Titre de l'histoire érotique : Awena...Le Moulin...
Récit érotique écrit par Mondoi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-06-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Awena...Le Moulin...
Awena...Le Moulin...
Années 90, j'ai une jeune amante, Awena...
Celte d'Armorique - 19 Ans - Belle Brune aux Cheveux Longs - 1 m 70 - Bonnet C...
et malgré que mon épouse et moi soyons toujours en accord sur le sexe et la vie, je ne peux résister à la crise de la quarantaine avec une jeunette de 19 ans, j'en ai entre 31 et 35 à l'époque, et en pleine possession de mes moyens comme on dit, mon rôle d'initiateur s'impose de suite, reproduisant l'autorité sexuelle dont j'avais bénéficié sous la coupe de Martine, amante initiatrice dont j'ai souvent parlé sur Zity…
Bien sur, je ne peux la ramener chez moi pour assouvir nos envies et désirs charnels, pas plus que d'aller chez elle qui vit chez ses parents, alors à part l'hôtel quelques fois, ou profitant de l'absence de Mondoite descendue chez sa mère en province avec les enfants, nos errances nocturnes sont souvent extérieures, à la recherche d'un endroit romantique et discret…
Squares et jardins publique durant la nuit, hall d'immeubles, garages privés en sous sol, le cimetière du quartier dont je connais une entrée secrète, tout endroit un peu sécurisé est bon pour nous, c'est ainsi que telle une apprentie, ma jeune amante va découvrir la jouissance par le cunnilingus, apprendre à pratiquer sur moi des fellations magnifiques, et perdre ses deux virginités…
Allongée sur des capots de voitures, accroupie aux pieds des bancs publique ou assise sur moi, debout contre un mur, en levrette sur une tombe, aucune position n'échappe à son éducation, très gourmande et curieuse de tout ce qui touche au sexe, elle accepte de passer par les jeux de Sapho avec une de mes amie bisexuelle et ne refuse pas les jeux de pipi, même le plus honteux pour elle la première fois où je le lui fais…
Dans le cimetière de nos nuits débauchées, il y a un moulin en ruine en cours de rénovation, l'entrée en est interdite mais en poussant un peu sur les barrières, nous arrivons à nous y installer la nuit, près de la fenêtre à l'étage au parquet de bois, c'est là qu'elle a connue sa première relation annale profonde et qu'elle a découvert qu'elle était fontaine pendant la sodomie, mais c'est là aussi que je lui ai révélé que je ne détestais pas recevoir un doigt dans l'anus pendant la fellation…
Du coup, ce moulin devenait le lieux sentimental des révélations, rien n'y était interdit pour nous, et c'est ainsi qu'une nuit je lui ai fais connaître "l'Arrosage Intérieur", douche rectale au pipi que m'avait enseignée mon initiatrice, j'informais ma jeune amante que j'allais pratiquer ce jeux avec elle et après quelques hésitations, elle acceptait, très excité par la situation, j'éjaculais en elle pendant la sodomie mais restais dans son rectum pour vider ma vessie quelques instant après…
Pendant ma miction, elle eu quelques mots, - hummm, c'est chaud… - tu me remplis… c'est dégoutant…
Mais elle resta courbée devant moi en offrant ses fesses jusqu'à la dernière goutte, puis en se redressant, elle me demanda affolée où elle allait se libérer de "ça" car son sphincter sodomisé avait du mal à retenir la chose, je lui indiquais le réez de chaussé pour qu'elle soit seule pendant le rejet, elle descendit quatre à quatre les marches de l'escalier de meunier pour aller se cacher…
Quand elle revint dix minutes après, je lui demandais si ça allait, si elle avait aimée, elle me répondit en grimaçant que c'était dégoutant mais agréable, elle ajouta :
- En fait…? Tu m'as fais un lavement…?
La petite avait déjà gouttée à la chose m'avoua-t-elle après, dans le temps, pour une constipation, mais avec une poire à sa grand-mère, nous l'avons refais plusieurs fois.
Années 90, j'ai une jeune amante, Awena...
Celte d'Armorique - 19 Ans - Belle Brune aux Cheveux Longs - 1 m 70 - Bonnet C...
et malgré que mon épouse et moi soyons toujours en accord sur le sexe et la vie, je ne peux résister à la crise de la quarantaine avec une jeunette de 19 ans, j'en ai entre 31 et 35 à l'époque, et en pleine possession de mes moyens comme on dit, mon rôle d'initiateur s'impose de suite, reproduisant l'autorité sexuelle dont j'avais bénéficié sous la coupe de Martine, amante initiatrice dont j'ai souvent parlé sur Zity…
Bien sur, je ne peux la ramener chez moi pour assouvir nos envies et désirs charnels, pas plus que d'aller chez elle qui vit chez ses parents, alors à part l'hôtel quelques fois, ou profitant de l'absence de Mondoite descendue chez sa mère en province avec les enfants, nos errances nocturnes sont souvent extérieures, à la recherche d'un endroit romantique et discret…
Squares et jardins publique durant la nuit, hall d'immeubles, garages privés en sous sol, le cimetière du quartier dont je connais une entrée secrète, tout endroit un peu sécurisé est bon pour nous, c'est ainsi que telle une apprentie, ma jeune amante va découvrir la jouissance par le cunnilingus, apprendre à pratiquer sur moi des fellations magnifiques, et perdre ses deux virginités…
Allongée sur des capots de voitures, accroupie aux pieds des bancs publique ou assise sur moi, debout contre un mur, en levrette sur une tombe, aucune position n'échappe à son éducation, très gourmande et curieuse de tout ce qui touche au sexe, elle accepte de passer par les jeux de Sapho avec une de mes amie bisexuelle et ne refuse pas les jeux de pipi, même le plus honteux pour elle la première fois où je le lui fais…
Dans le cimetière de nos nuits débauchées, il y a un moulin en ruine en cours de rénovation, l'entrée en est interdite mais en poussant un peu sur les barrières, nous arrivons à nous y installer la nuit, près de la fenêtre à l'étage au parquet de bois, c'est là qu'elle a connue sa première relation annale profonde et qu'elle a découvert qu'elle était fontaine pendant la sodomie, mais c'est là aussi que je lui ai révélé que je ne détestais pas recevoir un doigt dans l'anus pendant la fellation…
Du coup, ce moulin devenait le lieux sentimental des révélations, rien n'y était interdit pour nous, et c'est ainsi qu'une nuit je lui ai fais connaître "l'Arrosage Intérieur", douche rectale au pipi que m'avait enseignée mon initiatrice, j'informais ma jeune amante que j'allais pratiquer ce jeux avec elle et après quelques hésitations, elle acceptait, très excité par la situation, j'éjaculais en elle pendant la sodomie mais restais dans son rectum pour vider ma vessie quelques instant après…
Pendant ma miction, elle eu quelques mots, - hummm, c'est chaud… - tu me remplis… c'est dégoutant…
Mais elle resta courbée devant moi en offrant ses fesses jusqu'à la dernière goutte, puis en se redressant, elle me demanda affolée où elle allait se libérer de "ça" car son sphincter sodomisé avait du mal à retenir la chose, je lui indiquais le réez de chaussé pour qu'elle soit seule pendant le rejet, elle descendit quatre à quatre les marches de l'escalier de meunier pour aller se cacher…
Quand elle revint dix minutes après, je lui demandais si ça allait, si elle avait aimée, elle me répondit en grimaçant que c'était dégoutant mais agréable, elle ajouta :
- En fait…? Tu m'as fais un lavement…?
La petite avait déjà gouttée à la chose m'avoua-t-elle après, dans le temps, pour une constipation, mais avec une poire à sa grand-mère, nous l'avons refais plusieurs fois.
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