Eriliel au Château (suite de l'épisode 692) -

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Eriliel au Château (suite de l'épisode 692) - Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Eriliel au Château (suite de l'épisode 692) -
Eriliel au Château (suite de l'épisode 692) -
Mon attente fut longue durant la soirée et au bout d’un moment, le Maître, voyant que mes bras faiblissaient, m’autorisa à changer de position. Je me tournai d’un quart de tour, dos au Châtelain, et posa mes épaules et mon visage plaqué au sol, les bras de chaque côté de ma tête. Je laissai Monsieur le Marquis poser alors ses pieds sur mon cul relevé, exposant au passage mes parties intimes mouillées de mes sécrétions et mon cul orné du plug, cul bien relevé exposant tout l’arrondi de mes fesses.

- Eh bien, quelle belle vue tu m’offres là, c’est un peu moins confortable mais tu me donnes de belles idées, petite chienne, dit-il en posant ses pieds.

Il se remit à lire un moment et ne faisait plus attention à ma présence et je fermais les yeux, gouttant à ce petit repos. Je finis par rouvrir les yeux car je sentais le pied du Noble s’amuser avec le plug. Je ne l’avais pas entendu fermer son livre. Je mordillais ma lèvre inférieure pour ne pas gémir. Je me cambrai un peu plus pour bien présenter le plug et mon sexe bien offert. Le Maître enleva ses pieds et se leva en me donnant une petite tape sur les fesses, tout en fouillant mon sexe déjà fort trempé d’excitation.

- Allez viens Ma chienne, monte dessus et remet toi comme tu étais, dit-il en me montrant une petite banquette.

Je me mis les genoux près du bord, les pieds écartés dans le vide, le cul bien en l’air. J’étais un peu en travers, le visage dans les coussins et me positionna le corps en levrette. Monsieur le Marquis se mit derrière moi et commença à me caresser chaque fesse avec une évidente envie de s’occuper de moi, ses mains étaient douces mais très baladeuses, elles allaient d’une fesse à l’autre tout en fouillant de nouveau ma cavité vaginale pour y trouver une forte humidité. Alors ensuite, je l’entendis défaire son pantalon. Il approcha sa queue de ma chatte et je le senti pousser sur mes petites lèvres. Il entra doucement en moi, voyant sûrement que j’étais très serrée, humide mais serrée.

- Hmmm, tu es bien serrée chienne, c’est bon, mais tu verras, ici tu vas apprendre à te laisser pénétrer plus facilement.

Il fit de lents vas et vient en s’amusant à en faire aussi avec le plug, assouplissant mon anus et me détendant. Je gémissais légèrement mais le Noble ne disait rien. Il finit par enlever le plug et se retirer de ma chatte. Il présenta ensuite son gland sur mon anus, légèrement ouvert par le plug mais pas assez pour passer l’imposante queue du Maître. Je le sentais pousser contre ma rosette qui s’ouvrait doucement. Afin de lui rendre plus accessible, je mis mes deux mains sur mon cul et l’écartais le plus possible. J’avais le souffle court, totalement concentrée sur l’entrée de cette queue à un endroit très très peu utilisé. Je ne gémissais plus, comme muette par ma concentration et une certaine appréhension. Monsieur le Marquis caressait le haut de mes fesses et le bas de mon dos pour me détendre. Il continuait à s’enfoncer, entièrement. Une fois profondément en moi, le Châtelain attrapa ma natte et tira ma tête en arrière pour me susurrer à l’oreille :
- Tu n’as pas intérêt à gémir, tu n’es que Mon esclave, alors subit en silence.

Il se redressa et commença des vas et viens, quelques-uns lents, mais il augmenta vite la cadence. Il tenait toujours ma natte pour me faire relever la tête en arrière et je me cambrai du mieux que je pouvais en mordillant ma lèvre inférieure pour ne pas gémir. De sa main libre, il s’amusa à me laisser des traces rouges sur mon cul en me fessant. Il m’enculait fortement si bien que j’avais du mal à rester silencieuse. J’avais les larmes aux yeux, les mâchoires serrées, mon cul me brulait légèrement mais j’étais excitée plus que jamais et cela irradiait en une forte chaleur dans mon bas-ventre. Je commençais à prendre vraiment du plaisir, et cela me troublait profondément et faisait défaillir mes sens que cela se fasse par le cul, chose que je n’avais osé penser avant. Le Maître devait le voir car il me dit :
- Tu aimes, chienne ? Retiens-toi de jouir, tu n’as le droit qu’après Moi.

Il m’encula un long moment sans ménagement. Mon plaisir montait de plus en plus si bien que je fis tous les efforts possibles pour retarder ma jouissance. Sa verge si raide, si gonflée, longue et épaisse me pénétra donc profondément le cul, par des vas et viens cadencés d’abord, jusqu’à la garde, entre mes reins, profonds mais en des mouvements alternant cette cadence rapide puis ensuite plus amples et lents presque lancinants pour de nouveau être rapides, je sentais qu’il voulait prendre un maximum de plaisir dans mon cul en multipliant les sensations selon le rythme qu’il décidait en alternance. Puis au bout d’un moment, il garda toujours la même allure, la même cadence, je le sentais me ramoner, me remplir en me procurant des plaisirs jamais jusqu’ici égalés. Cette sodomie devenait sauvage, animale mais j’en mouillais terriblement ! Plaisir physique, mais pas seulement, mon cerveau bouillonnait. Je me faisais enculer, tel un simple objet, une sodomie profonde, rapide comme ça, pour son plaisir, une pénétration sans jouissance avant la sienne, mon cul s’échauffait et ça m’excitait encore plus… Je me cramponnais. Je mis mes bras tendus sur le devant et ils ne fléchissaient pas ainsi et je me laissais porter et empaler en écoutant à côté les râles de plus en plus pressants de Monsieur le Marquis. Sans doute allait-il ne pas tarder à jouir ?…
Apparemment pas encore car je me faisais toujours prendre par le cul avec vigueur, bestialement. J’aimais ça, j’aimais cette animalité, je me laissais aller à mes sensations, je me laissais démonter sauvagement car je l’avoue avec cette bite dans mes entrailles, je n’étais plus qu’un trou à plaisirs, à bourrer, à jouir. J’aimais sentir ses couilles taper contre mes fesses, j’aimais cette sauvagerie, cette saillie animale et je voulais ce membre tendus encore plus profondément si cela pouvait être possible, mais je sentais bien qu’il était au maximum de la profondeur de la pénétration car la base de sa hampe cognait contre l’entrée de mon anus en même temps que ses couilles. Je me laissais ainsi buriner, besogner en ayant cette impression que tant de zones de mon corps dont je n’avais même pas conscience se réveillaient excitées par des spasmes qui remontaient sur toute mon échine dorsale.

Lorsque enfin le Maître jouissait en moi, il inonda mon trou anal, je sentais sa semence chaude glisser dans mes entrailles grandes ouvertes…je ne pus me retenir plus et je jouis de concert, mes muscles se contractant sous les vagues de plaisir, comme si mon corps était pris de petites convulsions qui se multipliaient en d’autres spasmes de plaisirs jouissifs. Après avoir jouit, le Maître me tira par la natte et me fit descendre pour me mettre à genoux devant lui. Il me présenta son sexe et je le léchai pour le nettoyer comme une bonne petite chienne. Je ne pensais pas la moindre seconde à me rebeller, après ce moment intense, j’étais juste fatiguée, mais détendue. J’avais envie de prendre soin du Maître et de mener à bien tous ce qu’il me dirait. Fatiguée après un tel orgasme, je suivis le Maitre doucement, les membres en coton. Nous nous enfonçâmes dans le Château pour atteindre la chambre de Monsieur le Marquis. Un fois entrée, le Noble me regarda.

- Tu dormiras sur le tapis à côté de la cheminée cette nuit, dit-il un sourire aux lèvres.

Je regardais l’endroit qu’Il me désignait. Le tapis avait l’air doux. Malgré le repos de la journée, j’avais besoin de dormir. Je me retournais vers le Maitre, il déposa un baiser sur chacune de ses chaussures, puis il me dirigea vers l’endroit sans me faire prier.

Je m’agenouillais, regardant le Châtelain se dévêtir pour aller se coucher.

- Allonge toi ma petite chienne, tu as besoin de repos, me dit-il.
- Bonne nuit Maitre, disais-je en baissant la tête par humilité et en signe de soumission
Je m’allongeais sur le côté, face à la cheminée, un bras sous ma tête. Du bout des doigts, je caressais le tapis, les yeux à demi clos. Je sentis le Maitre déposer doucement une couverture fine sur mon corps tandis que je sombrais dans le sommeil...

(A suivre…)

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