Titre de l'histoire érotique : COLLECTION CANDAULISME. La maison du Bonheur (2/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION CANDAULISME. La maison du Bonheur (2/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION CANDAULISME. La maison du Bonheur (2/4)
• Adrien que fais-tu là, incroyable de se retrouver dans ce T.G.V.
• Rien d’anormal, je rentre à Brignais, je sais que tu étais parti aux U.S.A. moi, je suis notaire dans notre ville que je n’ai jamais quittée.

C’est ainsi que je retrouve Louis que j’ai connu dans ma jeunesse avant de partir pour les États-Unis où grâce à Dee, femme plus âgée que moi, j’ai fait doublement fortune.
Personnellement, en développant un concept de mon idée de boutiques de fabrication et de vente de pain français, mes boutiques portant bêtement le nom de « PAIN FRANÇAIS ».
Dee est décédée, mais avant son décès, elle a voulu que je développe mon concept à deux endroits en France, Lyon et Dijon.
Lyon, car c’est ma région.
Dijon, car elle semblait être attachée à un marin qui l’avait dépucelé à Houston avec qui elle avait correspondu jusqu’à ce qu’il lui dise qu’il cassait sa parole de revenir pour se marier en France.
La deuxième, car par notre mariage, je deviens l’héritier de sa fortune essentiellement composée d’une chaîne de magasins d’électroménager.
Nous filons à plus de 300 kilomètres par heure, pour la première fois pour moi, plus enclin à prendre l’avion que le train, de mes lointaines Amériques, j’avais entendu parler du T.G.V. et je souhaitais rouler à cette vitesse sur terre.
Nous filons à plus de 300 kilomètres par heure, pour la première fois pour moi, plus enclin à prendre l’avion que le train, de mes lointaines Amériques, j’avais entendu parler du T.G.V. et je souhaitais rouler à cette vitesse sur terre.

• C’est au fil de la conversation qu’il me fait une révélation, il a épousé Jennifer, la fille à cause de laquelle, j’avais abandonné mon pays.
• Non, tu sais les States, c’est loin et chaque fois que j’ai eu ma mère au téléphone, nous parlions de bien d’autres choses, à moins qu’elle ait voulu éviter de me retourner le couteau dans la plaie.
Je les ai revus trois fois, à mon mariage, Dee leur avait payé le voyage, une deuxième fois pour l’inauguration de ma première boutique, c’est d’ailleurs la seule fois que j’ai vu mon père en pleurs.
Voir son fils épouser son métier si loin de ses bases et réalisé ce qu’il n’avait pas réussi à faire, bien qu’il ait tenu toute sa vie de travail notre boulangerie à Brignais que son propre père avait créé.
• Oui, ils ont vendu pour un jeune couple qui n’était pas du pays, Jennifer se sert chez eux.
• Quand je suis parti, j’avais su qu’elle m’avait trompé avec Hugo, notre copain, comment l’as-tu récupéré ?
• Je vais être franc, je vais tout te dire, d’ailleurs, il y a prescription, tu as fait ta vie et nous la nôtre, voilà.
Quand tu es parti, toute la ville a été informée par une lettre envoyée par un corbeau à deux cancanières que Jennifer était ta maîtresse et que tu étais parti, car tu avais su qu’elle couchait avec Hugo ton pote.
Tu connais, comment c’était dans ces années-là, ils l’ont tous rejeté, les pestes ayant distillé leur venin, les vieilles la regardaient et la jugeaient alors qu’il était connu que certaines avaient la cuisse légère.

Je pense que ce qu’ignorait Louis, sait que sa mère faisait partie de ces femmes à la cuisse légère, un soir lors du beaujolais nouveau où elle était venue avec Louis, elle m’avait allumé, comme j’étais puceau, je n’ai pas compris, sur le coup, l’appel du pied.
Deux jours plus tard, mon père m’a demandé d’aller chercher une photo copie de l’acte de propriété de la boulangerie chez le notaire, il était absent, c’est sa femme qui m’a fait entrer dans une petite pièce, elle s’est assise derrière un bureau, après m’avoir moi-même fait asseoir sur un petit canapé face à elle.
Elle s’est mise à taper sur une machine à écrire.
Elle m’a dit qu’elle écrivait et qu’elle était en pleine inspiration, le temps durait, lorsque, semblant chercher ses mots en levant les yeux au ciel, je l’ai vu écarté ses cuisses, sur le coup, j’ai cru qu’elle ne voyait pas la posture qu’elle prenait, jusqu’à ce que je voie sa chatte, qui dans la pénombre semblait bien noire.
Certaines attitudes lors de la soirée sont remontées en moi, je me suis levée, je me suis penchée comme si je lisais par-dessus son épaule.

« Jules me regardait, comprendra-t-il que ma chatte mouillait d’envie pour lui, j… »

Elle écrivait des histoires de cul, était-ce de l’auto-suggestion, ce qui est sûr, c’est qu’elle a tourné la tête pour m’embrasser, elle m’a amené sur le canapé, elle avait une robe d’été croisée avec une ceinture, elle l’a défaite, se retrouvant nue.
Elle s’est agenouillée, j’étais en pantalon de survêtement, car à l’extérieur, j’avais mon vélo avec mon sac, j’allais à l’entraînement de football, le bout de ma verge sortait légèrement, je bandais.
Elle a fini de la sortir, elle s’est retrouvée dans sa bouche, je bandais plus fort que les matins.
Elle s’est agenouillée, j’étais en pantalon de survêtement, car à l’extérieur, j’avais mon vélo avec mon sac, j’allais à l’entraînement de football, le bout de ma verge sortait légèrement, je bandais.
Plusieurs fois, elle a joui, alors j’ai lâché les chevaux, mes jets de sperme ne s’arrêtaient pas, je crois que le restant de ma vie, je n’ai jamais autant vidé mes couilles.
Elle m’a embrassé et est retournée derrière sa machine, cinq minutes après le père de Louis est arrivé s’excusant de son absence, il m’a fait entrer dans son bureau et m’a fait mon document.
Je suis venue une dizaine de fois dans le bureau de sa mère, dix fois, je l’ai baisé, une fois, même sur la moquette, alors qu’elle s’était mise à quatre pattes, chaque fois, elle trouvait des motifs auprès de son mari quand il arrivait quelques minutes après.


• Jennifer a failli partir pour Lyon au risque de franchir le pas et de se retrouver dans des réseaux qui sévices dans certains quartiers, j’ai eu la chance de la rencontrer quand elle se dirigeait vers l’arrêt des cars.
Dans cet état, j’en avais mal, mais quand elle s’est relevée, a placé ses fesses sur la banquette, les écartant au maximum, je me suis un peu baissé et j’ai perdu mon pucelage.
Je me demande encore comment j’ai osé lui proposer de venir vivre avec moi en tout bien tout honneur, surtout dans ces temps-là, j’étais d’une timidité maladive.
Elle a accepté, les choses se sont faites naturellement, nous avons fini par nous marier.
• Et tes parents, comment vont-ils ?
• Je les vois peu, ils se sont retirés vers Montpellier, ils vont comme des personnes âgées.

C’est vrai, j’ai vieilli, ils ont vieilli, la vie avance, j’évite de regarder en arrière, il faut avancer coûte que coûte.

• Où vas-tu résider ?
• À Lyon, ma secrétaire américaine m'a réservé une suite dans un hôtel près du centre de Lyon, j’ai rendez-vous dans deux jours pour la pose de la première pierre près du stade des Lumières.
• Hors de question que tu ailles coucher à l’hôtel, Jennifer sera enchantée de te revoir, elle va te faire de bons petits plats, tu dois avoir perdu l’habitude de manger de la bonne bouffe, n’oublie pas que Lyon est la capitale de la gastronomie française.
Elle te fera des œufs en meurette, j’ouvrirai une bouteille de Côte Rôtie de derrière les fagots.
• C’est du Bourgogne.
• Non, c’est un vin de la vallée du Rhône, en remontant vers Dijon, après les vins du Lyonnais, il y a les Beaujolais, la côte chalonnaise et la côte dijonnaise en gros.
Je vais lui téléphoner.

Il se déplace et à l’aide de son portable, il appelle Jennifer, j’espère qu’elle va refuser, revoir la fille de vos vingt ans, vingt ans plus tard, j’ai peur de retrouver une petite boulotte bien que Louis ne m’ait pas parlé de la naissance de son successeur, ont-ils des enfants ?

• Je ne croyais pas que de lui dire que tu es de retour la mettrais autant en joie, elle est partie mettre des draps dans la chambre d’amis.

C’est comme cela qu’à la sortie de la gare de TGV, je retrouve l’amour de ma jeunesse, celle à cause ou plutôt grâce à qui, j’ai fait fortune aux U.S.A., mais surtout en grande partie grâce à Dee, ma femme.
Les traits vieillis, mais loin de la bobonne que j’avais peur de retrouver quand Louis m’a proposé de venir habiter dans cette grande maison au centre du village et qui nous faisait peur quand nous étions enfants tellement elle était massive.
Jennifer doit faire du sport pour garder cette ligne, j’aime l’argent que j’ai gagné, mais je préférerais qu’elle ne m’ait pas trompé et qu’en ce moment nous ayons repris la boulangerie familiale, moi au fournil et elle dans la boutique nos deux enfants dans ses jupes.
C’est drôle la vie, quand nous passons devant la boutique, elle a été complètement refaite, la devanture est plus moderne, c’est drôle, car je prends conscience que si tout s’était déroulé comme je viens de le penser, mes enfants seraient bien grands pour se planquer dans les jupes de leur mère.

• Jennifer, Louis m’a dit que tu te servais toujours dans notre boutique, je vois que la devanture a été rénovée, j’espère qu’ils ont gardé le four à bois de mon grand-père.
• La façade et la boutique ont été refaites, mais le fournil est resté tel quel, simplement un coup de peinture.
• Heureusement, j’ai bâti mon concept de boutique aux États-Unis sur les plans du four à bois, certes, plus long pour la fabrication, mais deux fois plus efficace sur la qualité des pains, nous privilégions la qualité, aux gains faciles, nous nous y retrouvons par le nombre de pains vendu.
J’étais parti avec des photocopies des plans que mon aïeul avait dessinés, par endroits les traits étaient un peu effacés, mais grâce aux techniques modernes de numérisation, nous avons réussi à tout retrouver.
• Tes boulangeries à grande échelle seront faites sur ce concept, au téléphone Louis m’a dit que tu en installais une à Dijon et l’autre à Lyon.
• Exact, avec de bonnes farines qu’il me reste à aller négocier près des minotiers français, je pose la première pierre demain pour celle de Lyon.
D’ailleurs, je vous invite à venir tous les deux, surtout pour le vin d’honneur, ma secrétaire a retenu une salle dans un restaurant voisin qui va nous servir du champagne.
• Jennifer, toi qui as du temps, tu conduiras Adrien, je serais venu, mais j’ai des clients à l’étude, je suis parti deux jours à Paris, il faut que je rattrape le retard que ce voyage m’a fait prendre.

Nous passons une soirée tranquille, la maison est comme je l’ai toujours connu, ma chambre est spacieuse, dans la nuit, j’entends de petits bruits, il doit, il y a des souris qui se promènent dans les murs.

• Adrien, que fais-tu, inutile avec moi de reprendre notre relation là où nous l’avions laissé, tu as un peu trop bu, n’oublie pas que je suis mariée à ton copain, la seule chose que je t’avouerais, c’est que je ne t’ai jamais trompé.
Ce sont de mauvaises femmes qui ont fait courir le bruit, car plusieurs fois, j’ai croisé Hugo et comme c’était un de nos copains, je l’embrassais.

J’éclate de rire.

• Adrien, un copain, tu rigoles, je pense que c’est toi qui l’as dépucelé, quand il était jeune, nous ne l’avions jamais vu avec une fille, il a fallu que tu tombes très bas pour accepter de partager sa couche, j’espère qu’il te baise bien, du moins mieux que moi.
• Tu as raison, nous baisons comme des bêtes, la nuit dernière, tu serais venue dans ma chambre, tu aurais vu, comment il m’a éclaté, il m’a baisé pendant des heures, ce matin, tu as dû remarquer mes yeux au milieu de la figure, c’est normal, depuis deux jours qu’il était parti.

Il est vrai que j’ai essayé et que je le suis fait rembarrer, dommage, même dans la voiture, j’aurais remis le couvert.
Comme la veille, soirée pénarde à trois à nous remémorer le passé, vers 21 heures, Louis nous quitte pour retourner dans son bureau et à 22 heures, je monte aussi pendant que Jennifer débarrasse succinctement les coupes et les deux bouteilles de champagne vides que j’avais récupérées au cocktail...

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