Titre de l'histoire érotique : Matinée de soumission - histoire érotique

J'ai décidé ce jour de franchir un cap important dans ma vie de jeune soumis : sucer. Je suis hétérosexuel en temps normal et perçois donc la fellation comme un acte de soumission extrême. Quoi qu'il en soit, cela fait partie de la formation, je dois laisser de côté mes goûts et plaisirs pour devenir un objet, servir mon prochain. Je fais alors très vite et facilement la rencontre d'un homme mûr sur internet. Il a trente ans de plus que moi et je lui explique ma situation, il me convoque sur son lieu de travail.

Arrivé sur place, il m'emmène dans son bureau qu'il ferme à clé et essaie d'en savoir plus sur moi. Je vois qu'il est très excité par mon histoire et très vite il me touche le sexe à travers mon pantalon. Loin de m'exciter, cela me trouble et je le laisse faire, il me demande de faire de même, je m'exécute. Il baisse mon pantalon et mon caleçon et me demande de m'agenouiller, je me retrouve bien dans cette demande. Il libère à son tour son sexe, petit et poilu et commence à se toucher. Je n'ai pas le temps de beaucoup réfléchir, il me prend la tête et la rapproche de son sexe, je lui lèche alors le gland et le prends en bouche. Il est propre, je ne ressens pas de dégoût hygiénique, en revanche, je n'arrive pas à m'exécuter lorsqu'il me demande de lui sucer les boules. Je suis pris de panique lorsque j'entends "Tu vas tout avaler à la fin.". A mon regard suppliant, il répond "Oui, tu es un soumis.". L'argument est de taille. Je commence à être pressé de repartir alors je le branle très fort tout en suçant. Quand je sens qu'il va jouir, je me retire et arrête de le sucer. "Je vais juter !". Je redoute l'ordre de revenir le sucer mais il ne tombe pas et Monsieur se branle et éjacule dans sa main. Là aussi, j'ai peur qu'il me demande de lécher, mais il n'en est rien et il se débarrasse de tout ça dans un mouchoir et se rhabille. Il me fait remarquer que j'ai la mi-molle et propose de me faire jouir moi aussi. Je décline poliment et prends congé. Je ressors très bouleversé et prends le métro pour me diriger vers chez ma Maîtresse.

Elle est toujours aussi belle et je suis très content d'y revenir. Je me mets vite à genoux, à poil et déjà un peu bandant à ses pieds divins. Elle me crache plusieurs fois dans la bouche en guise de bonjour et me met une laisse. Elle s'assoit et me fait lui lécher les pieds tout en les massant. Je m'applique pendant dix minutes durant lesquelles nous discutons de ses attentes envers moi : la servir comme objet actif lors de rencontres avec d'autres soumis. Pour marquer la fin de la discussion, elle crache de nouveau dans ma bouche. Je dois passer en position quatre pattes, sur les coudes. Je sais parfaitement ce qui m'attend, là encore je ne suis pas fan mais la sodomie est une compétence élémentaire de tout soumis. Après une rapide préparation, ma Maîtresse me prend avec un gode-ceinture, le même que d'habitude je pense. Il rentre facilement puisque ce n'est pas la première fois et que je me suis entraîné chez moi. Cependant, je suis soulagé qu'elle ne passe pas à la taille supérieure. Elle m'encule à merveille en me triturant les couilles. J'en tire un certain plaisir mais mon érection a disparu. Elle se retire.

Je me mets sur le dos et elle me marche dessus, visage, torse, ventre, bite. J'adore ça. Elle enfonce ses cinq orteils dans ma bouche, m'écrase le sexe. Enfin elle relève sa courte tenue, je vois ses fesses magnifiques qui nourissent tant de mes fantasmes. Elle s'assoit sur mon visage et comme à chaque fois, j'essaie de profiter au mieux de ce moment magique. Je lèche, renifle, embrasse son anus et autour, en essayant aussi d'y rentrer la langue. Mon érection devient incontrôlable et elle me tape le sexe avec je ne sais quoi. Cette position finit par prendre fin, comme à chaque fois, à mon grand regret. Elle le sait, à chaque fois qu'elle me fait un facesitting, elle me plonge dans un état de profonde excitation et par conséquent de grande docilité. Elle en profite pour m'attacher, debout, bras et jambes écartés, face au mur. Elle me bande les yeux, je suis à sa disposition.

Elle se colle à moi par derrière et commence à me carresser les fesses, le torse, le ventre et le sexe. Cette position chaleureuse me fait bander comme jamais. Je ne peux retenir des petits mouvements de bassin. Elle s'écarte pour enfiler une tenue, revient me faire un câlin et me tripoter les tétons. Je suis insensible des tétons, en revanche d'être de nouveau collé à elle me plaît et je comprend alors quel genre de tenue elle s'est mise. Je devine que de ses bras pendent des lanières de latex. Lorsqu'elle me malaxe le torse, ces lanières tombent sur ma bite qu'elles carressent très doucement. Je sens son souffle chaud sur mon cou, dans mes oreilles et parfois sa main me prend les couilles et remonte même le long de mon sexe. L'excitation est intenable, je meurs d'envie de jouir. Elle me passe un ustensile autour du sexe, quelque chose qui me serre la verge à la base ainsi que les testicules. Cette appareil ne m'empêche pas de bander et au contraire, je trouve qu'il stimule mon érection. Elle se met à m'administrer des coups de je ne sais quoi. Sans doute un martinet je tape les fesses très fort. Elle me passe une roulette de piquants sur le sexe, les testicules et autour. Je suis étonné de ressentir des frissons de plaisir. Des petites douleurs aigües qui alternent avec des carresses hyper-sensuelles. J'ai vraiment besoin de jouir mais elle préfère faire durer.

Elle finit par me détacher, me débander les yeux et m'allonger par terre. Elle me crache dessus et dans la bouche, m'écrase un peu avec ses pieds histoire de me rappeler ma place. Elle me met à genoux et elle s'incline en posant ses mains sur le canapé. J'ai une vue sur ses fesses et son vagin terriblement excitante. Elle tire sur ma laisse et Dieu merci, me demande encore de lui lécher le cul. Quel bonheur ! J'écarte ses fesses de mes mains, et lèche comme un chien en chaleur. Elle me demande ensuite de la suivre, tout en lui léchant la rondelle jusqu'à la salle de bain. Elle avance donc doucement, un peu penchée en avant, mon collier de chien dans la main et moi à quatre pattes, tête levée dans ses fesses, ayant pour seule vue ses magnifiques lobes. La position est désagréable pour mon cou et malgré l'excitation monumentale, mon érection se dissipe. J'aurais voulu marcher des kilomètres comme ça. Nous arrivons dans la salle de bain, elle m'enlève ma laisse et me demande de m'installer dans la baignoire.

Elle se met au dessus de moi, comme d'habitude, et me demande cette fois si je préfère être arrosé en bouche ou sur le corps. Je lui demande les deux. Je lève la tête vers son vagin, ouvre grand la bouche et tire la langue. J'attends un peu et les premières gouttes arrivent, puis le jet, dans ma bouche. Cette fois-ci l'urine est très jaune, épaisse et odorante. J'ai ressenti un léger dégoût sur le moment mais au moment de retranscrire cette histoire, j'ai vraiment hâte de recommencer. Comme à son habitude, elle a beaucoup d'urine à offrir, elle remplit plusieurs fois ma bouche, puis se déplace sur mon corps, sur mon sexe qui bande évidemment. J'adore la pisse et elle me comble. Elle me remplit la bouche encore plusieurs fois, je n'arrive pas encore à avaler et me recrache dessus, j'en ai réellement partout. Une fois vidée, ma Maîtresse s'installe à côté et comme habituellement, me branle pour me féliciter d'avoir été un bon chien. Je repense brièvement au monsieur que je viens de sucer, je n'en ai pas parlé à ma Maîtresse. Après une petite heure en érection quasi-continue, elle n'a aucun mal à en venir à bout et je jouis très vite dans un orgasme libérateur. Elle met sa main pour récolter mon sperme, de la même manière que ce monsieur, sauf que sa volonté est toute autre : je dois manger. Je le fais, sans dégoût, elle en reprend sur mon ventre et le porte à ma bouche de la même façon. Mon sperme est abondant et épais, son goût est masqué par toute la pisse qui l'accompagne et je dévore le mélange avec plaisir. Une fois mon repas terminé, elle disparaît pour me laisser me doucher. Je ne bande plus et j'ai une très forte envie d'uriner, je me laisse aller sous la douche, je me pisse dessus jusqu'à ce que mon érection revienne, puis me douche en vitesse, me rhabille et disparaît en me répétant toute cette folle matinée dans la tête. J'ai hâte qu'elle me rappelle pour la servir.