Titre de l'histoire érotique : Chinoiseries

- Par l'auteur HDS Trixie -
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Chinoiseries Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Chinoiseries
« Mademoiselle, me dit Victor, Monsieur désirerait que vous le rejoigniez dans le living-room, il vous y attends avec un invité. »

Il m'inspecta des pieds à la tête ;

« Presque parfait… Seulement ce demi-soutien gorge qui est de trop ! »

Il ôta mon déshabillé et sans quitter ma nuisette, il me le quitta, non sans avoir peloté mes seins, trituré et pincé mes mamelons. 'enfilais à nouveau le négligé transparent qui portait bien son nom. Alfred m'avait interdit de le fermer, pour que ma chatte bien épilée encadrée par un fin porte-jarretelles noir qui soutenait des bas noirs eux aussi, puisse s'offrir aux regards, je devais, sauf contre-ordre de sa part, porter ma « tenue de secrétaire » même s'il avait des visites.
Suivie de Victor, j'entrais dans le living-room, Alfred bien calé dans un fauteuil profond, était en train de satisfaire son candaulisme, en regardant avec son invité une vidéo ou sans nul doute, j'étais la vedette...
C'est le fauteuil d'à côté qui capta toute mon attention. Il était occupé par un Asiatique assez jeune, le crâne absolument chauve et luisant. Ses bajoues flasques tombaient, il avait un triple menton. Il devait mesurer plus de deux mètres, ses bras étaient aussi gros que mes cuisses. La balance dépassait sûrement les cent cinquante kilos. Il était vêtu d'une sorte de Kimono qui s'ouvrait sur des jambes monstrueuses. Son ventre était tellement gros que je me fis la réflexion qu'il n'aurait jamais pu boucler un pantalon ! Son corps était absolument glabre. Ses yeux porcins, fixaient de l'écran de télévision puis me scrutaient de la tête aux pieds avec étonnement ! Son regard reflétait son incrédulité... Il ne voulait pas croire que la merveilleuse blonde qui se faisait baiser sur l'écran était devant lui en chair et en os. Ma tenue l'intriguait, ses yeux s'attardaient sur les endroits stratégiques. Tout d'abord sur mes seins qui laissaient deviner mes mamelons et mes aréoles sous le mince tissu des fentes de la nuisette. Puis je les sentis qui glissaient vers mon mont de Venus. La nuisette s’arrêtait au ras de mon porte-jarretelles et laissait à découvert le petit triangle de poils ras châtain clair au-dessus de ma chatte.
Son aspect me donna la nausée. En souriant, il entrouvrit plus largement ses énormes cuisses. J'en restais bouche bée, il tenait dans sa main plus qu'un énorme rouleau de chair, je n'avais jamais vu un tel engin. Avec Alfred, ils se masturbaient doucement tout en me regardant sur l'écran géant en train de me faire baiser par le fils du vieux fermier. La vidéo sur l'écran se déroulait ainsi.

''... Il était en train de se mettre entièrement nu. J'étais attachée à une poutre, en face de Gérald, mon amant noir ligoté lui aussi. J'étais nue, en porte-jarretelles, bas noirs, soutien gorge demi-bonnets et talons aiguilles, offerte au bon vouloir de ces messieurs, qui obéissaient parfaitement aux désirs d'Alfred. Les mains velues du gros homme, commencèrent à me caresser le corps. La caméra
s'attarda sur ses pectoraux poilus qui pendaient, flasques, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rêches et fournis, qui partant de son sexe s'étalaient sur les replis graisseux de son abdomen. Même ses épaules et ses fesses étaient recouvertes de pilosité. Mais c'est son pénis qui fascinait. Il était en érection, il devait mesurer entre quinze et vingt centimètres, son gland décalotté mauve foncé était assez pointu, puis s'évasait en une large corolle d'au moins cinq centimètres de long jusqu'à la couronne bien marquée et très saillante, ce qui procurait des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors du coït, j'en avais fait l'expérience quatre jours plus tôt. Son prépuce étiré était d'un brun clair, le corps du membre très brun était étonnement massif, il était largement aussi gros que le poignet d'un homme normal, environ six centimètres de diamètre. De grosses veines apparentes striaient sa surface, son scrotum ridé et velu pendait assez bas et contenait deux testicules aussi gros que des œufs de pigeon. Le petit gros s'approcha de moi, il m'enlaça et sa bouche se posa sur la mienne, sa langue força mes lèvres. Il frottait son torse poilu contre la pointe durcie de mes nichons, une de ses mains se posa sur un sein et l'autre se plaqua sur ma chatte. Je sentais son gland triangulaire, dur
comme un roc se frotter au-dessus de mes bas, il le glissa sous la lanière du porte-jarretelles et le frotta doucement sur ma peau nue. Son majeur s'était insinué dans ma chatte et ma vulve commençait à me chatouiller et à devenir vraiment moite.
Le souvenir de ce qui s'était passé, il y avait quatre jours accentuait le processus. Malgré sa laideur repoussante, mes entrailles avaient adoré sa bite et sa façon de me baiser. Il me suça la pointe des seins, qui dardaient en deux pointes brunes et dures au-dessus des bonnets du soutien-gorge. Ses lèvres commencèrent une lente descente vers mon ventre. Il avait passé ses deux mains sous mes fesses et malaxait mes deux globes fermes. Les étirant pour ouvrir mon anus qui subissait la pression de ses majeurs effleurant mon trou intime. Je gémissais de plaisir.D'un regard et ayant l'air désespérée, je fixais Gérald comme pour lui demander pardon d'apprécier les caresses prodiguées par cet espèce d'anthropoïde, il essayait de se libérer de ses attaches, en grognant et en insultant le gros homme, mon amant noir n'était pas au courant de notre subterfuge. Le vieux fermier tendit une badine à son fils, et se planta devant moi à côté de son lui. Ils bandaient énormément tous les deux. Je compris ce à quoi j'allais avoir droit ! Je ne détestais pas...
Il m' asséna un léger coup de baguette dans le dos, la douleur me fit cambrer en avant. Il me frappa sur les fesses à petits coups saccadés :
« Tiens salope ça, c'est parce que tu aimes les noirs, et ça parce que tu aimes les sucer... et ça parce que tu te fous de moi.. »
Je me tortillais, mais sans vouloir vraiment échapper aux coups. Il passa sur le côté, il me caressa doucement un sein avec la baguette, descendit vers le téton, en fit doucement le tour. Je tendais ma poitrine en avant comme pour recevoir le coup, celui-ci arriva sur la pointe brune durcie. La légère douleur me fit gémir, il fit de même sur l'autre sein. Et recommença encore et encore, son père entre deux séries de petits coups, aspiraient goulûment entre ses lèvres les mamelons érigés, gorgés de sang, comme pour apaiser la douleur. Il avait inséré deux doigts dans ma chatte et la caressait. J'avais déjà subi ce genre de flagellation, j'avais aimé. J'aimais me sentir dominée, j'aimais cette douleur, car il ne frappait pas excessivement fort. J'aimais ce plaisir glauque. Mes seins durcissaient et ma chatte était trempée, et du foutre coulait sur mes cuisses, mon corps réagissait mon cerveau désavouait. Je poussais de petits gémissements à chaque coup, plus de contentement que de douleur à présent. Je me frottais discrètement les cuisses l'une contre l'autre. Je ne voulais pas qu'ils s'aperçoivent que j'aimais ce qu'ils me faisaient subir. Je gardais les yeux clos pour mieux me concentrer et essayer de reprendre le contrôle de mon corps. Mais je ne pouvais plus lutter et le plaisir me submergeait. Mon corps se tendait vers les coups, il ondulait de plaisir...
Ludo, me dit d'écarter les cuisses, je les gardais serré, un coup plus appuyé me les fit ouvrir. Il passa doucement la baguette entre les lèvres entrouvertes, chatouilla le clitoris avec le bout le plus gros, puis il inspecta la baguette luisante de foutre et passa sa langue sur le bois.
« Mais c'est qu'elle commence à mouiller cette salope et dur ! Elle doit aimer ça !! Je vais lui en donner encore ! »... '',

« C'est ton passage préféré, dis-je en riant à Alfred... C'est pour cela que tu en fais profiter tes invités ! Je suis une vraie Salope, je ne comprends pas comment ce gros porc arrive à me donner du plaisir, et même à me faire jouir !!
- C'est vrai dit Victor, on dirait la Belle et la Bête... Mais la bestialité de ce Ludo fait ressortir la beauté de Mademoiselle. Et l'on s'aperçoit bien que Mademoiselle aime se faire fouetter... Et ça met du piment à la scène... Cela me fait bander comme un âne... Regardez !! »

Il était vêtu de son sempiternel gilet à rayures jaune et noir, une serviette sur le bras gauche. Avec dextérité, il ouvrit son pantalon et le laissa tomber sur ses chevilles, il était en érection maximale, c'est-à-dire vingt-neuf centimètres. Il était derrière moi, et sur un signe de tête d'Alfred il ôta mon déshabillé.

« C'est vrai Victor, je ne déteste pas. Comment l'expliquer... Il faut que ça commence lentement et doucement, d'après mon expérience, puis on augmente en rythme et en intensité, de manière à faire croître l'extase. Imaginez une musique qui débute doucement et lentement, puis s'oriente vers une puissance allant crescendo. C'est quelque chose de ce genre, mais il faut toujours que la douleur reste dans les limites du supportable, et surtout que les coups ne laissent aucune marque sur la peau... Ludo avait bien compris ce que j'attendais de lui !! Et ainsi si on se laisse aller, la souffrance peut agir comme une porte donnant sur d'autres dimensions, comme une drogue, elle peut nous emmener dans des endroits où l'on n'a jamais été. C'est une expérience qui peut vraiment faire bouger des choses à l'intérieur de nous, et nous amener jusqu'à la jouissance totale... D'autant que la libido de notre tourmenteur et elle aussi exacerbée, et que le coït qui suit obligatoirement, doit nous faire exploser de volupté. 
- Je vois que ces Messieurs sont aussi excités que moi... Monsieur, voulez-vous que je fasse subir à mademoiselle Trixie, une petite séance de flagellation ? Pourquoi ne pas mettre en pratique ce qu'elle vient de nous expliquer ?»

Sans attendre la réponse, il avait sorti une cravache et une paire de bracelets reliés par une fine chaînette, d'un tiroir. Une boule de plaisir, se forma dans le bas de mon ventre. Je suis vraiment une salope pensais-je, en laissant tomber mon déshabillé. Ma nuisette complètement transparente, s'arrêtait tout juste un peu plus bas que la ceinture de mon porte-jarretelles. Elle était fermée lâchement par deux rubans, mais laissait voir ma chatte, et était retenue par de fines bretelles nouées sur les épaules. Je n'avais pas mis de soutien-gorge, devant Alfred et le gros pousha, je dénouais les attaches qui fermaient les fentes du tissu sur mes aréoles les écartais, et offrais mes deux globes fermes à leurs regards, puis je pinçais mes mamelons pour les faire durcir. Victor, lui s'était extirpé de son pantalon, il me fixait en souriant avec des yeux gourmands, tenant la cravache d'une main et de l'autre se calottant et décalottant sa monstrueuse bite en érection. Avec son index, il me fit signe d'approcher, j'obéis, il était à deux mètres devant Alfred.

« Si Mademoiselle veut bien me donner son poignet... »

 Le métal froid se referma avec un clic, cela me fit frissonner. Clac le second bracelet se referma. Il attacha une fine corde à la chaînette des menottes, grimpa sur une chaise pour faire passer la corde par-dessus une solive du plafond. Son énorme rouleau de chair toujours bien tendu entre ses jambes frêles et ridées. Il tira lentement sur la corde, mes bras se relevèrent au-dessus de ma tête. Cette position avait largement fait remonter ma nuisette jusqu'au niveau de mes hanches. Le bout de son gland rose, était à hauteur de ma bouche, il dépassait à moité de son prépuce. Je le pris entre mes lèvres et le mordillais assez fortement.

« Aie... Voyez Monsieur, elle veut vraiment être punie... !! »

Alfred n'avait pas éteint la vidéo, son invité pouvait tout à la fois suivre les vrais-faux sévices que me faisaient subir le vieux fermier et son fils, et le spectacle que le Majordome allait lui offrir. Victor passa derrière moi et leva la cravache faite de cuir tressé mince et souple, la claquette de cuir d'environ 5 centimètres s'abattit sur ma croupe frémissante. Je sentis la languette me caresser doucement chaque fesse, Victor se servait de la cravache, comme je l'avais suggéré. Avec une adresse diabolique, le cuir glissait sur ma peau sans trop me faire mal... Mais les coups se rapprochaient. Je gémissais de plaisir à chaque impact, il passa devant moi.

« Elle a une chatte superbe, ne trouvez-vous pas Messieurs ? »

 En disant cela, il passa le bout de la cravache sous la lanière de mon porte-jarretelles à hauteur de mon bas, et le remonta lentement le long de ma cuisse, puis le dirigea vers la fente de mon sexe, et titilla mon clitoris. Le bout de cuir continua son ascension, faisant plusieurs fois le tour de mes aréoles, frôlant les bouts turgescents de mes seins qui pointaient hors de la nuisette. Il dirigea ensuite la claquette sur mes épaules et repoussa les ganses des fines bretelles sur mes épaules à la naissance de mes bras.

« Il va falloir que tu les dénoues avec tes dents, pour que ta nuisette tombe toute seule... Tant qu'elle ne sera pas à tes pieds, je frapperais tes seins et tes mamelons... »

Le premier coup tomba, assez fort... Je le regardais en souriant, il frappa l'autre sein... Puis un déluge de petits coups s’abattit à tour de rôle sur chacun de mes tétons. Ma poitrine se tendait vers la
cravache... Mais, au bout d'un moment mes mamelons et mes seins durs comme de la pierre commençaient à me faire un peu mal. Je réussis avec mes dents à dénouer le nœud de mon épaule gauche.

« Bien, tu aimes ça, hein ??
- Oui, j'ai mal... Mais j'aime
- Alors ne te presse pas !»


Le temps que je réussisse à dénouer mon épaule droite, il me sembla que, sous les coups, mes seins avaient doublé de volume. La nuisette tomba sur mes chevilles. Les lèvres du vieux Victor effleurèrent ma chair durcie avant de se refermer sur mes mamelons en érection, il se mit à les téter goulûment et sauvagement, je geignais. Bien qu'il soit âgé, Victor avait l'art de faire naître la volupté chez moi. Ses dents mordillaient mes tétons turgescents, ses lèvres descendirent sur mon ventre et coururent sur ma peau frémissante. Puis il se recula, la manche de la cravache remonta lentement à l’intérieur de ma cuisse, je me cambrais, jambes à demi ouvertes, fixant langoureusement les deux spectateurs. Le bout de cuir glissa ente mes lèvres humides pour titiller mon clitoris. Puis Victor l'enfonça doucement entre mes parois vaginales après quatre ou cinq allers et retours le manche était abondement recouvert de cyprine. Il s'approcha du gros asiatique.

« Voulez-vous goûter Monsieur ? »

Tout en me regardant avec des yeux brillants de désir, celui-ci suça avec délice le manche gluant.

« Allez tourne toi... »

Victor quitta mes talons aiguilles, je me retrouvais sur la pointe des pieds. Je sentis la douce caresse de la languette de cuir descendre lentement le long de mon dos, je serrais les fesses en attendant le coup... Il n'y en eut pas... la claquette se repositionna sur mon épaule gauche et Victor la promena en zigzag sur mon dos, je serrais à nouveau les fesses... rien !! Je me décontractais... le coup fusa sur mon flanc !! Puis sur l'autre, puis sur mes fesses, mes omoplates... Je me débattais en me lançant en avant et en arrière, mon ventre tressautait, mes seins dansaient la sarabande. Je tournoyais sur moi-même, offrant à ses coups mes seins, mon ventre, mon sexe. Mais je trouvais qu'il retenait énormément ses frappes, il fallait que je l’énerve un peu. Je savais qu'il était un tantinet jaloux lorsque je me faisais baiser par un autre homme, j'allais jouer là-dessus.

« Vas-y Victor, frappe... tu peux me punir... ce n'est pas toi qui va me baiser !! Tu as vu avec quoi je vais prendre mon pied... Par rapport au Salamis du Monsieur, ta bite ressemble à une merguez !! - Tiens Salope, tiens...- Ouiiiiii, ouiiiiiii, c'est ça.... continue... Rien que de penser à la grosseur de la bite que le Monsieur va enfoncer dans ma chatte... Aiiiiieeee...»

Un coup bien plus fort que les autres me cloua le bec. Comme je leur avais expliqué, il arrive un moment ou la flagellation devient un plaisir, elle stimule les terminaisons nerveuses de tout le corps, ainsi que les zones érogènes. Il continua pendant plusieurs minutes, mais avec ma position sur la pointe des pieds, les bras tirés au maximum, les seins tendus à l’excès, je sentais durcir les muscles de mes cuisses, mes gémissements de jouissance se transformèrent en halètements. Alfred s'en aperçut, bien que passablement excité, il demanda à Victor de me remettre mes chaussures et de détacher la corde. Je rechaussais mes talons aiguilles et Victor détendit la corde.

« Attendez... Voulez-vous !! J'aimerais que Mademoiselle Trixie utilise cet engin... »

Et le gros asiatique tendit un godemiché à Victor. C'était un Gode Extrême, un dildo nouvelle génération, recouvert d'un relief stimulant fait de petites excroissances assez dures. Il était fait en vinyle noir, une matière offrant l'harmonie parfaite entre souplesse et fermeté. D'une Longueur de 28 cm, d'un diamètre de 6,60 cm. J'étais exténuée, mes bras me faisaient mal, mes cuisses aussi, mon corps suite aux coups, me cuisait de partout. Il fallait que je prenne au moins un quart d'heure de repos !

« Alfred, tu nous filmes ?
- Bien sûr, tu ne vois pas la camera ? !!
- Bon alors il faut que j'aille changer de bas, regarde celui-là est déchiré, cela fait négligé, si je reste ainsi !
- Oui, tu as raison, vas-y... Victor enlevez les menottes, mais mettez lui ce collier et cette chaînette ! »

Je me mis à quatre pattes sur le canapé, Victor me caressait le dos avec la cravache... Une fois les ordres exécutés, je pus regagner ma chambre et m'isoler pendant un bon quart d'heure. Je frottais mon corps et mes muscles endoloris avec de l'huile de massage parfumée, puis je passais un porte-jarretelles blanc avec des bas assortis.
Lorsque je revins, ils finissaient de regarder la vidéo, sur laquelle Gérald, mon copain noir était en train d'éjaculer dans ma chatte grande ouverte. Victor maintenant nu comme un ver, dont la maigreur contrastait énormément avec la corpulence de l'Asiatique, bandant toujours comme un taureau me fit asseoir sur le large tabouret du piano. Il me demanda d'y poser mon pied-droit, ainsi avec mes cuisses grandes ouvertes, les deux hommes assis en face de moi avaient une vue parfaite sur ma chatte béante et gluante de foutre. J'avais reçu comme consigne avant de partir de ne pas me la laver... Il me remit les menottes et mes bras repartirent vers le plafond.
La main de Victor se saisit de l’impressionnant appareil en forme de verge l'approcha de ma vulve. Il la passa doucement sur mon entrecuisse entre mes lèvres, les vides entre les aspérités se remplirent de mon liquide séminal. Ma respiration se fit plus rapide...

« Oui, frotte-la doucement, j'aime l'entendre gémir de plaisir... dit Alfred... frotte plus bas, là c'est mieux... attends ne la pénètre pas encore...
- Elle aime ça, vous savez monsieur... elle coule comme une fontaine... »

Mon vieux patron se masturbait maintenant avec vigueur... Il allait éjaculer, il prit le godemiché des mains de Victor et déversa sa semence sur le bout en forme de gland, il prit grand soin d'éjaculer sur tout le tour, entre les aspérités.

« Voila du lubrificateur, tu peux le lui mettre dans la chatte... »

Victor, passa derrière moi et fit pénétrer doucement le bout gluant de sperme, le tournant doucement pour que ma chatte s’imprègne bien du sperme d'Alfred. Puis avec deux doigts, il me décapuchonna le clitoris ne me le titilla doucement avec le bout du gland, le faisant croître et gonfler. Je gémissais sans discontinuer, il était un expert. Le bout de latex granuleux, taquinait mon sexe humide, jouait avec mes lèvres gonflées, s'enfonçait dans ma fente qui ne cessait de s'élargir. Lorsqu'il le ressortait, les petites excroissances griffaient mes parois vaginales me tirant des hoquets de plaisir.
Victor tenait le gode d'une main ferme, je faisais des mouvements de hanches de bas en haut et de haut en bas, faisant tourner mon ventre autour de l'engin. Mes parois étaient enflammées, mon rythme de pénétration s’accélérait. L'orgasme arrivait...

« Regardez Messieurs, elle joui comme une Salope... !! »

Effectivement, un volcan interne déversait sa lave, l'orgasme commença, et la jouissance qui me submergeait redoubla lorsque Victor me frotta le clitoris avec son pouce. Je me tordis en tous sens hurlant de bonheur, mes muscles vaginaux se resserrèrent autour du godemiché, mon sexe était un vrai brasier.
Victor détacha la corde du plafond, il me laissa les menottes.

« Montre-moi comme tu as joui ! »

Me demanda l'imposant invité d'Alfred. Le Dildo toujours coincé dans ma chatte ruisselante, je reposais mon pied-droit sur le tabouret. Je tremblais encore de jouissance.
Il était évidant qu'Alfred avait invité cet homme pour satisfaire son candaulisme. Il voulait me voir baisée par ce monstre et ce que l'on pourrait appeler sa « difformité », je ne trouvais pas d'autre mot. Son sexe devait mesurer 7 centimètres de diamètre, son énorme main n'en faisait pas le tour et presque trente centimètres de long. Sa bite bien que graisseuse eût une rigidité phénoménale. Le diamètre et la longueur étaient vraiment impressionnants. La vue de ce membre démesuré tendu au maximum, m'avait titillé le bas-ventre, tout en me faisant un peu peur, pendant toute la séance de flagellation.

Mais je m'étais rappelé les paroles de mon gynéco, le petit noir qui avait lui aussi une bite de mammouth. Il m'avait expliqué que la vulve d'une femme était d'une élasticité à toute épreuve, et qu'elle pouvait avec un peu d’entraînement accepter des insertions énormes. Et il me l'avait prouvé en enfilant complètement sa main à l'intérieur de ma chatte. Il m'avait en outre dit que d'après l'échographie, mon vagin mesurait 16 cm de long au repos, mais que l'excitation pouvait le faire grandir et pour assurer ses dires, il m'avait enfilé toute la longueur de son énorme bite noire... Une fois que j’eus un peu récupéré, le Chinois se saisit de la laisse et me tira vers lui, il m’entraîna vers le canapé, me fit asseoir de face sur ses cuisses, le gland de son sexe rigide me chatouillait le dessous des seins.

« Bien, me dit-il, je vais y aller très doucement... Si je t'ai fait baiser avec le gode, c'était pour te préparer à ma bite ! Je ne croyais pas que tu allais jouir comme çà ! Et j'ai vu que d'après les images de la vidéo, ta chatte accepte les gros calibres, surtout ceux de noirs ! Mais t'es tu déjà faite baisée par un Asiatique avec tel phallus ? Ma bite est plus grosse et plus longue que celle de ton pote le noir ! Mais tu es trempée petite salope, tu n'attends que ça ! »

Et il me mordilla les mamelons durcis par le désir, me faisant à nouveau gémir d'excitation. Je me levais, avec deux doigts, j'écartais les lèvres de ma chatte, il mit son énorme gland à l'entrée de mon vagin. Je sentais mon foutre couler sur sa verge, la chaîne du collier cliquetait légèrement. Mes seins étaient tendus et mes tétons frottaient contre les plis de ses pectoraux glabres. Je descendis lentement... Son pénis était rigide comme un pieu, je ne savais pas par quel miracle une masse graisseuse comme lui pouvait avoir une bite aussi dure. Je sentis son gland m'écarter les parois vaginales, je descendis en forçant, le gland peinait à entrer pourtant, je ruisselais. Je me relevais et puis redescendis un peu plus violemment. Son gland entra entièrement, je fis plusieurs tractions gagnant chaque fois deux ou trois centimètres.
Sa queue était maintenant enfoncée d'une dizaine de centimètres, j'augmentais la vitesse des va-et-vient, les zones érogènes et les plus sensibles d'une femme se trouvant environ à cette distance, cela me faisait beaucoup d'effet. Je commençais à râler de plaisir me sentant rempli par cet énorme sexe, je voulais le sentir encore plus profondément en moi. Je contractais mes parois, chaque contraction faisait que le monstrueux rouleau glissait un peu plus loin. Le monstre adipeux, avait l'air d'aimer cela, il donnait de petits coups de reins qui faisaient glisser encore et encore plus profondément son sexe. Je sentis que son gland frottait le col de mon utérus, je me laissai retomber. Il glissa au plus profond et il me sembla que son gland venait buter au fond. Mais j'avais avalé entièrement les vingt-neuf centimètres de sa bite. Je tressautais sur place pour m'en assurer. Je râlais de plaisir. Victor me libéra des menottes.

« Putain salope ! C'est bien la première fois, que je peux enfiler ma queue entièrement dans une fille !! »
Après le vieux fermier et le gynéco noir, il était le troisième homme à me dire cela.

« Oui, Salope pensais-je et tu aimes ça... les queues énormes... !! »

Je ressentis quand même une étrange fierté ! Qui m'excita un peu plus... Je commençais alors à me trémousser d'avant en arrière, sa queue bien plantée en moi. Il attrapa la chaîne qui pendait, il la tira vers le haut, pour ne pas être étranglée, je fus obligée de me lever, puis avant que sa bite sorte complètement, il la tira d'un coup sec vers le bas. Je m'empalais avec vigueur sur son membre. Il recommença plusieurs fois, à chaque pénétration, je sentais la brûlure de cette énorme bite, qui écartelait ma vulve et emplissait entièrement mes entrailles. Il avait oublié ce qu'il m'avait dit, qu'il serait doux avec moi. La frénésie sexuelle le gagnait. Il me mordit les bouts de tétons. Je hurlais, de douleur et d'extase. Il m'avait saisi aux hanches, me levait et me rabaissait de plus en plus vite, il haletait de plus en plus fort. Je sentais aux spasmes de sa queue qu'il était prêt à déverser son sperme, j'allais moi aussi jouir sans tarder. Il m'empala une dernière fois, et me tenant plaquée fermement sur ses cuisses en tenant la laisse d'une main ferme. Son énorme bite frottait le fond de mon utérus, il se libérait avec de grands hoquets à chaque fois qu'une giclée de son sperme coulait en moi. La répulsion de me faire emplir par le sperme d'un tel monstre, me souleva le cœur. Il me semblait que j'étais devenue sa chose, cette masse gélatineuse et repoussante me possédait brutalement, cela me procurait un certain dégoût, mais cette sensation glauque accroissait mon plaisir. Puis à la pensée que de nombreuses personnes allaient se masturber en regardant les images de cette pénétration monstrueuse, car Alfred filmait, pour montrer la vidéo à ses prochains invités... Je pensais aussi aux lecteurs « d'Histoire de sexe... » Est-ce qu'ils aimeraient mon histoire, lorsque je l'écrirais ?

Une onde brûlante parti de mes entrailles et irradia mon ventre, je me tendis en arc de cercle, comme pour enfoncer son pieu encore plus loin en moi et mieux recevoir son liquide séminal tiède qui continuait de s'écouler, et je hurlais mon plaisir comme une bête. Je voulus me relever, mais il me maintint fortement par les hanches, en me levant et me descendant doucement le long de sa hampe qui malgré son éjaculation n'avait presque rien perdu de sa rigidité.

« Ne soit pas pressée, comme je te l'ai déjà dit, c'est la première fois que je peux enfiler ma bite entièrement dans une fille, et tu as un corps admirable... alors je veux en profiter...!! »

Et j'adorais me faire empaler par ces bites monstrueuses. Lorsqu’en fin, il débanda, lorsqu'il sortit son sexe adipeux suintant de mon foutre et de son sperme de ma vulve, il y eut comme un bruit de succion, un flot de sperme s'écoula de ma chatte sur ses cuisses. Il m'ordonna de lui lécher le sexe jusqu'à ce qu'il soit propre. Et de nettoyer le canapé, ce que je fis avec application déglutissant à chaque coup de langue le sperme recueilli, en regardant voluptueusement Alfred et surtout Victor qui ne tenait plus en place, car il avait pris la caméra pour filmer les gros plans...

À suivre...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
hummmmmmmmmmm trait excitante vivement la suite



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Chinoiseries
Histoire sexe : Une rose rouge
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