Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ESCORTE. La jeune fille de la fac (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ESCORTE. La jeune fille de la fac (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ESCORTE. La jeune fille de la fac (2/3)
J’ai vingt-trois ans et je suis puceau, je cherche une fille pour me dépuceler maintenant que je suis à la fac de Nanterre où je fais des études pour devenir avocat, je repère une jeune fille très mignonne, mais qui systématiquement se place à l’écart des autres.
Trouver où elle habite, la rencontrer fortuitement, afin de finir dans son lit, c'est mon but quand je la suis à la sortie de notre dernier cours de la journée.
J’ai pu lire son nom sur son cahier de cours « Jennifer Durand »
Elle prend la ligne A du RER et descend à la gare de Lyon, avant d’entrer dans un immeuble à deux pas de la salle d’arrivée des trains.
Je regarde à quel étage, elle habite, première interrogation, nul Jennifer Durand, mais une Jennifer Martin, qui est la bonne Jennifer, Martin ou Durand, où est-ce une autre jeune femme qui est entrée ?
Il y a une Laëtitia Gonion ainsi qu’une Élodie Passavant pour les noms de femmes, mais pourquoi pas madame Droux ?
Je m’assieds à la terrasse d’un café afin de comprendre ce mystère, quand quelques minutes après c’est une tout autre jeune fille qui sort de l’immeuble en tirant une petite valise.
Elle est perchée sur de hauts talons et ressemble plus à une pute qu’à la petite fille sage qu’elle était en entrant.
Voulant découvrir quel mystère l’entoure, je la suis à quelques pas, quand elle entre dans un hôtel d’une chaîne bien connue.
À l’accueil, j’arrive à récupérer une carte par un réceptionniste que j’arrose de 50 € où il est marqué Jennifer et son numéro de portable.
Le lendemain, je la vois dans la bibliothèque de la fac isolée comme à son habitude, je me cache et je fais le numéro chèrement récupéré, je la vois répondre et quelques minutes après j’ai un rendez-vous pour le lendemain dans l’hôtel où elle semble se prostituer.
J’ai même le plus gros de ses tarifs pour la sodomiser ainsi qu’une spécialité un peu crade, l’absorption de la vessie de ses clients jusqu’à la dernière goutte pour 500 €.
Par chance, la scatologie et le sadomasochisme, elle les ignore, mais si je demande à Julien le réceptionniste, je devrais pouvoir récupérer les cartes de filles pratiquant ces déviations sexuelles.
Chatte ainsi qu’anale, pour un dépucelage de surcroît, c’est bien suffisant et après m’être grimé pour éviter qu’elle ne me reconnaisse et me pose des questions, je lui donne 1 500 € pour être avec elle jusqu’à minuit.
L’erreur arrive quand elle me prend en bouche pour me faire bander, car je lâche la purée au simple contact de ses lèvres.

• Tu avais envie, heureusement que tu as payé jusqu’à minuit, ce serait déjà terminé.
Excuse, je vais me laver les dents, par principe l’organe de mes clients, une fois qu’il bande, je lui mets un capuchon, vois, je l’avais en main, ton sperme a touché mes muqueuses, je vais immédiatement nettoyer ma bouche.
• Dis-moi que tu refuses de boire le sperme de tes clients !
• Oui, mais cela fait partie des petits suppléments avec le risque que je prends et ça leur coûte 100 € en sus.
J’avais oublié de te mettre au courant, comme je pense que ta femme refuse de te pomper, je mets cela sur le coût de la nouveauté.

Elle se lève, son petit cul me fait envie et quand elle revient, je me masturbe ayant récupéré ma superbe.

• Je vois que tu es parti pour un deuxième round, attention si je recommence à te pomper et que j’avale ton sperme, les cadeaux, c’est fini, j’appliquerais le tarif, je vais te mettre une capote.

Une vraie pro, combien de bites Jennifer a-t-elle satisfaites, combien de litres de sperme ou d’urine sont-ils passés entre ses jolies lèvres qui avec dextérité me placent la capote sur ma queue.
Elle la place et la déroule avec sa bouche, je l’avais vu faire dans des pornos, mais là sur moi, c’est extraordinaire, malgré la décharge intempestive, je bande à mort surtout quand elle se soulève et qu’elle vient s’empaler.
Elle l’ignore, mais elle vient de me dépuceler, j’espère qu’un jour, je pourrais lui dire qui j’étais et qu’elle m’a défloré, elle qui semble avoir de nombreuses heures de vol dans l’expérience avec les hommes.
Un moment, elle est presque couchée sur moi, je cherche à l’embrasser.

• Et pas de ça, ma chatte, mon cul et ma bouche avec votre bite, mais ma bouche reste chasse gardée pour mon futur fiancé.

Tu, vous, quand elle semble en colère, elle me vouvoies, je préfère le tutoiement aussi le reste de la soirée, je fais attention à respecter les codes que cette jeune fille met entre elle et son client.
Une interrogation tout de même, j’ignore d’où elle est, habite-t-elle ailleurs qu’à Paris et a-t-elle un petit ami qui ignore qu’il a dans les mains une prostituée qui s’empale sur ma queue en ce moment, « Futur » me fait penser qu’elle est seule.

• J’ai peur qu’une deuxième fois, tu ne décharges et que tu sois dans l’impossibilité de me sodomiser alors que tu as payé.

Elle me dit cela un petit peu oppressé, je sens que ma bite plantée en elle doit lui faire de l’effet, je passe ma main entre nous et avant qu’elle n’ait eu le temps de l’enlever mon doigt caresse son bouton et elle émet des râles pendant que je remplis ma capote criant aussi de plaisir.
Elle se laisse tomber sur moi, me regardant avec des yeux troubles, elle cherche à reprendre son souffle et contre toute attente me pose ses lèvres sur les miennes dans un baiser aussi léger et bref que la caresse des ailes d’un papillon.

• Merci, c’est la première fois que je me laisse aller avec un client, tu auras eu ma bouche où tu as craché ton sperme et mon corps que tu auras fait vibrer.
• Combien les frissons qui t’ont parcouru vont-ils me coûter ?

Elle me regarde de si prête que j’ai peur qu’elle ne remarque que ma moustache poivre et sel est collée.

• Idiot, même si c’est exceptionnel, c’est un cadeau pour toi et surtout cadeau pour moi, il y a longtemps que mon corps n’avait joui, mais je t’en dis trop, je dois t’avoir à la bonne, pour un homme marié qui se promène sans sa bague, ta femme doit avoir de la chance d’avoir épousé un garçon comme toi.
Par moments, j’ai l’impression que tu hésites à me toucher et par d’autres, c’est une bête de sexe qui me défonce, ce doit être ce mélange des genres que tu as en toi qui m’a fait craquer.

J’ai envie d’enlever ma moustache et lui dire que je suis le garçon de la fac qu’elle croise très fréquemment et ainsi l’avoir pour moi tous seul, toutes les nuits prochaines.
Comme un con, les mots qui sortent de sa bouche me vont droit au cœur et je tombe amoureux d’une pute qui dès demain se donnera comme le fond toutes les prostituées pour du pognon a un autre de ses clients.
Qui me dit qu’elle a vraiment joui, elle arrive si bien à donner le change entre la jeune fille de la fac et la beauté fatale qui après m’avoir ôté ma capote la balance sur la moquette.
Fait-elle croire à tous ses clients qu’ils ont réussi à la faire jouir pour mieux avoir un nouveau un rendez-vous et le fric qui va avec.
Ce que je sais, c’est ce que je vois, après s’être reprise, elle m’entraîne dans la salle de bains pour me nettoyer ma queue.
Elle dégrafe sa guêpière qu’elle place au pied de la chaise où elle a déposé sa valise, je la vois prestement récupérer une fiole et une autre capote.
M’ayant bien lavé avec du savon, elle se place à genoux devant moi.
La vue plongeante que j’ai me montre ses seins bien plus gros que je l’aurais pensé quand je la vois habillée à Nanterre et quand je regarde vers mes pieds, mais je vois aussi sa chatte que je viens de défoncer et peut-être de faire jouir.
Elle me reprend dans sa bouche, heureusement que les fellations sont incorporées dans le prix des sodomies, j’échappe ainsi à un supplément.

• Je suis satisfaite, je vois que tu as du répondant, il m’arrive parfois de sucer de vieux clients à m’en donner mal aux mâchoires pendant plusieurs jours, j’ai une idée et si tu m’enculais là sur la moquette de la salle de bains.
De nombreux hommes aiment me prendre hors du lit, il leur rappelle trop les moments où ils enfilent la chatte de leur moitié, juste bonne à écarter leurs cuisses en attendant qu’ils déchargent faisant ainsi leur devoir conjugal.

Elle se positionne, avant, elle prend une sorte de gel dans la bouteille posée sur le lavabo et se servant de trois de ses doigts, elle s’en imprègne l’anus sans aucune pudeur.

• Aller, encule-moi, tu verras, j’aime beaucoup, autant quand j’ai joui par la chatte, c’était une exception, mais ma rosette quand on me la défonce, rapidement elle réagit.

Je comprends pourquoi les hommes payent pour sodomiser des filles, malgré le nombre de bites qu’elles doivent recevoir, les mouvements que ses muscles font autour de ma verge donnent l’impression qu’une bouche géante m’avale pour que j’aille plus loin en elle.
Il faut que je sorte sinon, je vais jouir, je la retourne, lui saisi les jambes et les relèves au-dessus de sa tête la pliant littéralement en deux.
Son anus est bien dégagé et encore béant de ma pénétration en levrette, je vois nettement le gel introduit briller avec les spots du plafond.
Je reprends ma queue bien bandée et je la plante en prenant mon temps, dans combien de temps retrouverais-je une femme acceptante que je la sodomise dans cette position.
Je sais, je peux remettre ma moustache dans les jours prochains et refaire son numéro, mais mes quelques réserves financières provenant de l’héritage de ma grand-mère qui aurait été fier de me voir dans ma tenue d’avocat en fin de cette année de fac où je pense bien décrocher mon diplôme.
Je dois dire que je travaille dur malgré mes facilités à apprendre depuis mon bac obtenu avec mention « très bien » et une note supérieure à 18.
Jennifer où toute autre fille, ignorant si elle s’appelle Durant ou Martin voire Dupond avec un D où Dupont avec un T comme les jumeaux dans les albums de Tintin.
Ma résistance à des limites et c’est dans un nouveau grognement que je remplis de quelques gouttes de mon sperme.

• Aide-moi à me relever, tu es le premier à m’enculer dans cette position, je crois que dès demain, je vais l’adopter.
Je prends la bouteille de champagne, tu dois pouvoir me l’offrir, je te sers une coupe.

Le bouchon saute avant que j’aie le temps de lui dire que mes moyens d’étudiants étaient loin d’être infinis, mais les moments exceptionnels qui resteront dans ma mémoire de l’enlèvement de mon pucelage par cette jeune fille à qui l’on donnerait le bon Dieu sans confession me font accepter.
Il est minuit, comme Cendrillon, la princesse ayant enfilé ses vêtements me quitte me laissant un drôle de goût dans la bouche malgré le champagne…

Les avis des lecteurs

Nov. 7, 2017. Joli, et espère que la suite sera bien pimentée, c'est ce qu'attend John La Semelle



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ESCORTE. La jeune fille de la fac (2/3)
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