Titre de l'histoire érotique : COLLECTION TABOU. Bigamie non Trigamie (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION TABOU. Bigamie non Trigamie (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION TABOU. Bigamie non Trigamie (2/2)
Je suis pacsé avec Sandra depuis huit ans, nous avons deux enfants de deux et un an, nous voulions vivre et nous établir dans notre travail avant de former une famille, à vingt-huit pour elle et trente ans pour moi, nous avons réussi le choix du roi.
J’ai rencontré Sandra, il y a neuf ans, elle sortait d’une relation tumultueuse avec Olga pimpante jeune femme rousse d’origine russe, mais qui était née en France.
Pendant l’année qui a précédé notre mariage, une seule chose m’obsédait, n’allait-elle pas retourner à ses amours saphiques et m’abandonner alors que je mourais d’amour pour elle.

Neuf ans, je pensais avoir gagné la partie quand un jour, j’apprends qu’elle a invité nos nouvelles voisines à manger le soir, comme je le dis souvent, ce que femme veut m’entraîne dans notre piscine où tour à tour, je deviens l’amant dans l’ordre qui vous importe de Victoire et de Victoria.
Sandra en fait de même devant moi suçant tour à tour les chattes des jumelles et les faisant jouir.
Le lendemain, elles m’apprennent que je devais casser notre pacs pour que mes trois femmes soient sur le même pied d’égalité et que nous vivrons en union libre.
Qu’à la suite de notre séparation de façade, nous irons voir mon notaire pour établir mon testament, car il m’est demandé à faire des enfants à ces deux sœurs.
Ce que femme veut.

• Le testament partagera les biens de notre famille à part égale entre tes enfants que tu reconnaîtras, nous ferons chaque fois des tests ADN prouvant ta filiation.
Si tu disparais avant leur majorité, il sera écrit que les trois mères seront à part égale responsables de ton héritage, n’ait crainte, nous voulons que tu vives très vieux et que tu vois grandir tes enfants.
Es-tu d’accord sur notre avenir ?
• C’est équilibré.
• Dimanche, nous allons organiser notre mariage entre nous, bien que nous voulions vivre au grand jour notre amour, même si certaines personnes refuseront que nous soyons heureux tous ensemble.
• Si tu as peur d’être face à trois femmes à satisfaire, nous avons tiré au sort, c’est Victoria qui sera ta première compagne ce soir, Victoire passant la nuit avec moi.
Demain ce sera moi et le jour suivant Victoire, les samedis soir, nous ferons une fête tous les quatre où nous pourrons réitérer la soirée d’hier.
Es-tu toujours d’accord ?
• Plus que jamais, je vois que vous avez protégé votre homme et ça me plaît.
• À partir de ce soir, nous prendrons tous nos repas en famille, avant que tu ailles passer la nuit dans la chambre de Victoria, hier, quand vous avez fait l’amour, elle avait pris sa pilule, à partir de ce jour, elles vont l’arrêter, elles veulent que tu leur fasses leur premier enfant le plus rapidement possible.
Nous aurons notre prochaine réunion dans une semaine toujours le lundi, entre femmes, pour régler les problèmes en toute quiétude.
Allons préparer le repas mes sœurs, Victoire, tu t’occupes de coucher les enfants, je suis sûr que comme hier, Gabriel t’écoutera.
Veux-tu un whisky mon cœur ?

Je sens que je vais être un vrai nabab, il va falloir que je leur apprenne à m’apporter mes pantoufles.
Repas terminé, Victoria et moi, nous embrassons celle qui va être mon ex-femme, ses yeux brillent, je la connais, la nuit avec Victoire va la combler, mais je suis serein, notre amour restera intact surtout après la fête dont nous avons parlé une partie du repas.
Je rejoins sa chambre dans la villa où j’entre pour la première fois.

• Veux-tu un verre de lait, avec ma sœur, nous en buvons tous les soirs avant d’aller chacune dans notre chambre ?
• J’adore le lait.

J’ai horreur du lait, mais je veux éviter de commencer notre relation par un refus à sa demande.

• Victoire, c’est toi qui étais la naïade dans la piscine.
• Ça fait partie de notre mystère, jamais tu ne sauras qui tu as dans tes bras, tu verras après une période d’adaptation, tu apprécieras.
• Viens dans mes bras.
• Non, déshabillons-nous, je vais te faire ta petite toilette.

Une fois dans la baignoire, elle me fait mettre debout et avec sa bouche me fait une fellation, c’est divin, je prends la poire de douche et je lui arrose la figure, elle me pompe aussi bien que celle qui était sous l’eau dans la piscine.

• Mets-toi en levrette, j’adore prendre mes partenaires dans cette position.

Nous sommes sorties de l’eau et elle m’a essuyé, je viens de la porter sur son lit, tout en l’embrassant.
J’entre en elle, elle semble aimer que je la sexe avec de grands coups de reins, rapidement la pièce est remplie de ses cris de plaisir et j’éjacule dans sa chatte avant de m’écrouler de fatigue.
Ce qui est étonnant dans les heures qui suivent, c’est de sentir un corps s’attacher à moi, d’une façon entièrement différente de celle que je sens depuis que je dors avec Sandra.

Sandra, je la retrouve le lendemain, il va falloir que je m’organise autrement, j’ai assez de costumes pour en mettre dans les deux maisons, car je suis obligé de venir dans mon armoire récupérer un boxer avant de partir à mon entreprise.
Dans la conversation à table hier au soir, mes deux nouvelles femmes nous ont présentés ce qu’elles vont apporter à notre couple, pardon, à notre trigamie qu’il va falloir imposer à notre société, mes femmes ne voulant pas vivre caché.

Je parlais du couple que j’ai formé avec Victoire pendant la nuit, j’allais dire dans ma chambre, dans la chambre où Sandra et Victoria dorment, je retrouve la position qu’elle adore prendre le long de moi, la différence, c’est que sa main est dans le creux de sa chatte au lieu de ma verge.
Je connais Sandra, elle va réussir à faire tourner notre nouvelle situation, il faut donc que j’arrête les comparaisons.

Je retrouve Sandra, le soir après ma journée de travail, j’ai la surprise de voir arriver tout mon petit monde dans l’après-midi, les filles voulant voir ou je passe ma vie hors de nos maisons.
Elles se comportent toutes les trois comme elles l’avaient dit, plusieurs de mes employés ne peuvent que constater que nous formons un quatuor.

La nuit avec Sandra est identique à celle que j’avais l’habitude de passer avec elle, la seule chose, c’est qu’elle passe son temps à me remercier, avoir accepté d’avoir une vie à quatre avec les jumelles.
Ce qu’elle oublie, c’est que par son comportement, j’aime retrouver ses yeux brillants comme au plus beau jour du début de notre mariage, ajouter au faîte qu’elle me permet d’avoir deux magnifiques salopes dans mon lit sans avoir à prendre une maîtresse.
Pas de petite combine pour aller prendre du bon temps comme le troisième soir où c’est l’autre sœur qui se donne à moi.

• Qu’aimes-tu ma chérie ?

Je lui pose la question dès que je suis dans ma troisième chambre, trois femmes, trois chambres et à moi le petit cul de cette blonde, je ne peux mieux dire quand alors que je viens de la pénétrer ses jambes reposant sur mes épaules, elle me prend la verge pour la placer sur son anus.
Si c’est bien Victoria que je baise dans son lit, celle qui accepte, la sodomie portera toujours ce nom, l’autre aimant se faire sauter en levrette quant à Sandra elle aussi elle préfère la levrette aux plaisirs de la sodomie.
J’ai essayé dans nos premiers jours de mariage, alors que je venais de la baiser par la chatte, j’ai placé mon sexe sur son anneau, elle s’est laissée tomber sur notre lit me laissant la bite tendue.
J’ai été obligé de me lever pour aller me palucher dans notre baignoire lui faisant croire que je prenais une douche, le lendemain, j’ai pris un savon non pas pour la tentative de sodomie, mais pour le sperme qui maculait le rideau de douche.

Le dimanche suivant, je mets mon plus beau costume avec ma plus belle cravate, j’ai le choix, entre celle avec Grosminet, celle avec Titi ou une autre avec Bip bip.
Chacune de mes femmes préférait l’une par rapport à l’autre, ça a été la première crise multipliée par trois bien sûr, j’ai tranché, j’ai mis ma cravate bleue classique que je mets quand je vais signer des contrats importants.

C’est au bord de la piscine que Sandra a prévu la cérémonie, chacun ou chacune de nous jure fidélité et soins pour les autres, chacune de mes femmes ont une robe blanche identique et couronne sur sa tête.
À la boutique quand la serveuse leur a posé la question, pourquoi achetaient-elles trois mêmes robes, elles n’ont pas hésité à dire qu’elles épousaient le même homme, provoquant la curiosité de cette dernière.
Sandra et moi avons signé la lettre demandant la coupure de notre pacs, je n’étais donc pas bigame quand j’ai dit « oui » à Victoria, puis Sandra et pour finir à Victoire.
J’ai passé à chacune son alliance recevant de leur part la leur, je peux fièrement montrer au monde que mon annulaire est pourvu de trois anneaux.
Quand nous avons été les acheter, nous étions tous les quatre, pardons tous les six, dans la rue piétonne de notre ville, là encore, le bijoutier nous a regardés avec des yeux ronds.
À partir de cet instant, je suis devenu trigame pour mon plus grand plaisir devant mes deux premiers enfants qui nous servaient de témoins, cette cérémonie finissant par un bouchon de champagne que j’ai fait sauter.
Nos deux témoins ont eux droit à une goutte de ce breuvage sur leur langue, Gabriel tendait sa bouche en redemandant et Lisa, ma perle fronçant ses sourcilles.
Nous avons passé l’après-midi à nous baigner, nus sous le magnifique soleil de cette magnifique journée, j’ai baisé mes trois femmes sur l’un des coussins où je les ai rejointes l’une après l’autre, pendant que les enfants faisaient la sieste.

Notre vie a continué jusqu’à ce jour, nous avons fait les gros titres de la presse, nous avons eu droit à la venue des autorités, ils voulaient m’arrêter, mon notaire et mon avocat sont intervenus et j’ai eu gain de cause, rien n’interdit de vivre à quatre sous les mêmes toits entre adultes consentants.
La seule différence avec les personnes habitant en communauté, c’est que comme nous l’avions dit, nous vivons notre amour les uns pour les autres aux yeux de tous.
Tous les dimanches, j’ai recommencé à jouer au foot et elles sont toutes là pour m’encourager.
J’ai eu un problème à la société, un couple, lui directeur des ventes et elle sa secrétaire, il la baisait pendant le travail, ils ont souhaité nous quitter, avec cinq millions de chaumeurs en quelques minutes, je les ai remplacés par Victoria et Sandra qui assume auprès de moi ce travail encore mieux qu’eux.

Victoire et Victoria m’ont donné trois enfants, des jumeaux pour l’une et une fille pour l’autre.
Gabriel et sa sœur vont à la maternel, conduits par Victoire qui met en pratique ses dons avec les enfants.
Sexuellement toutes sont satisfaites de leur mâle, du moins aucune ne se plein, la seule chose que j’apprécie, c’est le dimanche où je peux me reposer aucune d’elles n’étant sur le planning tenu par Sandra et établi tous les lundis.

À oui, une dernière chose, Sandra vit ses amours saphiques avec ses deux sœurs le mieux du monde, elle s’épanouit au contact des jumelles, j’ai surpris un jour où j’avais oublié un papier, le trio qu’elle forme dans la journée en mon absence.
Les deux sœurs s’occupaient l’une de sa chatte, l’autre de ses seins et de sa bouche, je bandais, mais j’ai fait attention de ne pas les déranger.
Sandra a souhaité enlever son stérilet, la réunion que nous avons une fois par mois tous les quatre l’a accepté et depuis deux mois ses règles ont disparu, nous avons tous rendez-vous avec elle cher le gynéco qui les suit pour apprendre si un nouveau petit frère ou petite sœur vont nous rejoindre.
Excusez-moi de vous quitter vous les monogames, j’ai rendez-vous avec un architecte pour l’extension de mon entreprise, je dois doubler le chiffre d’affaires pour faire vivre notre petit monde, trois femmes, cinq enfants, pardon bientôt cinq, qui me donne tellement de plaisir.
Je regarde mon planning, ce soir ce sera Sandra que je vais honorer, je vais pouvoir poser mon oreille sur son ventre espérant entendre le cœur battre de Jennifer ou de Nicolas, pourquoi pas les deux !

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