Titre de l'histoire érotique : Lessivée - histoire érotique

La soirée avait été chaude entre nous, l’odeur du sexe était encore bien présente dans la chambre, je me prélassais en regardant mon réveil : 10h32 que c’était bon les WE et les dimanches surtout.
J’écoutais les sons à l’extérieur de la chambre : aucun bruit, notre chambre était excentrée de tout et finalement assez isolée dans la maison…mon homme devait s’occuper des enfants certainement, il n’arrivait pas à dormir comme moi le matin ! Finalement cela m’arrangeait pas mal comme ça …j’avais tout le loisir de m’adonner à ma seconde passion : le farniente ! Ma première passion étant depuis toujours le sexe.
Je replongeais dans un demi-sommeil quand je sentis soudain un sexe se coller à mes fesses. Deux mains me pelotaient les seins vigoureusement et des lèvres me dévoraient le cou. C’était mon homme, il se releva rapidement, ferma la porte à clé avec agilité et revint se coller à moi.
Sans que vraiment je n’aie eu le temps de complètement me réveiller, je sentis sa queue puissante et dure rentrer sans ménagement dans mon cul. Une douleur vive, la sensation d’être étirée à cet endroit de mon anatomie m’arracha un cri suivi d’un long spasme.
Passé ce moment, les va et vient de son sexe dans mon cul qui se dilatait entraînèrent une excitation intense et je sentis ruisseler mon entre jambe.
Recroquevillée sur un côté, lui derrière moi, il me tenait d’un côté les cheveux et de l’autre avait apposé sa main sur mes lèvres pour étouffer mes râles.
Il me pénétrait avec vigueur son bassin cognant sur le mien, un mélange de sensations contradictoires envahissait mon corps : entre douleur et extase. J’aurai souhaité que ce moment ne finisse jamais tellement c’était bon….des vagues de plaisir et de bien être m’envahissaient : ma jouissance se faisait intense puis redevenait fugace. J’étais comme dans des montagnes russes de plaisir.
Dans une dernière jouissance pour moi comme pour lui je sentis sa semence jaillir en moi, j’adorais ce moment, cette sensation de remplissage.
Fatigué il s’allongea et me retourna contre lui pour me prendre dans ces bras : moment paisible et serein après l’extase.
Chancelante je décidais de me lever pour aller me laver à la salle de bain. Je marchais doucement en priant de ne pas croiser un môme sur le chemin sinon j’allais devoir faire la conversation, et là, j’avoue, même juste levée, j’étais déjà bien fourbue par ma séance de sport au réveil.
Heureusement j’arrivais sans encombre jusqu’à la salle de bain, la sensation de l’eau chaude, même brulante sur ma peau me faisait un bien fou, j’y passais de longues minutes sans bouger tellement c’était plaisant de complètement se réveiller ainsi après cette belle partie de jambes en l’air.
La porte de la salle de bain s’entrouvrît et je vis apparaitre mon homme : il me décocha un petit regard coquin dont il avait le secret tout en me détaillant de la tête au pied et en refermant une fois de plus la porte à clé.
Il se glissa sous la douche avec moi et parcourut avec passion toutes les surfaces de mon corps faisant mousser le savon sur chaque partie de mon corps encore brulant. Il me lavait avec frénésie, à nouveau je sentais sa verge durcir contre ma cuisse, j’adorais le voir s’exciter à nouveau quelques minutes après avoir joui. J’étais encore dans l’excitation de notre baise et je dévorais du regard son sexe si appétissant. Rapidement je me baissais afin de le prendre en bouche, je le gobais avec frénésie faisant tournoyer ma langue autour de son gland. Je faisais des va et vient de plus en plus rapides lui soutirant quelques râles qu’il essayait d’étouffer.
Rapidement l’excitation a été trop grande, elle m’a retourné dans la douche et a glissé son sexe dans le mien. L’eau chaude ruisselait sur mon corps courbé.
C’était si bon de le sentir en moi il était fou d’excitation et alternait des coups bien profonds avec des passages rapides à l’entrée de mon vagin. J’aimais ces alternances et le fait qu’il soit parfois brutal : en m’agrippant les cheveux d’une main, et me mettant des claques sur les fesses de l’autre, parfois doux : en m’enlaçant et en me recouvrant de baisers, cette dualité me faisait monter et jouir très rapidement.
Soudain, il se stoppa net, il sortit son sexe encore tout gonflé et attrapa une serviette, se sécha rapidement en renfilât son caleçon, il me donna une serviette et m’enjoignit de le rejoindre très vite en bas : mais qu’avait-il en tête ?
Hâtivement je m’exécutais et le rejoignit dans notre laverie au sous-sol. Dès l’entrée, et au bruit, je compris son intention, je le retrouvais devant la machine à laver qui était bruyamment en mode essorage. Lui se branlait copieusement en me dévorant du regard.
Il souhaitait réaliser un de mes fantasmes. Il me prit par les hanches, me mit délicatement les fesses sur la machine. Je m’allongeais dans une position très inconfortable pour lui présenter mon entre-jambe, les tremblements de la machine associés à mon excitation grandissante me faisaient comme des fourmillements dans le bas du ventre.
Il commença par me lécher goulûment aspirant avec frénésie mon clitoris. Sa langue virevoltée entre mes lèvres puis se faisaient plus insistantes en s’introduisant avec délectation dans mon sexe. Je mouillais abondamment, tout cela m’énervait, je transpirais, je haletais et cette machine qui continuait sa cadence infernale….
Au bord de l’extase, il frotta avec vigueur mon clitoris avec plusieurs doigts entraînant un jaillissement quasi instantané, il se retrouva entièrement mouillé, je coulais abondamment en jouissant comme jamais et en émettant de petits cris stridents.
Il était totalement excité, il m’empala rapidement en effectuant des mouvements lents et très profonds, ses couilles collées à la machine qui vibrait. Il me regardait intensément en me traitant de tous les noms et avec un ton strict: j’aimais les mots crus dans sa bouche lors de nos séances de baise.
Il s’arracha à la profondeur de mon sexe, m’attrapa avec vigueur les cheveux pour me faire descendre de la machine puis m’obligea à m’agenouiller sur le sol béton froid et dur pour recevoir en pleine face sa semence.
J’étais ivre de pleins de sensations…déjà bien fatiguée mais si heureuse de ce bon début de journée.