Titre de l'histoire érotique : Vacances au fil de l'eau

- Par l'auteur HDS Le Matou libertin -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Vacances au fil de l'eau Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Vacances au fil de l'eau
Cette année là, Camille, ma seconde épouse et moi-même, nous avions décidé de confier nos enfants respectifs à leurs grands parents pour les premières semaines de juillet.

En début d’année, Camille avait enfin accepté de découvrir le libertinage en club, chose que je pratiquais au moins une fois par mois avant de la rencontrer.
Au cours d’une des rares soirées où Camille avait accepté de m’accompagner pour une séance excitante de mélangisme, nous avons fait la connaissance d’un couple de nos âge – la quarantaine épanouie – qui sans être foncièrement échangiste, préférait aussi l’ambiance des salons où les couples se côtoient, se livrent aux joies du sexe, appréciant la chaude ambiance et l’excitation provoquées par les couples qui se caressent avant de faire l’amour sans changer de partenaire.

Nous avions fait plus amplement connaissance autour d’une bouteille de champagne et quelques temps plus tard est née l’idée de partager la location d’une péniche de loisirs pendant deux semaines.
Nous voulions être tranquilles pour mener à bien un projet à deux couples pour les vacances. L’homme, ancien capitaine de bateau de tourisme sur la Seine, se chargerait de la conduite.



Qui sommes nous ?... Nous sommes un couple de fonctionnaires ayant l’un et l’autre un bon poste à Paris qui nous permet de vivre confortablement. C’est d’ailleurs lors d’une réunion de travail interministérielle que Camille et moi, nous avons fait connaissance. Veuf avec trois enfants et elle, mère célibataire d’un garçon de 15 ans, nous nous sommes ensuite rencontrés à plusieurs reprises.
Nous étions faits pour nous entendre et par bonheur nos enfants se sont rapidement accordés eux-aussi...

Grande brune aux cheveux mi-longs légèrement ondulés, Camille est une belle femme : elle attire les regards des hommes sans les provoquer. Son visage à l’ovale un peu allongé est éclairé par deux grands yeux d’un bleu foncé et des lèvres toujours maquillée d’un rouge vif souligné d’un trait plus foncé.
Sa poitrine menue – 90.B – est bien ronde et très sensible aux caresses. Ses hanches s’épanouissent sous une taille mince et son pubis est orné d’une touffe de poils taillée en triangle discret (je suis passé par là pour la convaincre de discipliner un peu cette pilosité exubérante de certaines filles du soleil).

Je suis proche de la cinquantaine et malgré mon 1.85m et une pratique raisonnable de la marche et de la natation, j’ai quelques kilos en trop à 90kg mais je les porte allégrement. Mes cheveux sont toujours coupés courts et un fin collier de barbe allonge un peu mon visage rond. Ma musculature est légèrement dessinée mais ce que pas mal de filles m’ont fait remarquer, c’est le dessin de mes jambes. C’est vrai que j’ai des mollets bien galbés et les chevilles fines.

Nos amis sont plus contrastés. Clémence est elle aussi une grande femme dans la maturité des 40 ans, aux cheveux blonds cendrés coupés court, elle a un visage de Madone avec des yeux gris. Elle a une poitrine plutôt opulente et des hanches larges. Elle aussi a les poils du pubis disciplinés en une fine bande qui s’élargit au dessus du clitoris. Cyril est un peu plus petit que sa femme, le teint mat, les cheveux noirs ondulés, il possède une musculature bien dessinée qui ressort bien car il n’a pas une once de graisse inutile.



Nous nous retrouvons tous les quatre en début d’après midi du premier samedi de juillet sur le petit port où nous prenons possession de notre embarcation et nous mettons à bord tout ce qui nous sera nécessaire pour ces deux semaines. Nous embarquons aussi deux vélos qui nous permettront les soirs d’escale, d’aller nous ravitailler en vivres frais aux villages les plus proches.

Notre péniche, prévue pour six personnes possède tout le confort voulu : deux grandes cabines avec lit double le long de la coursive et cabinet de toilette attenant, une douche commune à la proue. A l’arrière, au dessus des deux moteurs, se trouvent le coin cuisine et le salon panoramique avec la barre du gouvernail. Au dessus des cabines nous disposons d’un sundeck avec chaises longues et parasol. Le tout est entouré d’un cache vue en tissu.
Le choix a été bon. Nous serons à notre aise pour nous mettre nus si l’envie nous prend de bronzer en intégral.

Dès que les formalités sont accomplies nous quittons le mouillage pour remonter la Seine sur une dizaine de kilomètres.
Cyril nous répartit ensuite les tâches. En effet, nous allons emprunter le canal du Loing dont les écluses doivent être manœuvrées à la main : L’un d’entre nous devra donc descendre avant l’écluse pour mettre le sas à niveau et ouvrir les portes avant que le pilote s’engage pour le franchissement.



Après trois heures de navigation, nous trouvons un mouillage pour la nuit et nous profitons de la fin de soirée pour un diner léger arrosé de champagne pour fêter le début de ces vacances.

Lorsque nous quittons la table, les femmes sont quelque peu excitées : l’effet du champagne ou la perspective de ce qui les attend après avoir regagné les cabines respectives ? Les deux certainement car à peine les portes se sont elles refermées que nous entendons clairement le rire de Clémence et ses gloussements qui ne tardent pas à se transformer en gémissements de plaisir.

En riant Camille me dit soudain :
- Ils ne perdent pas de temps ces deux coquins !

Je suis tout émoustillé à la fois par ce que j’entends au travers de la mince cloison et par le strip-tease que Camille me fait. Cette coquine est excitée elle aussi ! Je ne suis pas en reste car mon sexe commence à se dresser dans mon boxer. Au moment où ma femme ôte le dernier rempart bien léger qui cache son pubis, je ne porte plus que mon boxer…

Quand je veux enlacer Camille, elle me repousse et me fait tomber en travers du lit. Elle se précipite aussitôt sur moi, fait glisser mon boxer le long de mes jambes et d’un seul coup, d’un seul, loge ma bite au fond de sa gorge pour me pomper et achever de me faire bander.
- Oui vas-y coquine, tu vas voir ce que je vais te mettre ! Tu m’as fait jeûner pendant une semaine, alors prépare toi !

Les bruits venant de l’autre cabine sont de plus en plus perceptibles et j’imagine ce que Clémence et Cyril sont en train de faire… mais Camille ne se contente pas de ces bruits et de la fellation à gorge profonde qu’elle me prodigue. D’une main, elle masse son pubis et fait coulisser son bourgeon entre deux doigts. J’entends le clapotis de ses doigts à l’entrée de son vagin qui, je le sais, doit être inondé de cyprine.

Je relève sa tête et je fais basculer ma femme sur le dos. Je prends ses jambes à l’arrière des genoux pour les relever et d’un mouvement ample, je l’embroche sur ma queue bandée. Waouh ! Qu’elle est mouillée et chaude cette chatte…

Comprenant que je veux la prendre un peu à la sauvage, ma femme place ses jambes sur mon dos pour mieux me retenir en elle. Je fais de lents mouvements de va-et-vient, sortant à chaque fois de sa chatte pour mieux la reprendre ensuite.
Je sais pour la pratiquer de manière intensive depuis quelques années, que si je continue ainsi, Camille ne va pas tarder à jouir. D’autant qu’elle exprime la montée de son plaisir avec des gémissements de bonheur de plus en plus forts.
Soudain, elle exprime bruyamment sa jouissance, m’enserrant entre ses cuisses à me froisser une côte ! Jamais elle n’a joui avec autant de violence. Alors que je me retenais déjà depuis quelques temps, je me lâche en déversant au fond de sa chatte d’importantes rasades de sperme. Waouh ! Que c’est bon !

Pendant que nous récupérons un peu, je tends l’oreille pour deviner ce qui se passe dans l’autre cabine : rien, pas un bruit. Quelques minutes passent… et soudain nous entendons Clémence dire à Cyril :
- Vas-y doucement ! Tu es trop gros mon salaud pour me mettre dans le p’tit trou comme çà sans y mettre de gel !

Je ne sais pas ce qu’ils ont pu faire avant, mais là, ils sont partis pour une sodomie. Pour avoir aperçu le sexe de Cyril, je sais qu’il va bien lui dilater la rondelle… tant il est gros et long : Etonnant pour un mec aussi mince !
Quant à Camille et moi, nous nous enlaçons et nous sombrons presque aussitôt dans le sommeil.

Le lendemain matin, au cours du petit déjeuner, nous évoquons notre soirée coquine en plaisantant puis nous reprenons notre navigation.

Quand le soleil est déjà haut Clémence et Camille vont prendre le soleil sur le sundeck. Il faut en profiter, le soleil est éclatant. J’irais bien les rejoindre mais Cyril me passe la barre pour un bref cours de pilotage. En ligne droite, c’est facile mais lorsque je dois manœuvrer, c’est un peu plus complexe…



La journée se déroule calmement, les passages d’écluse se succèdent et comme nous sommes dimanche il y a pas mal de monde sur les rives du canal.
De temps à autre, un héron ou une grue cendrée ou même un vol de canards s’élance depuis les roseaux… et vont se poser un peu plus loin…
Bref, c’est bucolique !



La soirée du dimanche ressemble à celle de la veille, après le repas tardif (la nuit tombe déjà), chaque couple regagne sa cabine pour y faire l’amour.
La vue de nos deux femmes en bikini plus que réduit toute la journée, le contact d’une chair gorgée de soleil au cours du repas, nous ont échauffé les sens et lorsque je rejoins Camille, ma queue est déjà bandée dans mon boxer.
Les premiers jours de la semaine passent ainsi, Cyril à la barre où je lui tiens compagnie, Camille et Clémence sur le sundeck à prendre le soleil généreux de ce mois de juillet radieux. Parfois, nous entendons un éclat de rire ! Dieu seul sait (ou le diable) ce que peuvent se raconter ces deux coquines qui sont de plus en plus complices.
Un après midi pendant la sieste sur le sundeck, ces deux coquines se sont déchaînées. Je les avais rejointes pour prendre également le soleil complètement nu. Je voulais retrouver la sensation du soleil sur tout mon corps comme je la connaissais pour fréquenter assidûment les lieux naturistes entre mes deux mariages.

Clémence est entièrement nue alors que Camille a conservé le string de son maillot. Lorsque j’arrive près d’elles, elles sont face à face en train de s’enduire d’huile solaire et en riant elles me disent :
- Viens, on va t’en faire autant ! Il ne faut pas bruler les parties sensibles !

Je fais glisser mes légers vêtements et je m’allonge nu, sur un des matelas de plage. Camille commence à m’enduire le torse en massant mes pectoraux et titillant les bourgeons de mes seins de ses ongles pointus. Clémence nous observe puis s’enhardit en s’occupant de mes jambes, du bout des orteils en remontant vers les cuisses.

L’effet des caresses huilées ne tarde pas à se manifester ! Ma bite est dressée sur mon pubis, raide… quand Clémence constate à haute voix :
- Mais… c’est qu’il bande ce cochon !

Et elle se penche sur mon bas ventre et engloutit mon gland dans sa bouche pour le sucer et titiller le méat. Nous avions déjà eu quelques contacts furtifs comme une main baladeuse sur les seins ou les fesses, mais cela n’était jamais allé plus loin entre nous lors de nos rencontres en club.
Camille la rejoint aussitôt pour masser mes bourses et agacer mon périnée.
Elle se penche encore et ces deux coquines me gratifient alors d’une fellation à deux bouches, se partageant tour à tour mon sexe. L’une suce le gland et agace le méat pendant que l’autre lèche la hampe et masse les bourses. Puis elles s’embrassent, échangeant des baisers de plus en plus torrides…
Waouh ! Que c’est bon !
Puis quand elles reprennent leur fellation, je me vide copieusement entre leurs lèvres, chacune déglutissant le jus que j’ai déversé dans leur bouche.

Quel temps après, je rejoins Cyril à la barre et lui disant :
- Vas rejoindre les femmes ! Elles t’attendent.

Je ne lui ai rien dit de ce qui l’attendait car les deux coquines voulaient en faire autant avec lui : lui faire cracher son sperme pour le partager.

Le lendemain, à un moment où je suis seul à la barre, Camille vient se coller dans mon dos et se frotte contre moi. Elle fait rouler ses petits seins, tout juste masqués par un mini soutif contre mes omoplates et, passant une main dans mon short, elle va saisir ma bite pour la masser. Elle me dit doucement à l’oreille :
- Ce soir, on change de partenaire, Clémence et Cyril sont d’accord !
Et toi ?
- Si vous vous êtes entendus, pour moi c’est d’accord…

Après la double fellation sur le sundeck, je ne voyais pas ce qui pouvait nous en empêcher.

Pour le repas du soir, nous changeons nos places. Camille est assise à côté de Cyril et Clémence est venue me rejoindre sur la banquette où elle commence aussitôt à se frotter de nouveau contre moi dès que nous avons achevé le dessert.
Elle porte un long sweatshirt ample largement échancré et par l’ouverture, je vois ses seins se balancer doucement. Soudain, elle prend ma main droite et la glisse entre ses cuisses. Surprise ! Elle ne porte rien ! Sa fourche est accessible.

En face de nous, Camille et Cyril s’embrassent et les mains de Cyril s’égarent dans l’ouverture de la chemisette de ma femme pour aller titiller les seins pris dans un léger soutif.
Après quelques préliminaires de plus en plus chauds, chaque « couple » gagne sa cabine pour continuer cet échange de partenaire.

Je me retrouve devant cette belle femme mature à la poitrine de rêve, ferme, ronde et opulente qui m’avait déjà fait fantasmer lorsque je l’avais aperçue et frôlée en club. J’allais pouvoir m’en repaître à ma guise.
En quelques secondes, nous sommes nus tous les deux !
- Regarde, je viens de raser ma touffe avant le repas !
- Sublime ! C’est très sexy !

Allongés sur le lit, je découvre le pubis glabre de Camille et d’un doigt je vais agacer son clitoris encore caché par le capuchon. Puis je descends encore : sa chatte est déjà inondée de cyprine. C’est vrai aussi que ma queue est bandée à mort tant j’ai envie d’elle !
C’est d’une longue poussée lente que je prends possession de cette chatte humide et chaude.
Une fois que je suis bien au fond, je savoure quelques instants cette saillie avant d’entreprendre le va-et-vient qui nous fait grimper vers la jouissance.
Clémence part la première en exprimant à haute voix son plaisir. Après quelques instants où elle retrouve son calme, je reprends mes mouvements dans sa chatte pour prendre mon plaisir à mon tour.
- Non ! Ne vient pas comme çà ! Viens finir entre mes seins ! je sais que tu en as envie !
- Tu crois ?
- Ne dis pas le contraire… je t’ai vu plus d’une fois lorgner mes seins avec un regard plein d’envie…
- C’est vrai… j’ai fantasmé plus d’une fois sur ta poitrine… Camille n’est pas aussi bien pourvue…

Je me retire et en me plaçant à genoux au dessus de son torse, je mets ma bite entre les seins de Clémence qui les presse dans le sillon mammaire comme dans une gaine chaude. Il ne me faut pas de longs moments pour cracher quelques beaux jets de sperme dans le cou et le bas de la figure de la belle !

Pendant ces deux semaines, les deux femmes tirent chaque soir au sort le partenaire de la nuit… mais l’étroitesse relative des cabines fait qu’il n’y a jamais eu de partie carrée. Pour cela, il nous faudra attendre un peu.

Cela s’est passé au mois d’août chez Clémence et Cyril dont les deux fils étaient en vacances avec des copains…
Cette croisière fluviale nous avait fait passer du mélangisme à l’échangisme.
Tous les quatre, nous préférons l'intimité d'un salon cossu ou d'une belle chambre avec un vaste lit.

Les avis des lecteurs

Bravo très belle histoire,toute simple,mais bien racontée
très douce et très excitante.
Luce



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Vacances au fil de l'eau
Histoire sexe : Une rose rouge
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