Titre de l'histoire érotique : Histoire de rugbyman. Chapitre 2 : Souvenir d'un fils 6e partie "chez les masters"

- Par l'auteur HDS Liospuman -
Récit érotique écrit par Liospuman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Histoire de rugbyman. Chapitre 2 : Souvenir d'un fils 6e partie "chez les masters" Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(8.0 / 10)

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Titre de l'histoire érotique : Histoire de rugbyman. Chapitre 2 : Souvenir d'un fils 6e partie "chez les masters"
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Salut, voici la 6e partie du chapitre 2. Dans un premier temps, je remercie ceux qui m'envoie des messages, que ce soit des compliments ou des remarques. Cependant, j'aimerais préciser une chose. Mon récit n'est pas qu'une fiction, il y a beaucoup d'enjolivement, mais la matière première est un ensemble de fait réel. Des choses que j'ai vécu et certain qu'on m'a conté.

"A force de trainer avec des PD, on finit par se faire enculer !!!" Il y a encore quelques années, on entendait ça de la bouche des gens. Aujourd'hui on entend "ça me dégoûte y a t'il vraiment besoin de souffrir pour prendre du plaisir" Et bien pour moi, dans mon cas, avec mon corps OUI et ALORS !!! C'est mon cul, mon corps, ma bite, ma douleur, mon plaisir."

Pour répondre a ceux qui pense qu'il faut être fou pour aimer le sexe violent. Je répondrais qu'une chose : chacun a le droit à une sexualité épanouie. Pour ceux qui lisent mon récit, vous êtes gay ou au moins bi. Donc déjà de part votre sexualité vous n'êtes pas classique et donc catégorisé et certains hétéros vous traiterez de dépravé.

ALORS JE LE DIT HAUT ET FORT, nous qui sommes gay ou bi, nous n'avons pas le droit de traiter de dépravé ce qui n'ont pas notre sexualité dit "classique". Qui ne font pas l'amour dans un petit lit douiller ? Qui ne se contente pas d'un partenaire ? Ou qui aime avoir mal pendant l'amour. Car oui, certain d'entre nous ont besoin d'un certain degré de souffrance pour que le plaisir s'y mélange et produise un vrai orgasme.

MAIS si, nous les LGBT nous leurs refusons le droit au vrai plaisir et a leur liberté, qu'est ce qui leur reste ? Dans ce cas, tous les hommes et femmes qui se sont battues pour reconnaître aux homosexuels le droit d'exister ???? À quoi cela a servi si certain d'entre nous doivent encore être discriminé et honteux, car leur sexualité diverge de la nôtre. Le pire, c'est que les anciennes victimes pourraient devenir sans les avoir les bourreaux de demain.

Certain parle de masochisme, moi, je parlerais de plaisir tout court. Il est vrai que ses pratiques sont peu connues et doivent être bien, encadrer pour toujours, être sous contrôle et ne jamais mettre sa vie en danger. Mais en dehors de ça, c'est du sexe, c'est la volonté et l'expression des envies de personnes. ALORS JE DIRAIS CA a toutes les personnes qui aime ça, profiter en à fond, mais en sécurité. Il n'est pas juste que ceux qui jouissent par la douceur interdissent ou critique ce qui ont besoin de plus pour jouir pleinement. Car après tout une vie sans réel plaisir mérite t'elle d'être vécu.

PARTIE 6 : Suite du flash-back Quentin « La soirée chez les masters »

Ce vendredi, avant dernier jour avant le retour de ma mère et ma sœur, Marc nous annonce une soirée spéciale en dehors de la maison. Il a décidé de nous prêter à ses potes, des hommes dans les 35 à 50 ans. La plupart sont gentils et doux, mais d'autre sont hyper brutaux et très violent. On a morflé lors de certaines soirées, je ne vous en parle pas. Enfin si, je vais vous raconter la pire, ce fameux vendredi. C'était notre première mise à disposition pour une partouze. La soirée s'est déroulé chez Fabien l'un des brutaux.

Fabien est un coach de sport comme Marc, d'allure classique et intello, on le dirait gentil, mais c'est totalement faux. Il est grand 1m80 pour 75kg, très musclé, de partout, un cul d'enfer. Brun, les yeux verts, une belle gueule d'intello avec ses costumes et ses tenues strictes. Mais dans l'intimité, c'est un monstre, surtout niveau sexe, sachant que je ne parle pas seulement de son énorme bite de 23x8. Dans un premier temps, il voulait nous essayer personnellement, alors nous venu dans le coffre de sa voiture, on été vraiment à l'étroit. Nous avons revenu l'extérieur lorsque nous sommes entrée dans le garage de sa maison de village. Nous avons su plus tard que comme Marc, il a épousé une femme riche qui l'entretien. À la différence de ma mère, elle connaît tous des penchant de son mari.
Pour commencer, Fabien nous ordonner de nous dénuder et a été d'une rare violence, en nous assenant plusieurs coups de fouet, qui nous arrachèrent des hurlements de souffrance pure, très loin du plaisir ressentis jusqu'à présent.

Nos corps été marqués par les traces de fouet. Puis il se déshabilla totalement, nous crurent que le plaisir aller enfin arriver. Thibaud s'approcha de son sexe, mais Fabien lui assena violemment une claque qui lui remit les idées en place. Mon ami toujours aussi excité en avait cure. Le master avait le sourire du petit chef vainqueur. Fort de sa domination, il nous fit faire plusieurs gorges bien profondes. Puis le moment de la sodomie brutale sans préparation arriva. Pour clore l'affaire nous humes le droit chacun a un énorme godemiché dans le cul, ce qui nous fit hurler cette fois encore partagée entre plaisir et douleur. Ses godes avaient des aspérités comme des veines, que nous ressentîmes fortement lors de l'intronisation. Le pire dans tous ça, c'est qu’après « l’entraînement » presque une heure et demi, de torture, de fellation et d'enculage bestial, il n'avait pas joui une seule fois.

Après l’entraînement, nous étions déjà à bout de forces. Mais lorsqu'il nous a enferma dans sa salle de torture, l’énergie disparue. J'avais envie de rentrer, la douleur avait était trop forte. Mais comme d'habitude, la curiosité, les ordres de Marc et les supplications de Thibaut, ont eut raison de ma volonté. L'attente dans ces moments particuliers est longue et excitante. Cela nous torturait, mais on faisait confiance à Marc pour nous protéger, nous n'avions pas idée que certains étaient encore pire que notre hôte.

À l'arrivée de ses potes, ce fut encore pire. Après une interminable attente, il vient enfin nous chercher, pour nous conduire dans une grande salle ou 12 hommes d'âge murs étaient en train de boire et de se branler.

Rapidement, je suis séparé de Thibaut, on me met un collier pour chien, on m'emmène vers un groupe d'hommes pour leur faire des fellations. J’entends des coups de fouet très sec s'abattre sur quelque chose ou quelqu'un et un hurlement. Il me faut quelques secondes pour reconnaître Thibaut, qui souffre. J'essaie de relever la tête pour le voir, malheureusement mes entraves ne me le permet pas. Les hommes autour de moi tirent dessus et l'un d'eux me dit :

- T’inquiètes pas ça va être ton tour.

Je commence à douter, nous n'aurions jamais dû venir ici. C'est une chose de coucher avec mon beau-père et faire de jeux érotiques aux limites du sadisme. Mais me retrouver attacher comme un chien, face a plein de mâles en rut hyper violent, je ne suis pas sûr d'être prêt. J'ai envie de rentrer, mais je suis coincé, je suis sur, que si je me refuse à eux, ils me violerons et Marc me le fera payer. Il sera déçu et risque de tout arrêter avec moi et je ne suis pas sûr d'en avoir envie. Alors je me la ferme et accepte.

À cet instant, j'ai lâché prise, les coups arrivent pour moi, mes fesses prennent de sacré claques, la douleur et forte alors je hurle. Cela a tendance a les exciter et les faire rire. Puis il me frappe un peu partout, avec des fouets, leurs mains, leurs poings, leurs pieds.

Au bout de quelques minutes, je ne serais dire combien exactement, mon corps c'est déconnecté de mon cerveau. Je ne vais pas dire que je n'ai plus mal, au contraire, je ressens chaque coup, mais j'ai comme dépassé un stade. J'arrive a me concentrait sur autre chose, cela me permet de regretter ma présence a cette mascarade, face a ses monstres qui prennent plaisir a me battre comme un chien.

D'un coup, plus rien je me dit bêtement qu'ils sont fatigués ou qu'ils vont enfin passer aux fellation et à la sodomie. Alors j'ouvre la bouche en bon bâtard prêt a sucer. Je suce chaque bite qui se présente a moi et ceux pendant plusieurs minutes ou heures, je ne sais pas.

Soudain mon gode et retirer violemment et une grosse bite glisse dans mon cul. Un douleur vive me brûle l'anus à tel point que je me révolte. Voyant cela Fabien me gifle durement. Il attrape mon visage a deux mains et me crache dessus.

- Ta gueule salope bouge pas le pire et a venir.

Il me fais sucer sa bite pendant que des membres défilent dans mon cul et décharge chacun un peu. Malgré l'impressionnant calibre de Fabien je pousse des hurlements tellement ses hommes sont bestiaux. Je finis par verser des larmes, ce dont Fabien s’aperçoit et cela décuple son plaisir au point de jouir dans ma bouche. Puis un autre prend sa place et cela dure encore longtemps. Jusqu’à ce qu'il ai un changements de ton.

- Passons aux choses sérieuses dit Fabien

Je suis levé dans les airs, pendant un bref moment, je me demande si je ne suis pas mort et que mon âme quitte mon corps. Mais la douleur que je ressens, me ramène à la raison. Ils m’écartent les cuisses et aussitôt une chose énorme me pénètre et me déchire en deux. Enfin, c'est l'impression que j’ai à ce moment. La douleur me vrille le corps et je hurle, cette chose continue sa progression en faisant fit de la résistance de mon corps. La douleur est tellement forte, que je n'arrive plus a respirer, ni réfléchir et je finis par perdre connaissance.

Lorsque je reprends mes esprits, l'horrible souffrance est encore là. J’essaye de m'échapper, je gesticule, mais rien n'y fait. Leurs bras me maintiennent trop solidement. En me penchant je m'aperçois que c'est une main qui me fouille les entrailles et provoque cette douleur lancinante. La main d'un homme, assez costaud plongé quasiment jusqu'au coude, elle entre et sort de mon cul meurtrie. Je reçois quelque claques pour s'assurer de mon retour et quelque insulte.

Alors traîner, tu aimes ?

Moi, je n'ai pas d'autre choix que de les supplier d’arrêter, mais en vain. Puis le bras sort de mon cul en m'arrachant un crie de souffrance, aussitôt le suivant prend la place. À partir de là, c'est un cercle vicieux de pénétration anale, fellation, fist, crachat et coups. J'ai perdu connaissance plusieurs fois pour leur plus grand plaisir.
Aux premières lueurs du jour, je n'ai plus la force de crier ou de me rebeller, j'assiste à tout de manière passive. J'aperçois enfin Thibaut qui a atteint le même stade. Il n'y a plus de cri, seulement quelques gémissants quasi-inaudible et le souffle de nos bourreaux. Le final arrive enfin, on nous force à nous branler et à jouir l'un sur l'autre. Couvert de sperme et endolorie, Fabien nous mets à la porte de son appartement et nous dit :

les petites putes, vous valaient le prix que j'ai payé.

C'est à cet instant que nous avons su, qu'il gagner de l'argent sur notre cul. J'étais fermement décidé à stopper cette mascarade et surtout à remettre Marc à sa place. Péniblement, nous avons pris la direction de la maison. Une fois rentrer chez moi, j'ai convoqué Marc dans ma chambre pour en découdre.

Les avis des lecteurs

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Ton histoire me fait triquer. Très agréable à lire dans le tgv. J ai une belle gaule.

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de jose salut a toi merci pour cette belle suite moi jai kiff grave bravo pour t as mise au point car au moin ses clair et directe je dit chaquin prent sont plaisir comme il le voix et moi je respecte le choix de chaquin meme ci ses pas le mien dans toute les pratique le principale ses le respet de l un et de lautre entre les deux partenaire



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Histoire sexe : Une rose rouge
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