J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE -13-

- Par l'auteur HDS Dresser -
Récit érotique écrit par Dresser [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE -13- Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE -13-
Nous avons Marion et moi-même décider de partir deux semaines en Tunisie avec Fannie et R. Ce sont des vacances avec un grand V.
Dès notre arrivée à l’hôtel, nous descendons à la boutique pour acheter deux djellaba pour nos soumis.
-voilà de quoi vous vêtir pour aujourd’hui, demain nous irons au souk pour en acheter d’autre. Alors vous prenez une douche et à poil sous la djellaba, sans dessous. Il fait chaud, autant que vous profitiez pour être à l’aise. Pour la plage, ce sera forcément maillot de bain, ici on évite la tenue d’Adam. R, viens que je te retire ta cage, tu te laves bien et je te la remettrais après. N’oubliez pas le corps lisse tous les deux, les vacances n’empêche pas que vous soyez propre de tous poils.

Le soir direction le restaurant de l’hôtel, les activités et finissons par nous coucher. Nos deux chambres communiquent entre elle, la porte reste ouverte pour que nous puissions veiller sur notre joli couple.
Le lendemain, après le petit déjeuner, direction la ville pour profiter de ce réel début de vacance. Nous passons de magasin en magasin, dégustons de bon jus d’orange fraichement pressé et décidons d’attaquer le marché. Nous nous faisons alpaguer par chaque vendeur de boutique, mais nous continuons notre chemin. Et puis une femme prend Fannie par le bras, insistant pour la faire entrer dans son salon de coiffure.
-viens, entre je vais te faire une belle coiffure, madame, viens….
Marion prend les choses en main.
-que voulez-vous à mon amie ?
-ji veux juste lui faire une pitite coupe, ça lui fera du bien pour les vacances, en plus ci pas pas chère madame, juste 10 dinars pour elle.
Marion me regarde, je lui réponds du regard, oui. Alors Marion et Fannie entre dans le salon et Marion échange avec cette femme, expliquent la coiffure qui doit être fait.
-mais la dame ne dit rien elle, elle veut quoi ?
-elle veut ce que je veux, alors faite lui ce que je vous ai demandez et vous aurez vos 10 dinars.
-mé madame, c’est pas possible, si la dame elle veut pas, j’ai pas droit de faire ça.
-alors Fannie, dit lui que c’est ce que tu veux.
-oui madame, je veux que vous fassiez ce que mon amie a demandée.
-bon, bon si cé que tu veux, je vais faire madame.
Fannie est installée et deux femmes s’affairent autour d’elle. Marion me regarde et sourie. Une petite trentaine de minutes plus tard, Fannie sort du salon avec Marion.
-regarde comme elle est belle ta Fannie R, regarde-moi cette nuque complètement rasée, passe ta main.
R passe sa main sur cette nuque rasé à blanc insistant, appréciant. Fannie à été rasée à blanc sur le pourtour de la tête laissant cette masse de cheveux au-dessus.
-alors sa te plait de voir ta Fannie comme ça ?
-oui.
-elle est super bandante et fais très salope en plus, au moins pendant les vacances on peut se laisser aller à des extravagances et puis ça repousse.
-Marion, tu vas finir par lui tondre toute sa tignace, ou je me trompe ?
-oui Fred, tu as raison, un jour je compte bien l’avoir aussi lisse de la tête que notre soumis. Elle me fera mouiller rien qu’en la voyant tondu. Rire…..
Fannie entend cet échange et nous regarde avec des yeux paniqués, alors que R semble plutôt content, esquivant un sourire.
-bah ! alors R, pourquoi sembles tu content ?
-il y a pas de raison que moi je sois tondu à blanc, alors qu’elle a le droit de garder sa touffe sur la tête. Elle a voulu que nous vous soyons soumis, mais elle doit aussi passer par les mêmes règles.

Nous reprenons le chemin du souk et nous arrêtons dans un atelier de djellaba. Nous regardons ce qui nous plait et ce qui plait à nos deux soumis. Le choix s’arrête sur deux habits. Le vendeur leurs demande de les essayer et là sa bloque un peu.
Je fais comprendre au vendeur, que nous avons besoin d’un endroit un peu plus discret que son magasin. Il ne comprend pas, mais nous dirige vers l’arrière-boutique. R essai la tenue, l’homme découvre un homme nu, lisse avec une cage de chasteté. Ces yeux sont surpris et captivé au vu de ce qu’il voit. C’est au tour de Fannie et il découvre le corps de notre soumise, le regard hagard.
Nous constatons que l’homme est surpris par cet évènement. Je prends donc les choses en mains.
-bon combien pour les quatre ?
-mé monsieur, il faut que je réfléchisse, tu prends….
-les quatre, en prime tu peux utiliser la femme.
-oh monsieur, tu veux que je….
-bon c’est pas grave on va aller plus loin
-non non, viens par là.
Nous nous dirigeons un peu plus dans l’arrière-boutique et ferme la porte derrière nous. Il sort sa queue de son pantalon et demande à Fannie de sucer. Elle s’accroupie et gobe ce sexe qui durcit dans la bouche. Le marchand, sort des mots en arabe, tenant la tête de Fannie pour donner le rythme. Sans vraiment tarder, il se place derrière les fesses de notre soumise, remonte la djellaba sur le dos, se protège et pénètre l’intimité de Fannie.
-oh là là, c’est déjà tout mouillé, té oune belle salope toi, puis continu en arabe…..
R s’approche du visage de sa Fannie, la regarde, l’embrasse, leurs langue échangeant un long baisé.
Je retiens Marion qui s’apprêtait à intervenir.
-il à raison, tu es une salope ma chérie, une belle salope, tout juste bonne à prendre des bites, en plus des bites d’arabe. J’espère qu’il va bien te prendre, bien t’éclater la chatte, te l’agrandir pour qu’elle devienne un vrai hall de gare à bite, tu ne mérites que ça. Allez monsieur, baise là bien à fond, ce n’est qu’une salope, je veux l’entendre couiner, fais là beugler comme une chienne, vas-y encore, encore.
La réaction de R nous laisse pantois. Jamais il ne s’était laissé aller à un tel langage, un tel dépassement.
-R que se passe-t-il ?
-rien monsieur, juste que.., qu’elle a voulue entrer dans ce jeu, me faire entrer dans ce jeu. Je ne le regrette pas, mais je veux que maintenant elle sache ce que je pense d’elle, que je l’aime comme ça, dans cette condition, la voir se faire prendre par cet homme me libère. Lorsque je l’ai vu sortir du salon tout à l’heure, j’ai eu un déclic, malgré ma cage, mon sexe à essayer de bander, monsieur.
-eh bien…. Je crois que tu vas mériter une récompense.
Le marchand continu à besogner Fannie. En entendant les paroles de R, elle s’est laissé aller devant nous, invitant l’homme à la prend encore.
-vas-y , encore fais plaisir à mon mec soumis, prend moi encore, il te regarde et…..
Le marchand accélère ces mouvements, ressortant son membre pour mieux la pénétrer encore et finit par se libérer en criant des mots en arabe.
Fannie se rhabille et nous sortons du magasin, les vendeurs nous regardent.

Le retour à l’hôtel se fait tard dans la soirée, nous avons profité de cette journée. Marion me questionne sur la récompense que je compte donner à R.
Au moment du coucher, je fais venir R à moi.
-je t’ai dit que tu avais le droit à une récompense. Nous avons donc décidé de te retirer ta cage de chasteté. Tu as toute la nuit pour profiter de Fannie, alors un conseil, profite en bien, demain tu retrouveras ta cage.
-merci.
Dès le lendemain matin, R est de nouveau encagé.

Nos vacances se passent bien, nous profitons pleinement du soleil et de la plage, tout le monde a le droit un des moments de décompression. Durant ce jour, Marion me dit qu’une des hôtesses de l’hôtel n’est pas insensible à Fannie et que Faiza, l’hôtesse à proposer de venir boire le thé chez elle à Marion et Fannie. Marion a pris le temps d’expliquer la situation pour éviter toute ambiguïté. Faiza, reste sur sa proposition. Alors, avec mon accord, rendez-vous est donné pour le lendemain.
A leur arrivée, Faiza les accueille avec comme habit un « salat ». Marion est surprise de la voir comme ça, puisqu’à l’hôtel elle est européanisée. Faiza leur explique que pour travailler, elle est obligée de s’adapter. Marion insiste sur le fait que peut-être ne sont-elles pas comprises.
-oh ! mais si, j’ai bien compris, il n’y a pas de problème, entrez.
Elles discutent devant un thé maison qui semble-t-il était divin. A un moment, deux autres femmes en salat également arrivent dans la pièce. Echange en arabe, puis traduction en français. Elles se joignent pour prendre le thé. A un moment Faiza attrape le bras de Fannie et la tire à elle face à son entre-jambe. Les deux autres femmes empoignent Marion, l’empêchant tout mouvement. Faiza, lève le bas de son salat et laisse apparaitre un sexe velu, non entretenu.
-alors l’européen, tu vois ça, tu vas me lécher tout ça et proprement.
Elle prend la tête de Fannie et la plaque sur sa toison pubienne. Marion tente de se libérer, mais en vain.
-toi, ne t’inquiète pas, tu ne seras pas en reste, mes amies ont envie de gouter à une blanche.
L’une des deux femmes prend Marion par les cheveux et la plaque dos au sol, La deuxième lève son salat et se pose sur le visage de Marion. La seconde remonte la jupe de Marion, arrache la petite culotte et plonge sa langue dans l’intimité de Marion. Cette dernière, contrainte et forcée lèche un sexe poilu pendant qu’une femme lui lape le sexe. Elle entend les gloussements de Faiza qui réagit sous les coups de langue de Fannie. Pour Marion, la situation lui semble folle, elle est mise au même rang que sa soumise. Les deux femmes se comportent comme deux femme en furie, elles échangent leur place régulièrement, Marion se retrouve à chaque fois à devoir lécher un sexe poilu, d’une odeur et d’un goût différent. Elle a décidé de ne plus lutter pour essayer d’échapper à ces deux femmes, mais plutôt de profiter de ce moment qui en fin de compte lui apporte du plaisir. A un moment, Marion est complètement dévêtue, ses seins sont malaxer, pincés, tirés pour le plaisir de ces deux femmes qui elles restent avec leur salat. Elle aperçoit, un peu plus loin Faiza et Fannie, cette dernière toujours dans l’entrejambe de Faiza et Marion comprend que la langue alterne entre le sexe et la rondelle.
-vas-y l’européenne, hum, oui ….ouvre mon cul hummm oui, oh ! avec ces tous ces poils tu te débrouille bien, ta nana avait raison tu as une bonne langue de waqiha.
Marion, repart sur les assauts de ces deux femmes. Une des deux femmes cri son plaisir, lâchant abondamment de jus que Marion doit laper jusqu’à la dernière goutte. Ensuite le deuxième prend la place et frotte énergiquement son sexe sur la bouche de Marion, tout en se masturbant le bouton. Rapidement, le plaisir arrive et cette femme râle tel un homme qui jouit. Marion quant à elle, reste allongé sur le dos, fatigué et sans avoir profitée de la libération du plaisir. Reprenant ses esprits, Marion cherche Fannie du regard. Elle découvre Faiza dos au sol, les jambes écartés, Fannie parcourant les seins et le sexe de sa bouche, mais un homme, d’un âge avancé est en train de besogner Fannie. Marion se relève, se rapproche et trouve cet homme qui sodomise sa soumise. Marion veut réagir mais une des femmes chope ces cheveux.
-laisse, ne bouge pas la blanche, c’est notre mari. T’inquiète pas pour toi, tu es là juste pour nous satisfaire, il ne te touchera pas, tu es juste à nous deux.
-mais….
-arrêetttte, nous avons juste le droit d’avoir du plaisir avec les femmes, Farid ne s’occupe plus de nous, sa dernière femme Faiza est la seule qu’il touche sans compter la waqiha, mais ça c’est un cadeau pour lui, une européenne, elle va s’en rappeler. Rires.
Marion continue d’observer, l’homme est vaillant malgré son âge qui semble avancé. Une des deux femmes attrapes les fesses de Fannie, les écartent, laissant apparaître un membre de taille très honorable qui a ouvert le cul de notre soumise. L’homme se retire, la femme abondamment sur la queue de son mari, ce dernier reprend ses assauts, prenant Fannie sur toute la longueur de sa queue. Cette dernière ne dit rien, sa langue étant enfouit dans l’intimité de Faiza. L’homme se retire, change de protection et empale Fannie par son intimité. L’homme réagit, une des femmes traduit.
-cette blanche mouille comme une garce…..elle est trop large, j’aime pas ça.
L’homme laboure sans relâche notre soumise, s’arrête. Il prend Fannie par les cheveux, la retire de l’intimité de sa troisième femme. Il retire sa protection et empale Faiza d’un coup, la prenant sans douceur. Ah un moment il râle et lâche tout son jus dans cette femme. Après s’être retiré, il oblige Fannie à nettoyer l’intimité de Faiza, pendant que cette dernière nettoie et suce son mari. En peu de temps, l’homme rebande de nouveau et sans perdre de temps se protège et enfourne le cul de notre soumise.
-au moins là c’est serré, sans compter ces choses qu’elle a au sexe, c’est bien une blanche.
Ces choses, ce sont les anneaux que Fannie à sur les lèvres du sexe, a priori cette homme n’en n’est pas friand. L’homme se retire du conduit anal de Fannie et se libère par de long jet sur les fesses. Une fois terminé, il nous ordonne de partir. Faiza, réajustée, nous conduit à la porte avec un large sourire.
-merci les filles, pour moi ça été super. Les premières femmes de mon mari se sont super éclaté avec toi et ta chienne est médiocre pour mon mari. Alors tirez-vous, avant qu’il décide de la donner aux hommes de la famille. Ne me cherchez pas à l’hôtel, je ne reviens pas avant votre départ et elle claque la porte, laissant Fannie et Marion dans la rue.
Au retour, Marion me raconte cet épisode. Sur le moment elle était très en colère contre Faiza, mais il y avait bien longtemps qu’elle n’avait pas donnée du plaisir à des femmes. Fannie quant à elle, Marion l’a traité d’incapable, même pas foutu de contenter un vieux et l’avertissant que des choses allaient changer.
Fin de nos vacances.

Les avis des lecteurs

Merci pour ce retour, je guettais de nouveaux chapitres.
Rudy



Texte coquin : J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE -13-
Histoire sexe : Une rose rouge
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