Titre de l'histoire érotique : COLLECTION TABOU. Coup de Foudre. (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION TABOU. Coup de Foudre. (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2018 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION TABOU. Coup de Foudre. (2/2)
Incroyable, à la soirée choucroute du club de foot, je danse avec Véronique femme de mon âge qui travaille à la boulangerie et avec laquelle je me trouve en osmose, quoi que ni l’une ni l’autre ne somment lesbiennes.
Je suis dans mon bain quand mon portable sonne.

• Jennifer ?
• Oui, Véronique, tu avais mon numéro.
• Oui, tu me l’as donnée à la boulangerie pour que je te rappelle concernant une commande l’autre jour, par chance c’est dans mon propre portable que je l’avais mis, es-tu bien rentrée ?
• Oui, Édouard voulait me faire l’amour, mais j’ai réussi à le coucher sur le canapé.
• Le mien c’est sur la moquette du salon qu’il s’est écroulé, je lui ai mis un cousin sous la tête, où es-tu ?
• Dans mon bain.
• On est fait pour s’entendre, moi aussi, j’ai hâte d’être à lundi, c’est drôle ce qui nous arrive, crois-tu au coup de foudre ?
• Oui, quand j’avais 16 ans avec un joli italien en vacances à Capri, mais c’est à 18 ans que j’ai fréquenté mes premiers garçons, j’ai vite compris que pour eux seuls nous enfiler leur sexe avait de l’intérêt.
• J’ai le même sentiment, mais tu sais, lorsque j’ai retiré ma petite culotte, je me suis aperçu qu’elle était trempée, ce sont des signes.
• Attends, je regarde, la mienne est au sol à côté de moi.

Je me penche, j’attrape mon string, le petit carré de tissu semble sortir de la machine à laver bien qu'à ce que je sens, il est à essorer.

• Ce doit être la première fois que je l’ai mise dans cet état, peux-tu faire une chose pour moi ?
• Tout ce que tu veux mon cœur.
• Caresse-toi avec tes doigts !

Je suis folle de lui proposer que l'on se masturbe bien que moi-même quelques fois quand je suis seule, je le fais.

• Si tu le fais aussi.
• J’ai déjà commencé, je suis vaginale, mais mon tout petit bouton aime que je le caresse.
• Le mien est bien plus gros, j’aime qu'il démarre mon plaisir, j’adore le pincer entre mon pouce et mon index.
• Aimes-tu avoir mal ?
• Non pas spécialement, mais j’ai toujours aimé jouer avec lui.

Nous nous caressons à distance, l’une l’autre, nous jouissons simultanément pour la première fois par téléphone interposé.
Un temps passe où j’entends Véronique avoir le même souffle court que moi.

• On est folle, tu te rends compte, on dirait deux midinettes qui viennent de trouver leur sexe pour la première fois.
• Je dois t’avouer que pour moi ça a été plus fort que la première fois avec mon mari, caresse-moi les seins, regarde comme ils sont sensibles.
• J’allais te le proposer, les miens semblent plus sensibles que les tiens.
• Je sens que tu les caresses, je vais jouir pour la première fois avec tes mains qui les empaument et titillent leurs pointes.
• Chérie, je suis malheureuse, ma batterie est à plat, cela va couper, je t’aime.
• Moi aussi petite Véronique.

Les derniers mots, j’ai peur de les avoir dits sans qu’elle les entende, putain de téléphone, il a coupé alors que je vivais les plus beaux moments de ma vie.
Je vais me coucher nue dans mon lit, mettant mon portable en charge pour être prête à recevoir son appel quand il sera rechargé.

Une, deux, vingt-quatre, trente-quatre heures avant de la revoir, à moins que demain matin, je me lève pour passer à la boulangerie simplement voir celle-ci ce n’était pas un feu de paille qui chavire mon cœur, avant d’aller à l’hôpital travailler.
Il est dix heures, quand j’entre dans la boutique, la patronne est là, mais Véronique brille par son absence.

• Bonjour, madame Agnès, Véronique est-elle là ?
• Non, exceptionnellement elle a pris son dimanche, hier elle allait à la soirée choucroute du club de foot.

J’ai envie de lui dire que j’y étais, mais il vaut mieux éviter les ragots et après avoir pris une baguette et des croissants, je rentre à la maison.
Il est onze heures quand Édouard émerge.

• C’est gentil, ma petite femme est allée me chercher des croissants, viens que je te câline.
• Va prendre ta douche et après t’ira nettoyer la pelouse, tu en as mis partout cette nuit.
• Je croyais que ces croissants étaient parce que tu m’aimes, mais je vois que tu as décidé que nous passions un dimanche à se faire la gueule, peu importe, j’ai promis à Alain d’aller voir son fils jouer son premier match en équipe première.

Il ne se souvient pas que je travaille, encore le foot, Alain était à la soirée et buvait au bar, il était seul à une autre table, sa femme s’étant sauvée, car c’est un ivrogne.
Il se dit même, par la même source de ragots, qu’elle est partie ayant abandonné mari et fils, nul ne sait où elle est, car il était violent.
Il n’empêche que je suis contente de voir partir Édouard, mes filles descendent tirant elles aussi une tronche pas possible, c’est fréquent chez elles quand elles se lèvent ayant peut dormir, elles prennent leur thé et sans me parler, elles vont se recoucher.
Je suis seule quand je fais le numéro de Véronique.
Hélas, c’est sa messagerie qui me répond, je vais bien être obligé d’attendre demain après-midi.

Je pars au boulot, quand je rentre fourbu, le débit de soirée se passe dans la même atmosphère surtout qu’Édouard a invité Benoît et son fils Gaétan, la bière recommençant à couler.
Les jumelles semblent ne pas aimer Gaétan, elles ne dînent même pas, j’en ai marre d’entendre refaire le match surtout perdu 6 à 0, je vais me coucher de bonne heure, rêvant à celle que je viens de découvrir.
Le matin, Édouard se lève avec une nouvelle gueule de bois, mais il est obligé d’aller au travail, cela m’évite de subir ses envies du matin surtout quand il sait que je suis de repos.
Quand je me lève, je vais évacuer les bouteilles de verre, bière et rosée de Provence sont passées de vie à trépas, ils ont été raisonnables, dans le frigo, je trouve une bouteille de champagne qui nous a été offerte par des amis que nous devions ouvrir pour le Nouvel An, il en reste un verre.
En apportant le verre dans le conteneur à côté de la mairie, non loin de la boulangerie fermée, je regarde si je ne vois pas Véronique, me refusant de passer devant chez elle, je retourne finir de tous ranger jusqu’à l’heure fatidique.

• Chérie entre, j’ai préparé des petits gâteaux avec un thé pour te recevoir dignement.

Nous avons tellement été dans l’attente de nos retrouvailles que nous restons plantés l’une face à l’autre.

• Tient un petit cadeau pour toi.
• Je reconnais le paquet, tu es allée à la boulangerie dimanche, mon cœur dit que je te manquais et que tu voulais me voir, chouette des macarons, j’adore cela, j’en vends souvent, mais j’en mange rarement à cause de ma ligne.
• Tu dis cela malgré ta taille de guêpe.

Je m’approche, elle ferme la porte, m’aide à enlever mon manteau et me fait pénétrer dans son chez elle, je me retourne la prend maladroitement dans mes bras et au moment où je pense l’embrasser, elle tourne légèrement la tête et je m’entends lui susurrer à l’oreille.

• Comment fait-on, sais-tu comment faire ?
• Mon cœur, je suis bien dans tes bras et j’ai beaucoup aimé me masturber en te disant ce que je me faisais, j’aimerais que l’on recommence, je serais plus à l’aise que nous nous caressions plutôt que ta main ne vienne sur mon sexe.
Tu dois me prendre pour une folle.
• Pas du tout, pourquoi salir nos sentiments par des gestes que nous aurions du mal à supporter, enlève ta robe, je veux te voir nue.
• Moi aussi, que tu es belle !
• Je peux te renvoyer le compliment, mets-toi sur mon canapé, je vais me mettre dans le fauteuil, tu vas suivre ce que j’ai envie de te faire mais que nous ferons chacune de notre côté en gardant nos distances.

C’est comme cela que je la vois entièrement nue pour la première fois.

• Passe ta jambe par-dessus l’accoudoir.

Je m’exécute écartant mes jambes lui montrant mon sexe complètement épilé.

• Tu es brune autant que je suis blonde, mon mec refuse que je sois épilée demande moi de le faire et demain j’irai à mon institut, ce sera une preuve d’amour pour toi.
• Alors si c’est une preuve d’amour fait le, même si cela doit fâcher Michel, depuis hier, il est devenu mon ennemi, j’aurais du mal à penser qu’il te touche.
• Ça c’est une preuve d’amour si tu es jalouse de mon homme, vas-y fait moi voir, comment je t’ai fait jouir hier dans notre bain.
• Si tu le fais, je le fais.

Toute l’après-midi nous jouissons à nous regarder en nous caressant, je quitte sa maison avec l’envie de revenir ou qu’elle vienne chez moi dès le lendemain, nous devons nous téléphoner si elle est de retour assez tôt après s’être fait épiler nos mains nous donneront du plaisir.
La seule distance que nous réduisons entre nous, c’est après avoir remis nos vêtements, nous nous donnons un baiser à pleine bouche au moment de nous quitter.

Même attente qu’hier, bien que chacune travaille et qu’elle m’envoie un SMS de chez son institut où elle est en ce moment.
Quand nous nous retrouvons vers 15 heures, elle a fait ce qu’elle avait promis et je me sens obligé de lui faire une proposition.

• Véronique, si tu appelais ta patronne pour lui dire que tu as besoin de vacances et que tu les quittes une semaine, j’en ferais de même pour mon travail, j’ai accumulé assez d’heures sup et nous sommes au complet dans le service.
• Oui, mais trois jours, que faisons-nous des enfants, ils vont croire que nous les abandonnons.
• Ils sont tous assez grands, pour une fois ils assumeront, pensons un peu à nous, hors de question de partir trois jours, je persiste huit.

C’est sur cette suggestion que nous laissons une lettre à chacun de nos époux, pour nous prouver que nous sommes prêtes à assurer cette indépendance naissante, chacune écrit la lettre de l’autre au mot près, nous réunissons quelques affaires et je démarre ma voiture direction le Sud et la liberté.
Huit jours de rêves où nous regardons la mer mais surtout en nous promenant main dans la main.
Au lieu de retourner dans nos maisons respectives, c’est notre avocat qui va voir nos maris pour enclencher nos divorces respectifs.
Nous avons décidé de rester dans la villa que nous avions louée pour quelques jours avant de nous installer dans notre nid d’amours que nous avons découverts en nous promenant et que nous avons réservé le temps de recouvrer notre liberté.

Je sais les difficultés qui sont devant nous, mais de la sentir dormir dans mes bras où moi dans les siens si cela devait s’arrêter nous semble impossible.
Nous savons la difficulté qui est devant nous de faire accepter que deux femmes dans la force de l’âge se soient trouvées, combien voyez-vous de couples féminins de nos âges se promenant dans nos villes en montrant, comment nous avons décidé de le faire notre amour à la vue de tous.
Quand je dis que nous nous promenons mains dans la main, ce sont les distances que nous avons réduites, nos corps se trouvent le plus souvent possible, moi qui étais une femme qui ne jouissait qu’une seule fois avant de m’endormir, sous ses doigts et sous sa langue, je jouis deux, même jusqu’à trois fois, ma chatte dégoulinant d’amour pour elle.
Il va sans le dire qu’il en ait de même pour elle, d’autant plus que son clitoris est comme la petite bite du garçon que je n’ai pas eus et qui démarre au quart de tour.
Seul jeu, un peu viril, elle aime que je le mordille et de son côté, elle aime me lécher quand je suis à quatre pattes, de mon vagin a mon anus où elle me fait une feuille de rose, me claquant les fesses.
Je n’ai pas encore franchi ce pas par simple pudibonderie, mais je suis certaine que dans les heures prochaines, je lui ferais connaître le plaisir qu’elle me procure.

J’ai trouvé du travail à l’hôpital de la ville où nous cachons notre bonheur, Véronique s’est inscrite pour suivre une formation d'infirmière, notre vie semble belle malgré les difficultés que nous allons rencontrer.

Nous n’avons qu’un point noir, nos enfants, nous leur avons envoyé à chacun et chacune une lettre leur expliquant pourquoi ce changement de vie et leur proposant de venir nous voir.
Nous leur disons que des lits seront toujours à leurs dispositions et leur expliquant tout l’amour que nous avons toujours pour eux.
À ce jour aucun, où aucune n’a répondu, mais nous restons persuadés qu’à un moment où un autre, un coup de téléphone, nous parviendrons, ou qu’ils sonneront à notre porte, nous annonçant leurs venues, en tout cas nous sommes sûrs d’avoir pris le seul chemin à la hauteur de notre amour.

• Mon cœur, à l’hôpital, nous avons un couple d’infirmiers dont le mari fait du football, ils veulent que nous venions à la soirée choucroute de leur club, qu’est-ce que je leur réponds, nous pourrions y faire des rencontres étonnantes.

Connaissant mon humour, le coussin qui est à sa portée, arrive dans ma figure.

Les avis des lecteurs

Merci as toi, ami canadien, tu sais quand ont écrit on suis un certain filigue et quelques fois ont ne se rends pas compte des travers que l'on prend...
Merci...

Histoire Erotique
Je suis d'accord avec vous John La Semelle, CHRIST71 , est un très bonne auteur et J'aime lire ses récits.
Par contre le côté bandant s'est évaporé lorsqu'il mêle lui-même la morale en parlent des enfants des couples séparés qui en déduction, devrons en vivre les conséquences. Je n'ai pu m’empêcher d'avoir cette réflexion.
Peut-être mon petit côté fidèle à mes êtres chers a t-il pris le dessus.

Jacques du Canada

Merci Lasemelle, même pensé...

Jan. 15, 2018. Le côté moral n'est pas la tasse de thé de John La Semelle, l'important état toute la jouissance reçue et celle que Véronique et Jennifer nous apportent. Bandant.

J'adore ces réaction au premier degré, dans mes délires, je prends un thème, la des lesbiennes et je cherche un cheminement avec du travail car je n'en connais pas.
En se moment, j'écris deux texte en même temps, l'un l'histoire d'une jeune fille atteinte de cécité qui va rencontrer un garçon à double facette, je n'en dis pas plus, le deuxième un réveillon du nouvel ans entre six couple dont la maîtresse de maison souhaite que ses invités soit déguisés, la encore, je ne vous dit pas comment ce couple va le faire et ce que cela va engendrer.
Sur HDS, j'ai déjà des textes acceptés jusqu'au 7 février et déjà 16 en attente de publications.
Mon principal plaisir, c'est de trouver ces idées pour plaire à tous, avec 3 000 lecteurs en moyenne par histoire, je pense ne pas mal y arriver, merci à mes lecteurs...

Histoire Erotique
Pour tout ceux que l’expérience tenterait, sachez qu’un problème de couple ne trouve pas une solution lorsque un des conjoint agit de la sorte.
Ici la madame a décidé a décidé de trahir son conjoint et après quelques temps de quitter sa famille sans aucune explication. Aucune discussion sauf une lettre pour justifier leur agissement.
Tout les couples vivent des hauts et des bas. Il faut en discuter pour que la situation s’améliore.
Le conjoint n’a jamais su qu’il était en compétition avec une autre personne. Les enfants n’ont jamais vu venir la disparition de leur mère. Ils se sentent trahis eux aussi par leur mère.
Elles vont vivre leur lune de miel et vont s’apercevoir avec le temps qu’elles sont bien seules sans famille. Les enfants ne voudront plus les voir et leur chambre d’amis va rester vide.
Bien bon pour eux! Quand tu te fou du monde le monde se fou de toi aussi.

Pourquoi faut-il que dans pratiquement toutes les histoires où 2 femmes tombent amoureuses l'une de l'autre, les maris/hommes soient systématiquement des connards qu'on ridiculise pendant toute l'histoire? Comme s'il fallait une justification à la découverte de l'attirance pour une autre femme...

Histoire Erotique
Belle histoire ! Bravo !



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION TABOU. Coup de Foudre. (2/2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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