Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°983)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°983) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°983)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°977) -

Mais j’avoue que mon bas-ventre restait encore en ébullition par manque de jouissance, trop excitée par cette nuitée avec cette perverse Domina… Toute ma nuit fut peuplée de rêves plus qu’érotiques, et à défaut d’orgasmes autorisés en réel, dans mes songes j’en eus plusieurs et même violents. Et quand je me réveillais, je ne ressentais plus cette tension dans mon bas-ventre. En revanche, je m’aperçus avec stupéfaction que ma panière était largement mouillée au niveau de mon entre cuisses. Je me sentais honteuse. Est-ce que jouir réellement pendant son sommeil était une faute ? Je n’en étais pas sûre, mais je pris la décision d’en informer dès que possible le Maître. Je ne me serais pas permise de Lui cacher quoique ce soit. Je me dépêchais de nettoyer ma panière et de la mettre à sécher à l’extérieur dans la petite cours privée à laquelle je pouvais accéder depuis la baie vitrée de ma chambre.

Mes enfants ne pouvaient y avoir accès sans passer par ma chambre et donc elles ne pourraient pas la voir. N’ayant pas de chien, elles auraient pu me poser des questions et s’attendre à ce que je leur fasse la surprise d’en acheter un comme elles me le demandaient régulièrement. Mais n’habitant la villa que lorsqu’elles étaient là, qu’aurai-je fait du chien le reste du temps ? Ensuite je préparais le petit déjeuner, et comme elles dormaient encore quand j’eus terminé, je m’installais devant mon clavier. J’hésitais, je ne savais pas comment présenter les choses, et j’avais terriblement peur de décevoir le Maître. Je décidais de présenter simplement les choses sans chercher à me disculper :

« Maître Vénéré, je Vous prie de bien vouloir daigner me lire. Maître Vénéré, après m’être réveillée ce matin, je me suis rendue compte que j’avais joui pendant mon sommeil. Je viens Vous présenter ma faute et Vous prie de bien vouloir daigner m’excuser. J’accepterais toute sanction que Vous jugerez bon de m’infliger. Respectueusement, Votre soumise à Vos pieds. »

Je me levais de ma chaise et alors que je m’apprêtais à m’installer dans le canapé pour lire en attendant le réveil de mes enfants, la sonnerie de Skype m’annonça un message laconique, sec :

« Pourquoi ? ».

Je Lui répondis que j’avais fait des rêves dans lesquels j’avais eu plusieurs orgasmes, des rêves torrides où je jouissais à n’en plus finir et où je ne pouvais pas me retenir et que je supposais que c’était ainsi que cela s’était produit réellement. Nouveau message :

« J’ai regardé les vidéos de cette nuit et grâce à la caméra infrarouge permettant de filmer dans l’obscurité totale, j’ai constaté qu’effectivement tu semblais bien agitée, et je t’ai vu et entendu jouir en te frottant à ta panière comme une vraie chienne salope en chaleur en émettant des cris de jouissance alors que visiblement tu dormais ! J’exige que tu me racontes tes songes. Tu le feras par mail dans les moments où tes filles n’auront pas besoin de ta présence. Tu vas donc commencer à écrire maintenant. »

Je regardais l’heure, il était encore très tôt, je pensais avoir au moins une bonne heure devant moi. J’ouvris donc ma messagerie, ouvris un nouveau mail et après avoir sélectionné « Monsieur le Marquis d’Evans » dans le répertoire des expéditeurs », et avoir entré « Rêve » en tant que sujet, je fermais les yeux pour essayer de me remémorer le plus en détails possibles ce que j’avais vécu en rêve.

« Maître Vénéré, je Vous prie de bien vouloir daigner me lire. Maître Vénéré, voici ce dont j'ai rêvé la nuit passée et qui m'a fait commettre ma faute : J'étais en train de faire mes corvées matinales, au service du jardinier. Nue, à quatre pattes, je creusais des trous de mes mains pour planter des bulbes de lys blancs. J'étais couverte de terre. Tous ceux qui travaillaient sur les plantations étaient "motivés" par le fouet de l'homme auquel nous devions obéir. Un des domestiques du Château vint me dire que j'étais attendue devant l'entrée de la noble demeure. Quand il précisa que c'était un ordre du Châtelain, le jardinier me laissa partir après un dernier coup sur les fesses, pour le principe, alors que j'étais déjà tournée vers le Château. Cela me surprit au point que je marquais un temps d'arrêt, cependant, pas le moindre son ne sortit de ma bouche. Alors que je me remettais en marche, j'entendis son ricanement pervers, satisfait de son effet. Arrivant devant le Château, je Vous aperçus. Je me dépêchais alors de venir au bas des marches du perron et me prosternais, attendant Vos ordres. Un "Suis-moi, au pied" sec sorti de Votre bouche. Je me mis donc près de Vos pieds mais, bien sûr derrière Vous, et je Vous suivis, avec un peu de mal, tant votre allure était rapide.

Vous m'emmeniez au Donjon. Là, sans un mot, Vous approchâtes une table roulante, avec plusieurs sangles posées dessus. Vous en mîtes une autour de mes chevilles, une autour de mes cuisses, une me maintint les poignets dans le dos, deux passèrent, l'une au-dessus, l'autre au-dessous, de mes seins, et enfin un harnais de sangles fut posé sur ma tête et autour de mon visage qui me maintint en place un bâillon boule qui y était fixé... Toutes étaient reliées entre elles dans mon dos, afin que Vous puissiez y passer un crochet qui pendait au bout d'une chaîne. Quand ce fut fait, j'étais suspendue dans le vide à une trentaine de centimètres du sol, dans l'incapacité de bouger. Une cravache à la main, Vous vous êtes approché de moi et Vous avez commencé à me claquer les seins et sur les fesses, régulièrement, plutôt dans une sorte d'échauffement. Ne pouvant plus maîtriser mon corps, celui-ci se balançait au rythme des judicieux coups bien placés et dosés que Vous me portiez. Cette situation m'excita énormément. J'étais une sorte de pantin qui ne pouvait plus rien faire d'autre que de se laisser faire. Pendant quelques instants, Vous Vous amusâtes à me pousser pour que je me balance dans le vide, totalement impuissante. Quand je redevins immobile, Vous Vous êtes approché de moi, et Vous avez commencé à travailler mes seins, les malaxant, avant de Vous intéresser à mes tétons, les caressant, les vrillant, les étirant, doucement, puis de plus en plus fort, testant ma résistance, qui s'était renforcée. Vous avez ensuite attrapé deux appareils que je ne connaissais pas et plusieurs électrodes avant de me dire:

- Ma chienne, il y a une chose que nous n'avons jamais vraiment testée, mais que je me rappelle, il y a longtemps, tu m'avais dit que tu fantasmais. Sois heureuse que je m'en souvienne et que je daigne t'accorder du temps pour réaliser ton fantasme.

Vous avez alors mis des électrodes sur mes seins, deux sur chaque, entourant mes tétons, alignés à l'horizontal, et vous avez passé une nouvelle sangle dessus pour être sûr qu'elles ne se décollent pas. Vous avez attrapé les appareils l'un après l'autre, réglant l'intensité du courant électrique sur chaque sein, exigeant que je hoche la tête lorsque je trouverai que cela devienne limite supportable. Vous avez programmé les variations et Vous Vous êtes éloigné, sortant de mon champ de vision. Les impulsions commencèrent doucement, cela me fit l'effet de vagues, légèrement picotant. Mais très vite, cela devint presque douloureux et je ne pouvais m'empêcher de gigoter malgré mes liens. Et parallèlement, je sentais qu'à chaque vague électrique, je mouillais un peu plus que la fois précédente. Je peinais à ne pas gémir derrière mon bâillon, je bavais au possible, et je sentais déjà, sans stimulation de ma chatte ou de mon clitoris, des vagues de plaisir se former au creux de mon ventre. Au bout d'une bonne dizaine de minutes, autant qu'il m'était permis d'en juger dans cette situation, Vous êtes revenu, m'avez maintenu contre Vous, pour pouvoir m'appliquer une vingtaine de claques sur mon cul, le faisant rougir comme il Vous plaisait. Puis Vous avez retiré les sangles qui me maintenaient les chevilles et les cuisses serrées, sans arrêter les batteries.

Vous avez exigé que j'écarte au maximum que je le pouvais les jambes, chose qui n'était pas aisée, étant suspendue, et Vous avez repris Votre cravache, tournant autour de moi et la faisant tomber sur mon sexe, sur l'intérieur de mes cuisses, sur mon cul, et parfois même sur mes seins, me faisant resserrer les cuisses et me valant une série de claques de Votre main sur mes fesses bien senties pour que je maintienne la position exigée. Après quelques minutes de ce traitement de choc, où je fus sanctionnée trois fois, Vous Vous êtes postés devant moi, et avez passé Votre main sur ma chatte brûlante et trempée, tout en me regardant de Votre regard bleu acier Dominant, me faisant immédiatement baisser les yeux. Avec un "hummm" approbateur, Vous avez étalé ma mouille de mon clito à toute la surface de mes lèvres, et vous avez posé dessus une grande électrode. Avant d'en régler l'intensité, vous avez fixé à mes chevilles des bracelets de cuir avec anneaux, et Vous y avez fixé un bar d'écartement.

- Tu vas bientôt avoir le droit de jouir autant que tu le souhaiteras petite chienne, mais avant je veux que tu essaies de te retenir aussi longtemps que possible. Je te laisse décider toi-même le temps que cela durera. Sache cependant que plus tu te retiendras et plus Je serais satisfait. Tu as également le droit de gémir et de crier si ton bâillon te le permet.

Comme pour les seins, l'intensité monta progressivement et au début je retins assez facilement mes orgasmes. Vous n'avez pas fait de réglages préalables. Vous Vous êtes assis face à moi, une télécommande à la main, et vous l'augmentiez progressivement, Vous fiant à mes réactions pour maîtriser Vos gestes. J'arrivais de longues minutes à me retenir de jouir, mais je ne pouvais m'empêcher de me balancer au bout de ma chaîne, et de gémir de plus en plus fort. J'entrais en une sorte de transe, l'électricité parcourant me seins et le dessus de mon sexe, je ne pouvais me focaliser sur rien d'autre. Et sur une dernière montée d'intensité électrique, je partis dans de longs et puissants orgasmes sans fin, déchirant le silence de la pièce de cris rauques et dans un long très long râle jouissif et animal. Je n'étais même pas capable de dire combien d’orgasmes successifs s’enchainaient indéfiniment, tout le temps que l'électricité me parcourait, et même après que Vous ayez tout arrêté. J’étais véritablement en transe, emplie de spasmes me parcourant toute mon échine et mes tremblements de jouissances n’en finissaient plus. Vous m'avez détachée et m'avez pris dans Vos bras le temps que je retrouve mes esprits, ce qui prit un peu de temps. Ça avait été tellement intense que je tremblais encore comme une feuille, je pleurai de bonheur, je ne pouvais calmer ma respiration. Je m'endormis presque dans Vos bras. Quand Vous avez exigé que je retourne à mes corvées, je fus incapable de tenir sur mes pattes. Alors vous m'avez prise dans Vos bras et Vous m'avez emportée pour me déposer délicatement dans mon Cachot dans ma panière afin que je me repose. Vous avez déposé ma couverture sur moi, et je m'endormis instantanément. C'est à ce moment-là que je me suis réveillée, très excitée, et me rendant compte que j'en avais joui dans mon sommeil. Je Vous prie à nouveau de bien vouloir daigner m'en excuser, Maître Vénéré. Respectueusement, Votre esclave soumise à Vos pieds."

J'eus juste le temps de relire mon mail et d'appuyer sur envoyer avant que mes filles ne se lèvent. Bien souvent elles le faisaient simultanément, la première allant toujours réveiller la seconde. Je ne pus consulter ma messagerie pour voir si j'avais une réponse ou non qu'en début d'après-midi lorsqu'elles partirent à la sieste. Je ne pensais qu'à cela toute la matinée. Le Maître n'avait absolument pas laissé paraître ce qu'Il avait pensé lorsque je Lui avais dit ce qu'il s'était passé, et je ne savais donc pas avec certitude si c'était punissable ou non, ni même si je l'avais déçu. Et cette éventualité me tortura jusqu'à ce qu'une réponse arriva, une demi-heure après que je fus seule. En effet, un message arriva sur Skype.

- Il me semble que tes filles soient parties au lit plus tôt que d'habitude, je me trompe?

Je me dépêchais alors de venir devant mon ordinateur pour Lui répondre.

- J'avoue Maître Vénéré, ne pas avoir regardé l'heure. Elles avaient fini de manger, je leur ai mis un dessin animé, comme d'habitude avant de les emmener dans leur chambre. Il se peut qu'inconsciemment je l'ai choisi plus court que d'habitude.
- Fais attention. Ce n'est pas parce que tu te sens fautive que tu dois négliger tes enfants. Je veillerai également à cela lorsque tu seras avec elles. Pour en revenir à ton mail, qu'à tu ressentis en l'écrivant ?
- J'ai été très excitée Maître Vénéré, et j'avais très envie de pouvoir me caresser.
- Il est heureux que tu en n’as rien fait ! Répondit-Il glacialement. Bien, j'avais déjà pris ma décision avant la lecture de ton rêve, mais je te l'annonce maintenant. Tu ne seras pas sanctionnée pour avoir joui en dormant. Ce n'était pas une action volontaire de ta part. Cela dit, ton rêve donne des idées, il n'est pas impossible que je te fasse faire des séances d'électrostimulation, si cela t'excite tant. Le Château est largement équipé pour ce genre d’exercice ! Cela t'apprendra un nouveau seuil de résistance dans la non jouissance, et dans ton obéissance à mes exigences ! …

Pensant qu'Il avait fini de parler, je voulus prendre la parole pour le remercier. Mais Il m'interrompit.

- … Je n'ai pas fini, et Il ne Me semble pas t'avoir autorisée à parler ! Tu ne seras pas punie pour ton rêve, ni pour en avoir abondamment joui. Cependant tu vas être sanctionnée pour deux autres choses tout à fait différentes. D'abord pour avoir ouvert ta gueule de petite chienne sans autorisation. Quelle erreur, arrivée à ton niveau, de faire cette faute de débutante ! Sache que je suis très déçu et mécontent ! Et ensuite, n'as-tu pas oublié quelque chose, maintenant que tes filles sont couchées ?

Je réalisais alors, que dans mon anxiété, j'avais oublié de respecter une de mes règles. Dès que mes filles étaient au lit, pour la sieste, je devais porter laisse et collier sans me dévêtir, car elles étaient susceptibles de se relever rapidement. Le soir je devais de plus me mettre nue, avec mes pinces et mon plug. Je baissais la tête et les yeux, les gardant assez hauts pour pouvoir voir apparaître les messages qu'Il pourrait m'envoyer, car Lui me voyait mais ce n'était pas réciproque. Le message ne tarda pas à arriver.

- Eh bien qu'attends-tu pour obéir ?

Je m'éloignais donc rapidement, à quatre pattes malgré mes vêtements, et je revins devant l'écran avec mes accessoires à leur place, honteuse.

- Bien pour ta sanction concernant ta faute d'avoir parlé sans autorisation, tu n'auras pas l'occasion d'avoir de mes nouvelles jusqu'à ton retour au Château. Cela t'empêchera de vouloir me répondre à tort ou à raison. Tu dois cependant continuer à m'envoyer ton journal chaque soir, mais tu ne devras m'écrire sous aucun autre prétexte sauf s'il s'agit d'une urgence. Et cela ne m'empêchera pas de te surveiller via les caméras disposées dans ta maison. Alors attention à ne pas fauter ! Pour ton collier et ta laisse, débrouille-toi comme tu le souhaites, mais je t'oblige à les porter en permanence, même lorsque tes filles seront avec toi. À toi de voir si tu dois porter un col roulé, une écharpe, ce que tu veux pour que ça reste impérativement caché à leurs yeux. Et estime-toi heureuse de ne pas être en été ! Nous nous reparlerons donc quand tu reviendras.

Je lui envoyais un message pour lui demander de bien vouloir me pardonner, lui promettant de ne pas recommencer, mais je n'eus pas la moindre réponse. J'avais le cœur triste. Être ignorée était la pire punition. Mais je savais l'avoir mériter et j'assumais entièrement. J'avais hâte que ce week-end se termine pour mettre fin à cette sanction. Pour le collier et la laisse, je ne considérais pas cela comme une sanction. C'était un réel bonheur que de devoir porter mon collier en permanence ! Je ne pouvais que me sentir bien et à ma place lorsque je le sentais autour de mon cou. Cela m'aiderait à passer ces quelques jours sans nouvelles du Maître Vénéré …

(A suivre …)

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