Titre de l'histoire érotique : Une tranche de vie

- Par l'auteur HDS Maceron -
Récit érotique écrit par Maceron [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Une tranche de vie Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Une tranche de vie
Ma femme Anne-Laure, que tout le monde appelle AL et moi-même, Jean, nous nous connaissons depuis les années du bac. Pratiquement même quartier, même lycée, mais dans des sections différentes, elle, littéraire, moi scientifique.
En fait c’est lors d’un double mixte, par tirage au sort, organisé par le club que nous avons vraiment fait connaissance. AL, 20 ans, une jolie fille d’environ 1,70m, cheveux longs bruns, yeux noisettes claires avec une poitrine agréable un 90 B (c’est elle qui me l’avait dit), sportive, tennis, natation et volley au lycée. Moi, jean, 21 ans, 1,77 m cheveux courts bruns, yeux bruns foncés, rien de bien spéciale, sportif tennis et sports nautiques.
Comment j’ai connu ma femme
Jeudi 4 Juillet 1985 – Boom de fin d’année – la 1ère fois avec AL
Nous avons vraiment commencé à nous connaître, disons à nous fréquenter, en terminale. C’était ma copine, j’étais son copain. À l’époque les relations entre une fille et un garçon étaient dirigées par la règle suivante : « c’était la main dans la main, la main dans le machin, le machin dans la main, mais jamais le machin dans le machin ». Disons qu’après le bac, environ, j’avais réussi à explorer ce qu’il y avait sous sa jupe et même à glisser une main dans sa petite culotte pour y sentir ses grosses lèvres chaudes et humides. Quant à elle, quelque fois, elle avait glissé sa main dans ma braguette et avait caressé mon sexe, jusqu’à, un jour, me faire exploser. Pendant la dernière année du lycée, nous avions continué à nous fréquenter, sans aller au delà de ce que nous avions déjà atteint l’un et l’autre. La situation était stable. Après le bac un copain avait décidé de fêter son anniversaire et nos réussites au bac, par une soirée. Les parents d’AL, avaient proposé gentiment de faire cette soirée chez eux. Ce qui était formidable, étant donné qu’ils avaient une grande et grosse maison avec des dépendances sur les deux cotés. Sur le coté droit, une, avait été transformée en garage pour une caravane, un zodiaque et 2 voitures. Le coté gauche avait été transformées en grande salle de jeux, qui pour l’occasion avait été transformée en salle de danse. Et dans le jardin, au milieu une piscine. Pour cette soirée barbecue, les parents de AL avaient offerts les viandes et le reste était à notre charge, les filles gâteaux et autres amuse-gueules, les garçon boissons. J’aurais du arriver en même temps que les autres, mais au dernier moment, on m’avait demandé de passer prendre un paquet chez un fournisseur. J’arrivais donc avec une bonne demi-heure de retard par rapport aux autres, ce qui n’avait d’ailleurs pas grande importance, au détail près que quand j’arrivais, mon copain Jules me fit signe de le suivre.
Jules « Tu connais la mère d’AL ? »
Moi « Oui, bien sur. Normalement les parents de AL doivent diner avec nous »
Jules « Non, ils viennent de partir et vont chez des amis pour passer la soirée »
Moi « OK ; ils sont partis, ben tant mieux. Et pourquoi cette question sur la mère de AL »
Jules « C’est une sacrée nana, elle est drôlement bien foutue et sacrément sexy »
Moi « Ah, .. Ouhais, elle est toujours élégante, et classe, c’est vrai »
Jules « Élégante, tu parles, sexy oui. Les filles en bavaient de la voir ainsi. Une robe de toutes les couleurs qu’on aurait dit cousue sur elle avec un décolleté pas possible. Tu lui voyais presque les nénés
Moi « Tu t’emballes, Jules, mais c’est vrai, je l’avais remarqué il y a une quinzaine quand j’étais venu me baigner, avant les résultats, bon on a autre chose à faire maintenant »
Et nous sommes passé à autres choses. Préparation du barbecue (électrique, plus facile que le charbon de bois), …apéritif, grillades, …. Danse, plus slow que rock, …la soirée était agréable, ça flirtait gentiment. La soirée avançant, disons vers 11,00 heures, un couple décida qu’il était temps de profiter de la piscine et se fut le signal, tout le monde se retrouva dans la piscine. Les plus rapides avaient squatté les coins de la piscine et les mains partaient à l’exploration des intérieurs des maillots de bains tant féminins que masculins. Certaines, les moins timides, les plus hardies, le topless n’existait pas à l’époque, avaient déjà perdu leur SG. Quant à moi, alors que AL soufflait le dos au rebord de la piscine, dans la partie ou il y avait pied, je m’étais approché et moi aussi j’avais commencé à explorer ce que cachait son maillot. Cette exploration avait commencé à me faire de l’effet, et je commençais à avoir une gaule intéressante. Alors que j’étais rentré dans son SG, AL m’attrapa les mains et me dit : « Pas ici, dans 10 minutes … on se retrouve dans la caravane ». Elle se réajusta et sortit de la piscine, s’enveloppa dans une sortie de bains et disparut vers la maison. J’étais légèrement frustré, me disant qu’il allait falloir tout reprendre à zéro, mais par contre, je savais que l’arrière de la caravane contenait un grand lit, alors, …
J’attendis et le temps étant passé, du moins je le pensais, je me dirigeais vers la caravane, me demandant si AL y était. Je pénétrais dans la caravane une légère pénombre régnait à l’intérieur, le peu de lumière venant de l’extérieur. Mais il n’y avait personne, je m’étais bien fait posséder, c’était un beau lapin. J’étais en train de me décider à partir, en arrivant à la porte de la caravane celle-ci s’ouvrit et AL arriva.
« T’es déjà là, …., t’étais pas en train de partir ? J’ai voulu me changer»
et elle se colla à moi et me dit :
« Embrasses –moi »
Ce devait être la première fois qu’elle le demandait, je pensais que ma cote remontait. Ceci étant gros baisers sur la bouche ou nos langues se cherchaient, se trouvaient, se suçaient, … et nous étions au bord du lit.
Qui poussa l’autre, …, mais nous étions sur le lit. AL sur le dos et moi entrain de l’embrasser et poussant l’avantage, je glissais une main sous son T-shirt et j’arrivais sans encombre à ses seins qui n’avaient plus cet éternel obstacle qu’est le SG. Mes mains s‘empressèrent de s’occuper de ces deux globes sympathiques, chauds et souples, avec les pointes qui dardaient avec vigueur. AL semblait apprécier ce traitement, je décidais de prolonger l’avantage acquis en essayant d’enlever ce T-shirt, ce qui fut fait rapidement ave l’aide de sa propriétaire. J’avais ces seins à portée de bouche et j’en profitais pleinement passant de l’un à l’autre. La propriétaire se faisant un plaisir de me les offrir et approuvant par ses soupirs le traitement que je leur faisais subir. La gentillesse d’AL faisait que l’occasion était belle pour que je n’en profite pas. J’allais de l’avant et pendant que ma bouche s’occupait de ses seins ma main descendait sur son ventre pour atteindre la minijupe et se glisser à l’intérieur pour aller encore de l’avant et atteindre ce morceau de toile qui recouvrait sa chatte. J’y arrivais sans réaction de ma partenaire, enfin si, les cuisses s’étant légèrement écartées, je pouvais ainsi glisser un doigt à l’intérieur de la citadelle enfin de sa petite culotte. J’avais atteint le fruit défendu, enfin son abricot, sur lequel j’avais posé ma paume et que doucement je caressais. J’avais une trique pas possible.
Et comme je commençais à caresser ses lèvres et que j’entrais discrètement dans son intimité, elle agrippa ma main et me dit : « Attends », et sans hésiter, elle enleva sa petite culote. Alors je plongeais entre ses cuisses et commençais à lui « bouffer » la chatte.
AL « NON, …, pas ça, …., OH, …., arrêtes …. Oh, non, … non, …, OH, c’est bon, … OUIiiiiiii, … continues, … »
Au son je savais qu’elle appréciait, et malgré ses dires, qui voulaient que j’arrête, elle avait ses mains sur ma tête et me tenait fermement la où j’étais, ainsi, il m’aurait été difficile de me retirer. Ma langue continuait donc à s’occuper de son abricot, en léchant ses grosses lèvres et en la pénétrant. Pénétration d’autant plus facile qu’elle se cambrait chaque fois que ma langue l’investissait. Tout à coup, AL m’enserra la tête de ses cuisses et me dit : « Arrêtes, arrêtes, viens … fais moi l’amour ». Rapidement, je remontais vers ses seins, sa bouche, …me trouvant entre ses cuisses qu’elle avait largement écartées, elle n’eut pas difficultés à me guider vers et dans elle. Elle était ouverte, bien mouillée, enfin accueillante. Et je m’enfonçais en elle d’un coup de rein. Excité comme pas possible je commençais mon va et vient. Elle participait à l’action en se cambrant chaque fois que je m’enfonçais en elle. Coup de rein qu’elle ponctuait d’un gros gémissement de satisfaction, puis se fut des « Oui, …, oui, …° enfin ses jambes se refermèrent sur moi et ses ongles s’enfoncèrent dans mon dos et « Oui, …oui, ….c’est bon, … OHhhhh » et elle se laissa tomber pendant que je me vidais en elle. Je me laissais tomber à ses cotés pour reprendre mon souffle et mes esprits. AL se retourna et vint se coller contre moi. Alors que j’espérais qu’elle resterait un peu avec moi, et que je lui demandais, elle me dit : « Non, je dois partir, tu n’as pas pris de précautions, donc, … La prochaine fois si tu veux que je reste il te faudra faire attention» Et elle partit. Effectivement, à cette époque, la pilule n’existait pas et le seul contraceptif était le préservatif, qu’il fallait acheter chez le pharmacien. Si certains pharmaciens vous en vendaient discrètement certains, souvent d’ailleurs certaines pharmaciennes vous obligeaient à répéter 2 fois ou 3 fois votre commande et souvent vous demandaient votre âge. Et si c’était une fille qui tombait sur ce genre de vendeuse elle passait pour une moins que rien. L’autre méthode était celle que l’on appelait la méthode « du saut en marche ». Je n’avais qu’à m’en prendre à moi-même de mon manque de précautions.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Le Tags mentionne : Cocufiage adultere Sensualité Echangisme . À moins que je ne sache plus lire il n'en est rien de cela. Par contre C'est vraiment une tranche de vie, les premiers émois. Bravo !

Histoire Erotique
très drôle la description des années 80. il n'y aurait pas un trou de 30 ans dans les souvenirs de l'auteur? jamais avant le mariage, pas de topless, pas de pilule... c'est plutôt les années 50 ça !

Histoire Coquine Jpj
Merveilleux souvenirs de ces séances chez le pharmacien, les yeux rouges baissés en attente des questions, lubrifiés, avec réservoir, ...
Avec en main le compte exact en francs de la boite Olla de six capotes, économies du mois sur l'argent de poche. Pas de mistral gagnants cette semaine-là.
Les filles du lycée ne rigolaient pas de ces choses et seuls les gars avec capote avaient droit à leur toucher la taille et à rester jeudi aprés midi avec elles.
Sacrée époque.



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Histoire sexe : Une rose rouge
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