Titre de l'histoire érotique : 3 ans de pénitence - 14

- Par l'auteur HDS Mia-michael -
Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : 3 ans de pénitence - 14 Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : 3 ans de pénitence - 14
Les novices.

Je me couche sur un divan, les jambes écartées, et je tends les bras vers lui. Il s’allonge doucement sur moi. Je prends son sexe en main et le mets devant l'entrée de mon vagin. Je suis très mouillée, oui, il me plaît vraiment. Je l'attire sur moi, son sexe commence à entrer dans ma chatte. Je lui murmure:
— J'avais terriblement envie de toi.
Oooh! Il entre complètement en moi. Mmmmmhhh... c'est bon...
Je l'embrasse à nouveau sur la bouche, tandis qu'il va et vient en moi. On fait l'amour lentement, c'est sa première fois. Il a l'air d'aimer, moi aussi. Ce rythme lent est assez affolant, je me mets à gémir. Il met sa bouche contre mon oreille et chuchote:
— Tu as mal?
— Non, au contraire, j'adore.
Il m'a parlé!
Je mets mes talons sur ses fesses pour le sentir encore mieux en moi. Il me baise longtemps. Bientôt, je sens son sexe qui gonfle, tandis qu'il me dit à nouveau:
— Je vais...
— Oui, je sais, tu vas jouir.
On atteint l’orgasme ensemble...
Je reviens à la réalité et je m'aperçois que plusieurs personnes sont venues nous regarder, même Marguerite qui tient son beau nègre par la queue.
Je n'ai pas vu entrer les deux jumelles, Charlotte et Julie. Elles sont à côté de l'évêque. Je veux dire que d'un côté, Marguerite tient le sexe de son beau nègre et de l'autre, il a passé la main sous la jupe d'une des deux jumelles. Il est vraiment "à voile et à vapeur", ce type. Les filles sont habillées d'une robe bleue comme les religieuses. Elles me regardent en souriant d'un air goguenard, une des deux me dit:
— On dirait que ça te plaît, les débiles.
— Il n'est pas du tout débile, Mademoiselle.
Aïe! C'est sorti trop vite, j'aurais dû dire oui.
— D'abord, tu dois dire "ma sœur" quand tu nous parles, nous sommes des novices maintenant et ensuite, je n'aime pas les insolentes.
— Pardon Ma Sœur, je...
Elle me coupe pour demander à sa Sœur:
— Qu'en pensez-vous, Sœur Julie?
— Je suis entièrement d'accord avec vous, Sœur Charlotte. Il est de notre devoir de punir cette insolente.
— Ici?
— Non, ce soir au dîner, une punition ne prend toute sa saveur que s'il y a un public nombreux.
— Vous avez raison, ma Sœur. Et puis comme ça, elle a le temps de penser à la punition qui l'attend.
Sales garces! J'essaye quand même!
— Ma Sœur, pitié...
Elle me donne une gifle qui claque sur ma joue.
— Aie!
Je frotte mon visage brûlant.
La jumelle désigne un homme et lui dit:
— Toi, le bel homme costaud, rends-moi un service. Sors ta bite du cul de cette fille et viens la mettre dans la bouche de cette connasse pour qu'elle se taise.
Oh, non! En fait d'homme costaud, c'est un gros paysan, avec un pantalon en velours côtelés sur les chevilles et une casquette. Il a l'air sympa pour boire un coup de rouge au café du coin, mais surtout pas pour quelque chose de sexuel. Il arrive en disant:
— Toujours au service de deux petits anges comme vous et votre Sœur, cré vingt dj'u. Oh pardon ma Sœur.
Il a dit deux petits anges? Alors, lui, il est vraiment bredin! Je me mets à genoux pour prier le Seigneur de me sortir de là. Je prie le vrai, pas l'ange noir qui inspire ce couvent. Hélas, Il semble occupé ailleurs.
Le paysan me fourre une grosse queue molle sous le nez et la frotte sur mon visage. Les jumelles se mettent à rire. Autant prendre ce truc en bouche, l'odeur sera moins forte. Mais pas le goût, hélas. J'ai un haut-le-cœur! Il me prend par la nuque et me fait aller et venir sur sa bite. Par moment, j'ai le nez dans ses poils grisâtres. Il sent la ferme négligée au mois d'août et le goût est en rapport. Il m'encourage d'une façon... rurale:
— Tu aimes ça, hein, p'tite belette?
Oh non, je déteste! Et puis, pourquoi belette?
Je suce... Je veux que ça s'arrête! Je caresse ses couilles, les pince un peu. Il pousse des grognements. Il aime ça, j'y vais plus fort et bientôt il jouit dans ma bouche. Hélas, il n'avait pas éjaculé dans le cul de l'autre fille et la truie, à la ferme, doit sûrement se refuser à lui, toujours est-il qu'il m'envoie des saccades de sperme de quoi remplir un bol!
Il nettoie un peu son gland dans mes cheveux et demande aux Sœurs:
— J'peux aller terminer l'ôt', mes Sœurs?
— Oui, oui...
Les Sœurs ont regardé attentivement cette fellation, tout en se caressant. Maintenant excitées par le spectacle, elles se déshabillent et s'embrassent. C'est manifestement leur truc: je fais l'amour à un autre moi-même et à ma sœur en même temps.
Qu'est ce que ces petites vipères vont me faire tout à l'heure? Leur punition a déjà commencé: l'attente anxieuse de la punition. Et, ici, les châtiments volent bas, pour un rien, on est punies.
Les Sœurs ne continuent pas car Marguerite les appelle:
— Venez ici, mes petites novices, on va jouer avec mon fiancé.
Son fiancé, c'est le nègre qui a une bite de 25 cm. Je ne savais pas que les évêques se fiançaient! Une des deux répond:
— Avec plaisir, Marguerite. Mais comme ton fiancé t'a enculée, on va demander à une fille de le lécher, d'abord.
Ah! oui, logique. Enfin, dans ce monde...
Elle regarde les filles qui se font toutes petites et elle s'arrête sur Cynthia en disant:
— Toi, viens ici!
Oh! Elle n'a pas du tout envie d'aller sucer la bite qui a dépucelé Marguerite ou plus exactement qui a enculé l'évêque. Son manque d'enthousiasme déplaît évidemment aux Sœurs et l’une d'elles lui dit:
— Tu seras punie avec l'autre pute (ça, c'est moi!).
Elle regrette de l'avoir trompé son gros! Cynthia se met à sucer le Noir avec dégoût et puis au bout d'un moment, ça a quand même l'air de lui plaire.

Elle doit vraiment être nympho et tant mieux pour elle. Quand le sexe de l'homme a retrouvé toute sa splendeur, elle demande à l'évêque:
— Je peux monter sur votre fiancé, Mademoiselle Marguerite?
Elle sait comment le prendre. Il fait "oui" de la tête. Aussitôt elle enjambe le Noir pour s'envoyer les 25 cm de bite au fond de la chatte et c'est parti pour un super galop! On est nombreux à la regarder. Quelle fougue! Elle se penche pour embrasser l'homme qui lui a empoigné les fesses. Je vois Marguerite qui se remet à bander. Son sexe atteint des dimensions que je ne lui ai jamais vues, je dirais bien 5 cm! Le galop continue un moment encore et se termine par un bel orgasme de tous les deux. Marguerite s'est déjà couché sur le dos et couine:
— Sur moi, sur moi!
Cette gourmande de Marguerite devrait faire attention à sa ligne...
Le Noir sait ce qu'il doit faire. Dès qu'il a joui, il désarçonne sa cavalière, met une main en conque sur sa chatte et colle le tout sur le visage de Marguerite qui tète déjà dans le vide. Bon appétit, Éminence!
Moi je suis entreprise par un des journaliers. Il a heureusement eu d'autres filles avant. Une fellation, une levrette et au suivant. Travailler dans un bordel à Djibouti, ça doit être le paradis comparé à ce qui se passe ici.
Marguerite a pris son petit "apéro" en suçant la chatte de Cynthia. Comme je ne suis pas loin d'eux, j'entends qu'elle lui dit:
— Mademoiselle Marguerite, vous voulez bien demander aux jumelles de ne pas me punir?
L'autre fait sa chichiteuse:
— Peut-être, je ne sais pas...
Arrivés au réfectoire, les jumelles désignent les filles qu'elles veulent punir: Cynthia, deux autres filles et moi. Une des deux dit:
— Déshabillez-vous, puis mettez-vous à genoux sur le banc, le front sur la table.
On fait ce qu'elle dit. Dans cette position, on est vraiment les fesses offertes. Elles nous préviennent:
— Cinq coups de fouet si vous ne bougez pas, dix à celles qui bougent.
Aussitôt les lanières d'un martinet s'abattent sur mes fesses.
— Aie!!! Ça fait maaaaal!!!
Je prends les cinq coups en criant, mais en bougeant le moins possible. Les autres crient aussi. J'ai reçu trois coups de lanières sur l'arrondi des fesses et deux autres entre les cuisses et le bas des fesses, ce sont ces coups-là qui vont faire particulièrement mal quand on devra s'asseoir. Une jumelle crie:
— Debout!
L'autre jumelle arrive près de moi avec un seau. Elle en sort un savon qui a trempé un moment et me dit:
— Ouvre la bouche.
Elle enfonce le savon, le fait aller et venir dans ma bouche en le raclant sur mes dents. Le goût est horrible, chimique, un peu comme si on avait du parfum dégueulasse en bouche. Quand elle m'a bien savonné la langue et l'intérieur de la bouche elle me dit:
— Mord sur ce savon et si tu le craches, tu recevras dix coups de fouet sur la chatte et dix sur tes nichons!
Je mords. Les autres aussi, je suppose. Une jumelle dit:
— Maintenant vous pouvez vous asseoir, mettre les mains sur la tête et regarder les autres manger!
Quelle imagination, quelle cruauté... D'ailleurs les spectateurs applaudissent! On est privées de repas, bon, c'est une soupe épaisse et dégueulasse, mais c'est de la nourriture et on a faim. On a aussi ce goût horrible dans la bouche et même dans la gorge, car on ne peut empêcher une partie du savon mélangé à de la salive de couler dans la gorge. Et enfin, on a très mal aux fesses, puisqu’elles viennent d'être fouettées. On reste comme ça le temps du repas, soit environ, un quart d'heure... Enfin, une jumelle crie:
— Vous pouvez aller cracher.
On se précipite, on se battrait presque pour cracher avant l'autre.
Une jumelle m’arrête dans mon élan en me faisant signe d'approcher. Elle me demande:
— Tu as aimé te faire baiser par un débile?
À tout hasard, je murmure :
— Oui ma sœur.
— Et recevoir des coups de fouet?
— Non ma sœur, pas du tout!
— Donc tu vas nous traiter avec plus de respect?
— Je vous jure que oui ma sœur.
— Bien, tu peux aller te rincer la bouche.
Ouf! Ce goût est atroce!

A suivre.

Pour tous renseignements, envoyez-moi un mail : mia.michael@hotmail.fr

Les avis des lecteurs

A Grosguy. Merci pour ce joli commentaire... ça me fait plaisir. Bientôt le suite... bisouys, mia

De très bon moment de lecture
Avec de belle rose qui vire au rouge écarlate
Le tout baigner dans un souffle de pudeur pornographique élogieux
Bon plaisir



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : 3 ans de pénitence - 14
Histoire sexe : Une rose rouge
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