Titre de l'histoire érotique : Cours de danse avec ma cousine 2

- Par l'auteur HDS Folle de lycra -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Cours de danse avec ma cousine 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2017 dans la catégorie Fétichisme
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Titre de l'histoire érotique : Cours de danse avec ma cousine 2
Salut c’est votre folle de lycra



Dans l’épisode précédent je vous racontais comment en 8 ans grâce à ma cousine j’avais pris l’habitude de côtoyer les femmes en petite tenue et surtout de toucher voire essayer leur dessous. J’avais pris l’habitude de m’enivrer de leurs odeurs intimes et de me travestir avec leur tenues laissées pendant leurs répétitions ou représentations.

Pour ma majorité toutes avaient compris ce que j’étais devenu à savoir une petite fiotte. Pour mes 18 ans elles m’avaient offert une garde-robe on ne peut plus complète, j’avais même eu le droit à des sextoys.



Voilà comment le samedi de mes 18 ans en 82, j’avais dû essayer les cadeaux de chacune et surtout trois m’avaient offert des sextoys qu’elles prirent un grand plaisir à me caler dans mon petit cul chacune leur tour. Toutes ces danseuses mesuraient entre un mètre 73 et un mètre 79 avec des corps qui auraient fait bander un eunuque...

C’est ainsi que pour mes 18 ans je me faisais dépuceler grâce à des sextoys.

Ce jour-là dans la loge il n’y avait que des filles..., Il y régnait surtout une certaine excitation dont je profitais pleinement.

J’étais assis dans un fauteuil très doux et surtout très confortables toutes les filles étaient à peu de chose près dénudées, même ma cousine se laissait aller. Contre toute attente c’est elle qui a lancé les festivités sexuelles en se glissant les doigts dans son minou puis me les donnant à sucer. C’est un peu choqué mais curieux que je me suis mis à sucer ses doigts avec gourmandise.

C’est Hélène qui a pris le relais pour mon plus grand plaisir car quelque part nous étions très complices même si d’autres danseuses m’avaient surpris dans des tenues un peu douteuses pour un mec. Les autres amies de ma cousine ont pris le relais pour mon plus grand plaisir et manifestement le leur...

Tous ces goûts et odeurs de minous, je les connaissais et elles le savaient. Rapidement cela a dégénéré et je me suis retrouvée à genoux à quatre pattes devant le fauteuil, où j’étais quelques instants auparavant, ainsi et les danseuses passaient une par une pour que je leur mange le minou.



Cela a duré près d’une heure, heure pendant laquelle j’ai nettoyé le minou de chacune pour mon plus grand plaisir et manifestement le leur. Pendant que je leur mangeais les minous; mon petit cul,qui avait été dépucelé quelques instants auparavant, se faisait ramoner par le gros gode qui m’avait été offert.

Au fur et à mesure que l’après-midi passait les langues se déliaient, toutes reconnaissaient qu’elles s’étaient rendu compte de mes activités en leur absence dans la loge.

Pendant que ma tête se trouvait entre leurs jambes chacune m’avouaient qu’elles veillaient à me laisser une culotte usagée et odorante tous les samedis. Je peux vous garantir que à 18 ans j’étais devenue accro à ces odeurs bien féminines. Le pire c’est que quand elles revenaient de leurs prestations ce sont leurs culottes à elles qui sentaient moi.

Pendant que je m’occupais de ma cousine Geneviève elle m’a dit qu’elle le savait elle aussi depuis très longtemps mais que cela resterait entre nous. Elle m’a aussi avoué que j’étais devenue une belle pédale ainsi habillée et surtout que j’étais bien soumise et obéissante au goût de ses amies.



Le jour de mes 18 ans j’ai donné du plaisir à 18 femmes certaines ont carrément pris leurs pieds sous l’effet de ma langue innocente et coquine; le pire c’est qu’à force de me titiller mon petit trou j’ai fini par prendre mon pied avec un gode. Que de premières le jour de ma majorité...

Vers 18h30 les amies de ma cousine ont commencé à nous quitter car elles avaient une vie à côté de la danse. C’est à 19h que nos festivités sexuelles prirent fin. Je souhaite à tous les jeunes de fêter leur majorité de cette façon.

Chacune m’a quitté en me faisant une douce caresse on ne peut plus déplacée.




Tout comme elles, j’ai quitté la loge les bras plein de cadeaux, les bras pleins de dessous, les bras plein de tenues féminines; c’est ma cousine qui m’a raccompagnée à la maison, une fois arrivées sur place nous avons fait attention à accéder à ma chambre discrètement pour que nous puissions y ranger toutes mes tenues de cochonne. Une fois le coffre de sa voiture vidé, Geneviève m’a laissé car elle était attendue ailleurs de mon côté les festivités pour ma majorité ne faisaient que commencer.

Il est vrai que la soirée allez être plus terne mais pour mes 18 ans j’avais déjà des souvenirs pour les décennies à venir.

J’ai tout rangé dans ma chambre de façon à ce que l’on ne tombe pas dessus facilement, puis je me suis allongée sur mon lit et me suis endormie une petite heure.



Nous sommes passés à table vers 8h30 il y avait mon père ma mère ainsi que mes grands-parents.

J’avais un peu honte car je n’avais pas pris ma douche et je faisais la bise à tout le monde en sachant que mon visage sentait fort le minou. L’odeur de cyprine qui restait sur mon visage n’arrêtait pas de m’exciter, du coup je n’ai pas débandé de la soirée en me remémorant tout ce que je venais de vivre cet après-midi.

Le repas s’est bien passé, j’ai fais attention à ne pas trop manger; à vrai dire c’était surtout mon petit trou qui me travaillait car il était un peu distendu... En fait j’avais la sensation de ne plus contrôler mon sphincter et c’était très désagréable ou plutôt une sensation nouvelle.



Vers 21h le téléphone a retenti à cette époque il n’y avait pas encore de téléphone portable; c’était le téléphone dans la maison et c’est ma mère qui a répondu elle m’a passé le combiné vu que l’appel m’était destiné.

En fait c’était Hélène l’amie de ma cousine Geneviève qui voulait m’inviter à déjeuner le lendemain chez elle, elle m’a expliqué qu’elle avait des surprises à me faire; rendez-vous a été fixé le lendemain pour 11h30 chez elle.

En fait, toute la soirée, je n’ai pas arrêté de penser à ce que pouvait être cette surprise et même ces surprises.

J’ai enfin pu me coucher vers 23h épuisée par ma journée sans que mes parents ne sachent pourquoi, bien heureusement... Je vais vous avouer que je me suis endormie dans de la douceur après m’être fait un petit plaisir en essayant imaginer une suite coquine pour mon rendez-vous de demain avec Hélène. Pour la première fois de ma vie j’avais un rendez-vous avec une fille, qui plus est une jolie fille et en plus, âgée de 8 ans de plus que moi.



Je me suis endormie avec une odeur de sperme et de minous dans les narines.

Le lendemain je me suis réveillé vers 9h, toujours la tête pleine de souvenirs. Toute la nuit je n’ai cessé de penser à cette invitation à déjeuner chez Hélène.

Étant encore sous l’excitation de la veille, je me suis dit que j’allais me rendre chez mon amie avec des dessous féminins à même le corps en dessous de mes vêtements de tous les jours, histoire de lui faire une surprise si l’occasion se présentait. Maintenant que j’avais l’embarras du choix j’ai mis beaucoup de temps à choisir une tenue qui me plaise.



C’est vêtue de bas avec porte-jarretelle et tanga plus une douce et fine robe longue en lycra que je me suis rendue à mon rendez-vous.

La douce et fine robe je l’ai glissé sous mon T-shirt et enfilé dans mon pantalon. Pour quelqu’un qui est observateur cela pouvait se voir un petit peu mais sinon cela passer incognito.

Ça y est il était 11h30 et je sonnais chez Hélène.



Gros bisous à vous et à bientôt avec plein de like car ça motive...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Hummm encore encore ces récits sont très excitants



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Histoire sexe : Une rose rouge
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