Une rebelion qui tourne vraiment trés mal 2/2 - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
"Mettez vous à genoux Philippe et embrassez mes chaussures pour exprimer votre gratitude car je vous ai tiré de la misère" Philippe hésitait à approcher son visage de ses pieds... et le Comte avait un petit sourire sadique au coin des lèvres.
De mon côté , plus les secondes passaient , plus ma colère montait....
Alors contre toute attente j'ai pris énergiquement la parole en me levant et je dis a Philippe en pointant mon index:"Non , tu fais pas ça toi !!! "
Le Comte me regardait tout étonné... et Philippe m'avait fait comprendre d'un simple regard qu'il allait m'écouter et ne pas se laisser faire par lui.

Cela faisait des années que j'avais les fesses entre deux chaises : je faisais mon maximum pour sauver mon couple et en meme temps je répondais aux desirs du Comte pour ne pas le mettre en colère...
Je menais une double vie et quoi que j'aurais pu faire, j'aurais toujours contenté l'un et déçu l'autre.
Le Comte exagérait de plus en plus mais Philippe devenait de plus en plus froid avec moi... pensant probablement que je m'en accommodais de cette situtation, voire même que j'étais complice avec le Comte...
Il fallait absolument que j'intervienne même si je savais d'avance que cela allait me couter trés chèr...

Pour la premiére fois, j'avais radicalement pris la défense de mon mari :"Ce n'etait pas dans le contrat ça !!!" "Vous pouvez humilier mon mari autant que vous le voulez, ça ne changera en rien les sentiments que j'ai pour lui ""Vous ne pouvez pas tout acheter de toutes façons" "Vous aussi vous faites des choses honteuses qui ne sont plus de votre age caché derriére le paravant!!! "
J'étais partie dans ma lancée , la cocotte minute était en train d'exploser et je me lachais comme une malade , il était dés lors impossible de m'arrêter.
Mais le Comte ne l'entendait pas de cette oreille , il avait trés vite réagit et ce sans grande surprise.
Sa riposte était prompte afin que je me taise au plus vite car il savait que j'aurais pu reveler devant Philippe des choses pas trés reluisantes a propos de ces fantasmes cachés et de ces jeux de rôles honteux .
(Cf: voir l épisode précedent, chapitre "le fantasme secret du Comte se réalise"...)
Il se leva donc à son tour, s'approche de moi en silence puis il prend la parole : "Tu m'exciterais presque espéce de garce" "Ha ha ha ha ha !!" (Rires sarcastiques...)"Tais toi " Il me giffla sans ménagement , si fort que j'avais reculé d'un pas , la tête de coté. Il me lança un regard noir et me dit"Tu vas me payer trés chér cette trahison" presque tout bas, a mon oreille.

Il appella ses deux gardes en hurlant comme un hystérique...
"GARDES !... GARDES!!... GARDES !!!!!..." Enfin, c'etait pas la premiére fois que je le voyais en pleine crise de nerfs, mais je dois tout de même reconnaitre que je ne l'avais jamais vu dans un tel état de colére aussi intense.
Je commençais a paniquer en réalisant l'ampleur de son terrible courrou , sur le moment , je ne savais pas ce qu'il comptait faire et je m'imaginais le pire...

Au bout d'une demie minute , les deux gardes sont entrés dans la piéce de maniére trés vive et rapide tout en étant presque affolés tant les cris du Comte étaient retentissents...
A voir leur visages , ils semblaient par la suite surpris que le Comte n'était pas en danger de mort ou quoi que se soit dans ce genre.
En effet, il n'y avait rien d'affolant , juste des paroles qu'ils ne lui ont pas plues mais le Comte leur ordonne : "Tenez fermement Philippe afin qu'il ne puisse plus bouger"
Il se dirige vers moi , me prend fermement par les bras pour m'avancer de force vers la table , il m'allonge dessus , soulève ma robe , me carresse rapidement les cuisses et me doigte...
J'étais si génée qu'il me fasse ça devant Philippe que je tournais ma tête pour ne pas le voir .
Il voulait certainement nous démontrer qu'il était le maitre absolu de la situation et qu'il n'allait tolérer aucune forme de rebelion, quelle qu'elle soit.
Meme si il était en rage contre moi , ça ne l'empêchait pas de bander trés dur...
Il me pénétrait vigoureusement devant ses trois témoins et faisait completement abstraction de leurs regards mais moi je n'y arrivais pas... il était même aller jusqu'a me dire avec un grand cynisme : "D'habitude tu jouis plus...!" Jamais je ne m'étais sentie aussi humiliée , me faire ça devant mon mari , bien lui faire comprendre que nous sommes amants et qu'il connait mon corps par coeur...bref, j'étais au plus mal .

Quand il avait fini , il me déshabilla complétement et ce sans ménagement pour que je me retrouve cette fois complétement nue.
Il disait ensuite aux deux gardes : "Je me suis laissée entendre dire qu'elle ne vous laisse pas indifferent , que cela fais des années que vous desirez Myosotis...et bien elle est a vous ce soir!" "Abusez d'elle et de ses grosses mamelles comme bon vous semble , cette garce mérite une correction exemplaire, son ingratitude mérite la plus sévére des punitions" "Voyez Philippe ce qu'il se passe toujours au château le temps que vous l'attendez seul a la maison"
Les deux gardes sont venus abuser de moi a tour de rôle pendant que Philippe etait fermement tenu par deux hommes a la fois (Le comte et un des deux gardes, chacun leur tour...)
J'avis failli gerber rien que de le de savoir que ces deux rustres au physique ingrats me passe dessus, comme ça...beurk !!!
Cela me degoutait de sentir leur bave sur mes seins ,de subir leur "caresses" douloureuses sur ma poitrine , avec en options des pincements , des morsures, des fessées et le tout recouvert de rires gras et vulgaires...
Mon esprit s'échappait de mon corps , je pensais a tout sauf a ce qu'il m'arrivait à ce moment la, histoire de ne pas péter les plombs.
Voila le prix que cela m'a couté de prendre la defence de Philippe en contrariant le Comte...

Quand tout était fini , il a ordonné de nous jeter tout les deux du château. Puis il ajouta : "Ma chère Myosotis , que vous etes stupide...je voulais vous épargner une humiliation mais vous avez tout gaché , je vous ai donc sali devant votre mari. Il sera écoeuré de passer aprés tout ces hommes sur vous" "Gardes, mettez ces deux rats en dehors de ce chateau et surtout que cette garce n'y remette plus jamais les pieds" L'un des gardes m'a si violemment poussé a la porte que je me suis rétaller par terre.
Je suis rentrée a la maison avec Philippe , un silence de mort nous plombait sur toute la route et d'ailleurs on n'osait même plus se regarder durant tout le trajet.
J'étais choquée et je ne savais même plus comment je me sentais de toute façons...

Et voila, comment mon contrat de travail en tant que nourrice s'est arreté , le licenciment était pour le moins brutal ...
Pendant une bonne dizaine de jours je n'avait plus aucune nouvelle du Comte ni même de son enfant...
Malgrés tout cela, j'essayais de reprendre une vie normale avec l'aide de Philippe, cela va certainement vous étonner mais cette sale soirée nous avait vraiment beaucoup rapproché.
Il avait enfin compris a quel point j'avais le couteau sur la gorge...
Il a vu que j'avais pris radicalement et courageusement sa défense et que j'en avait payé le prix fort.
Il savait que j'ai voulu lui prouver que les choses n'etaient pas exatement comment il l'aurait pensé...il était désolé et ne savait plus quoi faire en retour...
Il avait vu qu'en intervenant pour lui epargner l'humiliation les conséquances ont été desastreuses.
Il ne m'en voulait plus du tout, loin de la... et cela était bien la seule chose positive dans toute cette histoire.

Comme d'habitude vers midi , je raméne aux champs pour Philippe un panier repas afin de manger avec lui et les autres paysans.
On mangeait tout les deux assis par terre en rigolant et en dicutant avec les amis qui prenait tous leur pause en même temps, j'aimais bien rester avec eux car l'ambiance était simple et conviviale.
Aprés le repas, je me léve et prend Philippe dans les bras en lui disant "a ce soir" ...

LE COMTE, LE RETOUR :
Je remonte le sentier bordé par les champs seule , chose qui ne me mettais pas l'aise depuis cette fameuse soirée... des que Philippe n'était plus a mes cotés je me sentais a chaque fois vulnérable , fragile et attaquable...
J'étais stressée quand je ne l'avais pas dans mon champ de vision, je voyais desormais le chemin bordé par des hautes herbes ressemblant a des roseaux de la taille de 3 métres environ.... ah ça, ça ne me rassurait encore moins mais j'étais obligé de passer par la, il n'y avait pas d'autres possibilités.

Le Comte était caché la dedans et n'attendais que mon arrivée....
Sitôt m'avoir vue , il sort de son camouflage et me prend fermemant par le bras pour m'entrainer là ou il était.
Il me secoue violemment car il était en rage que j'aimais toujours Philippe.
Il me repprochait surtout de me sentir mieux avec mon mari et les autres amis du village plutot que de rester avec lui dans son chateau.
Il rageait que je péfére un je cite : "minable, sale et pouilleux qui sent mauvais plutot que lui " et il ajoute également que " je ne suis pas logique, que mon choix et ridicule et méprisable"
Plus il me parlait , plus il me secouait encore plus fort , il me demandait sans cesse " pourquoi tu la choisi plutot lui que moi ?!!" ...
" Pourquoi tu la choisi plutot lui que moi ?!!" ... " pourquoi tu la choisi plutot lui que moi ?!!" ... il n'arretait pas de me poser cette question.
Les secousses étaient si violentes que mon panier était tombé a terre , je ne pouvais plus le tenir tant mon corps gigotait à l'avant et a l'arriére de façon trés brutale.

J'étais morte de trouille , j'ai meme faillit faire pipi dans ma robe!... mais ma peur avait monté d'un cran quand Philippe était intervenu.
En effet, ce dernier m'avait suivie de loin depuis les champs en toute discretion sans même me le montrer.
Il a dit au Comte : "Laisse la tranquille" Je lui faisait des grands yeux , façon de lui dire: "Oh putin, dégage, n'en rajoute pas , ne le fout pas en rogne encore plus, il est deja assez hystérique comme ça...!" "Merci de voler a mon secours mais là tu t'enfonces... en lui donnant un ordre en plus... non mais t'es vraiment tapé de la tête toi " "Tu empires plutot qu'autre chose, ton intervention fera pire que mieux, casse toi Philippe, casse toi s'il te plait..."
Sans plus attendre et sans le moindre mot , le Comte me lache violemment et se rue vers Philippe...
"J'ai peur" , "Comme j'ai peur" me disais je en moi même.
Toujours aussi rapidement, le Comte sort son épée de son fourreau pour lui mettre un coup "bien placé" et Philippe meurt sur le champs avant même que je ne réagisse.

Je n'en croyais pas mes yeux, ou plutot je ne voulais pas croire ce que je voyais...j'aurais préféré que se ne soit qu'un cauchemard.
C'etait trop trash de voir le corps sans vie de Philippe et par terre dans une flaque de sang.

Je me suis précipitée vers lui en hurlant, je m'étais accroupie puis mise a genoux pour prendre son corps sans vie dans mes bras.
Je dévisageais le Comte avec beaucoup d'effrois et de révolte, je ne disais aucun mot mais mon regard attendait de lui des explications sur ce crime injustifié et sacrément degeulasse.

Le Comte pris alors la parole, il ne dégageait aucune emotion de honte ou même de repentir.
"C'est de votre faute si j'ai tué Philippe " "Les journées ou vous n'êtes pas au château sont longues et ennuyeuses"...
"Je dois vous avouer quelquechose, il m'arrive de regarder pendant des heures à la fenêtre du haut de mon château dans l'espoir de vous appercevoir quelques secondes. Même en ne vous voyant que passer furtivement du haut de ma demeure me rempli de joie." "A présent vous n'êtes qu'a moi et a personne d'autre"
Quelques mois ont passé , le Comte se faisait passer pour le bon saint maritin qui acceuillait dans son chateau femme et orphelins... j'en était écoeurée devant autant de machiavelisme et la naiveté sans limite des gens n'arrangeait vraiment pas les choses.
Je lui appartenais encore plus , il pouvait me faire tout ce qu'il voulait.
Tout les soirs avant son coucher il venait abuser de moi dans le lit puis il repartait dans sa chambre .
Je ne pouvais en parler a personne des vrais raisons du décés de Philippe, autrement il allait me faire passée pour folle , chose qui aurait été facile a prouver tant mon état de choc était permanent.

FIN DU DERNIER EPISODE.
J'espére que cette serie vous a plu.