COLLECTION JEUNE – VIEUX. Colette (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION JEUNE – VIEUX. Colette (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Colette (1/1)
• Belle-maman que faîte vous chez moi.
• Je passais au bas de chez toi, j’ai eu envie de venir voir si tu te remets de ton divorce avec ma fille.
• J’ai des hauts et des bas, excusez-moi de ce que j’ai été obligé de faire.
• Ne t’excuse pas, Laurent, je connais ma fille, elle a tout le caractère de son père, si je te disais ce que j’ai subi avec lui, je pourrais écrire un livre.
• Faite belle-maman, j’aimerais connaître vos secrets de famille, peut-être comprendrais-je pourquoi mon mariage a foiré.
• Pour commencer, arrête de m’appeler belle-maman, ça été vrai, ça ne l’est plus, je te rappelle que mon nom est Colette.
• C’est dur de changer ses habitudes, mais je vais essayer.
• Belle-maman ça fait vieux, regarde, je fais beaucoup d’efforts pour rester svelte, je m’habille dans la même taille depuis mon mariage, sauf mes soutiens-gorge avec l’allaitement de Viviane, ils ont pris deux bonnets de plus.

En me disant cela, elle se regarde dans la glace de l’entrée qui me sert quand je sors draguer pour constater que ma tenue est irréprochable.
Je dois reconnaître qu’il y a un air de ressemblance avec sa fille, sauf quelques formes plutôt plantureuses.

• J’arrive de ma salle de sport, je suis contente de moi, pourrais-tu m’offrir un café, tu te souviens que j’en raffole ?
• Entrez belle, pardon Colette, vous verrez chez moi, maintenant c’est assez spartiate, mais vous savez, je sors un peu tard le soir et je dors jusqu’à dix ou onze heures, après je mange ce que j’ai acheté où souvent ce qu’il reste avant d’aller chercher du boulot.
• C’est vrai, ce connard d’Alfred t’a viré de sa banque ne supportant pas que tu aies quitté sa fille, si je te disais les pieds et les mains qu’il a faits pour te la caser.

J’adore cette femme, ses cheveux blancs, je l’ai toujours connu avec des cheveux blancs, j’ai même cru qu’elle se faisait teindre pour passer pour une femme très digne.
Bien sûr, elle n’en a pas besoin, il faut dire que, lorsqu’elle parle de ses vêtements, elle se les fait faire sur mesure, n’ait-elle pas femme du directeur de notre banque, monsieur ayant chauffeur.

J’étais fière d’avoir dragué la fille du boss, moi petit employé, à aucun moment, je n’aurais imaginé entrer dans cette grande famille parisienne.
J’ai rencontré Viviane, à la banque, son père ayant offert un apéritif à tout le personnel.
Ma future femme était présente ainsi que celle qui devait devenir ma belle-maman, pardon Colette, même en vous écrivant, il faut que je m’habitue.
Après la noce, nous avons pris l’avion, un taxi, nous rendant dans la villa que le couple avait acquise, personne ne sachant comment, bien qu’il ait de hauts revenus, certains ont parlé du coup de bourse à la limite du délit d’initier.
De plus, il est maire d’une grosse commune de la banlieue parisienne et là encore des bruits courent que certaines opérations immobilières ou d’obtentions de marchés communaux ont eu des retombés sur sa fortune.
Dès que nous avons été dans leur villa, un jour que je la croyais partie à la plage, j’ai cru voir Viviane entrer dans le souk, j’ai essayé de la suivre, étonner qu’elle entre dans cet endroit, seule, elle est revenue trois heures plus tard.

• Tu as passé une bonne journée chérie.
• Comme dab, bronzage sur la plage.

En ce qui concerne le bronzage, impossible de voir si c’était vrai, elle fait des UV à Paris une fois par semaine, le lendemain, j’ai fait le tour de la plage où elle était censée être alors que nous avons une piscine dans la villa, personne, elle peut même se mettre nue, aucune trace de maillot.
J’ai eu de sérieux doute surtout quand elle est rentrée et que d’elle-même, elle m’a dit que la plage était noire de monde, ce qui était loin d’être, ce que j’avais vu.
Certain qu’elle avait une vie parallèle en venant ici, je me suis planqué à l’entrée du souk, elle est passée à quelques mètres de moi, son téléphone à l’oreille, j’ai juste entendu, « j’arrive » avant de la voir entré par une porte derrière une échoppe qui vendait des babouches.
Omar, c’est le nom qu’il y avait sur la boîte posée sur la porte, il y avait un café tout proche, je me suis installé, elle est sortie deux heures plus tard, elle est passée par la plage pendant une heure avant de revenir à la maison avant moi.
Elle a fait la femme amoureuse alors qu’elle venait de se faire trombiner par le dénommé Omar, du moins c’est ce que j’imagine sans bien sûr le voir.
Le lendemain, même manège, après qu’elle fut ressortie, j’ai frappé à la porte, une servante est venue m’ouvrir, j’ai prétexté que je connaissais certainement l’homme qui habitait ici, l’ayant vu entré un peu plus tôt.
Elle m’a montré l’échoppe et m’a dit qu’il était dans sa boutique, je suis allé voir, un baraqué avec des paluches qui devaient la massacrer, si sa bite était à l’avenant, il m’était impossible de lutter.
Nous sommes rentrés en France, un mois plus tard, prétextant que le temps était mauvais à Paris, elle a souhaité reprendre l’avion pour le Maroc.
Je savais qu’elle voulait continuer à me faire porter des cornes, je lui ai demandé si elle rejoignait le dénommé Omar, elle m’a fait la scène du trois avant de m’avouer que ce garçon était l’homme de sa vie, qu’il l’avait dépucelé et que son père refusait leur union.
C’est là que l’idée de la mairie a germé dans sa tête et que j’ai été le couillon de la farce, j’ai divorcé sans grande indemnité, je suis simplement au prud'homme pour mon licenciement abusif.

• Pour le café, je n’ai que de la poudre.
• C’est dégueulasse, mais pour une fois je vais faire une exception.

Une heure après, elle était prête à me quitter, nous avions parlé de la pluie et du beau temps, elle a voulu parler de la mairie, j’ai refusé ce sujet, mais j’ai eu le temps de constater qu’elle en savait beaucoup sur les agissements de son mari.

• Bon, je pars Laurent, on s’embrasse, maintenant que nous sommes devenues des amis, inutiles de rester guindés.

Elle m’embrasse et me quitte, je dois reconnaître que même si j’ai dragué quelques filles depuis mon divorce, je regarde son petit cul, sans aller jusqu’à le comparer avec celui de sa fille, quoi que.
Le lendemain, étant sorti tard, sans avoir levé la moindre petite chatte, je dors qu’en on sonne, neuf heures, qui vient m’emmerder ?

• Monsieur, j’ai un colis pour vous, veuillez signer là.
• Je n’attends rien.
• On m’a dit que vous allier dire ça, je vous assure que vous pouvez le prendre, c’est pour vous.

Je signe, j’entre le gros paquet, je l’ouvre, mes yeux remplis de sommeil, une cafetière avec deux kilos de café en grains, j’ai un doute qui me l’offre, mais à quoi bon chercher avec un cerveau si embrumé, autant en profiter.
Je l’installe dans ma petite cuisine où il n’y a qu’un frigo et mon micro-onde, il y a une cuisinière qui doit marcher au gaz, mais que je n’ai jamais branché, c’est vrai que le café me réveille.
Il est onze heures quand on sonne de nouveau.

• Maison Fauchon.

Même litanie, sur le colis mon nom et mon adresse qui sont bien les miens, je l’ouvre, je n’aurais pas à faire de course pendant huit jours.
Quatorze heures, on sonne de nouveau.

• Bonjour Laurent, je ne vais pas te faire le coup de « je passais dans le quartier » comme hier, je venais voir si tu avais reçu mes petits cadeaux.
• Oui, les livreurs m’ont réveillé et mis de mauvaise humeur.
• Pardon petit chou, je voulais me faire plaisir, j’ai autant d’argent que je veux et aucun motif de le dépenser, je crois que tu peux me faire un vrai café.

Colette passe près de moi, me frôlant pour entrer dans ma cuisine, elle lève sa main et la passe sur ma joue.

• Si je m’écoutais.

C’est fait, j’ignore qui d’elle ou de moi ai raccourci la distance, mais son corps est venu au contact du mien, quand j’ai épousé sa fille, celle-ci à d’entrée refuser mon contact, même si elle a fait son devoir conjugal, quand nous faisions l’amour, pardon que nous baisions, elle se mettait en position de levrette, j’en avais déduit qu’elle refusait de voir mon visage.
À ce moment, c’est une pieuvre qui plaque son corps contre le mien, dans un premier temps, oublier le café, elle se pend à mon cou, on dirait une plume dans mes bras.
Je la plaque le long de la porte son bassin et surtout ses jambes entourant mes hanches, ma main passe entre nous, je sors ma verge qui entre sans difficulté dans son vagin entièrement lubrifiée par la cyprine qui coule, sous sa mini, elle a oublié de se couvrir.
Un parfum d’amour et de sexe envahit mon logement, ma queue entre et sorte de son fourreau grâce aux coups de cul que je lui donne, je n’ai jamais baisé d’une manière si fusionnelle.
Je prends le chemin de mon divan ouvert en lit, alors qu’elle me serre fortement par le cou, chaque pas que je fais m’apporte un nouveau râle me montrant son plaisir, je la pose sur mes draps froissés, quand un premier orgasme la frappe.
Elle lâche mon cou s’affalant sur ma couche, dans un mouvement, elle est à nouveau sur ses genoux, sa bouche prenant ma tige sans s’inquiéter de ses sécrétions qui la maculent.
J’ai souvent été pompé, mais Colette est un véritable aspirateur femelle, je me targue d’avoir une résistance à toute épreuve, mais le sperme que je lui envoie au fond de la gorge est ingurgité comme si elle n’avait pas mangé depuis plusieurs jours.
Dans le corps de belle-maman, merde, je dérape encore, Colette bien sûr, je viens de plonger ma queue, pour le pire, mais surtout pour le meilleur.
Baise, café, café baise a été le lot des jours qui suivant, elle est insatiable, je suis insatiable, les cadeaux succèdent aux cadeaux, cuisine aménagée avec plaque et four électrique, lit de grandes marques avec barreaux, elle aime bien m’attacher.

• Le tribunal des prud’hommes a statué et votre licenciement a été considéré comme abusif, votre employeur à huit jours pour vous reprendre, sinon chaque jour de retard, il sera assujetti à vous payer la somme de 5 000 € par jour de retard.

Alfred a mis 6 jours avant que le moment que je vis n’arrive.

• Entrez, Laurent, je crois qu’il faut que.

Je l’ai vu porté sa main à son cou, desserré sa cravate avant de renverser sa tête en arrière les yeux sans expression.

• Madame, appelez les secours, votre patron vient de faire une attaque.

Les secours sont intervenus, il est resté deux mois à l’hôpital, mon ex-femme a reçu de ma future femme la maison du Maroc où elle est partie vivre, elle a placé à la tête de notre banque, le bras droit d’Alfred qui a pris les affaires en main.
Il est chargé de me former pour que je sois capable de le remplacer dans trois ans au moment de sa retraite.
Alfred vit dans l’aile droite de leur maison dans notre ville dont je suis devenu le maire avec comme première adjointe Colette ma future moitié dès que son mari sera parti.
J’aime la baiser sur le bureau où Alfred faisait ses affaires louches, il n’y a pas un jour sans que ma verge n’entre en elle ou quand elle ne peut pas sa bouche reçoit ma semence.
Depuis qu’il a été frappé par sa maladie, je n’ai jamais revu beau-papa, une infirmière fort dévouée viens s’occuper de lui deux fois par jour.

Je vous quitte, Colette, ma femme vient de me biper, les joies d’être patron, c’est que je peux la rejoindre chaque fois qu’elle le veut.
J’ignore ce qu’elle me réserve comme jeux pervers, son cerveau de dépraver n’ayant aucune limite.
Comment dire, Colette a fait de moi un gigolo !
Quand je parle de ma femme en parlant de ma maîtresse, c’est que nous pensons nous marier dès que l’issu qui semble fatal se produira pour beau-papa, deuxième attaque, sauvé de peu, la prochaine d’après ses médecins lui sera fatal, mais nous ne sommes pas pressés, on s’en fou, on baise comme des bêtes.
Et quand je parle qu’elle a fait de moi un gigolo, j’assume, mais ne vous y tromper pas, l’amour qui nous unit est très profond.

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