Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ESCORTE. Escortes (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ESCORTE. Escortes (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ESCORTE. Escortes (1/1)
• Bonjour Bill, merci d’être venue, comme je vous l’ai dit au téléphone, je m’appelle Laure.
• J’ai dû me tromper, une femme aussi jolie que vous n’a pas besoin de payer une escorte pour partir en week-end, où je n’ai pas tout compris.
• C’est ce cas, je vous explique, mes parents habitent en province, papa est médecin dans ce petit village près de Toulouse doublé de la responsabilité de maire, maman s’occupe de son cabinet en prenant les rendez-vous.
Ils m’ont appelé, ma sœur se marie demain et je suis demoiselle d’honneur.
• Vous voulez que je la séduise, car vous avez horreur de votre futur beau-frère.
• Non, c’est plus simple, j’ai fait un impair quand ils m’ont demandé de venir avec l’homme que je venais de rencontrer et que je pensais aimer.
• La tuile, vous n’avez personne !
• Pas tout à fait, je suis amoureuse d’Agnès, une amie de travail et ils mouraient d’apprendre que leur fille est lesbienne.
• Je comprends, vous voulez que je vous accompagne pour jouer le rôle de ce petit ami imaginaire.
• Pas si imaginaire que ça puisque nous allons arriver dans ma voiture, je vous ai choisi parmi tous vos collègues sur votre site d’escorte, car vous ressemblez à l’homme que je leur avais dit chercher la dernière fois que nous avons mangé à Paris lors de leur passage.
• 5 000, c’est d’accord, je suis votre boy-friend !
• Vous êtes chère, mais je vois que vous êtes bien habillé et maman sait que je ne supporte pas les personnes négligées !

C’est à ce moment que son portable vibre dans sa poche.

• Excusez, entrez, il reste à régler l’heure et l’endroit du départ par avion, frais à ma charge bien sûr.

Cette magnifique brune, avec tous ce qu’il faut là où il faut plus 5 000 € le week-end, j’ai bien fait de laisser tomber mes études devant m’amener à être professeur d’éducation physique, certes, les clientes que j’ai sautées étaient la plupart au-dessus de la cinquantaine.
L’une d’elles frisait même les soixante-dix, mais c’est avéré être la plus salope de toutes, je lui ai tout fait pendant le week-end que nous avons passé dans la vallée de chevreuse.
J’ai compris que cette femme avait eu de nombreux amants, le mari que je n’ai pas vu étant dans son lit depuis des années suite à un A.V.C.
Bien sûr, j’ai eu quelques filles plus sympas, mais loin de celle qui est devant moi.
La belle brune passe dans la salle, elle referme la porte derrière elle, je n’entends pas ce qu'elle dit jusqu’à ce que la porte mal fermée s’ouvre.

• Demain soir, non, impossible, je ne suis pas libre, je suis absente tous le week-end.
Vous êtes impatient, je comprends, vous êtes de passage à Paris jusqu’à mardi matin.
Ok, lundi 20 heures, hôtel Mercure près de la gare de Lyon, vous pourrez reprendre votre train le lendemain sans problème.
Oui, bien sûr, comme d'habitude, au revoir.

Cette conversation est étrange, surtout quand elle revient.

• C’était Agnès, elle est impatiente que je rentre, nous nous verrons lundi soir, en attendant voilà comment nous allons procéder, prenez un taxi, soyer là à 7 heures demain matin, apportez votre smoking, je vous donnerais certains détails de ma vie et vous de là votre pour que notre couple paraisse naturel.
Vous aurez la somme dans une enveloppe, dès que nous serons dans le taxi vers l’aéroport.

À l’heure prévue, je suis là, je reçois mon gagne-pain, que je vérifie discrètement, dans son rétro, le chauffeur de taxi voit les billets que je compte, il a un sourire ironique arrivé à Orly, je tiens ma valise à roulette avec mon smoking pendu sous house d’une main, elle la sienne de l’autre, je lui prends sa main libre.
Elle l’enlève comme si je l’avais brûlé.

• Si nous sommes presque fiancés, il faut avoir l’air d’être fiancé, si je te touche et comme tu es une lesbienne, si tu te retires comme si j’étais un pestiféré, il sera difficile de leur faire croire que nous nous aimons.
• Vous avez raison, prenons-nous la main.
• Deuxième leçon, tu as raison et non pas vous avez raison à moins que tes parents soient vieille France et que nous soyons un couple qui nous vouvoyons.
• Non, c’est parfait, merci, j’ai un problème, je ne sais pas mentir.

Dans l’avion, nous réglons les derniers détails, je savais qu’elle s’appelle Laure, elle a 25 ans et sa sœur qui s’appelle Laurine à 22 ans, avec son fiancé, ils suivent des études de médecine à la fac de Toulouse.
Ils vivent aux crochets des beaux-parents, mais doivent reprendre le cabinet du papa qui aspire à une retraite à Montpellier où ils ont déjà acquis une villa pour leurs vieux jours.
Laure me dit qu’elle est l’affreux petit canard intellectuellement de la famille, elle est représentante en produits esthétiques sur toute la France, comme son amie Agnès, ce qui les oblige à se déplacer sur tout le pays et même ceux qui sont limitrophes.

Nous arrivons chez les parents en taxi, je suppute que Laure arrive quelques heures avant la cérémonie, car l’effervescence dans la maison empêche les unes et les autres à venir nous poser des questions.
Le père.

• Je vois que ma fille a fait un bon choix, vous êtes beau gosse, avec ma fille vous aller nous donner de beaux petits-enfants enfants, excusez, je dois mettre mon smoking avant d’aller à la salle du restaurant, j’ai rendez-vous avec l’organisatrice que nous avons embauché qui s’occupe de la noce.

La mère, pas grand-chose, elle me pleure sur l’épaule.
Le marié est chez sa mère pour se préparer et la sœur comme le veut la tradition, elle arrivera au bras de son papa dans sa belle robe blanche que personne n’aura vue avant la cérémonie.
La deuxième demoiselle d’honneur, la cousine.

• J’ai l’impression de vous avoir déjà vu !
• Une jolie fille comme vous, je m’en souviendrais, j’ai peut-être un sosie.
• Bizarre, je suis pourtant physionomiste.

Panique, la cousine, j’ai passé une soirée avec une des rombières dans un pince-fesse, la cousine, elle m’a fait du gringue, a-t-elle point que ma cliente en a pris ombrage, je l’ai sautée du mieux que j’ai pu pour rattraper le coup.
L’affaire part de travers, mais je pense avoir été bon et que je vais remplir ma mission sans plus de problème.

• Suis-moi, je te monte ma chambre, ma robe est sur mon lit, nous avons la même taille avec ma sœur et c’est elle qui a fait les essayages.

Après avoir pris un bain, je vois ma fiancée, en petite tenue, aller prendre le sien.
Que c’est con que ma future femme soit lesbienne, vu les formes que j’ai le temps de voir, je me la mettrais bien sûr le bout du nœud.
Quand elle est certainement dans l’eau son portable qu’elle a laissé sur le lit vibre, je regarde, « Albert », il doit y avoir le disque d’absence, je l’écouterais bien, mais je me garde bien de le faire.
Cinq minutes, j’entends ma fiancée sortir de l’eau, vibration du portable, « Roger », même manœuvre que le premier coup de téléphone, quand elle revient dans la chambre avec des sous-vêtements propres.

• Tu as eu deux appels, j’ai failli répondre.

Elle regarde, et sans écouter ses messages me lance.

• C’est Agnès, elle voulait savoir si j’étais bien arrivée, je lui envoie un SMS, nous allons être en retard, si je la prends en ligne, elle est bavarde.

Abrégeons, nous sommes près, cérémonie et autres séances photos pour arriver au repas puis au bal.

• Vous me faites danser, moi c’est Florence, Laure m’a dit que tu t’appelais Bill !

C’est la cousine qui est sans cavalier.

• Es-tu au courant de ce qu’elle fait comme travail ?
• Représentante en produit esthétique.
• Ça c’est la façade surtout ici chez ses parents, ils donneraient le bon dieu à leurs filles, si la sœur qui se marie, fait bien des études de médecine avec celui qu’elle vient d’épouser, ta fiancée est une pute comme toi, pardon escorte comme toi.
• Tu es malade, que cherches-tu ?
• Rien du tout, je rétablis, à Paris, je navigue dans les milieux un peu glauques, c’est là que je t’ai rencontré avec ta vieille rombière, que je connaissais, car avec son fric, elle se paye des mecs beaux gosses comme toi.
• Ne dis rien, Laure me paye pour donner le change à ses parents, elle est lesbienne et à une amie Agnès, cela tuerait ses parents s’ils l’apprenaient.
• Tu crois toujours au père Noël, je te dis que c’est une pute, je connais Agnès pute comme elle et qui est loin d’aimer les femmes, Laure se fait tringler pour du fric et elle gagne très bien sa vie, c’est l’une des meilleures sur la place de Paris.
Quand vous irez vous coucher, demande-lui, c’est marrant de savoir qu’elle a payé pour se faire baiser.

Tout se tient, le coup de téléphone à Paris dans sa salle, c’était un client à qui elle a donné rendez-vous pour lundi, Albert et Roger qui ont essayé d’appeler, il est cinq heures quand nous nous couchons.

• Dis-moi Laure, j’ai fait mon travail du mieux que j’ai pu, mais je suis frustré, dis-moi la vérité, comme moi, tu es une escorte, tu m’as payé, pourquoi nous ne baisons pas ensemble, ta cousine m’a dit que tu étais experte en sexe mâle.
• Il faut toujours qu’elle la ramène, tu as raison, baise-moi, fais-moi voir si tu es un bon étalon comme tu as été bon comédien toute la journée.

Les parents ayant leur chambre non loin de la nôtre, en ont pour leur argent, je baise leur fille du mieux que je sais faire, jusqu’à avoir plusieurs orgasmes très sonores.

Deux mois plus tard, c’est à la mairie du 18e que nous nous marions en toute intimité, juste deux témoins comme le dit la loi, sa sœur montée à Paris est son témoin, Florence la cousine qui est l’une de mes clientes à qui je fais de grosses remises les miens.
Dès le lundi après le mariage de sa sœur, Laure est allée à son rendez-vous et moi chez Florence qui m’avait glissé son adresse avant que nous repartions de Toulouse.
Nous nous aimons, sans pour autant changer nos habitudes, tous les mercredis, nous allons, en Normandie, monter dans un haras, nous nous sommes trouvé cette passion commune.
Nos comptes en banque sont déjà bien garnis, nous décrocherons dans quelques années pour qu’elle me donne un enfant qui gambadera au milieu des chevaux dans notre propre haras que nous sommes en vue d’acheter.
Il va sans dire que, lorsque je lui fais l’amour, ni l’un ni l’autre n’ouvrent son portefeuille pour se donner des enveloppes.

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