La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -
- En suçant ainsi, je vais mettre une heure à jouir, salope, active-toi sinon gare à tes fesses, la chienne … Et pas de bruit, on cause derrière cette porte !

Ses yeux devenaient menaçants, froids, un frisson me parcourut l’échine. J’activai donc ma succion, et petit à petit en même temps, je me mettais à mouiller comme une véritable salope. Ce qui commençait à être en ébullition, devenait de plus en plus significatif dans ma chatte, elle devait trempée de désirs, de débauche, de perversion… De ma vulve, gonflée, commençait de sourdre ma cyprine que je ne pouvais retenir. Mieux encore, je ressentais une sorte de plaisir, trahie une fois de plus par mon cher clitoris qui s’érigeait de plus en plus, tandis que je pompais de plus en plus activement l’énorme queue gonflée de désirs. Tout en alternant les succions et les aspirations le tout en léchant les contours du gland, je sentis mon sexe suinter encore. En cet instant même, le Majordome éjacula et ne m’y attendant pas, je faillis m’étouffer tant il y avait un flot de sperme abondant venant dans ma bouche par saccades et je dus m’y reprendre à deux fois pour tout avaler. Je restai ainsi, sans bouger, tandis que lui, reprenait ses esprits. Lentement, il sortit de ma bouche mais restait, de belle droiture encore. De la fente de son méat, coulait encore du liquide, ce qui lui fit dire, sans concession :
- Nettoie, salope !

A nouveau, je passai la langue sur le gland que je nettoyais de mon mieux, prenant en bouche ce gland le pressant avec ma langue contre mon palais. Puis enfonçant ma bouche plus bas sur la tige, refermant mes lèvres, je remontais lentement pour la vider le plus possible. Même ainsi, je récupérai une bonne quantité de foutre que j’avalais aussitôt… Le Majordome referma sa braguette… Alors que Walter réajustait son pantalon, la discussion se poursuivait de l’autre côté de la porte, il était 11h28 à la grande horloge placée au fond derrière Water quand soudain, un éclat de voix fit dresser le sourcil du Majordome. Effectivement, les voix portaient bien mieux et bien qu’éloignés de la porte on entendait distinctement des propos qui semblaient enflammer la conversation.

- Je vous assure mon ami que je me suis comporté en gentleman, jamais de ma vie je me serai permis la moindre…- Il suffit, dit clairement le Maître, il suffit vous dis-je, j’ai toute confiance en mes gens savez-vous, et de plus...

L’orage semblait gronder mais il n’avait pas encore éclaté. Nous n’entendions plus de paroles, seulement des pas… Soudain la porte de l’antichambre s’ouvrit et Maître dit :
- Walter, entre je te prie !
- Bonjour Monsieur le Comte dit le Majordome en entrant qui lui rendit son salut.
- Walter, dit le Maître, tu m’as bien dit que mon ami, Monsieur le Comte t’avait dit qu’il voulait faire se caresser Ma petite chienne, c’est bien ça, Walter ?
- Exactement, Monsieur le Marquis, répondit le Majordome !
- Mais non, répliqua le Comte, cet homme n’a rien compris de ce que je lui ai dit, je voulais… - Il suffit s’écria le Noble. Monsieur le Comte, Walter est à mon service depuis de nombreuses années, et pas une fois, vous entendez, pas une seule fois, je l’ai pris en flagrant délit ni de mensonge ni de travestir même partiellement une vérité. Je sais que sa loyauté envers Moi est totale…- Cher ami, je suis malheureux de cette navrante anecdote mal comprise par Walter et m’en excuse vivement auprès de vous, répondit le Comte…
De l’autre côté de la porte, ne voyant rien je ne pouvais me fier qu’à mes oreilles… Le calme semblait revenu, mais c’était sans connaître le Châtelain. Je me demandais pourquoi Maître m’avait faite venir... Midi approchait, je n’écoutais plus… je regardais par la fenêtre et voyais une jeune esclave attelée à une sorte du sulky, que conduisait un dresseur qui la guidait… Lorsque soudainement la porte du bureau de Monsieur le Marquis s’ouvrit, Walter me faisant signe d’entrer. J’avais sursauté mais m’étais reprise très vite et c’est très digne que je fis à nouveau mon entrée dans le bureau de Maître. Vous décrire la tête du Comte est inénarrable tant il ressemblait à un pitre devant une apparition. Faisant la révérence devant le Maître, je saluais ensuite Monsieur le Comte en ces termes :
- Monsieur le Comte de Beusgley, veuillez accepter de ma part, Comtesse De Cantigny, mes respects !
- Comtesse ?... de ?… Comment dites-vous ? me demanda Monsieur le Comte - Isabelle De Cantigny, Monsieur le Comte, Comtesse Isabelle De Cantigny.
- Mais ?... balbutiait le Comte, elle n’est pas ?... elle est ?… Pas possible …elle est bien...

Le coupant sèchement, Maître poursuivit :
- Ma pouliche, voulez-vous dire mon ami, Ma pouliche !
- Oui en effet, votre jument assurément.
- La jument dont vous me faites tant d’éloges en fin connaisseur - Ah pour sûr, mon ami, vous avez fait la plus parfaite de Vos acquisitions, mais quand même une Comtesse ?
- Parfaitement cher ami, Ma pouliche est réellement Comtesse et c’est là mon plus beau trophée de chasse, une Comtesse devant esclave, rendez-vous compte. Cependant, là ne s’arrête pas Ma réussite.
- Ah ?, incrédule répondit le Comte, pourtant vous savez que rien n’échappe à mon œil habitué du monde équestre, une véritable pouliche de luxe que vous avez, une perle rare… que dis-je, très rare ! … - Au point de tenter de m’en déposséder, coupa sèchement le Noble en essayant de soudoyer mon Majordome ici présent !

Monsieur le Comte blêmit devant cette attaque frontale violente. Le Châtelain était devenu livide et du peu que je savais de Lui, cela démontrait à qui savait lire, que Monsieur le Marquis était pris d’une immense colère qu’il surmontait en apparence... Mais visiblement il bouillonnait de l’intérieur. Walter, d’un signe de doigts discret me fit comprendre de ne strictement rien dire…
- Mon ami, tenta Monsieur le Comte, reprenez-vous, je vous en prie, je ne comprends pas ce qui se passe. Des années d’amitié nous lient l’un à l’autre, amitié sans faille et on ne va pas la défaire ou se déchirer pour des fadaises....
- Fadaises ? cria le Maître ! Vous appelez « Fadaises » le fait de me mentir dans ce que vous avez tenté d’obtenir de Ma petite chienne, outrepassant mon autorisation, vous faisant confiance ? Vous appelez « Fadaises » votre tentative de m’acheter ma pouliche en parlementant avec Walter, mon Majordome ? Vous appelez « Fadaises » l’insulte que vous me faites personnellement de douter de la Noblesse de ma petite chienne, mais regardez-là donc !

L’attrapant par le nuque et le forçant à me regarder :
- Regardez là encore et encore et dites moi, s’il vous plait si une seule non seulement de vos femelles ou des femmes résidant dans votre demeure n’arrivent au talon de Ma pépite ?

Monsieur le Comte semblait anéanti, se sentant à la fois démasqué mais maintenant moqué par le Châtelain le rabaissant méchamment.

- Monsieur le Comte, je ne puis, dans ces conditions continuer de vous compter parmi mes amis, mais, de façon à vous faire taire définitivement, ne pouvant continuer à vous faire confiance, je vais vous donner une leçon devant témoins.

- Walter, va chercher ici immédiatement, Marie notre merveilleuse cuisinière et le chauffeur de Monsieur le Comte !
- Bien sûr Monsieur le Marquis !

Le Comte ne comprenant, visiblement plus ce qui se tramait…
- Mon chauffeur, mon ami, mais que vient faire mon chauffeur là-dedans ?
- Vous verrez bien Monsieur... Vous m’avez gravement offensé, vous avez tenté de me déposséder de mon bien le plus cher, vous avez pensé naïvement que par quelques pièces ou écus, j’allais vous céder Ma perle, comme vous dites, Ma pouliche, et enfin, vous avez tenté d’outrepasser ce que je vous avais gracieusement offert ! Devant tant d’offenses, je ne peux que demander réparation et puisque je suis l’offensé, j’ai donc le choix des armes !
- Grand dieu, mon ami, tenta Monsieur le Comte à nouveau, reprenez votre bon sens...

Walter tapait à la porte :
- Entrez, ordonna le Maître.

Le Majordome entra et annonça la présence du chauffeur de Monsieur le Comte, et celle de Marie… Le bureau du Maître se remplissait, outre le Maître et Monsieur le Comte, se trouvaient présents, le chauffeur, Marie la cuisinière, Walter et moi. Cela faisait six personnes.

Maître fit disposer des fauteuils, 2 à la droite du Comte, deux à sa gauche, Maître à son bureau et moi, restée debout. Visiblement Monsieur le Comte n’était pas à son aise, Marie et le chauffeur du Comte ne comprenant pas le pourquoi de leur présence. Monsieur le Marquis prit la parole de manière autoritaire et à la façon d’un Président de Cour d’Assises :
- Monsieur le chauffeur, Marie, et toi Walter, je vous ai fait venir pour servir de témoins dans une grave affaire d’offense commise par Monsieur le Comte vis-à-vis de Ma personne. Alors que j’avais toute confiance en Lui et lui avais octroyé la permission exclusive de se faire sucer par Ma chienne ici présente, outrepassant ma confiance, il a tenté de s’en servir à des fins plus personnelles. Mais là ne s’arrêtent pas ses félonies, il a tenté de soudoyer mon Majordome pour que je vende, oui vende Ma petite jument ici présente. Etant l’offensé et gens de bonnes conditions, j’entends avoir réparation à mes conditions. Le duel étant devenu interdit entre gens de qualité, j’ai donc cependant le droit de choisir mes « armes » pour laver cet affront et donc le combat sera celui-ci : Monsieur le Comte ne s’est pas trompé, ma petite chienne est exceptionnelle et je vais le lui démontrer à ses dépens, et je veux que sous vos yeux, il se rendre compte d’une certaine et funeste erreur de comportement. Vous voudrez bien signer cette lettre après la séance. Monsieur le Comte voulait utiliser la petite chienne, qu’à cela ne tienne, je la lui donne, ici, et maintenant... devant nous tous…
Me faisant signe, je m’approche du Maître qui me parle à l’oreille :
- Je vais te donner à lui ma beauté, il va te baiser puisque c’est ce qu’il espère, mais-toi fais lui perdre la tête et surtout empêche le de jouir en toi, ce sera sa leçon ! Montre lui et montre nous ce que tu fais si bien ! … Je compte sur toi pour me faire honneur…
(A suivre …)

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