Titre de l'histoire érotique : 3 ans de pénitence - 10

- Par l'auteur HDS Mia-michael -
Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : 3 ans de pénitence - 10 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : 3 ans de pénitence - 10
Aïe, mon cul !!
***************
Quand il ressort sa bite de ma bouche, elle est à nouveau molle. Il frotte son gland mouillé de salive et de sperme sur mes joues et mon nez. Puis, il remet son instrument, pour une fois propre, dans sa salopette.
La mère me dit:
— Pose l’assiette sur la table.
Oh? Elle va sans doute mettre « ça » dans la marmite de bouffe. Quelle truie!
On regarde la performance de l'autre cultivateur de légumes. La fille qui est assise sur sa bite et celle qui s'est assise sur son visage s'embrassent...
La mère qui a fini de se goinfrer admire le spectacle. Comme elle voit que j'ai fini de sucer le paysan, elle me fait signe du doigt en disant:
— Toi, sous la table, le nez dans ma chatte.
Que faire, sinon obéir? Je file sous la table. Elle a relevé sa robe, je me mets à genoux entre ses cuisses. Dès que j’y suis, elle rabat sa robe sur moi. Je suis dans le noir! Comme elle se fait lécher à longueur de journée, et sans doute de nuit, l’odeur et le goût sont supportables, à défaut d’être agréables.
Je lèche ce que j'ai sous la langue et surtout le clito qui est particulièrement développé chez elle. Ils discutent là-haut, mais je n'entends pas ce qu'ils disent depuis ma cachette. Très vite, elle relève sa robe en disant:
— C’est bon, sors de là.
Elle m’attrape et me prend sur ses genoux en disant:
— Regarde ce qu’on te prépare.
Jeanne, qui s’était accroupie sur la bite du paysan, est maintenant accroupie sur l’assiette à soupe et elle... pousse!
Oh, non!
Un mélange de sperme et de sécrétions sort de son vagin comme des bulles! Quelle horreur! Elle se redresse, puis s’accroupit de nouveau, un nouveau globule émerge. Quand plus rien ne sort, elle se met debout et fait couler le contenu de l’assiette dans le verre. La mère dit:
— C'est l'heure de l'apéro, ça, c'est pour toi!
Si je ne le fais pas, ils sont encore capables d’ajouter des horreurs à cette mixture. Alors, je prends le verre qui est à moitié rempli d’un mélange jaunâtre. Une seule solution, boire rapidement. Ouch! C’est gluant et il y a même des grumeaux et des morceaux comme de la maïzena. Je bois tout en réprimant des hauts le cœur.

Je suis sûre qu’ils sont déçus, enfin surtout les filles qui sont les plus garces. La mère me dit :
— C’est bien ma chérie.
Et, elle m'embrasse sur la bouche. Si elle aime ça, elle aurait pu le boire l'apéritif!
Après ça, c’est plus calme. On se rhabille et on retourne à la cuisine pour finir de tout préparer. La mère semble rassasiée de bouffe et de sexe. Elle somnole dans son fauteuil. Les deux filles et moi, on prépare tout pour le repas du soir. De temps en temps, elle ouvre un œil pour donner un ordre ou elle appelle une de nous, parce qu’il lui faut quelque chose.
Au repas du soir, il y a de nouveau quelques punitions, mais je ne suis heureusement pas concernée. Je mange la bouillie, en faisant profil tellement bas que je risque de me retrouver au Japon ou en Australie.
Après le repas, je suis de corvée cuisine pour ramener tout ce qui a été utilisé par les Mères, les VIP, le personnel et puis les filles. Je dois continuer à obéir aux deux filles, Jeanne et Lisa. Elles se sont bien amusées avec moi cet après-midi et ça se passe mieux, d’autant que la Mère s’est carrément endormie dans son fauteuil.
À 10 h, on doit se préparer pour aller dormir. On passe toutes par groupes dans la grande salle où il y a les douches et les toilettes. Il y a dix W.C. les uns à côté des autres. On doit s’asseoir ensemble sur les pots, c’est normal, ça? Moi, c’est juste pipi, je ne pourrais pas faire plus en public.
Ensuite on va au dortoir. C’est une longue pièce. Il y a trentaine de lits côte à côte. À l’entrée, il y a un très gros tas de vêtements chiffonnés. On doit en prendre un. Ce sont des chemises de nuit qui descendent jusqu’aux chevilles. On en prend une et on va près d’un lit, n'importe lequel. Tout est en commun ici, les chiottes, les chemises de nuit, les lits... Je me déshabille comme les autres et j'enfile une chemise de nuit qui a déjà dû être portée par une dizaine de fille étant donné la puissante odeur de transpiration.
Je fais comme les autres filles, je mets à genoux devant lit, les mains jointes comme si on priait. Mais moi, je prie vraiment! Je prie pour me réveiller de ce cauchemar!
Il fait froid et être agenouillée sur le carrelage, ça fait mal aux genoux. Mais c’est un moindre mal, j’ai peur de quelque chose de nettement pire. Ah voilà, ça arrive!
Une Mère arrive avec 4 hommes qui ont un martinet à la main. Aie!
Ces hommes n’ont pas l’air d’être de membres du personnel, je les verrais plutôt, industriels ou banquiers, à nouveau des hommes riches. Je commence à avoir une idée du genre de bordel qu’est ce couvent!
La Mère prononce une quinzaine de prénoms. Aussitôt, la fille se met à 4 pattes sur le lit. Moi, je ne suis pas nommée. Elle dit:
— Les autres au lit.
Je me glisse dans les draps sales et je me couche sur le côté pour regarder ce qui va se passer. Ma voisine qui est debout devant son lit est une jolie rousse, très pâle de peau, qui a déjà les yeux rouges, sachant qu’elle va être punie.
Un homme d’une trentaine d’années, mince et bien habillé, va se mettre derrière la fille. Il lui demande:
— Tu sais pourquoi tu vas être punie?
— Oui Monsieur.
— Eh bien explique!
— J’ai mal compris un ordre de la Mère et je n’ai pas obéi assez vite.
— Tu n’as pas compris parce que tu es dure d’oreille ou par stupidité?
— Je suis stupide, Monsieur.
Un autre homme parle aussi avec une fille. Rapidement, j'entends le bruit des coups de martinets et les cris des filles.
Je regarde à nouveau la jolie rousse qui pleure carrément, tandis que l’homme lui demande:
— Tu crois que le fouet peut guérir quelqu'un de la stupidité?
— Oui Monsieur.
Avec des gestes délicats, l’homme remonte la longue chemise de nuit, découvrant les pieds et les mollets de la fille, puis ses cuisses et ses fesses. Il l'enlève complètement. Elle a un dos mince et une croupe bien rebondie. Cette position la met particulièrement en valeur. C’est la position qu’un gynéco m’a un jour fait prendre, parce que je m’étais plainte à ma mère d’un saignement à l'anus. Mauvaise idée, je me suis retrouvée dans la même position, tandis qu’un gynéco enfonçait son index enduit de vaseline dans mon derrière et que ma mère, qui assistait à la scène, s'amusait beaucoup de me voir gémir et me tortiller. C’est une position particulièrement inconvenante. De fait, je vois une touffe de poils couleur feu qui dépassent entre les fesses et les cuisses de ma voisine. Elle ne doit plus avoir aucun secret pour l’homme qui se trouve derrière elle.
Il lui caressa les fesses en disant:
— Tu connais la règle, Camille, tu peux remuer tes grosses fesses autant que tu veux, mais pas t’aplatir.
On entend la voix étouffée de la fille qui répond:
— Oui, Monsieur.
L’homme prend le martinet et promène les lanières de cuir sur ses courbes. Il passe aussi les lanières entre les cuisses sur le sexe de la fille, de plus en plus crispée. Puis il lève le martinet et donne un bon coup sur toute la croupe.
La fille pousse un grand « Aiiiee » qui répond aux cris des autres filles de la chambrée, qu'on fouette déjà.
Je vois une demi-douzaine de traces rouges sur les fesses de la fille.
L’homme fouette en série, il donne six coups chaque fois, et la fille crie à chaque coup. Puis, il attend un peu et pose sa main sur les fesses pour en sentir la chaleur. Les lanières des martinets font vraiment mal mais ne blessent pas. C’est un grand avantage pour celui qui fouette, mais en même temps, un gros inconvénient pour celle qui se fait fouetter, puisqu’on peut recommencer le lendemain. Voire l'après-midi même ou en soirée, si on a puni la fille le matin.

L’homme attend un moment en caressant les marques, tandis que la fille gémit. Puis, c’est reparti. Six fois de suite, les lanières s’éparpillent du bas des reins au haut des cuisses, tandis que la victime s’égosille. Je me rends compte qu’elle fait des efforts énormes pour ne pas s’aplatir en se couchant sur le lit, ce qui lui vaudrait une punition encore plus sévère, je suppose. Par contre, la fille peut bouger les fesses et elle ne s’en prive pas. Ses hanches se balancent de droite à gauche comme si elle essayait d’échapper à ces lanières qui laissent des marques brûlantes.
L’homme donne six séries de six coups, soit trente-six coups de martinet. Il a fait ça vite, mais en lui accordant un peu de repos entre chaque série. Il tâte une dernière fois les fesses de la fille qui pleure et gémit, puis passe à sa voisine.
Chaque homme ayant 3 à 5 filles à corriger, ça leur prend bien une demi-heure pour traiter toutes les punies de la chambre. Pendant cette demi-heure, on entend les sifflements des fouets, le bruit des lanières frappant les fesses des filles, ainsi que leurs pleurs et leurs gémissements.
Quand le dernier officiant a terminé, ils viennent examiner les résultats sur les derrières des victimes. Ils comparent, tâtent les fesses, plaisantent...
Enfin, ils s’en vont!
Les filles restent dans la même position pendant au moins un quart d’heure, jusqu’à ce que la Mère revienne et dise:
— Au lit!
Elles obéissent aussitôt en gémissant. Ça doit être difficile de trouver le sommeil avec les fesses en feu. Je me rends compte que dès que la Mère est sortie de la chambre, des filles parlent tout bas entre elles. Il y en a même qui se lèvent. Par exemple ma voisine, elle vient aussi d’être punie, me dit:
— C’est ta première nuit, ici?
— Oui... et ça va?
— Ça peut aller, à part que j’ai les fesses en feu. Tu me permets de venir dans ton lit? Ça me ferait du bien d’être contre toi.
Oh! Pourquoi pas?
Je lui dis oui.
Elle vient aussitôt me rejoindre et on s’endort dans les bras l’une de l’autre.

A suivre.

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