Titre de l'histoire érotique : COLLECTION SOUMISE. Fille de… (10/16) - histoire érotique

Après être partie en catimini d’Obernai laissant Mariane aux mains de ses amants, je prends l’autoroute pour retourner à Paris, je prends un jeune auto-stoppeur me disant venir d’Allemagne.
Il connaît Mariane et me donne le surnom dont ils l’ont affublé, « la statue », car elle leur refuse tout rapport, du moins avant que je ne la rencontre.
Au moment où dans les toilettes d’un restoroute, je l’entraîne pour qu’il me baise, la tête non loin de la cuvette, je hurle mon plaisir, mon état d'excitation après que j'ai vu ce qu'acceptait Mariane au moment où elle perdait ses pucelages étant au paroxysme.
Quand nous reprenons la route, un chasse-neige passe devant nous, en le suivant, j’arrive aux portes de Paris.
Je suis fière, en tournant la tête, je regarde ce garçon que je ne reverrai certainement jamais, je prends conscience que c’est la première fois qu’en l’entraînant dans les chiotes, je n’ai pas été soumise à un homme, voire des hommes.
Choisir mes amants sans pour autant prendre le risque de tout perdre des subsides que me verse Pierre et indirectement monsieur Joseph, devrait devenir mon choix de vie.

• Tu m’as dit que tu descendais vers le sud, je vais prendre le périphérique et te déposer porte d’Orléans, ce sera plus facile pour trouver une voiture que de traverser Paris en stop, tu seras aux portes du A6.
• J’ai quelques jours avant de descendre dans le sud, j’aimerais que tu me montres où tu habites.

En prononçant ces mots, il me pose sa main sur ma cuisse, l’invite est explicite, il voudrait prolonger l’épisode de la station d’autoroute, hélas, ma vie étant ce qu’elle est devenue, je lui fais un signe d’adieu quand je le dépose.

• Bonjour ma chérie, je viens d’avoir Joseph, il a visionné les vidéos que tu nous as fait parvenir, il est enchanté, tu t’es surpassée, nous savions la rebelle que tu étais à notre condition sociale et que tu ferais tout pour casser cette condition.

Il me prend dans ses bras, m’assoit sur le guéridon de l’entrée qu'il m'a offerte en allant dans une boutique du faubourg Saint-Honoré et qui si je l’avais payé m’aurait coûté la moitié de l’argent de poche que ma condition de fille de… m'était donnée avant que je décide de devenir la maîtresse de cet homme marié.
Il m’arrache littéralement ce qui protège le bas de mon corps et sans que j’aie besoin de faire quoi que ce soit, l’envie de me baiser semblant pressant, il me plante sa verge au fond de mon vagin.

• Je sens que tu avais aussi envie de moi, que moi de toi, tu es dégoulinante !

Je jouis, non pas de sa verge qui me fait pourtant autant de bien que les autres fois après la soirée à l’Opéra de Paris Bastille, mais, car il nage dans le sperme du jeune auto-stoppeur n’ayant pas eu le temps de prendre un bain.
Je viens de passer un palier dans ma vie de salope, j’en suis fière, car je sais que Pierre est aussi un fils de… ayant succédé à son père dans l’assemblée.

C’est dans un bain, après que lui aussi m’eut fait jouir et avoir rempli mon vagin, que la suite de ma journée m’ait donné.

• Jessika, si nous avons précipité ton retour, c’est pour évitée de t’attacher à cette jeune fille, tu as réussi à ce qu’elle se fasse dépuceler par deux hommes, qui plus aient.
Se faire prendre en double vaginale est exceptionnelle, tu as trouvé deux hommes qui sont des baiseurs de hautes volées, pourtant j’en connais un paquet dans le club libertin ou je t’ai emmené.
Mais, si nous sommes pressés, c’est qu’ici les choses s’accélèrent, tu vas nous aider à nous servir de ces vidéos pour faire changer un vote demain à l’assemblée.
Pour ce faire, tu as rendez-vous dans son bureau avec Paul, l’un des hommes les plus influents de la place de Paris, c’est chez lui et sa fille que tu étais à Obernai.
Tu feras ce qu’il faut pour le séduire, tu lui demanderas de voter la motion de censure du Premier ministre, si ton petit cul ne suffit pas à emporter la décision, tu lui montreras ce que sa fille si chaste est capable de faire.
Il va sans dire, que si tu dois en arriver à cette extrême, tu lui diras que les vidéos de sa fifille circuleront sur le net, je sais ces dégueulasses, mais on n’a rien sans rien.
Une dernière chose, s’il te propose de simplement s'abstenir, tu refuseras, nous sommes à 50, 50 pour arriver à nos fins, il faut qu’il se mouille entièrement, car depuis le début de sa carrière, telle une anguille, il a toujours réussi à se faufiler.
• Je comprends, là, il faudra bien qu’il se mouille, comme je mouillais quand tu m’as pris dans le vestibule.
• Heureusement que la table que je t’ai offerte est en pur marbre, ta cyprine l’aurait irrémédiablement taché si elle avait été en stuc.
J’ai vu que tu aimais que ta maison soit décorée avec ce style de meuble empire, pendant que tu vas sceller notre avenir, je vais réceptionner la salle à manger que tu admirais et que nous t’avons acheté pour te remercier de ta réussite strasbourgeoise.

Si j’avais des doutes sur ce que je suis, ce nouveau cadeau hors de prix, me montre toute la détermination que je dois mettre surtout que Pierre en me dévoilant leur but me montre pourquoi ils m’ont fait me surpasser avec Mariane ainsi que la con,fiance qu’ils me portent.

• Bonjours monsieur Paul, je peux entrer !
• Mon attaché m’a dit que tu lui avais demandé que je t’accorde une entrevue, voilà, je suis là, j’ai cinq minutes à vous accorder.
• Cinq minutes cela risque d’être un peu juste.

Je contourne le bureau de cet homme d’une cinquantaine d'années, je lui passe directement la main dans sa chevelure l’autre descendant sur le gilet de son costume trois-pièces.

• Je suis l’attaché de monsieur Joseph, je vous ai croisée plusieurs fois depuis que j’ai commencé dans le métier.
• Une jeune fille comme toi, tu as flaché sur un vieux comme moi, tu as certainement l’âge de ma fille.
• Oui, mais j'aime que l’on me baise, sans pour autant être une marie couche toi là.

Ma main est sur le pantalon, il réagit violemment, il me prend la main, la tord m’obligeant à atterrir les fesses sur son bureau.

• Petite salope, tu veux tâter de la bite d’un vieux, on va voir ce que tu as dans le ventre.

Il sort sa queue, pour lui faire voir la salope qui s’offre à lui, je suis venue la chatte à l’air sous une mini suffisamment longue pour éviter le scandale dans les couloirs que je parcours pendant mon travail.

• Je vois que tu n’as pas de culotte, fais-moi voir tes seins, j’adore les seins des jolies filles, salope, là aussi, tu as oublié de les couvrir, je mettrais bien ma bite entre eux, ils sont assez volumineux pour me l’enserrer, je giclerais sur ta figure petite catin.
• Faites-le qu’est-ce que qui vous en empêche ?
• Ton abricot épilé m’attire plus, car plus facile à atteindre que tes seins, il faudrait que je monte sur mon bureau, ces genres d’exploits sont loin derrière moi fillette, tient là, je suis à bonne hauteur.

Je sens sa verge me pénétrer centimètre par centimètre, il prend sont temps, il m’attrape les jambes qui sont restées pendantes lorsqu’il m’a retourné et couché sur son bureau.
Je le sens bien quand il est au fond de moi, je finis par baiser par plaisir plus que par obligation pour obtenir un avantage lors de son vote.
J’arrive même à avoir un début de jouissance non loin de l’orgasme, mais pas tout à fait, car son corps se tend et il éjacule, s’affalant sur moi.
Je laisse redescendre mes jambes, je le sens se recroqueviller en moi, un instant, j’ai peur d’être coincé sous cet homme légèrement bedonnant ayant peur qu’il ait fait une attaque, mais aussi que par sa mort, je viens de faire perdre la majorité qu’il devait apporter à mes souteneurs.
Souteneurs, car la paye que je me fais, ajoutez-y l’appartement et ma voiture, j’oubliais la salle à manger que je retrouverais ce soir, sont des cadeaux contre actes sexuels comme celui que je viens de faire avec le père de Mariane qui par chance se remet à bouger.

• Rajuste-toi et assieds-toi en face de moi, nous avons à discuter.

Il me sert un verre de whisky après avoir rangé sa queue, qu’il avait simplement sortie par sa braguette.

• Oui, j’ai à vous parler.
• Inutile, je sais tout, je sais pourquoi Pierre, mais surtout Joseph, t’ont fait tomber dans leurs filets, l’un t’entretient, l’autre te paye comme assistante pour te désigner tes cibles, la seule chose que j’ignore, c’est ce que vous faites dans le petit salon dans le restaurant où il te fait venir.
Cela m’étonnerait que ta chatte ait vu sa verge, lui depuis que sa femme est morte, paix à son âme, il se fait faire des fellations.
Ils t’ont envoyé te faire baiser et tu vas me demander de voter la motion, car ma voie leur donnera une majorité pour renverser le gouvernement.
Tu leur diras que Paul ne s’achète pas, excuse-moi de t’avoir baisé, mais un petit cul comme le tient qui t’ai livré sur un plateau sans aucun risque, ce bureau étant protégé des regards intempestifs, je n’ai pas pu résister.
Je vais te dire, j’ai une fille qui fait des études en Allemagne, elle va à la messe tous les dimanches, fait ses prières tous les soirs au pied de son lit, elle se mariera avec un mec bien, fils d’un de mes amis, homme de pouvoir comme-moi.
Ils me donneront de petits enfants et un jour, elles ou lui prendront ma place dans ce bureau, c’est comme ça que nous faisons avec nos enfants, si comme toi, il ne tombe pas dans la débauche.

Je le regarde, d’un coup, j’éclate de rire, un rire nerveux devenant de plus en plus hystérique.

• Pourquoi ris-tu ?

Je me lève, récupère mon portable.

• Pourquoi ris-je, regarde là vieux con, ta fille me suce la chatte, mais non contente d’en avoir fait une gouine, nous sommes allées en ville.
Regarde la transformation que j’ai réussi à lui faire opérer, regarde ce manteau en cuir qu’elle porte, ce sont les mecs derrière nous qui lui ont offert, ils l'ont payé 3 200 €, la transformant de petite fille sage en courtisane.
Je vais t’éviter les scènes suivantes, avec ces deux mecs, ça se passe chez toi à Obernai, entre parentèse, ta cave est d’enfer, tu pourrais la voir siffler le liquide directement à la bouteille, le faire couler entre ses lèvres vaginales et qu’Antoine l’un des deux hommes boive à sa source.
Tu en veux encore, je peux t’expliquer.
• Non, que vas-tu faire de ces horreurs ?
• Les mettre sur un site porno d’Internet à moins que ?
Joseph et Pierre te feront passer ce portable ou j’ai tout filmé et effaceront toutes les copies si tu…