Chaleur et soirée estivale font bon ménage

- Par l'auteur HDS Basleg -
Récit érotique écrit par Basleg [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Chaleur et soirée estivale font bon ménage Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chaleur et soirée estivale font bon ménage
Tableau comparatif
Bonjour à tous,Il s’agit de ma toute première histoire, j’espère qu’elle vous plaira ! N’hésitez pas à me faire des critiques (constructives) en commentaires !

Je vais changer les lieux et les noms afin d’éviter des recoupages.

Ceci est une histoire vraie.

La chaleur était étouffante en ce mois de juillet d’il y a 7 ans maintenant. Du coup les filles étaient belles, la plupart en jupe pour mettre les jambes à l’air, dévoilant de magnifiques trésors à qui sait bien regarder.
J’adore cette époque de l’année.
J’étais en deuxième année de médecine, à Paris, en période post-partiel. J’étais de retour après quelques jours de vacances dans le sud et je devais repartir bientôt pour l’étranger.
J’avais décidé de profiter de la semaine que je passais à Paris à fond, de voir le maximum de potes et de faire la fête autant que possible.

Pour vous situer dans l’histoire, je me présente : je m’appelle Alexis, j’avais 19 ans à l’époque. Je suis de taille moyenne, pas trop bête (enfin je crois), brun, yeux marrons. Assez classique. On me trouve mignon, sans être un éphèbe incroyable, et je fais pas mal de sport donc j’ai une belle et sèche musculature, mais rien à voir avec les fous furieux des salles de sport, ça reste joli.
J’aime bien m’habiller et avec goût, à l’époque on appelait ça les métrosexuels (bien content que cette « mode » soit passée…) donc je plais souvent aux filles, mais pas tant que ça non plus. J’arrive à avoir celles que je désire et cela me suffit. Côté attribut on dit que je suis bien doté par la nature, sans être énorme.

J’étais également dans une période pendant laquelle avoir une relation fixe ne m’attirait pas, je voulais surtout m’amuser sans trop me prendre la tête.

Bon.
Passons au « présent ».

Je fais le tour de mon répertoire, j’envoie des textos aux copains pour voir qui est sur place cette semaine.
Je reçois des réponses plus ou moins rapides (merci les gars…) et il y en a une qui sort du lot : un de mes meilleurs potes va faire la teuf chez des amis à lui de médecine, dans un bel appartement en proche banlieue, accessible par le métro. Je suis le bienvenu si cela me dit.
Je connaissais déjà quelques personnes qui comptaient passer la soirée là-bas donc je me suis motivé et je l’ai rejoint avec des munitions pour la soirée.

Magnifique appart. Le mec n’est pas à plaindre ! La faune locale me plaît bien : des jolies filles bien sûr, quelques potes et surtout je découvre qu’en fait il s’agit également de l’anniversaire de la petite sœur du mec en question. Héhé. Je vous rassure ils n’ont qu’un an d’écart donc tout le monde est majeur.
Quoi qu’il en soit, on va pouvoir bien rigoler et découvrir de nouvelles personnes. Cool.

La soirée se déroule comme à l’accoutumée, entre jeux d’alcool, cigarettes rigolotes et autres joyeusetés. Au fur et à mesure, les groupes se mélangent et j’en viens à rencontrer Julie.
Belle blonde de la même taille que moi, un peu fine donc côté formes c’est pas trop la folie, mais très jolie.
Très sympa on s’entend bien, on rigole, on passe une bonne partie de la soirée ensemble et finalement, on s’embrasse gentiment, un peu à l’écart des autres.

Nous nous sommes doucement isolés à l’étage (c’est un duplex), ses lèvres pulpeuses rencontrent les miennes, timidement au début, puis, au bout de 5 minutes de bisous gentillets, les choses sérieuses commencent.
Sa langue entre soudain en trombe dans ma bouche, me faisant presque sursauter. N’étant pas en reste, je décide de répondre en l’accueillant fermement avec la mienne, puis de découvrir l’ensemble de sa cavité buccale avec force mouvements de tête et main ferme derrière la nuque.
Elle adorait ça.
Nos esprits (et nos corps) s’échauffent, je la retourne contre le mur du couloir, en continuant de l’embrasser fougueusement.
Nos corps se pressent les uns contre les autres, la chaleur montre d’un cran, son corps menu est un délice sous mes explorations buccales, son cou sentant un parfum frais d’été, ses petits seins sans soutien-gorge qui dardent sous le top…
Etat des lieux : un couloir, deux portes menant à deux chambres, une salle de bain et la derrière porte à gauche aux toilettes.

Dans l’instant cela m’avait paru être un labyrinthe interminable. Je mets maintenant cela sur le compte de mon alcoolémie un peu élevée.
On décide bien entendu de ne pas aller dans une chambre mais plutôt d’être discrets et de s’enfermer dans les toilettes…Pas bête !
Sauf qu’il n’y avait que deux toilettes dans cet appart : au rez-de-chaussée et à l’étage. Donc beaucoup de va-et-vient.
Pas si malin !

On s’engouffre dedans en rigolant comme des petits fous. On continue à s’embrasser toute langue dehors et j’en profite pour caresser son dos et descendre mes mains sur ces fesses. Je retire ce que j’ai dit tout à l’heure, elle cachait un bon petit cul ferme sous sa jupe, la coquine !

Je malaxe sa croupe bien musclée (j’adore les fesses, je pourrais jouer avec pendant des heures) pendant que ma langue fouille sa bouche, on commence à s’échauffer sérieusement. Julie m’a pris la tête dans ses mains et me maintient plaqué contre son visage, à m’en étouffer. C’est si bon.

On se frotte l’un contre l’autre, moi au travers de mon jean, elle au travers de sa jupe. Impossible qu’elle ne sente pas l’énorme bosse qui déforme mon entrejambe.
Je crois bien qu’elle l’avait senti puisqu’une de ses mains descend doucement sur mon torse, palpe un de mes pectoraux pour en apprécier la dureté puis finit par se poser fermement sur ce bombement de tissu que tend mon pénis en érection.

Je ne sais pas pourquoi je la considérais un peu farouche, mais il n’en était rien. RIEN.
Elle commence à me malaxer l’entrejambe avec envie, en me regardant avec ses beaux yeux verts, m’hypnotisant.
Elle me palpe fort, limite à m’en faire mal, et je commence à haleter. Je ne peux plus soutenir son regard de braise.

Elle semble ravie de l’effet qu’elle me procure.
Pour maintenir son emprise sur moi, elle se sépare de ma bouche, se glisse à mes pieds, sur ses genoux et soudain se jette sur mon entrejambe en mordant ma bite à travers mon jean.
Oh mon dieu.

Elle devient complètement folle et cela m’effraie presque.
Elle mordille ma queue à travers mon pantalon puis le déboutonne et sort mon pénis qui n’a jamais été aussi dur.

En même temps je bande comme un âne depuis 15 minutes maintenant et quelques gouttes de liqueur suintent à l’orée de mon gland.
Elle se jette dessus avidement et passe sa langue gourmande sur mon frein en remontant sur mon gland, comme pour avoir un avant-goût de ce qui l’attend dans quelques minutes.

Elle commence à me sucer telle une affamée, à grands renforts de langue et de salive, s’enfonçant ma grosse bite au fond de la gorge jusqu’à s’en faire tousser.

« Purée elle me fait une gorge profonde en fait c’est incroyable !! J’ai l’impression d’être dans un film » pensais-je alors.

Quel bonheur !! Sentir sa bite buter au fond de la gorge d’une fille qu’on ne connaissait pas il y a 2h, ça n’a pas de prix. Surtout quand elle vous regarde dans les yeux en vous malaxant les couilles avec sa main libre…
Puis elle commence à parler entre deux succions : - Mmmmmh Mmmmmh gloudgloug- Pardon ? Qu’est-ce que tu dis ?
(Elle parle la bouche pleine, forcément je n’y comprends pas grand-chose…)- Ah oui mince, désolé, j’ai pas l’habitude d’avoir une si grosse bite dans la bouche…. Mmmmh , dit-elle sûrement pour flatter mon égo, en léchant ma tige avec sa langue bien baveuse. Cela fonctionne bien, mon sexe a dû prendre 2 cm après cette remarque.
- T’es une sacrée coquine en fait, c’est génial ce que tu me fais !
- C’est toi qui me fais tourner la tête, depuis une demi-heure je ne pense qu’à mettre ta bite dans ma bouche, j’avais hâte que t’arrêtes avec tes blagues pourries… - Quoi ?? Biatch !!
- Tu veux me punir ? Lance-t-elle en tenant fermement mon sexe en l’air puis, en me regardant dans les yeux, en gobant ma couille la plus proche…
J’ai failli jouir sur l’instant.

De temps en temps, on entend des gens essayer d’ouvrir la porte, mais le verrou étant mis, on est tranquille. Cela rend la chose bien plus excitante d’ailleurs…

Cette pipe magistrale dure bien 10 minutes, et c’est au moment où elle gobe mes couilles dans sa petite bouche, en me regardant vicieusement avec ses jolis yeux qu’on entend :BAM BAM BAM.

Je m’exclame : « Merde, quelqu’un frappe à la porte !
- On s’en fout, t’inquiète, ils vont aller en bas… Grogne-t-elle en me pompant avec encore plus d’envie- T’es dingue… »
Julie n’en a cure… elle est complètement cinglée celle-là. Elle a un petit moment d’hésitation qui a duré genre 2 secondes, puis elle se remet à me lécher les couilles et à essayer de mettre les deux testicules dans sa bouche, tout en me branlant comme une forcenée avec sa main délicate.

Moi j’ai quand même peur (même si les saoulards que nous sommes perdent le sens des réalités) que les autres enfoncent la porte ou que sais-je, croyant à un malaise.

Mais en bon soldat, et devant tant de bonne volonté de la part de Julie, qui s’efforce maintenant de me prendre l’ensemble de mon pénis dans sa bouche, tout en me branlant énergiquement, je décide de profiter encore un peu de ce moment incroyable.

Cette fellation est la plus divine que j’ai jamais reçue et c’est après le deuxième « BAM BAM BAM » contre la porte, Julie m’astiquant à deux mains en me regardant droit dans les yeux avec son air de petite salope, que je jouis dans un râle d’animal sauvage.
J’ai rarement joui aussi fort.

Des jets de sperme épais jaillirent de ma bite pour atterrir sur le visage de Julie en grosses traînées blanchâtres et cette superbe garce en profita pour reprendre mon sexe en bouche afin de recevoir les dernières giclées directement au fond de sa gorge.
Divin.
Elle garda mon sexe en bouche pendant encore quelques longues secondes puis se décida à avaler toute ma semence… C’était la première fois qu’on me faisait ça et j’en étais plus qu’heureux. Quel incroyable sentiment de sentir une partie de soi être autant appréciée par une femme…
M’étonnant encore, Julie ramena avec ses doigts agiles les traînes de sperme qui maculaient son visage pour savourer ma liqueur dans sa bouche gourmande : « Mmmmhh » Et tout ça en continuant de me regarder dans les yeux. AAAAH. PUREE MAIS CEST GENIAL !!!

« BAM BAM BAM ».

Oups, retour à la réalité.

On se rhabille comme on peut, on attend quelques secondes et on sort le plus vite possible de ce lieu de perdition.

On croise bien quelques regards soupçonneux (sans blague…) mais bon, on pourrait croire qu’on ne faisait que s’embrasser…
Nous avons continué de profiter de la soirée de manière plus sociable, Julie en profitait tout de même pour me caresser le sexe de temps en temps, furtivement. Quelle coquine.

En rentrant chez moi au petit matin (et oui !), avec son numéro en poche et des souvenirs pleins la tête, je n’ai pas pu résister à me toucher en pensant à elle.

Finalement, nous nous sommes revus dans la semaine, mais la magie était passée. On a un peu flirté mais la folie n’y était plus.
On est « sorti ensemble » pendant quelques jours, relation qui s’est terminée après un évènement que je vous conterai par la suite :)
A bientôt !

Alexis

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