Titre de l'histoire érotique : Chapitre 4 partie 1 - Jérôme ?

- Par l'auteur HDS Liospuman -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Chapitre 4 partie 1 - Jérôme ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Chapitre 4 partie 1 - Jérôme ?
Quentin

J'ai un véritable ami, un de ceux qu'on garde toute une vie et sur qui ont peu toujours compté peu importe la situation. Thibault n'est pas qu'un ami pour moi, c'est la famille, c'est le frère que je n'ai jamais eu.

Quand j'ai su qu'il partait avec moi en région parisienne pour ne pas me laisser seul, j'ai su qu'il était l'ami dont j'ai toujours rêvé et que jamais au grand jamais je ne voulais renoncer a lui.

Notre arrivée a Paris fut marqué par une forte pluie et une voiture de la société de mon père qui est venu nous chercher.
Ma vie a paris est rythmé différemment, Paris est une ville qui fulmine beaucoup plus que Lille. Les gens sont pressés, agressif et plutôt monotone. Mon Lille natale me manque. Ma sœur me manque, ma connasse de mère me manque, et même mon enfoiré de beau-père. Mais je n'ai pas vraiment eut le choix entre venir ou rester.
La cohabitation avec mon père est glaciale. Lorsqu'il rentre à la maison.... Enfin, s'il rentre. Le plus souvent, mon jeune papa n'a pas le temps de rentrer et reste au bureau ou va sauter des femmes. Je ne lui reproche pas de prendre son pied. Mais je ne vois pas à quoi cela sert que je vive avec lui si on ne se voit jamais. Les rares fois où nous sommes ensemble, il n'a rien à dire ou il me parle de rugby. A il faut savoir que mon père a jouer en pro. Il adore ce sport, mais a part ça, il n'a pas d'autre sujet de conversation. Si son entreprise ou mes cours. Le plus souvent, il ne s'attarde pas et part dans sa chambre.
Lundi dernier, je suis tombé sur son téléphone qu'il avait oublié sur le bar de la cuisine. En fouillant un peu dedans, j'ai vu qu'il était inscrit sur Badoo, Meetic, Tinder et plein d'autre site de rencontre. Il Tchat avec une dizaine de jeunes femmes, de 20 à 40 ans et leur dit des trucs si cochon que j'en rougis en les lisant. Mon père est un serial fucker....
Parfois, son mobile sonne et il part en coup de vent, je sais qu'il va sauter telle ou telle personne. Lorsqu'il revient, il est toujours débraillé, mais de super bonne humeur. Depuis que je suis enfant, jamais il ne m'a présenté une compagne. C'est un serial fuc... Je vous dis

À part tout ce bazar la vie a paris n'est pas si mal. Avec Thibault, nous profitons de visiter la ville, le Louvre, Versailles, la Tour Eiffel, l'opéra, les musées, les grands magasins. Dans quelque jour, nous allons faire notre entrée dans une nouvelle faculté. Heureusement que nos notes son excellant, cela m'a permis de choisir d'intégrer une école de commerce. J'ai été reçu a toutes les facs où j'ai candidaté. Pour mon père la meilleure, c'est l’université Dauphines, mais j'ai refusé au risque de croiser un certain Icham. À la place, j’intègre HEC. Cela fait la fierté de mon père qui me rappelle que lui aussi a fait HEC, que cela lui a permis de bâtir une entreprise puissante qui pèse des millions et qu'il l'a fait avec un minimum d'aide de son père.

En parlant de mon grand-père, je l'ai vue avant hier a l’entreprise, lors de l'assemblé général. Il m'a serré la main comme il le fait avec chacun des collaborateurs. Je ne suis même pas sur qu'il m'ait reconnu. Il n'est pas très loquasse et ne s’embarrasse pas de mots. Lorsque je dis que mon père est un presque inconnu, mon grand-père paternel lui, c'est totalement un inconnu. Cependant, il nous a toujours envoyé de gros chèque pour nos anniversaires et noël. Mais je ne l'ai vue que 2 fois en vrai dans toutes ma vie et hier était l'une d'elles. L'autre fois, ce fut lorsque mes parents ont divorcé, il était présent au tribunal soi-disant pour soutenir son fils, mais il avait le visage fermé et agacé.
D'ailleurs pendant l'assemblé général, son visage ne s'est pas desserré une seule fois, même quand ils ont annoncé une hausse de 24% des résultats généraux par rapport à l'année précédente. Au moment de quitter les lieux, il a félicité son fils mon père de manière très protocolaire avec une poignée de main bien viril. Puis il a salué tout le monde et est sorti. Je l'ai suivi pour lui parler.

- Grand père attend !

Il s'est retourné et m'a regarder comme si je venais de l’insulter.

- Jérôme suffira pour toi, ou Mr Lounes.

- ok, Jérôme.- Qu'il a t'il ? Tu n'as pas reçu ton cadeau d'anniversaire ?

- Mon anniv, c'est dans 6 mois grand.. Jérôme.

- Ok, eut alors ?....

- Je sais pas, ça fait longtemps qu'on s'est pas vue, tu ne voudrais pas qu'on déjeune ensemble. Il fronce les sourcils et commence à souffler légèrement. Il regarde son téléphone, me regard et finit par radoucir son regard.

- D'accord, je t'invite, tu veux manger où ?

- Au Mcdo,

- Pardon !!!

Il parait horrifié, mais finit par céder et nous voilà dans le mcdo. Il a du mal à commander alors je prends les choses en main et lui choisis un burger et une bière. Il s’assoit et parait hyper mal à l’aise. Il me le confirme.- Je n'ai pas l'habitude de ce genre d'endroit.

- Je vois ça ! Alors Jérôme dit moi tout.

- Pardon ? Tu veux savoir quoi ?

- Tout !!! Qui est mon grand-père ?

Il parait surpris de mon sourire et de mon entrain. Il essaie de faire genre.

- Mais pourquoi tu veux me connaître ?

- Parce que tu es mon grand-père !!!

Il parait encore plus surpris et finit par se détendre un peu. Une sorte de sourire apparaît enfin, mais très légèrement et de manière fugace. Je lui demande ce qui le fait sourire.

- Tu ressembles beaucoup à ton père au même age.

- À bon ? Moi et mon père, on ne se connaît même pas ! En plus, je le trouve distant, impénétrable, égoïste et sans sentiments.

- Il n'est pas sans sentiments, il est juste comme je lui ai appris à être. Si tu veux le comprendre, tu dois comprendre l'histoire de notre famille.

- Ok, je t'écoute, mais avant dit moi, c'est quand ton anniversaire,

- Pourquoi ?

- Et bien pour te le souhaiter.

Il sourit vraiment cette fois et me regarde avec un regard indescriptible.

- Je suis ton grand-père, je suis né le 24 janvier 1934, ici à paris. Mon père "ton arrière-grand-père" était un commandant dans l'armé française et ma mère une des premières femmes d'affaires. Elle est l'une des pionniers dans l'investissement. Mon grand-père maternel lui ayant laissé une coquette sommes dans les 100 000 francs.
- C'est pas beaucoup ça fait à peine 15000€ euros,

- Mon garçon à l'époque croit moi c'était une fortune,

- Ma mère avait décider d'en prêter au gens pour financer des entreprises ou des projets personnel contre remboursement et des parts de sociétés ou la propriété de leur bien. Très vite, elle quadrupler son argent tout en gagnant des rentes importante de toutes ses sociétés. Elle venait sans le savoir de créer un sorte de fond d'investissement. Malgré tout son travail elle continué a bien s'occupé bien de moi avec mes sœurs plus âgées.

- J'ai des grandes tantes,

- Non elle ne sont plus depuis longtemps.

- Désolé.

Il m'a regarder avec un sourit et a repris son explication.

- Après la guerre son mode de prêt dans les entreprises lui a permis de faire multiplier sa fortune par 1000 et son entreprise a commencés a peser plusieurs millions. C'est en 1947 que mon père est enfin rentré de la grande guerre. J'avais 13 et il était pour nous un héro et nous l'avons accueilli comme tel. Mais très vite nous avons découvert l'envers du décor. Mon père était un homme brisé par la guerre, alcoolique et violent. Il a pris la tête de l'entreprise de ma mère. En tant que femme elle avait bâti seule son entreprise, mais comme elle avait un mari, il était inconcevable qu'elle gère quoi que ce soit. Cet homme a commencé a dilapider toute sa fortune en soirée d'orgie et prostitué. Cependant ma mère était une femme très intelligente, elle a protéger sa fortune. En mettant en place un conseille d'administration d'homme pour superviser les actions de mon père. Ce dernier était fou de rage de ne plus pouvoir dépenser a son gré. Lorsqu'il rentrait à la maison, il trouvé tout les moyens a sa porter pour frappé ma mère ou mes soeurs. Mais Jamais elle ne lui ont laissé porter la main sur moi.

- Et ben, désolé, continue.

- Cela venait par vague, parfois il était normale et d'autre il se transformer en monstre. En 1952, je venais d'avoir 18 ans est des rumeurs circuler sur une affaire de traitre ayant collaborer pendant la guerre. Ma mère m'a proposer de me cedez l'ensemble de ses avoirs et toutes ses parts de l'entreprise. La police recherché tout les collaborateur et les traitres de guerre, les deserteurs. Mon père fut arrété et on découvrit qu'il avait passer les 9 ans entre 1939 et 1948 à collaborer avec les Allemands et n'a jamais vraiment fait la guerre. Il fut jugé et perdit tout ses biens. Je me suis toujours demandé si ma mère n'y était pas pour quelque chose dans le fait qu'on l'ai denoncé et arreter. Cependant, je ne lui en ai jamais voulu, cette homme était un monstre et il mourrut en miserable en prison d'un coup. Il a vécu par les coups et en ai mort. C'est presque poétique.

Je buvais ses paroles comme un enfant en classe d'histoire.

- Ensuite, ma mère a preferer que je quitte paris avec la fortune familiale, le temps qu'elle chasse tout soupson sur elle et mes soeurs. On ne pouvait pas tous quitter Paris sans atttirer l'attention des voisins et de la police. Cette époque était fortement marquer par les delations et la sucpision. Tout le monde sousponnait tout le monde d'être un collaborateur.

J'ai quitter Paris dans la nuit avec le chauffeur de ma mère. Nous avons rouler toute la nuit et nous sommes arrivé dans une immense villa a Nice que m'a mère avait acheter pendant la guerre en grand secret. J'ai passé 5 jours au lit malade comme un chien, j'avais un mauvais présentiment et il se confirma.

Il s'arreta les yeux dans le flou, c'est comme si il n'était plus la. Il regarder vers le comptoir du restaurant, mais dans ses yeux, je voyais autre chose. Enfin il regarder autre chose. Loin, trés loin devant lui. Aprés quelque minutes de silence, je rompis ce dernier.

- Et qu'est-ce qui c'est passé ?

- ...

- Jerome ?

- À oui, eux. Le samedi 30 août 1952 à 11h25, j'ai su que ma maison de famille avait été brûler par des personnes ayant soupçonné ma famille d'être des collabo et que .... et que .......

- Oui ?

- Et que personne n'a survécu. À 18 ans à peine, j'étais l'orphelin le plus riche de France avec une fortune de plusieurs millions de francs. Mon seul ami était le chauffeur de la famille qui m'a pris en main.

- C'est dur.

Il sursaute et me regarde rapidement. Il a remis son masque d'homme sans sentiment. Il redresse le dos, bombe le torse et prend son aspiration et me regarde droit dans les yeux.

- Q, je dois partir, j'ai un rendez-vous très importants dans 15 minutes

- Attends, je voulais connaître la suite et la naissance de papa et grand-mère. Elle était comment ma grand-mère Stp, tu ne peux pas repousser ton rendez-vous.

- Non, c'est trop important. Tu sais quel métier je fais ?

- Non !!! Tu fais quoi ?

- Viens avec moi, tu vas comprendre, par contre on parle plus de mon enfance.

- Ok, mais tu m'en reparleras plus tard ?

- Oui, oui allé, on y va.

Nous prenons sa voiture et nous voilà arrivé devant un building en verre. Le truc gigantesque en centre de paris et super futuriste. Nous entrons dedans et tout le monde salut mon grand-père. La secrétaire à l'entrée lui fait des petits clin d'œil et sourit. La secrétaire à l'entrée lui fait des petits clin d'œil et sourit. Nous pénétrons dans un grand bureau d'au moins 60m². Tout le mur du fond est en verre et donne sur une sublime vue de paris. La tour Eiffel, les champs de mars, Montmartre.

J'ai le souffle coupé, c'est tout bonnement magnifique. Je regarde sur le coter et aperçoit un sublime salon chocolat avec 1 divan et deux fauteuils caramel et des meubles en bois couleur chocolat. Dans un coin une salle de bain complète avec douche a l'Italienne et WC occulté par une porte coulissante. À l'opposé une cuisine tout équipée et une table pour au moins 12 personnes. Le tous dans des tons de bois clair et marbre belge. Les sols sont les plafonds sont en marbre poli et hyper brillant avec des tonnes de lumière. Ce n'est pas un bureau, mais un appartement. Très vite, je suis coupé dans ma contemplation, car des hommes entrent dans le bureau. Mon grand-père les saluts et me présente rapidement chacun d'entre eux.

Il y a dans un premier temps : Franklin Rosen, son directeur financier et ami de longue date, Barth Longchamps un des actionnaires de l'entreprise et le directeur acquisitions, la secrétaire martine et Ricardo le responsable commercial. On s'assied autour de la table et une longue conversation commence sur une entreprise en perte de vitesse.

Après 2 heures de réunion, j'ai cerné le problème de cette boite de construction de jouer en bois. Le gérant a du mal à faire ce qu'il faut pour optimiser les choses et l'entreprise et souvent dans le rouge. Le fond d'investissement de Jérôme détient 60% des parts de l'entreprise, sur les 5 dernières années, cette société de construction de jouer a reçu plus de 100 000€ d'aide, mais en vint. Je pense savoir quoi faire alors je lève la main. Les autres me regardent l'air de dire, on n'est pas à l'école ici.

- Vas-y Quentin parle. Dit mon Jérôme.

- Je pense savoir quoi faire !

- On le sait tous. Répond Franklin, le fameux directeur financier. Il poursuit

- Il faut liquider cette entreprise et récupérer un maximum d'avoir avant qu'il ne soit trop tard.

- Je suis d'accord ! Ajoute Barth.

- Je pense qu'il faut virer le gérant et embauché quelqu'un de compétents. Réponds le directeur commercial avec beaucoup d'enthousiasme.

- Quentin qu'est-ce que tu en penses ? Dit Jérôme en me regardant droit dans les yeux.

Les autres me regardent tous avec des gros yeux. Du genre à dire qu'est-ce que ce gamin pourrait faire de mieux que nous.

- Moi, je pense qu'ils doivent innover, aujourd'hui le métier du bois sculpter est un secteur certes moins lucratif qu'avant à cause de l'hyper industrialisation, parce que les machines peuvent fabriquer en dix fois moins de temps que les hommes.

- Merci, mais on savait déjà. Me balance le directeur financier.

- Laisse le finir. Me défend le directeur commercial.

- Ok, merci. Cependant, la sculpture sur bois possède toujours un marché, mais de niche. Elle cible plutôt une clientèle aisée a la recherche de pièces rare. Si on achète des licences comme CARS, Spiderman, Superman ou star wars ou même la reine des neiges, qu'on créer des figurines de différentes tailles jusqu'à taille humaine. On attiré une clientèle de collectionneur, de nostalgique, de fan de bd... On pourrait chercher des partenariat avec des associations qui réalise des conventions manga et autre et créer leur personnage en grandeur nature. Le jouer qu'il fabrique actuellement ne serrait pas abandonner, mais leur chaîne de production serait réduit. Tout a leur, j'ai entendu qu'il en avait 12, la moitié pour les jouer qu'il fabrique déjà et l'autre pour les nouveaux. Je sais que cela va demander de l'investissement tant au niveau formation, que matériel et communication. Mais a terme cela pourrait devenir un énorme filon. Pour le gérant, je pense qu'il n'y a rien de plus simple. Vous l'avez dit vous-même, il manque de compétences ? Mais si je ne m'abuse, j'ai lu sur votre brochure que vous aviez des parts dans plusieurs centres de formation ?! Pourquoi ne pas lui proposer une formation qualifiant au nouvelle technique du bois et du management d'entreprise.

- Il ne voudra pas, c'est un homme de 55 ans très têtu.

- Donner lui un ultimatum, soit il se forme et suit le mouvement soit vous devrez le remplacer. Mais je pense que vous devriez lui donner sa chance.

L'ensemble de mon auditoire et bouches bée. Mon grand-père lui est perdu dans ses pensées.

- Vous êtes brillant jeune homme, d'où venez-vous. Jérôme tu nous avait caché un talent pareil ou l'a, tu dénicher. Il nous le faut, j'espère que tu lui as déjà fait signer un contrat, sinon nos concurrents vont le faire. Bart qui vient de parler me regarde avec admiration.

- C'est mon petit-fils et c'est lui qui héritera de l'entreprise a ma mort. Il en deviendra le PDG à la fin de ses études. Il a encore 4 ans à faire a HEC.

- Impressionnant petit pour une personne en 2e année universitaire. Moi, je te propose un stage dans mon service commerciale, je suis sûr que toute l'équipe apprendrait de toi. Viens-je vais t'expliquer. Je suis partie avec lui a mon retour grand père n'étais plus dans son bureau alors je suis rentrée a la maison. Mon père était dans le salon en train de lire.

- Bonjour papa !!!

Il parait surpris, moi aussi, car c'est la première fois que je l'appelle comme ca depuis très, très longtemps.

- Bonjour, Quentin comment était ta journée.

- Super, j'ai parlé avec grand-père.

- Ah ... !!!!

- Il est génial, j'ai été dans ses bureaux en plus j'ai même participé à une de ses réunions commerciales. J'ai pu exposer mes idées.
- Grand-mère ?

- Bien, oui, je veux tous savoir.

- Jérôme est un menteur ne le crois pas. Je n'ai jamais eut de mère.

- Bien sûr que si, on a tous une mère.

- Ah ah ah. Ton cher "grand père te ment". Moi, j'avais un père génial et ce n'était pas Jérôme. Mon père a moi, c'était Yves, Jérôme n'est que mon géniteur. Même si j'ai le même sang que Jérôme, jamais il n'a était un père pour moi.

- Pardon ?

- Ton cher "grand père" ne t'as pas tout dit. J'ai vécu une adolescence difficile parce que j'avais deux pères. Tous mes copains se moquaient de moi et on déménager tout les 6 mois. Jérôme était un égoïste qui passait son temps à me donner des ordres et m'empêcher d'être avec papa Yves.

- Comment ça ?

- Yves, c'était le meilleur père du monde, il m'emmener partout avec lui. On aller a des concerts, des gala, des parc d'attractions. Mais a chacun de nos retours, c'était l'engueulade assuré entre eux et je n'avais jamais le droit de rien dire. Jérôme passé tout son temps au travail et n'avait pas un instant pour moi. À l'âge de 10 ans, il m'a envoyé en pensionnat en suisse et je ne revenais que 2 ou 3 fois par an. Yves venait me voir tout les mois au moins deux fois et on s'éclater. Mais quand Jérôme était la c'était tendu. Au pensionnat, ca ne se passait pas bien, car tout le monde savait que j'avais deux pères, je passais mon temps à me battre. Puis un jour, on m'a renvoyé, je suis revenu à la maison...

Mon père s'arrêta et se figea sur moi. Enfin, pas, exactement, je pense qu'il regarde son passé.

Alexandre

Nous sommes le 2 janvier 1982, j'ai à peine 12 ans, je viens de me faire virer du pensionnant et lorsque je rentre, j'entends une dispute.

- Tu n'es rien pour moi Yves, tu n'es qu'un chauffeur et tu le resteras, tu vas quitter cette maison et ne plus jamais revenir. Tu vas oublier mon fils, si tu t'en approches encore, je te ferais tuer, tu m'entends ? TUER!!!

- Je t'aime moi, on est bien ensemble, je suis fou de toi.

- Moi pas et cela n'a jamais était le cas, maintenant dégage.

J'ai vu mon père Yves se faire jeter de la maison par la sécurité et ensuite je ne l'ai plus jamais revu. Jérôme m'a mis dans une école privée stricte ou j'ai appris le commerce par force. Lorsque j'ai eu 18 ans, je suis parti à la recherche de mon père et j'ai su qu'il était mort peu après avoir était jeté dehors.

Fin flash back

- Je suis persuadé qu'il l'a fait tuer mon père. Je le déteste, c'est un monstre. C'est un débauché, il couche avec des hommes et des femmes de 20 ans au lieu qu'il en a 73. C'est un putain de PD et un égoïste, tu ne devrais pas t'attacher à lui, il te fera souffrir.

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