Titre de l'histoire érotique : Martial - 1

- Par l'auteur HDS Zorba le grec -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Martial - 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Martial - 1
Août 1996 le ciel me tombe sur la tête, après 22 ans de mariage un courrier recommandé m'avise que mon épouse demande le divorce. Un an auparavant il y eut le décès de ma mère suivit de notre petite chienne et je mettais ce divorce suite à ces décès, sur une dépression, sans me poser d'autres questions.
Mes enfants âgés de 16 et 20 ans ne comprenant pas l'attitude de leur mère prirent mon parti et déclarèrent vouloir restés avec moi, ce qui détermina le juge à me laisser le domicile conjugal et la garde de mes enfants étant donnés qu'ils étaient encore étudiants et que le dernier était mineur Madame dut quitter le domicile conjugal et se prendre un appartement.
Cela dura 8 mois ou je vécu seul, mes enfants étudiants ne rentraient que le vendredi soir pour le week-end; durant ce temps je fis plusieurs rencontres dont une prostituée avec lequel je n'avais aucun rapport physique, mais une solide amitié; elle me racontant les rapports quelle avait avec ses clients.
Mais un beau jours mon épouse revint au domicile pour revoir ses fils me dit elle, car mes deux garçons ignoraient leurs mère. Donc elle se présenta un mardi soir à la maison, dans la discussion elle me dit regretter d'avoir engagée cette procédure, moi étant persuadé que c'était sous la dépression qu'elle avait fais cette demande de divorce, je lui pardonnais et elle accepta de retirer sa demande .Ce jours là je la prenais sur le bord du lavabo ne prenant même pas la peine de lui retirer sa culotte, je n'avais jamais eu autant envie d'elle, mon sexe était dure comme de la pierre, dressé il me touchait le nombril, les testicules étaient remontées de chaque côté de ce membre dressé qui réclamait de se vider dans ce ventre bouillant d’où un liquide chaud et gluant coulait entre ses cuisses; cuisses largement ouvertes pour permettre une pénétration que tout son être réclamait. Je la pénétrait d'un violent coup de rein enfonçant mes 17cm d'un seul trait, ses yeux se révulsèrent sous la possession de son ventre, son sexe largement ouvert et abondement lubrifié ne fit aucune résistance, bien au contraire il m'avala comme jamais il ne m'avait avalé, je restais en elle quelques minutes pour savourer ma possession avant d'entamer un lent va et vient, mon gland se régalant de l'entrée de son vagin, je ne la pénétrais que de quelques centimètres, me retirant complètement pour le réintroduire de 5à6 cm, la faisant délirer car elle voulait cette bite dure au fond d'elle, cela dura une dizaine minutes la faisant jouir au moins 3 fois. Ni tenant plus moi même, de nouveau d'un violent coup de rein je m'enfonçait complètement et accélérait la cadence, en m'enfonçant de toute la longueur de mon membre lui arrachant chaque fois un petit cris quand je touchais le fond de son vagin et que mes couilles venaient battre ses fesses complètement trempées par sa mouille; au bout de 5 minutes à ce rythme, ni tenant plus, je me déversais en elle d'une puissante éjaculation qui semblait ne jamais s'arrêter, nous laissant tout les deux pantois, je restais enfoncé en elle plusieurs minutes savourant cette possession non pas de ma femme, mais d'une femelle en rut, femelle que je n'avais jamais connue. Mon sexe se dégonfla, et la vulve de ma femme fit un bruit de flop quand il sorti de son antre laissant s'écouler nos deux liquides mélangés.

Lui ayant pardonnée, notre vie reprit au début avec une passion sexuelle débordante, puis avec le temps, cette flamme s'éteignit peu a peu reprenant le rythme d'un couple qui avait des années de mariage.
Elle était de nouveau l'épouse, me délaissant quelque peu le samedi, soi disant pour faire des courses, elle partait le matin et ne revenait que vers quatre cinq heures de l'après midi; le prétexte étant quelle restait toute la semaine à la maison; elle était assistante maternelle, et n'avait que le mercredi de libre me disant que ce jour là était réservé pour le ménage et quelle avait besoin de sortir un peu de s'évader comme elle disait .
Moi je repris le chemin du fitness ,je rentrais du travail prenait mon sac et ne rentrait souvent que vers 21H, le samedi étant seul je retournais voir mon amie prostituée, nous buvions une bouteille de vin entre deux clients. Elle me laissait seul dans la cuisine une dizaine de minutes le temps de la passe. puis revenait me raconter comment c'était comporté sexuellement le quidam, En général c'était des grands éclats de rires, car la plupart n'étaient pas des foudres de guerre. Un seul avait ses faveurs c'était un martiniquais; avec lui elle n'usait pas de préservatif car il la faisait grimper au rideaux comme elle disait, et il avait un sexe démesuré, aucun préservatif n'étant à sa taille, il la baisait donc sans, au naturel , lui remplissant le ventre comme aucun ne l'avais fait lui écartelant le sexe au point quelle devait restée allongée une heure après l'acte pour que ses chairs reprennent leurs élasticités et leurs formes originels, spécialement quand il la sodomisait, elle me racontait la douleur au moment de la pénétration par ce gourdin, puis il restait enfoncé au plus profond d'elle vidant ses couilles pour lubrifié son intestin lui disait-il et sans débandé il reprenait des va et vient qui au bout d'un certain temps, ses chairs étant rendues largement glissantes par son foutre et les va et vient; son anus s'étant distendu au maximum elle y prenait un plaisir qui la laissait au bord de l'évanouissement et parfois elle s'évanouissait s' il mettait trop de temps à jouir de nouveau; elle me racontait tout ceci entre deux verres de vin me laissant rêveur, et une énorme envie de voyeurisme et d'assister a cette copulation hors du commun.

De notre côté pour retrouver un peu de vigueur avec ma femme j'avais repris nos vieilles habitudes en louant des cassettes pornos de plus en plus hard, souvent avec des femmes en double pénétration, ma femme voyant la femme prise entre deux sexes ne disait plus rien et écartait instinctivement ces cuisses pour que je vienne lui visiter de ma main ce con qui s'ouvrait largement sous mes doigts,à la vue de la femelle prise par les deux mâles en rut qui besognais de concert ,
Cela se terminait toujours par sa culotte qui tombait et une baise de 10 à15 minutes. De temps à autres j'essayais de lui enfoncé mon sexe dans son cul, mais elle s'y refusait constamment disant quelle avait peur que je lui fasse mal.
Un jour que nous regardions une cassette particulièrement hard ou la femme était suspendu au plafond dans une espèce de chaise qui lui laissait les cuisses ouvertes au maximum; chaise faite par des sangles, 3 hommes se succédaient l'un derrière l'autre pour profiter de ce sexe dilaté sous les coups de boutoirs de ces amants . L'un deux vint se placer derrière pour l'enculer alors quelle était déjà saillie par devant; mon épouse devant ce spectacle vraiment magnifique de cette femme suspendue par de sangles et prise par ces deux hommes qui étaient entrain d'abuser de ce corps, se mit à se masturber sans rien dire;elle regardait le regard rivé à l'écran ce coït a double piston pendant que l'un entrait l'autre se retirait partiellement et au moment de la jouissance les deux s'enfoncèrent en même temps pour déverser leurs semence au fond du ventre de cette femme qui était secouée de soubresauts;ma femme au même moment ses yeux se révulsèrent et son corps se cambra sous la jouissance, maintenant ils n'étaient plus trois à jouir mais quatre ma femme ayant participé dans sa tête à cette orgie.
Ensuite elle se mit à genoux devant le canapé pour me sucer la bite; en deux coup de langue elle me fit déverser mon sperme au fond de sa gorge, avalant tout, je restais sans voix elle ne m'avait jamais pris dans sa bouche avant .
Devant autant de jouissance je lui posait la question de savoir si elle aimerait être prise par deux amants.Innocemment elle me répondit que c'était son fantasme, et qu'il était dommage que je ne lui aies pas posée cette question avant; je lui demandais ce qu'elle voulait dire par là mais elle éluda la question préférant rester dans le vague me laissant intrigué.

Après cet épisode,deux semaines s'écoulèrent avant que j'aille retrouver mon amie pour partager, une bonne bouteille.Ces deux semaines me laissant quelque peu perplexe sur la réponse évasive de ma femme, je n'avais qu'une seule envie, lui raconter cette histoire pour savoir ce quelle en pensait Annick ce mit à rire ,tu es vraiment innocent me dit elle tu dois être le seul à croire à cette dépression il est claire quelle te cocufie à tour de bras et étant femme moi même et pute par dessus le marché je peux te dire que se doit être une belle cochonne qui aime la bite et les grosses,
Mais c'est une petite femme lui dis je elle ne peut pas s'enfiler des gourdins
-fais moi voir ta queue» ;
-mais je ne bande pas»;
-te fais pas de soucis une bonne pipe de professionnelle et dans une minute tu seras dur comme une saillie. Elle avait raison en deux coups de langue ma queue se dressa et vint chatouiller mon nombril droite comme un I; ben mon cochon tu me l'avais cachée elle ne vaut pas mon martiniquais; mais pour chatouiller ma rondelle elle est parfaite en longueur et en grosseur, d'un geste elle souleva sa jupe qui était déjà très courte, baissa sa culotte sur ses chevilles se mit a quatre pattes sur la chaise; vas y prends moi le cul que je te dise ce quelle vaut;
-mais je n'ai pas d'argent,
- qui ta demandé de payer; arrête de parler et embroche moi ; te fais pas de soucis Martial est passé il y a trois heures et le trou et encore dilaté.
Je regardais ces deux belles fesses offertes et dans la raie culière ce trou que le martiniquais venait de martyrisé et qui était encore légèrement ouvert ,j'y appuyais mon gland qui sans effort s’immisça entre ses deux globes charnus; je m'arrêtais pour admirer ce tableau, mon gland avalé par ce cul majestueux qui commençait a onduler sous ma lente pénétration, je glissait doucement dans son boyau qui maintenant en-serrait ma colonne de chair; mes17 cm lui perforant le ventre mes couilles venant taper contre ses cuisses je venais de découvrir un plaisir sans pareil; aucune chatte au monde ne valant la chaleur de ce cul qu'elle venait de m'offrir en toute amitié.
- Pas mal me dit elle je ne comprends pas qu'avec une bite pareil elle ait besoin d'aller voir ailleurs ce doit être une fieffé cochonne, elle aurait dut faire la pute elle aurait gagnée de l'argent.
-Tu as été le premier?
-Non a 17ans elle avait comme amant un homme marié de 40
-alors cherche pas c'est sur tu es cocu mon ami et depuis longtemps; une femme qui commence sa vie sexuelle en écumant les hôtels elle ne pourra plus sans passer ,le plaisir de l'interdit de la baise en cachette; tu peux être le meilleur baiseur au monde mais comme mari tu ne pourras jamais lui apporter le frisson de l'interdit; mais je ne comprends pas quelle ne te donnes pas sa rondelle, ayant été dépucelée à 17 par un homme de quarante sûrement qu'il te l'a dépucelée des deux côtés;tu dois t'y prendre mal. Si tu es capable de mettre de côté ta fierté de mâle je te présente et te prête Martial
- Pourquoi cette générosité?
- pour voir si elle osera baiser avec deux mecs , si elle fais ça alors ne te prive plus fréquente les boîtes échangistes si tu veux la garder elle t'en seras reconnaissante. Mais en attendant va dans un sex-shop achète lui un sex-toy commence par un moyen puis par le grand celui qui trône sur ma table de, nuit et que tu lorgnes parfois du coin de l’œil avec l'envie de me l'enfiler quand je te parles de ma baise avec mon martiniquais adoré.
- OK merci Annick pour tes conseils et de m'avoir fais connaître le plaisir de la sodomie et sans capote tu es vraiment une amie.
-Tu es vraiment idiot toi , tu n'as pas compris que ton histoire de cul avec ta donzelle m'a fait mouiller et il faut reconnaître que depuis le temps qu'on se connaît j'avais envie de voir ce que tu avais dans ton pantalon et le meilleur moyen de le savoir, et de la prendre dans le cul. Il faut reconnaître tu n'es pas Martial mais ta bite est parfaite elle m'a ramoné le fion sans douleur, la longueur et la grosseur était parfaite pour me sentir bien remplie et comme cela faisait un moment que tu n'avais pas baiser ta décharge de foutre et venue apaiser mes chairs martyrisées par mon martiniquais .Bon mon ventre gargouille il faut que j'aille vider les restes de Martial ainsi que ton sperme qui est entrain de ressortir et deux en si peu de temps je dois avoir un peu de diarrhée, et toi va te laver les restes de caca que tu dois avoir sur ta queue.

Je repartais de là enchanté d'avoir testé la sodo, et de savoir que j'avais une amie ,même prostituée qui payais de sa personne notre amitié.

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Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Martial - 1
Histoire sexe : Une rose rouge
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