'aimais vraiment beaucoup ce que j'apprenais dans les différents cours qu'on nous enseignait, je savais que c'était ma voie. Au fil du temps, je me suis surpris à observer attentivement un de mes profs, M. Leguen, Il devait avoir l'âge de mon père mais je dois bien reconnaître que tant son physique que ses attitudes ne me laissaient pas indifférent. Je me suis même à ce moment là demandé si mon orientation sexuelle n'était pas grâce à lui en train de se déterminer d'elle-même. Il avait une voix grâve et chaleureuse, une barbe plutôt bien entretenue et un corps assez musclé. Il n'avait pas le profil type des informaticiens tels qu'on peut se les représenter, du moins dans mon esprit. Jamais je n'aurais imaginé tenter quoi que ce soit pour l'approcher, j'étais bien trop timide. Les semaines ont passé et notre bande de potes s'étoffait de deux ou trois autres éléments mais jamais nous n'allions prendre un verre ou n'organisions de sorties, nous préférions tous rentrer nous retrouver virtuellement.

Un soir, un des potes commença à parler sexe via son casque-micro. C'était lui le plus vantard de tous mais aussi celui qui ne pensait qu'à ça tout le temps. Jean-Marc lui répondit "Oh ça va Quentin, on sait que t'as tout vécu, tout connu, mais dans le monde réel, tu n'as jamais fait que te masturber matin, midi et soir. Tu crois qu'on ignore ce que tu vas faire dans les toilettes pendant cinq minutes tous les midis? Il est vraiment temps que tu tires ta crampe toi". Et sur le ton de la rigolade, Xavier rajouta "si tu as besoin que quelqu'un accepte de te toucher, tu peux même payer pour ça tu sais?". Tout le monde éclata de rire. Pour une raison que j'ignore, Quentin s'adressa à moi en disant que je pouvais bien rire mais que je ne racontais jamais rien de sexuel, qu'il serait peut-être temps que je m'y mette aussi. J'ignorais pourquoi il s'attaquait à moi et je rétorqua "Le jour ou je te fourrerai ma queue dans la bouche, tu ne pourras plus parler". Il y eut un drôle de silence, comme une gêne et j'ai donc décidé d'enchaîner en disant "Faites pas les choqués les gars, je l'ai remis à sa place mais on aurait tous grave envie de se faire sucer, non?" La conversation partait en cacahuète et j'étais moi-même surpris d'avoir osé dire ça. Pour tenter d'échapper à des explications complémentaires, je leur ai annoncé que je quittais le jeu pour ce soir-là et que j'allais me coucher. Xavier rajouta une couche en disant à tous "A mon avis il va aller se toucher la queue en attendant que Quentin vienne lui lécher son membre". Et à moi d'enchaîner "Hmmm, oui Quentin je t'attends! Ciao les mecs". Je ne sais pas ce qui s'est dit après mon départ mais une chose est certaine, je ne me reconnaissais plus. Je me suis mis sur mon lit et ai pensé à Monsieur Leguen, ce qui m'a filé une érection directe et il n'a pas fallu une minute avant que je ne jouisse dans un grand râle de plaisir.

Le lendemain, mercredi, nous n'avions que trois heures de cours justement avec Monsieur Leguen. Il faut reconnaître que se lever pour un seul cours c'était chiant mais en ce qui me concernait, vous comprendrez que j'y trouvais un certain plaisir arrivé sur place. Je suis donc monté dans le train, craignant un peu que la conversation d'hier soir ne revienne sur le tapis avec les potes. J'arrive à la gare terminus où se trouve mon école et à peine sur le parvis devant la grande entrée, je reçois un message sur mon téléphone. Le secrétariat nous informe que M. Leguen a dû s'absenter et que les cours sont donc annulés ce jour. J'étais doublement dégoûté, d'une part d'avoir fait le chemin en train, d'autre part de rater l'occasion de mater mon fantasme pendant trois heures. Je fais donc demi-tour en me rassurant de ne pas devoir affronter mes amis en face à face.

Mon train de retour est dans une heure, je me demande ce que je vais faire pendant tout ce temps. Je m'achète une boisson et un snack au distributeur et me dirige vers le quai. J'avais une drôle de sensation d'être suivi dans les couloirs de la gare mais chaque fois que je me retournais, je ne voyais qu'une foule courant dans toutes les directions. Je monte l'escalier du quai 14 et je vois que mon train de retour est déjà annoncé sur le quai et attend l'heure stationné en gare. Les portes sont ouvertes et je décide donc de monter attendre le départ au chaud. Je m'installe et surfe un peu avec mon téléphone en attendant.

Peu de temps après, un homme d'une trentaine d'année rentre dans le wagon, me salue et s'installe à une place où il a une vue directe sur moi. Cela fait cinq minutes qu'il est là et je sens son regard fixé sur moi, je soulève les yeux et il m'adresse la parole en me disant que ça fait long d'attendre comme ça. Je bredouille un "Oui en effet". Il en profite pour se lever et venir s'asseoir juste devant moi. Je le trouvais vraiment pas gêné mais je dois bien reconnaître que physiquement il ne me laissait pas complètement indifférent. J'ai tout à coup eu l'oeil attiré sur la fermeture éclair de son pantalon qui était béante, je pouvais distinguer la couleur de son caleçon. La direction de mon regard ne lui a pas échappé et il me lance un "Intriguant n'est ce pas?". Je suis un peu gêné et je réponds par un "Euh... oui" ne sachant pas vraiment ce qu'il aurait été préférable de dire. Une chose est certaine, je sentais que l'excitation montait en moi.

C'est là que ce beau mec s'installe à ma gauche et glisse sa main sur ma jambe. Je suis vraiment troublé et j'essaie de dire quelque chose mais on dirait que je suis devenu aphone. Il laisse glisser sa main vers mon sexe, j'ai mes sens en ébullition mais reste tétanisé par la peur et l'excitation cumulées. Il arrive à mon entre-jambes et me malaxe le paquet déjà bien dur. Il me regarde et dit "On dirait que je te fais de l'effet". J'acquiesce d'un signe de la tête sans jamais bredouiller le moindre son ou mot. Il prend alors ma main et la pose sur son entre-jambes, il accompagne ma main pour lui malaxer à son tour le paquet qui semble déjà bien en forme également. Je ne sais plus ou me mettre, cette situation m'excite au plus haut point, j'ai déjà l'impression que je vais jouir. Sans gêne il sort son sexe de son caleçon et pose ma main sur son membre devenu bien dur. C'était certain qu'il était bien mieux monté que moi, je commençais un timide va-et-vient avec ma main. Il me disait de me laisser aller à mes envies, je le regardais dans les yeux fixement comme attendant un ordre ou tout au moins une consigne. Il prit sa main et accompagna la mienne sur son sexe pour imprimer un rythme plus soutenu, je m'appliquais à la tâche. Il me demande si je voulais le sucer. Une fois de plus j'étais comme paralysé mais ai réussi à sortir un timide "Ici?". Il me répondit "Tu serais plus à l'aise dans un endroit plus intime?". Je le regardais bêtement ne sachant moi même pas vraiment ce que je voulais sur le moment. Il prit l'initiative de se lever et de me prendre la main pour que je l'accompagne. Il se dirigea vers une toilette du train mais elle était fermée à clé. Sur le moment j'avoue que j'étais rassuré parce qu'il y a plus glamour et plus confortable que les toilettes d'un train.

Il me lâcha la main, me regarda et m'ordonna de le suivre. Sans réfléchir je lui emboîtais le pas et le suivait dans les couloirs de la gare. On aurait dit qu'il était clairement habitué des lieux. On est arrivés aux toilettes de la gare, il a déposé vite fait deux pièces dans l'assiette à l'entrée. A l'intérieur des toilettes hommes, il y avait un homme déjà en train d'uriner, il me glissa à l'oreille de rentrer dans la toilette assise du milieu et d'attendre. Pendant ce temps là, il se dirigea vers un urinoir. L'homme déjà présent se dirigea vers l'évier, se lava les mains, les sécha et sortit de la pièce. Mon inconnu se glissa immédiatement dans ma toilette. Je l'attendais là assis et lui était devant moi debout. Il sortit de nouveau son membre et me le présenta à l'entrée de la bouche. Une fois de plus, j'obéis sans rien dire et enfourne son membre encore bien en forme dans la bouche. J'avais beau avoir déjà fantasmé sur ce type de situation, je n'avais aucune idée de ce que je devais faire pour le faire bien. Il me donnait donc des consignes telles que "fais bien aller ta langue autour de mon gland", "serre bien ta bouche quand tu fais des va-et-vient", "lèche moi les couilles". Cette situation était d'autant plus excitante pour moi que j'entendais les voyageurs rentrer et sortir de la pièce sans jamais s'imaginer ce qui pouvait se passer à l'intérieur d'une des toilettes. Mes hormones ne cessaient de bouillir en moi et j'ai finis par lâcher la purée dans mon caleçon sans même me toucher mais en gémissant un clair et audible "je jouis". J'imagine que les voyageurs ont entendu, il y eut un profond silence pendant quelques secondes puis la vie reprit son cours.

Pendant ce temps mon inconnu avait un sourire béat, il me prit par le bras pour me lever. En un coup sec, il baissa mon pantalon et mon boxer en même temps. On pouvait apercevoir la mare de mon jus imprégner mon sous-vêtement. Il me retourna, posa mes bras sur la chasse d'eau et commença à me tripoter la rondelle, puis à descendre la lécher, il y introduisait un doigt, puis deux. Même si je venais de jouir, j'étais de plus en plus excité et c'est moi qui lui ai tout à coup ordonné un "Prends-moi!". Il n'a pas réfléchi plus de dix secondes avant de se relever et d'introduire son sexe bien dur au fond de mes entrailles. La sensation était bien évidemment étrange mais j'en voulais plus, je n'étais plus moi même. J'ai tenté de commencer un va-et-vient de moi-même mais mon inexpérience ne facilitait pas la chose. Il m'a donc fait comprendre que je devais rester en place et c'est lui qui a enclenché un mouvement de bassin régulier qui me faisait gémir un peu plus à chaque coup de butoir. Il en est même arrivé à mettre sa main sur ma bouche pour tenter de rester discret. Son rythme a commencé à s'accélérer, je montais vraiment au 7e ciel. Ses coups de bite s'enchaînaient encore et encore quand lui même a tout a coup commencé à gémir lorsqu'il a déversé son flot de sperme au plus profond de mon cul. C'est à ce moment que j'ai joui une seconde fois sans même me toucher, je n'en revenais pas.

Il lui a fallu quelques secondes pour reprendre ses esprits, temps pendant lequel on s'est rhabillés. Il a ensuite rapproché sa bouche de la mienne et m'a dit "Tu n'attendais que ça n'est ce pas?". Sans attendre a réponse il m'a embrassé à pleine gorge. Je venais de vivre une expérience inoubliable et certainement déterminante pour ce que je deviendrais.

On est sortis de la toilette, un homme nous a regardé à travers le miroir et nous sommes sortis faisant semblant de rien. On a marché quelques pas quand trois policiers sont venus vers lui en lui disant "Te voilà toi, ça faisait longtemps qu'on te cherchait". Un autre policier m'a regardé et m'a demandé si ce monsieur m'avait fait du mal parce qu'il était connu des services de police pour viol successifs de plusieurs jeunes hommes comme moi. J'ai répondu immédiatement "Ah non pas du tout, cet homme ne m'a fait aucun mal". J'avais envie de rajouter "que du contraire" mais je savais que ça lui porterait préjudice. Le policier m'a remercié et ils ont emmené mon amant inconnu. J'espérais qu'il serait vite relaxé parce que j'avais très envie de le revoir.

J'ai regardé l'heure, j'avais raté mon train d'un quart d'heure et me dirigea à nouveau vers le quai 14 pour monter dans le train suivant stationné en espérant secrètement qu'un autre homme m'y rejoindrait. Je savais désormais que j'aimais la bite!

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très bon récit.
J'en ai fait moi même un un peu semblable. J'ai fréquemment vécu ce genre de situation dans des toilette. j'aime bien mater les gars en train de pisser et les sucer dans ces conditions et même faire mettre aussi affinité !

mon site: http://jeracontemaviesexuelle.over-blog.com

Histoire Erotique
salut a toi tres belle histoire pour une premier experience entre mec vivement la suite a bientot

Histoire Libertine
Wow!!! Tu es doué pour raconter!!! Vivement la suite!!!!!!



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Guillian attend le train
Histoire sexe : Une rose rouge
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