COLLECTION VENGEANCE : Elle me trompe, je me venge. (1/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION VENGEANCE : Elle me trompe, je me venge. (1/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE : Elle me trompe, je me venge. (1/4)
La belle Aurélie, comme le disent ses amis, est ma femme depuis dix ans d’un bonheur toujours égal, jusqu’au jour où à la maison alors qu’elle est partie à son travail pour la matinée, je remarque que l’écran de son ordinateur est encore allumé, mais est déjà en veille.
Le tiroir où elle range ses affaires est ouvert et une feuille est apparente.
Je vais pour le fermer quand je vois « Mot de passe ».
E-mail « Adrien2212 ».
2212, je suis né le 22 décembre.
La Redoute « Redoute2212 » et de nombreux noms de sites toujours finissants par 2 212.
J’allais couper quand je m’aperçois, non, je cherche avec qui elle correspondait.
Rosana, sa meilleure amie semble avoir sa préférence.
Son dernier message.

« Je l’ai fait, je me suis connecté sur le site de rencontres que tu m’as donné et j’ai accepté la proposition d’un mec.
Il m’a envoyé un mail et m’a fait voir sa photo, il est très beau, je le rencontre cet après-midi après mon travail, dans l’hôtel du centre de Créteil chambre 12.
J’espère que comme tu me l’as dit, je vais m’éclater, car tromper Adrien, pourquoi pas, mais si c’est pour être déçu, je préfère revenir à la maison, même si je me morfonds tous les après-midis. »

J’ai quelques notions en informatique aussi, je regarde son historique et je vois le site où elle a trouvé son rencard.
L’après-midi je me rends à Créteil et je constate qu’elle a franchi le pas, car je la vois entrer dans l’hôtel.
J’ai failli l’intercepter, car si j’ai bien lu ce rendez-vous sera le premier et en l’empêchant, j’aurais pu comprendre pourquoi elle en est arrivée là.
Mais j’ai un problème, ma fierté, qu’elle ait eue une fraction de seconde l’idée de me tromper, est déjà pour moi une faute impardonnable.

Deux heures, je reste à quelques mètres de la porte de l’hôtel, quand je la vois sortir ayant immanquablement consommé son adultère, je suis cocu et j’ai beaucoup de mal à le digérer.
Je démarre afin de rentrer chez nous avant elle.

• Tu es là.
• Oui, je suis rentré plus tôt, j’avais mal à la tête, j’ai pris du paracétamol, je me sens mieux.
Et toi.
• Moi routine, après le travail, j’ai rejoint Rosana et nous sommes allés à Créteil soleil faire du lèche-vitrine.
• Tu as fait chauffer notre carte bancaire.
• Non, elle a acheté des chaussures, j’ai aussi failli craquer, mais je me suis souvenu que tu te plains toujours que j’achète futile, si tu penses que j’ai dépensé de l’argent vérifie notre compte.
• C’est bien, tu deviens raisonnable même si nos moyens nous le permettent.

Inutile d’appeler Rosana, l’alibi des chaussures doit avoir été programmé après qu’elle est allée à l’hôtel quand elle lui a téléphoné pour lui raconter comment l’autre saligaud l’avait prise de toutes les façons possibles et imaginable.
Deux heures à se faire baiser, cela m’étonnerait qu’elle se soit fait mettre un seul coup, le mec réussissant à se vider les couilles à dû se les assécher pour une fois qu’une salope répondait à sa proposition.

Le soir, nous nous couchons, elle semble rassasiée et reste sagement le cul tourné, je préfère, je l’ai baisé avant-hier sans savoir qu’elle projetait de me tromper à partir de ce jour, ma queue refusera d’entrer dans cette chatte qu’elle a irrémédiablement souillée.
J’ai une idée pour me venger et après la jeter, comme on jette un vulgaire mouchoir en papier sale.

Le lendemain, je monte dans mon grenier aménagé en bureau pour officiellement continuer une traduction d’une notice pour le fonctionnement d’un micro-onde français, texte d’origine qui m’est fourni par le constructeur en anglais et que je traduis en Espagnole et en Italien.
Ces traductions nous apportent de l’argent de poche comparé aux prix que je suis payé pour traduire des livres d’auteurs célèbre dans ces langues.
Aurélie sait qu’il faut éviter de me déranger dans mon travail demandant beaucoup de concentration, car un seul mot mal traduit et les quiproquos engendrés peuvent faire capoter toute une stratégie de lancement d’un livre, alors chaque fois que je monte, je ferme ma porte à clef.
Quant à Aurélie, elle travaille à mi-temps dans une boutique de fleurs comme tous les jours et je peux sans problème ouvrir sa boîte et lire ce qu’elle a écrit hier à Rosana avant de se coucher depuis que j’ai son mot de passe.

« Tu as été obligé de raccrocher alors que j’avais hâte de te dire ce qui s’est passé dans la chambre dès que le réceptionniste m’a confirmé que monsieur Léonard m’attendait, chambre 12, deuxième étage, l’ascenseur était en panne, je suis monté à pied.
J’avais l’impression d’être une pute qui allait rejoindre son client et le faîte de penser que ce rendez-vous aurait pu être un rendez-vous tarifé, j’étais toute mouillée.
D’ailleurs, dès que j’ai frappé et que je suis entré, je me suis bien rendu compte que l’homme que j’avais devant moi était gros et libidineux et qu’il m’avait menti en me montrant une photo d’un beau gosse.
J’ai voulu repartir, mais il m’a mis sa main sous ma jupe et a constaté que j’étais mouillé, tu veux que je t’avoue, je me suis agenouillé et j’ai sorti sa queue que j’ai sucée.
J’étais contente, celui que je pensais rencontrer soit en réalité cet homme obèse, je m’avilissais et j’aimais, plus je m’avilissais et plus j’aimais.
J’étais devenu la salope que tu m’as dit être devenue toi-même depuis que tu trompes Gaétan.
Quand il en a eu mare, il m’a jeté sur le lit comme si j’étais une poupée de chiffon, il a passé sa main et a arraché mon string et sans attendre mon consentement, il m’a sodomisé.
Tu sais moi qui refusais toujours de me faire enculer par Adrien, j’ai accepté sa grosse queue dans mon anus, il m’a fait jouir alors que je pensais cela impossible après le mal qu’il m’a fait en me pénétrant sans aucune précaution jusqu’à ce qu’il se vide les couilles, j’ai eu énormément de plaisir.
Tu me disais que cela t’arrivait quand tu te faisais mettre dans ton petit trou, je croyais que tu bluffais, mais je dois dire que tu avais raison.
Il m’a baisé comme jamais mon mec ne m’a baisé et j’ai fini au bout d’un temps qui m’a paru interminable, mais bien trop court à la fois à boire son sperme.
Ses couilles étaient tellement pleines que j’ai eu du mal à avaler, mais je te promets que sa verge luisait quand j’ai fini de le nettoyer.
Il m’a proposé de devenir mon Maître et que je fasse tout ce qu’il me demanderait.
Il doit m’envoyer un mail dans la journée de demain, car il a déjà une soumise et va regarder, comment il peut nous gérer.
Rosana, on mange ensemble demain soir, je te dirais s’il a accepté de s’occuper de moi. »

Je bous, elle me trompe et pense se soumettre à un homme vulgaire, mon ressentiment pour elle devient carrément de la haine, je veux la détruire, l’avilir, la mettre plus bas que terre avant de me séparer d’elle.
J’avais une idée de vengeance beaucoup trop douce pour cette salope et c’est à ce moment que j’ai su ce que j’allais faire.
Je retourne dans sa boîte mail et je remonte les derniers messages avant celui qui m’a appris qu’elle allait me tromper à l’hôtel près du centre de Créteil.
J’en trouve un où il y a la photo qu’il lui a fait croire, comment il était, si c’est cet homme qu’elle pensait rencontrer, c’est un vrai pourri qui l’a enculé et qu’elle a sucé, je prends conscience que sa perversité est plus profonde que je ne le pensais et j’ai un vomissement qui monte du fond de mon être.
J’ai l’adresse mail du dénommé Léonard aussi, je tente une manœuvre de mon propre ordinateur sous l’adresse mail d’Aurélie.

« Monsieur Léonard, je sais que vous avez baisé ma femme dans un hôtel du centre de Créteil.
Malgré l’anonymat que permet Internet afin que des hommes comme vous profitent de la faiblesse d’une femme surtout après plusieurs années de mariage où une certaine distance a pu s’établir, je suis à deux doigts de trouver où vous habitez et sachez que dès que je le saurais, le revolver que j’ai dans ma main va vous éclater la tête.
À moins que vous fassiez ce que je vais vous demander. »

Je lui donne une instruction et j’envoie le message, j’ai la chance, deux minutes après j’ai une réponse.

« Aurélie, je te donne la réponse à la question posée, il va m’être impossible d’accéder à ta demande, mes motifs sont personnels et tu comprendras, qu’il m’est impossible de te les exposer ici.
Par compte, ton cas m’a intéressé et pour que tu évites de tomber sur des mecs avec de sales pattes, voici l’adresse mail d’un ami lui aussi capable de t’apporter les compensations que ton mari est dans l’impossibilité de t’apporter, étant coincé, il s’appelle maître Sade voici son adresse mail.
Je l’ai contacté et il est content de te rendre service, la soumise qui était sous sa coupe vient de le quitter pour se marier avec un homme lui-même initié aux pratiques qu’elle aime, lui ayant été présenté.
Envoi-lui un mail, adieu. »

Comme je lui ai demandé et la peur inspirée a marché, car deux minutes après la fiche et le pseudonyme qu’il employait ont disparu.
Ce travail fait, je me rends à Créteil Soleil où j’achète un drap blanc et dans une boutique de vêtements chic un pantalon noir, chemise noire et nœud papillon noir.
Dans une autre boutique, j’achète une paire de chaussures elle aussi noire à l’Italienne.
Je retourne, dans mon antre, installer mes achats sans oublier les deux morceaux de gaze dont se servent les dentistes pour me mettre dans la bouche et modifier ma voix.
Je vais jusqu’à Pigalle où j’achète quelques affaires dans une boutique pour personne aimant le sado-maso, mais surtout une cagoule, des gants de cuir et une cravache.

Dès qu’Aurélie arrive, je fais ce que je fais presque tous les jours à un détail près, j’oublie d’embrasser cette bouche qui a sucé la queue d’un gros salopard, rejoignant mon grenier.
Il faut moins de dix minutes pour que je reçoive un message sur ma boîte mail sous l’adresse que j’ai créée préalablement.
Maître-Sade@hemail.com.

« Bonjour, Maître Sade vous avez été contacté par mon initiateur qui m’a aidé à franchir le pas dans mes envies, mes fantasmes et m’a dit que vous pouviez m’aider. »

Elle mord à l’hameçon, j’ai presque un début d’érection.

« Aurélie, c’est votre nom, du moins c’est comme cela que mon collègue vous a présenté quand il a pris contact avec moi. »
« Oui, il vous a dit la vérité Maître Sade ».
« C’est bien, je vois qu’il vous a bien briffé sur qui je suis et comment tu dois m’appeler, as-tu une webcam ? »
« Oui, Adrien m’en a installé une pour que nous puissions nous voir et nous entendre avec mon amie Rosana, il m’a appris à me connecter. »

Dire qu’elle donne nos vrais noms, mais il est exact que c’est moi qui ai placé sa webcam.

« Je vous vois Maître Sade, je vois que vous êtes bel homme, pourquoi cette cagoule. »
« L’anonymat doit être complet sur qui je suis, je suis peut-être ton voisin. »
« Si j’avais un aussi bel homme comme voisin, il y a longtemps que je vous aurais remarqué Maître Sade. »

Si j’avais un aussi bel homme comme voisin, il y a longtemps que je vous aurais remarqué Maître Sade.

« Tu me verras toujours devant ce drap blanc jusqu’au moment où je jugerais que tu as mérité de me rencontrer. »
« Bien Maitre Sade que voulez-vous que je fasse ? »
« Fais-moi voir ta chatte, mieux met toi à poil » …

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
j'ai lue avec beaucoups de joie vôtres récit " Elle me trompe, je me venge" et j'attend avec impatience la suite

Histoire Erotique
Les cartes sont distribuées, le Jeu peut commencer...... La lassitude et le manque de dialogue, sempiternels problèmes des couples... Hâte de lire la progression d'Aurélie en tant que Soumise...



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