COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. La foudre (4/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. La foudre (4/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. La foudre (4/6)
Dans quelle déchéance mon accident de montagne m’entraîne, je suis revenu me faire prendre par la bite de l’homme sur la place de Colmar qui a été jusqu’à m’écraser son mégot sur l’une de mes grandes lèvres sans que je ressente la moindre douleur.
Par contre mon clito et l’intérieur de mon vagin s’enflamment au moindre attouchement.
Voyant un sex-shop, je m’arrête et la vendeuse ferme sa boutique, car il est midi.

• On est entre filles, je vous propose d’essayer certains-modèles que j’ai dans mon appartement, nous serons tranquilles, ma boutique est fermée jusqu’à 16 heures, si vous avez le temps, nous pourrions apprendre à nous connaître.
• Invites-tu souvent tes clientes à venir essayer tes godes ?
• Tu as raison, tutoyons-nous, ma réponse est très facile, si je calcule le nombre de femmes qui comme toi passe la porte de mon magasin comparé au nombre d’hommes, la possibilité de monter jusqu’à mon appartement est plus que limitée.
Environ 90 % des femmes que je vois sont avec leur mari ou plus généralement amant, ce que je leur vends le plus ce sont des articles sadomasochistes.

Elle éteint la boutique, je la suis dans son escalier, je bous, sa chute de reins me donne envie de passer ma main sur ses fesses, elle m’entraîne directement dans sa chambre et m’effeuille avec le plus grand soin.
Elle ouvre une malle et en extrait plusieurs godes, je me place les fesses sur son lit, elle va pour m’en introduire un.

• Qui t’as fait cette brûlure, tu es certaine que ce soit des godes que tu cherches, faut-il que je descende chercher des objets pour les femmes masochistes ?
• J’ai besoin de godes, pourquoi il existe des objets et des femmes qui en ont besoin dans leur sexualité ?
• Qui t’a fait cela ?
• Un homme qui habit sur la place près d’ici.
• Tu es allé chez grosse bite, il est connu ici, j’ai des clients qui vont chez lui et quelques clientes, mais elles se cachent et rare sont celles qui viennent acheter chez moi, Internet et les colis anonymes font beaucoup de mal à nos petits commerces.
Dis, tu as aimé quand il t’a brûlé ?

Je lui explique mon accident de montagne, ce que mon corps me fait subir depuis ce jour moi qui étais une petite fille sage avant.

• L’intérieur de ton corps est devenu super actif, alors que les abords de tes intimités semblent morts, je reviens.

Elle revient rapidement avec plusieurs objets dans ses mains.

• Commençons par tes seins, tu dis que tes fraises sont ultra-sensibles voyons jusqu'où !

Elle prend une aiguille très fine qu’elle désinfecte, elle la place sur le bout de mon téton et pousse.
Je pousse un cri strident la douleur étant intense.

• Voyons le globe de ton sein.

Elle prend une autre aiguille, la désinfecte et la place environ 5 centimètres plus haut, je la vois entrer, en moi, ressortir à l’opposé sans ressentir la moindre douleur.

• Regardons l’autre sein.

Elle recommence avec ma fraise puis mon sein même cri pour la première et aucune douleur pour la seconde, elle réitère l’opération et je me retrouve avec six de ces aiguilles, avec comme je le pensais seulement les pointes qui sont sensibles.

• Je vais mettre d’autres objets sur tes fraises, nous verrons si la douleur se transforme en plaisir, ce qui prouvera que la foudre a fait de toi une femme masochiste.

Elle enlève les deux aiguilles, un peu de sang coule, elle pose sa bouche et la suce l’aspirant même, immédiatement le plaisir démarre dans tout mon corps, je sens ma chatte commencer à couler.
Elle prend une petite pince qu’elle referme dans un mouvement rapide, je hurle deux fois plus, elle recommence l’opération méticuleusement sur son jumeau, la pince crocodile qu’elle referme est à deux doigts de me faire jouir.

• Voyons ta chatte, ma chérie, quelle partie est sensible et insensible, j’ai bien fait de monter un deuxième paquet d’aiguilles, tu es un phénomène dans ton genre, heureusement si j’étais sadique avec tes prédispositions, je serais une maîtresse femme, je ferais de toi une soumise.

Elle s’attaque à ma chatte en perçant mes grandes lèvres de part en part, du bas en remontant vers le haut, les cinq aiguilles qu’elle enfile, pénètre sans que je n’aie la moindre douleur.
Elle me regarde qu’aurait été son regard, si elle m’avait avoué, être une femme qui aime faire mal, car quand elle prend mon clito qui j’ai l’impression à encore grossi, elle le perce d’un coup rapide avec toute la dextérité qu’elle a acquise en peu de temps et un voile noir passe devant mes yeux.

• Et revient à toi, pardon si je t’ai fait souffrir, pardon, je te jure, j’ai enlevé toutes les aiguilles et les pinces, regarde, je t’ai mis un godemiché à la place dans ton vagin, je démarre le moteur, voyons ce que tu ressens.

Le plaisir monte en moi aussi fort que lorsqu’elle m’a piqué, mais les vibrations de ce sexe en silicone m’apportent un certain soulagement.
Toute l’après-midi, jusqu’au moment où je passe payer ces objets à sa caisse, elle me place huit godes de tailles ou à divers usages, je retrouve ma voiture avec des boules de Geisha dans la chatte qu’elle m’a offerte ainsi qu’un plug d’un diamètre de dix centimètres dans l’anus.
J’ai du mal à rejoindre l’hôtel, mais je finis par y arriver, les boules avec les virages rendant leur efficacité maximale et par trois fois je manque de partir dans les décors.
Arrivé dans ma chambre, je me couche sans avoir été prendre un bain comme à mon habitude, j’ai besoin de sentir l’odeur forte qui se dégage de mon corps que j’ai martyrisé toute l’après-midi, mais, ce qui est très bon, c’est que pour la première fois depuis que j’ai été frappée par la foudre, je dors comme un bébé.

• Jennifer prépare-toi, nous partons dans une heure.

Elle me réveille et tire le drap que j’ai sur mon corps.

• Qui t’as fait cela, tu es tombée sur un sadique, tes seins et ta chatte ont des marques de piqûres, même une brûlure, es-tu devenue folle ?
• Non, je suis très bien dans ma tête, depuis mon accident, regarde ce que la vendeuse m’a mis dans ma chatte.

Je prends conscience que j’ai subie tout ce que cette femme a bien voulu me faire sans connaître son nom, je tire sur la ficelle et les quatre boules qui sont en moi sortent l’une après l’autre en touchant mon clitoris et en me faisant jouir.

• Qui t’a enfilé ce plug dans l’anus, incroyable, directement un diamètre si gros, tu es un sacré phénomène.
• Perce-moi mes fraises et mon clitoris avec les aiguilles que j’ai achetées, j’ai très mal, mais j’adore.
• Nous irons à Genève, je connais une maison où un spécialiste va te poser des piercings.
• Comment crois-tu que Robin va réagir quand il va voir la transformation que sa femme à subit pendant nos huit jours de vacances ?
• Connaissant Robin, je vois mal, comment tu vas le conduire vers le chemin que ton corps t’oblige à prendre, l’as-tu appelé comme prévu depuis ton accident.

Un accident, certes, mais qui va croire que je me fais baiser et maintenant martyriser par des hommes ou des femmes simplement guidés par des pulsions que mon corps m’impose.

• J’ai complétement oublié.
• Tu lui diras que le réseau était inexistant, je le vois mal venir ici pour contrôler.

Nous rentrons et dans la voiture je suis obligé de me servir d’un petit gode pour me calmer, la sonnerie de mon portable se déclenche.
J’ai eu de nombreux appels et de nombreux SMS, tous de Robin, Véronique a vu juste, nous n’avions pas de réseau dans le secteur où nous étions.
Le dernier SMS date de ce matin.

« Je pars 3 jours à Serre Chevalier, j’avais traité avec la station pour un nouveau téléphérique pendant notre dernier séjour et la construction pose plusieurs problèmes. »

Les deux premiers parlent que Ludovic, son fils est là quelques jours avant de partir pour Paris, un autre parle de la surprise que je vais trouver et que si j’ai un problème, je lui demande le fonctionnement de son cadeau.
Quand Véronique me dépose, je trouve la maison vide, mais il a fait installer un Jacuzzi dans le salon d’hiver.
Robin me prend pour une idiote, je démarre l’appareil et me déshabillant, j’entre dans l’eau qui est assez chaude à cette époque et je profite du bain bouillonnant sans mes godes et plug, il va de soi.

• Jennifer, tu es là, je vois que tu as trouvé, comment te servir du cadeau de papa, cet hiver vous pourrez en profiter, je peux te rejoindre.

Je suis mal à l’aise, je suis entrée nue dans le bain bouillonnant et aucune serviette ne se trouve à porter, le plus grave, c’est que la musculature de mon beau-fils déclenche mes envies, il va s’asseoir à l’opposé du Jacuzzi et étend ses grandes jambes qui viennent toucher les miennes.
J’arrive à refréner le mouvement qui me pousse à lui sauter dessus, que va-t-il m’arriver si j’ai des pulsions irréfrénables pour tous les beaux gosses que je vais croiser dans les jours suivants.

• Ludovic as-tu des amies ?
• Des dizaines à la fac.
• Je m’exprime mal, as-tu une amie, une petite amie.
• Oui.

Je vois qu’il ment.

• Ludovic soit franc, je vois à ton regard que tu me mens, tu es puceau, même à dix-neuf ans pour un garçon rien n’est irrémédiable, il suffit de tomber sur la bonne personne au bon endroit pour devenir un homme.

Je fais un mouvement vers lui découvrant mes seins et lui prenant la bouche, je m’empale sur son pieu tendu au maximum le dépucelant…

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