Une hôtesse parfaite - Suite

- Par l'auteur HDS Trixie -
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Une hôtesse parfaite - Suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une hôtesse parfaite - Suite
Le reste de la matinée se passa en visite des ateliers de fabrication des différentes spécialités pharmaceutiques. Tous ces messieurs se retrouvèrent pour le repas de midi auquel je fus conviée.À toute vitesse, je retournais à mon bureau et enfilais un chemisier sous ma veste noire, et mis un string au cas où ma jupe s'ouvrirait trop... Au retour du déjeuner, le « Grand Jean-Paul » me dit de passer dans son bureau.

« Bien Trixie, tu vas commencer par quitter ce chemisier, allez exécution... voilà c'est mieux ainsi ! Et j'espère que tu n'as toujours pas de culotte ! Écarte un peu les pans de ta jupe... mais si, elle en remit une... approche que je la quitte !! Voilà, là aussi, c'est mieux... C'est au cas où Ndoumbé solliciterait à te voir ! Mais nous avons une réunion assez sérieuse avec tous les responsables, cela devrait durer assez longtemps... Je crois que la fin est prévue vers 17 heures, il sera très occupé et ne devrait pas demander après toi ! Par contre, tiens cette SanDisk Pixtor Advanced 32GB, c'est celle qui contient le film du Sas... tu peux aller dans ton bureau et me le transférer sur mon PC portable... j'ai une petite idée... vers 18 heures nous emmènerons Ndoumbé à son hôtel, et il m'a dit que ce soir il nous invitait tous les deux à dîner... Tu n'as rien prévu comme je te l'avais demandé. Voilà, tu peux disposer, à tout à l'heure... Ah non ! Approche, laisse moi vérifier s'il ne reste pas un peu de sperme du vieux noir dans ta chatte, écarte tes lèvres... non... mes doigts sont secs ! »
La soirée va être torride pensais-je. Qu'est-ce qu'il mijote « le Grand » avec ce film ? Bon au boulot... exécutons le transfert. Une fois terminé, je lançais la vidéo sur le PC. Oh putain !Oui, effectivement, il pouvait se branler le Jean-Paul... Je m'excitais toute seule en visionnant mes prouesses... c'était chaud... Je trouvais Ndoumbé de plus en plus laid, de plus en plus grassouillet, de plus en plus vieux, et pourtant je sentais à nouveau le désir poindre dans mon bas ventre. Oh la la...c'était débile comme mon envie de ce monstrueux sexe noir crevait l'écran, c'était moi qui pilotais nos ébats... Ma respiration s'était accélérée, main se posa sur ma chatte... Me masturber... non !

Il me vint une idée... Je décrochais le téléphone... un moment après on frappa à ma porte, Gérald et Maxime entrèrent, ils s'approchèrent pour me faire la bise.

« Bonjour, mes chéris... vous avez pu vous libérer... j'ai besoin de vous un petit moment !
- Ben dis donc... c'est quoi cet habillement ?
- Putain regarde, on voit ses tétons...
- Oui, les garçons et pas que... j'écartais les genoux... ma jupe s'ouvrit en grand.
- Eh bien c'est en l'honneur de qui, que tu te balades ainsi dévêtue ?
- Marion est absente, « Le Grand » m'a embauché la journée, on reçoit un pharmacien congolais pour la signature d'un contrat... Je fais l’hôtesse... Je vais vous faire partager un petit film que se salaud a tourné... je vous avertis c'est brûlant !! Asseyez-vous de chaque côté de moi... allez fermer la porte à clé ! »
Ils ne se le firent pas dire deux fois, je cliquais sur le fichier, la vidéo démarra. On me voyait entrer dans le sas avec Ndoumbé.

« Putain, mais tu vas te changer avec lui ? - Merde, tu étais à poil, sous ta veste et ta jupe... - Oh putain la bite... elle est aussi grosse si ce n'est plus que la mienne dit Gérald... »
Leurs mains se posèrent sur mes cuisses, en parfait accord elles remontèrent le long des jarretelles,j'ouvrais largement mes cuisses pour qu'ils puissent atteindre ma chatte, ils ne quittaient pas l'écran des yeux tandis que leurs doigts s'activaient dans ma vulve que le désir avait trempée. Je dégrafais la boucle de ma veste et repoussais les pans sur les côtés pour bien leur offrir ma poitrine. De sa
grande main noire libre, Gérald me malaxait un sein, tirant sur mon téton, le faisant rouler entre son pouce et son index. Maxime s'occupait de l'autre lui faisant subir le même traitement.

« Salope, lorsque tu te regardes tailler une pipe au vieux ça te fait vachement mouiller... Putain tu as l'air de vraiment aimer sa grosse bite noire... ouiiiiii... c'est bien tu as sorti la mienne... elle aussi est noire... merde je veux voir ce vieux te pénétrer... t'entendre gémir de plaisir... Maxime, laisse la monter sur mes cuisses et s'empaler.... Oui... c'est bien là... descend doucement... tu la sens là ma queue... dis moi qu'elle te fait autant d'effet que celle de ce vieux salaud...attends ne te mets pas devant l'écran... Dis donc ma Chérie, tu es la reine de la fellation...
- Je sais dit Maxime que tu raffoles des gens de couleur, mais ça m'excite toujours autant lorsque je te vois te faire baiser par une grosse bite noire... Putain ça y est, le vieux te pénètre... Gérald regarde ! sa bite est presque plus grosse que la tienne... Dis donc ma petite Salope, tu prends vraiment ton pied»
Il me semblait que dans leurs propos, il ressortait une pointe jalousie... je pouvais profiter des leurs corps d'athlète... ça me plaisait de les rendre jaloux. Cela m'excitait encore plus de me voir baiser par un vieux noir, laid et bedonnant, à la bite monstrueuse devant mes deux amants. Je tressautais ardemment sur le gros sexe tendu de Gérald et en hoquetant de plaisir, je leur donnais l'explication..

« Au début, j'ai accepté... car le « Grand Boulier » m'a promis une prime de fin d'année super conséquente si on obtenait le contrat... Puis au fil de... la... journée ma libido a prit le dessus... et dans le sas...vous voyez... je... je n'ai plus pu résister... Ooooohh putain Gérald ta queue me fait un bien fou... Je dois vous avouer que je lui ai donné du bois bandé et que j'en ai pris aussi...»
Sur l'écran, on me voyait de dos, j'étais empalée à fond sur l'énorme sexe noir et mon bassin se mouvait d'avant en arrière, mes hanches tournoyaient autour du pieu solidement ancré dans mes entrailles... Sur ses genoux, je me penchais en arrière, Ndoumbé me retenait par les hanches, ma chevelure blonde s'étalait sur le sol, la caméra zooma sur ma tête renversée, j'avais les yeux révulsés de jouissance et ma bouche grande ouverte laissait échapper un cri muet. Le pharmacien congolais penché sur ma poitrine, léchait, suçait, mordillait mes mamelons... sa grande bouche aux lèvres roses aspira mon aréole et le tiers de mon sein disparu dans sa cavité buccale, sans discontinuer des petits cris étouffés sortaient d'entre mes lèvres.

« Ben dis donc ma petite Salope... Putain...il te met un doigt dans le cul... Il t'a sodomisé...demanda Maxime que je masturbais ardemment.
- Noooonnn... Je...Gérald... je... vais jouir. Comme sur l'écran, le plaisir déferla dans mon corps... Ma paroi vaginale se contracta plusieurs fois avec force sur l'énorme phallus noir de Gérald...- Oooohhhh putain moi aussi.... j'éjacule... »
Il me meurtrit les seins et lâcha sa semence... ils avaient toujours les yeux fixé sur la vidéo.

« Heyyyy... Salope, tu vas lui retailler une pipe ? Me demanda Maxime... Viens ici me faire la même chose, je suis au bord de l'éjaculation... ! »
Une fois Maxime soulagé, je leur expliquais qu'a 18 heures , Boulier et moi irions accompagner Ndoumbé à son hôtel, et qu'ensuite, il nous offrait à dîner...

« Si Boulier tourne encore un film... tu nous le montrera... Ils vont sûrement te baiser ensemble... dit Gérald en éclatant de rire... »
Ils m'embrassèrent tendrement et retournèrent au boulot.

17 heures 30 précises, le téléphone sonna.

« Trixie, tu peux nous rejoindre dans mon bureau...avec mon PC portable... »
J'enfilais mon trench rouge et me dirigeais vers le bureau « du Grand ». A mon entrée, Ndoumbé fit pivoter son fauteuil pour me faire face, Boulier se précipita derrière moi pour m'aider à ôter ma gabardine. En me la quittant, il me rabattit les bras dans le dos, ce qui fit jaillir mes deux seins hors de ma veste. Un large sourire fit remonter les bajoues du vieux pharmacien noir.

« Mademoiselle Trixie est une hôtesse hors pair, elle a su utiliser tous ses trésors pour me satisfaire... vous avez là, une secrétaire parfaite et dévouée, n'est ce pas Monsieur Boulier ! J'espère pouvoir l'apprécier encore plus au cours de la soirée... Mais il est tard... Si nous allions à mon hôtel, vous pourrez me faire visionner dans ma chambre le petit documentaire dont vous m'avez parlé.
- Merci, de ces compliments, vous me flattez monsieur Ndoumbé... je suis touchée...
- Mais non Trixie... vous êtes merveilleuse... en tous les domaines... et puis vous pouvez m'appeler Luzolo... ça veut dire Amour en congolais... et vous savez... tous les hommes du Congo ont beaucoup d'amour à donner...
- Oui, allons-y, Trixie, vous conduirez... Nous allons en ville... il y a un peu plus de vingt minutes de trajet pour arriver à l'hôtel Mercantor, on prend la voiture de fonction, tenez les clés. Mais avant buvons un café... Trixie donnez nous à tous un peu de cette potion magique... Je trouve qu'il n'y a que vous qui savez préparer ce nectar... qui revigore les sens »
Obéissante, j'ajoutais discrètement dans leurs tasses une cuillère de bois bandé, et une demi pour moi... La conversation roula ensuite sur divers sujets... au bout dune heure, « Le Grand » donna le signal du départ.
Il faisait un grand soleil, pour conduire, je quittais mon trench. Il fit monter Ndoumbé devant, je m'installais à la place du chauffeur... ma jupe s'ouvrit jusqu' à mon mont de vénus, offrant au vieux noir une vue splendide sur ma chatte. Je lançais le monteur, et mis ma ceinture... j'accrochais la fermeture de ma veste et je sentis le clip de ma tunique s'ouvrir. Luzolo s'en aperçu, mes yeux se portèrent sur sa bite, elle était de nouveau énorme. Une pointe de désir me tordit le ventre. J'avais pourtant joui deux fois dans la journée... Le bois bandé était efficace...

La main gauche de Ndoumbé se posa doucement sur mon genou... je sentis ses doigts caresser le nylon de mon bas, ils remontaient lentement le long de ma cuisse... vers mon sexe dénudé.

« Non, non Luzolo... dis-je à mi-voix... je conduis...
- Oui, mais c'est tentant... votre chatte attire ma main comme un aimant...
- Que se passe-t-il ? demanda le grand Jean-Paul... en passant sa tête entre les sièges - Rien, rien... Monsieur Luzolo me complimentait sur ma lingerie... il voulait la voir, car il veut offrir la même à sa femme !
- Ohhhh oui, je vois... Eh bien Trixie... Monsieur Ndoumbé est notre client... je pense que l'on se doit de satisfaire toutes ses demandes...
- Toutes mes demandes et tous mes caprices Monsieur Boulier ?
- Oui... Monsieur... dans la limite du raisonnable ! Répondit-il en souriant...»
Conforté par cette réponse, je sentis que sa main commencait à tirer lentement sur le pan de ma veste, qui plaqué par la ceinture de sécurité cachait mon sein droit... le tissu glissa dévoilant le globe ferme, la caresse du tissu sur ma peau, avait érigé le téton brun qui surgit en une longue pointe dure. La main gauche du vieux noir se plaqua sur mon sexe... son majeur entra dans mon conduit vaginal, sa main droite malaxait mon téton... Il avait sorti son immense sexe qui se dardait vers le plafond...

« Putain, Trixie ce que tu es mouillée... je peux te tutoyer... Mais ça à l'air de te plaire que MonsieurBoulier assiste à nos ébats...je vois que tu surveilles ses réactions dans le rétroviseur !
- Oh oui, répondit l'intéressé, la tête toujours entre les sièges... Elle n'en a pas l'air, mais c'est une petite garce... Elle aime faire bander les hommes, elle adore se faire désirer... je pense que vous avez eu un aperçu de ses talents. »
En disant cela, Boulier avait attrapé le pan gauche de ma veste et dénudé mon autre sein.
Nous étions en ville, je ne pouvais pas rouler vite... c'était en plus l'heure de sortie du travail, il y avait pas mal de monde sur les trottoirs... Je ne pouvais pas réagir... Je roulais dans une rue étroite à sens unique et à une seule voie.
J'étais obligée de concentrer mon attention sur les deux-roues qui circulaient autour de nous, ma vitre était à moitié descendue. Un feu rouge m'obligea à stopper.

« C'est vrai ce que dit Monsieur Boulier ? »
Et devant la dizaine d'hommes qui attendaient pour traverser, Luzolo défit rapidement l'attache de ma ceinture de sécurité... qui s'enroula sur le montant de la porte. Le manège ne passa pas inaperçu par la moitié des piétons, qui oublièrent de traverser. Le feu rouge s'éternisait... Ma jupe était toujours remontée au maximum, découvrait mes cuisses ou courraient les lanières du porte-jarretelles et offrait ma chatte rasée aux regards des passants, j'étais pétrifiée... Mais le regard de tous ces hommes qui fixaient mes seins et mon sexe m'excitait, le bois bandé y était sûrement pour quelque chose...

« Luzolo, tu es incorrigible... enlève ton doigt de ma chatte...
- Oui, mais toi, c'est vrai... tu adores faire bander les mecs !! Tu mouilles... Laisse-les nous mater... Et puis tu sais, moi aussi ça m'émoustille, d'enfoncer mes doigts dans ta chatte devant une flopée de blancs ! Dis-tu pourras rester ainsi pour le reste du parcours... j'espère qu'il y aura beaucoup d'autres feux rouges...
- Ok, à condition que tu ne me touches pas en roulant, sinon on risque un accident... »
Le feu passa au vert, mais je ne pus pas avancer un homme s'était planté devant la voiture et trois autres s'étaient approchés de ma portière, alléchés par le spectacle. Ils se tripotaient à travers leurs pantalons, leurs bouches m'envoyaient des baisers...

« Salope, petite pute de blonde... Tu te laisses tripoter par un vieux fossile noir, tu mériterais qu'on te saute... pétasse... »
Je jetais un coup d œil à Luzolo et au « Grand », ils n'étaient pas très rassurés, ma main partit à la rencontre de sa queue noire qui pointait toujours hors du pantalon et avec un regard plein de défi envers les trois gars, je masturbais la vieille mais colossale bite de mon passager, Luzolo avait sortit ses doigts plein de foutre de ma chatte et les suçait avec délice... en les regardant d'un air narquois.

Ils s'approchèrent tout près de ma fenêtre ouverte.

« Salope, tu n'as pas honte te faire baiser par un vieux croûton noir, il pourrait être ton grand-père, il est tout fripé l'ancêtre... Tu es une vraie débauchée... une vraie petite pute... et tu te fais mater par l'autre derrière... Salope...
- Il est vieux et noir d'accord, mais vous avez vu sa bite, elle trois fois plus grosse que les vôtres... et je peux vous dire qu'elle me fait jouir comme une folle... Allez salut les petits morveux !! »
La voie était libre, le feu vert, je démarrais en trombe, les laissant ébahis par ce qu'ils venaient de voir. Nous arrivâmes à l'hôtel sur le coup de 19 heures. Le temps de faire les formalités, déposer les bagages, il était 20 heures.
« Allons au restaurant, dit le pharmacien congolais... je meurs de faim... J'ai réservé un petit salon, où nous serons tranquilles... »
Le serveur, un jeune homme à l'air timide nous installa à une petite table ronde dans un salon désert, je pris place à gauche du vieux noir. Une bouteille de vin blanc entière pour l'apéro, la tête me tournait un peu.

« Nous irons regarder tout à l'heure dans ma chambre, le petit documentaire sur la visite de ce matin que Monsieur Boulier à tourné... Au fait, Trixie, je te remercie de la réponse que tu as faite à ces hommes au feu rouge... c'est vrai ce que tu leur as répondu ?
- Oui... dis-je en rougissant un peu.
- C'est vrai aussi ce qu'a dis Jean-Paul... que ça t'émoustilles te faire désirer par les mecs, de les faire bander ?
- Oui... j'aime bien voir le désir dans leurs yeux lorsqu'ils me regardent...
- Bien, donne-moi ta main... là sous la serviette... tu sens comme ma bite est grosse... caresse la. C'est bizarre, auparavant, je n'avais jamais eu d'érections aussi fortes... ce sont tes petits jeux qui me font ça ! Mais j'ai éprouvé du plaisir lorsque les blancs m'ont regardé te tripoter tout à l'heure... on va recommencer ! Vous n'y voyez pas d’inconvénient Jean-Paul...
- Moi non... bien au contraire...
- Et toi Trixie... »
Depuis l'incident du feu rouge, une boule de feu se tordait dans mon bas ventre, sûrement les deux doses de bois bandé que j'avais ingurgité aujourd'hui et l'alcool bu n'arrangeait pas les choses. Je m'entendis répondre positivement à sa demande.
Aussitôt, sa main droite, écarta mes cuisses, positionna la jupe pour bien dégager mon sexe, son majeur inquisiteur s'y engouffra, après quelques pénétrations, il le retira poisseux, et le suça avec délice. Il me demanda d 'écarter le plus possible les pans de ma veste pour laisser apercevoir la moitié de mes aréoles... j'obéis...

« Parfait... Le serveur ne peut rien rater... ni en haut, ni en bas... il va pouvoir admirer ton anatomie magnifique ... Ça t'excites ? Tu veux jouer le jeu... jusqu'au bout...
- Oui, ça m'excite... tu l'as vu en me faisant un doigter... comme l'a dit Jean-Paul je suis une petite garce... ! Tu aimes comme je caresse ta grosse bite... sors tes couilles... !
- Je peux te caresser la chatte demanda jean-Paul. »
Le serveur arriva pour servir les entrées, la bienséance fait qu'il doit servir d'abord les dames... il passa sur ma gauche, je sentis son mouvement de surprise... mais il fit comme si de rien n'était...
Mais son regard revenait toujours sur mon entrejambe découverte... Il servit Luzolo... puis Jean-Paul... une bosse était en train de se matérialiser à hauteur de son sexe, il repartit à regret...

« Au prochain plat, il aura droit à un petit plus... dit Luzolo - Oui, quoi ? Demandais-je- Le bout de ton téton... au fromage les deux tétons ensembles... ce n'est pas difficile... ils ne demandent qu'a jaillir... et nous gardons le meilleur pour le dessert... »
Cela se passa comme prévu, à chaque plat un coup d'épaule et mes mamelons surgissaient... mes jambes étaient toujours écartées, ma chatte offerte à sa vue... le serveur ne cherchait pas à cacher son érection et lorgnait maintenant sans vergogne mon sexe dénudé et glabre... Il s'enhardissait même, en servant le dos de sa main frôlait mes tétons érigés.
Le dessert allait arriver... le garçon passa à nouveau sur ma gauche et s'immobilisa pour me servir, Luzolo fit tomber sa serviette, se tourna vers moi, me prit la main et me la posa sur sa bite tendue, je
le masturbais doucement calottant et décalottant l'énorme sexe noir. Le serveur figé n'en croyait pas ses yeux... Le vieux avança sa grande main noire, vers ma chatte, son majeur et son index pénétrèrent mon conduit intime qui laissait échapper un flot de foutre, je me renversais sur le dossier de la chaise... mes deux tétons jaillirent de ma veste... on aurait dit que le temps c'était arrêté... de longs soupirs sortaient de ma bouche... entre mes yeux mi-clos j'entrevoyais le serveur tétanisé. Je sentais que le plaisir montait, montait... mon corps fut pris d'un tremblement incontrôlable et je jouissais. Avec un râle de plaisir... ma main droite enserra fortement la grosse bite de Luzolo, ma main gauche saisi le sexe tendu du garçon à travers son pantalon, je sentis les soubresauts de son éjaculation... Il repartit à toute vitesse vers les cuisines rouge comme une pivoine.

« Putain ! Ça t'a plu Trixie... ouiiii continue à me branler, je vais éjaculer... prends, prends dans ta bouche... »
Je me penchais pour recueillir le flot de sperme qui gicla de l'énorme phallus noir, et l'avalais avec délice.
Le serveur revint, toujours rouge, pour servir les desserts, je n'avais pas mis de l'ordre dans ma tenue... mes seins étaient toujours dehors et ma chatte ruisselante offerte à ses regards. Il osait à peine me regarder...

« Alors, demanda Luzolo... ça t'a plu mon garçon ?
- Oh oui, Monsieur, Oh oui... Mademoiselle est vraiment magnifique, merveilleuse... il n'y a pas de mots pour qualifier sa beauté... j'en garderai le souvenir toute ma vie...
- Bon, dit Luzolo, tu veux un pourboire...
- Oui Monsieur, je veux bien...
- Tu peux caresser les seins de Mademoiselle Trixie... approche... voilà c'est bien fait rouler ses mamelons ente tes doigts, tire les... regarde comme ils aiment ça, ils ont doublé de volume. Trixie recule ta chaise... Allez petit, mets toi à genoux entre ses cuisses et régale toi avec son nectar...
- Je... je ne sais pas si elle voudra !
- Mais si... voilà... aspire bien son clitoris... bien... enfonce ta langue dans sa chatte... lèche bien...encore, encore... tu aimes ?
- Oh oui Monsieur...
- Hélas, mon garçon, les meilleures choses ont une fin... apporte moi l'addition... S'il te plaît. »
On repartit à l'hôtel et on se retrouva tous les trois dans la chambre du pharmacien noir. Boulier installa son PC.

« Vous voulez voir la vidéo de suite Monsieur Ndoumbé ? C'est votre habillage dans le sas... c'est très réussi...
- Oui, vous me faites une copie, sur cette clé usb cela me fera un super souvenir ! »
A table, les doigts de notre hôte, la situation inédite, cela m'avait fait jouir certes, mais le début de cunnilingus du jeune homme avait ravivé mon envie de sexe... J'avais déjà visionné le film au moins deux fois et j'en étais l'actrice principale. Les deux hommes installés devant le PC discutaient et avaient commencé à regarder la vidéo. Assise sur le lit, au bout d'un moment je soupirais bruyamment...
Luzolo se leva et se vint vers moi, Il me caressa la joue.

« Tu t'ennuies ma petite chérie... je vais m'occuper de toi... »
Il me poussa gentiment sur le lit, il se mit à genoux devant moi. Sépara doucement mes genoux, et ses mains se glissèrent sous ma jupe, il en écarta largement les pans. Les grandes mains noirescommencèrent une lente reptation sur mes bas... passèrent sous les lanières blanches, frôlèrent mon sexe bien épilé, caressèrent mon ventre sous la dentelle de la ceinture de mon porte-jarretelles, et firent sauter l'agrafe de ma jupe. Il la fit glisser sous moi, le long de mes jambes et la laissa choir sur la moquette.

« J'adore te voir seulement vêtue ainsi... tes jambes sont magnifiques et ton porte-jarretelles met ta chatte en valeur, tu as raison de l'épiler pour ne garder que ce petit triangle de poils... »
Sur ma jambe droite, ses grosses lèvres lippues remplacèrent ses mains, il déposa des baisers jusqu'à ce qu'il arrive, en haut du bas... et sa langue commença à me lécher la cuisse en remontant vers mon sexe qui devenait de plus en plus moite. Il bavait d'excitation... je sentais sa salive couler sur l'intérieur de ma cuisse. Son appendice buccal passa l'aine de ma cuisse, je frissonnais, mon vagin palpitait et attendait d'être empli par cette grosse langue rose, qui prenait son temps en léchant le pourtour. Ce fut d'abord son nez épaté qui se faufila entre mes grandes lèvres, puis elles furent écartées par ses deux pouces. J’eus un soubresaut de plaisir lorsque sa langue força mes petites lèvres pour pénétrer dans mon conduit vaginal... Avec son pouce et son index, il décapuchonna mon clitoris et la pointe de sa langue vint titiller ma petite excroissance rose, lorsqu'il l'aspira et que ses incisives la mordillèrent délicatement, ce fut comme si une décharge électrique me traversait le corps, je hurlais de plaisir.
Je tenais sa tête à deux mains essayant de positionner sa bouche aux endroits sensibles, là ou je voulais sentir sa langue. Il était très attentif... chaque fois que ses caresses me faisaient gémir, il les prolongeait, les appuyait jusqu'à ce que mon corps se tende en arc de cercle...
Jean-Paul avait cessé de regarder le film, il avait quitté son pantalon et se masturbait en nous regardant. Lorsqu'il entendit mon premier cri de plaisir, excité, il monta a genoux sur le lit à côté de moi. Ses mains s'activèrent à dégrafer le clip de ma veste, il se débrouilla de me l'ôter, je n'avais plus que mes bas et mon porte-jarretelles.
Il se pencha sur moi, sa langue força mes lèvres et se noua à la mienne, tandis qu'il me malaxait les seins, qui sous les attouchements des deux hommes devenaient de plus en plus durs. Il me pinçait assez fortement les tétons et les étirait sans ménagement, et sa bouche s'en empara. Il les suçait, les aspirait, les mordillait à tour de rôle, il engloutissait mes aréoles gorgées de sang...

« Ouiiiii, oouuuuuiiii mordille moi bien les bouts, juste les bouts... ouiiiii ainsi... continue... continue... Ooooohhhh que c'est bon.... »
Tout en continuant son merveilleux cunnilingus, Luzolo s'était déshabillé... je ne sais pas comment il s'y prit mais je me retrouvais les jambes largement écartées à la verticale, il était toujours à genoux. Je sentis sa langue qui quittait ma chatte et glissait vers mon petit trou intime ridé, elle lécha lentement le pourtour, et par petite touche, il en inséra le bout à l’intérieur, de la salive coula et son majeur entra doucement dans mon conduit anal, il enfonça entièrement son long doigt. Au bout d'une dizaine de va-et-vient, son index vint s'ajouter, lorsqu'il les sentit coulisser parfaitement, l'annulaire les rejoignit, mon ampoule rectale palpitait autour des trois intrus.
Je ne pouvais plus ni gémir, ni exprimer mes sentiments... Jean-Paul avait enjambé mon torse, et m'avait mis sa bite dans la bouche, me demandant de la sucer... J'éprouvais une telle sensation de plaisir et une telle envie de sexe que je m'appliquais à lui faire la fellation demandée...

« Bon, si nous passions aux choses sérieuses... regardez comme je bande et mes couilles sont à nouveau pleines de sperme...
- Oui, les miennes aussi répondit Jean-Paul...
- Eh bien, il vous faut les vider, dis-je en riant !
- C'est ce nous allons faire... ma chérie... Jean-Paul à vous l'honneur, couchez-vous sur le dos... laissez pendre vos jambes hors du lit... très bien... Trixie grimpe sur ses cuisses et laisse le, enfoncer sa queue dans ta chatte, ouiiiii... comme cela... Vas-y Jean-Paul, baise-la... enfonce bien ta bite... »Droit derrière moi, Ndoumbe se mit à mes caresser les seins, sa bouche se posa dans mon cou, sa langue me léchait les épaules, il me mordillait le lobe des oreilles.

« Je vais te sodomiser, petite Salope... me murmura-t-il J'en rêve depuis ce matin... Tu as déjà eu une bite noire aussi grosse que la mienne dans ton anus ? Je suis sûr que tu vas aimer...
- Oh oui... mon copain noir... a un phallus presque aussi gros que le tien ! »
Il me donna un baiser fougueux... apparemment satisfait que je veuille bien le laisser faire et me demandait de me pencher en avant sur le torse de Jean-Paul, qui me besognait avec force...
je lui obéis et lui présentais mes fesses ou mon petit trou palpitait comme s'il était avide d'avaler l'énorme pieu noir qui s'approchait...
Luzolo, cracha dans sa main et enduit son phallus avec sa salive, puis il en fit couler un long filet dans mon anus... Avec deux doigts, il écarta l'ouverture, son énorme gland mauve se colla à l'orifice béant.
Jean-Paul avait compris, sa bite enfoncée au plus profond de mon vagin,il cessa ses pénétrations pour permettre à l'énorme sexe noir de pourfendre mon rectum.
Le vieux noir poussait lentement, mais fermement, mon ampoule rectale se retourna, le gland disparu dans l'orifice. Il me tenait aux hanches à hauteur de mon porte-jarretelles, il enfonçait quatre ou cinq centimètres du rouleau de chair noire, puis les ressortait, recommençait en poussant plus loin la pénétration.
Jean-Paul m'embrassait à pleine bouche... Sous le plaisir que me donnait Luzolo, je lui mordais la langue. Je sentais le phallus gigantesque glisser de plus en plus profondément dans mes entrailles.

« Oouuuuiiii, ça y est petite Salope... je t'ai enfilé toute la longueur de ma bite... Tu aimes ça hein ?
Putain, c'est la première fois que je baise une blanche... par devant par derrière... Jean-Paul tu as bien mis ta caméra en route pour que je montre à mes copains congolais, comment le vieux Luzolo fait l'amour à une merveilleuse jeune blanche, blonde aux yeux verts... Tiens, tiens, tu la sens bien ma queue dans ton cul... »
Le bois bandé faisait son effet, cela se traduisait pour mes deux partenaires, par un léger priapisme, il leurs donnait une érection intense et prolongée et ce pendant plusieurs heures. Quant à moi, mes pulsions sexuelles étaient décuplées... Même en ayant joui trois ou quatre fois aujourd'hui... J'étais heureuse de subir cette double pénétration... Ils me besognèrent longtemps, Luzolo sentait qu'il allait éjaculer... Il se pencha sur moi...

« Je veux éjaculer dans ta chatte... cela transcende ma libido... peut-être que je vais t'engrosser !!
Non... ! Tu as pris la pilule... mais je peux rêver non ? Je peux rejoindre Jean-Paul ? »
J'avais déjà fait cette expérience d'une pénétration vaginale avec deux jeunes noirs... et l'aphrodisiaque ingurgité m'empêchait de lui dire non...
Il demanda à Jean-Paul de cesser ses mouvements, et tenant son pénis dur comme du fer d'une main ferme, il le fit entrer après quelques essais, dans ma chatte trempée et béante. Ils accordèrent leurs coups de reins... sans discontinuer je gémissais de plaisir.
Leurs respirations s’accéléraient, leurs coups de boutoir se faisaient plus rapides et plus violents... Ce fut Jean-Paul qui céda le premier.

« Tiens Salope, tiens... Ouuaaaaahhhh putain que c'est bon... tiens... Oh putain, je n'ai jamais joui comme ça !! Il faudra qu'on recommence... Il t'en reste encore dans ton flacon... c'est trop bon... ! »
Luzolo toujours en moi, attendit que Boulier ait fini d'éjaculer et me fit rouler sur le côté, couché derrière moi, son sexe comme un piston, me martelait encore et encore...

« Putain, je rêvais de te voir pénétrée par une bite noire et bien, je suis gâté... il y a la grosseur et la longueur... et je ne m'étais pas trompée petite Salope, tu adores les noirs ! Même vieux et laids... »
Ndoumbé souleva ma jambe gauche et enfonça plusieurs fois son membre rigide jusqu'à ce que ses testicules touchent mes fesses, puis il me saisit les nichons et les serra fortement. Mon corps se tendit en arc de cercle, j'explosais de jouissance criant mon plaisir... alors que je sentais les premiers spasmes de son phallus éléphantesque déverser son sperme chaud et visqueux.

« Regarde, regarde Jean-Paul ce que le vieux noir et laid comme tu dis, déverse comme sperme dans la chatte de la petite blonde... »
Trois giclées étaient parties au fond de mon vagin, il retira son énorme mandrin, laissant son méat au bord de mes lèvres.

« Merde c'est bon d'éjaculer dans ta chatte Trixe... Jean-Paul admire mon sperme du noir qui coule au bord de sa chatte, regarde bien, je vais le pousser à l’intérieur... Oh putain que c'est bon... tiens, tiens... il m'en reste encore... »
Il sortit sa queue poisseuse, se leva me la présenta, mes lèvres s'enroulèrent autour du mandrin noir pour le sucer.

Il était vraiment tard, après une rapide toilette nous prîmes congé.

« Bien, c'était parfait... je passerai demain, pour signer le contrat... et surtout pour dire au revoir à Mademoiselle Trixie... ! »
A suivre....

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Texte coquin : Une hôtesse parfaite - Suite
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