Parking

- Par l'auteur HDS Falover -
Récit érotique écrit par Falover [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Parking Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Parking
Déjà 3 mois que je me trouve à Paris. Les études d’infirmière ont commencées en septembre. Elles me prennent tout mon temps. J’y passe parfois la nuit, en lectures et en révisions. Le soir après les cours et avant de retourner dans ma chambre de bonne sous les toits, je fais la vaisselle au restaurant qui est au bout du quartier étudiant. C’est pour mettre un plus à l’allocation que me versent mes parents, à ajouter à ma bourse d’étude. Malgré cela je sens bien que d’ici peut le découvert de mon compte en banque s’accentuant je vais être forcée de trouver des solutions. Il y a déjà quelques mois je faisais un peu d’exhibition sur des sites spécialisés, mais ce n’était pas assez lucratif pour me permettre de payer mes factures, loyer, gaz, électricité, les fournitures scolaires, les courses, il faudrait que je fasse la journée continue. J’ai bien tenté de faire quelques heures la nuit, mais avec le rythme de mes études tout cela m’épuise pour un bien maigre résultat. Je dois trouver d’autres solutions. Mon humeur, et mon attention se sont dégradées et cela n’a pas échappé à Perrine une autre élève de mon cours. C’est elle la plus marrante toujours décontractée elle fait de l’oeil aux professeurs pendant les cours et comme elle est charmante avec sa frimousse et ses taches de rousseur personne ne la reprends, au contraire, même les plus barbons sont aux petits soins avec elle. Elle sait naturellement ce que veulent les hommes, surtout ceux qui ont dépassé la cinquantaine. On voit bien qu’elle à du savoir faire pour susciter leur envie. Perrine en plus d’être jolie, n’est pas bête du tout, avisant mon air maussade, elle à réussi à me tirer les vers du nez, mais au lieu de compatir à ma situation, elle a rit de moi. Me disant qu’elle avait mis au point une solution qui lui apportait toute satisfaction. Elle m’a enjointe d’adopter sa méthode. C’est ce que je fais aujourd’hui. Nous sommes allées ensembles, toutes les deux, devant le parking de la gare St Lazare, c’est un parking sur plusieurs niveaux dont l’un des cotés donne sur les voies de la gare, on peut apercevoir les trains au passage puisque les étages ne sont pas fermés de ce coté. D’ailleurs, de la rue de Rome, en face, on peut voir dans le parking toutes les voitures garées aux différents étages. C’est loin du quartier étudiant et c’est mieux ainsi parce que je ne m’habille jamais comme cela pour aller aux cours et je ne voudrai spas que l’on m’y voit ainsi. Imaginez que je porte une courte, très courte jupe de daim et un chemisier parme de toile légère, on voit mon soutien-gorge au travers, j’ai mis des bas, parmes également et qui m’empêchent d’avoir trop froid à cette heure tardive. Nous sommes arrivées toutes les deux ici après la plonge et une partie des révisions du trimestre vers 23h30. Accoutrée ainsi je me sens un peu comme étrangère à moi-même, c’est peut être mieux vu ce que je me destine à faire. Perrine m’a indiquée la marche à suivre, mais elle est plus douée que moi. Ça fais déjà trois fois quelle fait l’aller retour en voiture avec des clients du parking. Elle à déjà fait tout les étages, elle doit les connaitre par coeur. Le parking est ouvert toute la nuit et je sais parce que me l’as dis que lorsqu’elle est en forme elle fait durer jusque très tard ou très tôt, avant d’aller aux cours.
Ce soir, comme je l’ai dis, elle s’y prend mieux que moi, sans nous parler, elle m’a fait comprendre en ouvrant son sac avec un clin d’oeil que la moisson était fructueuse.
Mais ses hochement de tête et ses déhanchements au passage de la dernière voiture qui est entrée sont sans équivoque, c’est à moi d’y aller. On s’est promis de partager les gains, je me sens obligé de faire quelque chose, ce que sans cet engagement je n’aurai peut-être pas osé. Au moment ou la voiture stoppe devant la barrière d’accès, une grosse Mercedes noire avec un monsieur d’une soixantaine d’années, rose et blond comme un porc assis derrière le volant. La vitre se baisse et une fumée de cigare très épaisse se dégage de l’habitacle. Dans le même temps que je me penche dévoilant ainsi mon opulente poitrine, je me dis : non, pas celui la pourvu qu’il refuse. Mais machinalement je propose mon aide pour le guider jusqu'à une bonne place, il ne refuse pas et me voila assise à ses cotés, sur le siège de cuir moelleux comme un sofa. Très direct il me demande combien lui coutera ce service. Je lui indique le montant. Il est parti sur mon indication vers les niveaux inférieurs et le poids de son auto semble aussi conséquent que le sien, toute proportions gardées. Dans le cas de ma Mercedes ceci amplifie l’écrasement des pneumatiques, les faisant crisser très fort, à la manière de ces films américains de poursuite, je pense à « Fast and Furious » ou à « Bullit » ou d’autres encore, mais c’est pour ne pas penser à la suite qui pourtant est inéluctable. J’aime le sexe sous bien des formes, j’aime être prise et parfois rudoyée, mais jamais je n’aurai imaginé faire cela avecun homme au physique si étranger à mes gouts. Nécessité fait loi je sais que je ne le fais pas pour le plaisir même si je l’espérais. Non c’est pour l’argent. Je regrette d’avoir indiqué un tarif aussi « normal » l’auto est très cossue, le cigare semble hors de prix autant que nauséabond et étouffant. J’ouvre la glace et profites de ces derniers instants, avant d’atteindre le dernier sous sol ou il faudra bien que je passe à l’acte pour lequel je me suis assise là. Et nous y voici, mon client avise une place libre derrière un des gros piliers. Il stoppe le moteur qui émet des cliquetis en refroidissant dans le silence qui à subitement tout envahi. On dirait des ricanements, c’est de moi que rit la voiture. Le gros homme se tourne vers moi et demande : pour ce prix tu fais quoi poulette. Sans balbutier, car je me suis préparée à dire la phrase adéquate, il ne doit à aucun prix sentir ma gène, je dois avoir l’air décontractée comme Perrine. J’annonce une fellation, sa question est immédiate et de sa voix rendue grasseyante par l’abus du cigare il dit : tu avale. J’ai presque un haut le coeur je n’offre jamais cela, même à mes amants, alors dis aussi brutalement, je ne m’y étais pas préparée cette fois et moi qui adore sucer je m’inquiètes. Dans un presque cri je dis : ça vas pas t’es malade. Alors, comme par miracle mon gros cochon rose si sur de lui tout à l’heure, demande d’une voix radoucie : Et si je donne plus, je peux te baiser. Je saisi l’occasion, elle est inespérée, je ne dois pas la laisser m’échapper. Je triple le prix que Perrine m’avais indiqué, espérant presque un refus, mais c’est sans compter sur les capacités du monsieur, car comme la voiture et le reste le démontrai, il peut mettre cher. Je ne suis même pas certaine que le cigare de tout à heure ne soit pas d’un montant aussi important que ce que je viens dire et pourtant je n’ai pas été raisonnable. Aussi je commence à déboutonner mon corsage et je fais glisser ma culotte au pied du siège de cuir. Mon bonhomme est imposant aussi passons nous sur la banquette arrière. Je me mets a genoux, ça me permettra d’échapper à la vue, quoi que pour un homme aussi fort sa bite est tout a fait normale, encore une idée préconçue qui s’efface au profit d’une réalité que je voudrais pourtant plus douce. A genoux après l’avoir encapuchonné, je le sens qui met ses mains sur mes hanches et je prends son membre en moi sans plus de délai, moi toujours à genoux sur la banquette et lui debout hirs de l’auto , le pantalon sur les chevilles. Heureusement que je suis lubrifié en permanence, sur les conseils de Perrine qui connait son affaire. Le voila qui me besogne et qui met des grands coups en ahanant. Je le sens venir, tant mieux, je sais que si je dis la bonne phrase, ce ne sera plus long et je pourrais passer à un autre, un qui me donneras moins mais qui me plaira plus. Il éjacule d’un coup, un seul jet peu abondant mais que j’essuie en réprimant une grimace lui s’agenouille presque dehors sur le coté de la Mercedes. Enfin c’est fini, je me reculotte et lui aussi. Je lui demande si il veut bien me remonter en surface il acquiesce visiblement satisfait ou soulagé et nous remontons les étages tout les deux, lui au volant, moi assise à coté. Je me dis que cela n’as pas été si dur, que je m’effrayais pour peu de chose et cela fut plutôt rapide en fin de compte. Il me dépose devant la barrière et je vois les feux rouges de la Mercedes s’enfoncé du coté de la rue des Batignolles. Perrine me questionne du regard. Je souris et en m’approchant d’elle je lui souffle le prix obtenu. Je vois à ses yeux que j’ai marqués un point. Ce moment ne me laissera pourtant pas un grand souvenir. Le temps passe, un peu vide d’action, la rue reste déserte, cela nous permet d’engager la conversation avec Perrine. Cette dernière me donne une info qui me laisse un peu abasourdie. Rouge de confusion, j’apprends que le parking est protégé, ce qui me rassure, mais qu’il l’est par l’intermédiaire d’une société spécialisée qui à mandaté deux veilleurs de nuit. Et ceux-ci conservent toute au long de la nuit, leur yeux rivés aux écrans reliés aux très nombreuses cameras qui équipe le parking. Et de fait, fixées aux piliers, tout en haut, j’aperçois ces espions qui sont aussi le garant d’une certaine sécurité. Perrine trouve que c’est mieux, sans doute a-t-elle raison, mais savoir ainsi que tout a l’heure, sans doute, lorsque les fesses nues, offertes à la verge de mon client ces paires d’yeux ont contemplé le coït du vera, et moi ouverte, défoncée, utilisée. Mi-scandalisée, mi-rassurée, je sais que des anges qui n’en sont surement pas, ne perdrons rien de ce qui fait ma présence en ces lieux. Ils ne verront rien de plus que ce qu’ils savent déjà de moi maintenant. Pourtant j’éprouve un petit pincement supplémentaire, lorsque étant montée dans une nouvelle automobile dont le chauffeur souhaite être guidé à son tour.
Perrine viens de descendre elle aussi et sans doute l’heure tardive n’est pas pour rien dans l’accélération du rythme de nos activités.
J’en suis à mon douzième profit de la nuit je crois, je le considère ainsi cet homme assis à coté, et qui conduit d’une main sure au travers des allées éclairées de néon. Je ne peux cependant m’empêcher de remarquer ses mains aux doigts courts et puissants, ses mains posées sur le volant, recouvertes d’un poil noir, des poils qui parcourent ses phalanges. Je vois son menton bleui par une barbe pourtant rasée récemment. Une pensée me viens, je le trouve beau, il l’est d’ailleurs, il doit avoir du succès auprès des femmes. Qu’elle est donc cette chose qui l’attire ici qu’il ne peut obtenir par ses charmes ? Je ne lui pose pas la question, je m’imagine que trop pressé par ses affaires, il n’as guère de temps à consacrer au moindre flirt et que pour une somme bien plus modeste que ce que lui couterait une relation suivi, il vient ici assouvir son besoin de sexe. Ce besoin qui assaille la gente masculine en permanence, celui qui me permet désormais d’arrondir mes fins de mois. Parvenu dans l’un des étages intermédiaire, il se gare contre le mur du fond, les piliers toujours présents nous masquerons à la vue de la porte qui débouche à quelques pas de là et qu’empruntent les propriétaires des autos en stationnement. La routine déjà, reprends ses droits, toujours un peu semblable le début d’une passe, je le sais maintenant l’annonce du montant, les demandes sans imagination, mais comment espérer qu’il en soit autrement, cette fois encore la chose ce passe ainsi. La mise de fonds de mon client enfouie dans le fond de mon sac, je déboutonne mon chemisier qui commence lui aussi à être fatigué, je remonte ma jupe déjà si courte, dévoilant mes bas et mes portes jarretelles qui encadrent mon pubis glabre. Je le vois qui se penche vers moi alors que je fouille son pantalon après avoir fait descendre la glissière de sa braguette d’une main qui se veut déjà experte, prenant garde de ne pas blesser son gland qui se dresse maintenant devant moi. Je sens ses mains qui ne pouvant dégrafer mon soutien gorge en soulève les bonnets, ses mains poilues avides de pétrir ma chère féminine. Je me laisse faire c’est le deal, il pince mes gros seins visiblement satisfait, il en éprouve le poids conséquent. Me penchant un peu plus ceux-ci pèsent encore plus dans ces paumes et je sens son odeur, il est propre pourtant, mais peut être est-il venu ici directement en sortant trop tard de son bureau, dans l’envie d’aller s’endormir, apaisé par une éjaculation nocturne qu’il ne peut accorder que de manière rapide. Je vais tacher de l’aider puisque c’est mon rôle et que me l’avouant j’aime çà. Je happe son sexe avec habileté, il gémit et je souris intérieurement puisque je ne peu le faire vraiment ma bouche remplie entièrement de son membre viril, bien plus gros que ce que j’ai vu tout a l'heure, c’est le plus dimensionné de ma soirée. Je l’aime ce sexe, je le pompe mais en mon fort intérieur, j’en ai envie. J’ai envie de le sentir écarter les lèvres de ma chatte d’où je sens s’écouler mon jus. Je suis certainement faites pour être une pute car un sentiment de parfait accomplissement m’envahi en même temps que j’entends ses gémissements. Pourtant d’une main ferme il arrête mes vas-et-viens. Dans un souffle rendu rauque par le désir, il me souhaite me prendre à cet instant, au risque de tout perdre dans ma bouche, de façon trop précoce à son gout. Je change de position, presque nue, je me démène dans l’étroit habitacle, je l’enjambe. A califourchon sur sa bite qu’il a lui-même revêtue rapidement de son capuchon laissé tout à l’heure sur le tableau de bord, je rebondi sur ses cuisses tout aussi velues que ces mains. J’enlace sont cou pour plus de confort et parce que prenant appui ainsi je sais s’qu’il jouiera vite, je ne peux me retenir de défaire un peu plus sa chemise et de contempler sont torse musclé. Mon regard s’attarde sur ses mamelons dressés par le désir, ses mamelons qui forment comme deux iles au milieu d’une toison abondante. Il me fait envie, je me serais laissé prendre pour rien. Il sent qu’il ne m’est pas indifférent et souris en me regardant dans les yeux, je l’embrasse sur la bouche, ce que je m’étais pourtant promis de ne jamais faire dans ce cadre d’activité. Il me rend mon baiser avec fougue et sa langue fouille ma bouche comme sa verge fouille mon vagin trempé.

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Texte coquin : Parking
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