COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (8/11)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (8/11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (8/11)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je suis certaine de déjouer les plans de ces amants diaboliques que sont Boby Smith et sa maîtresse Louisa, ils viennent de revenir d’une semaine de ski à La Plagne au moment où après la confirmation que le couple est bien celui qui a déclenché deux banqueroutes à Dallas et Denver au USA.
Ils sont les artisans d’un détournement de plusieurs dizaines de millions de dollars, du licenciement de plusieurs milliers d’employés et surtout la mort, lors de leur dernier méfait de celle qu’ils avaient mise en avant comme ils souhaitent pour moi.
J’ai la chance d’être caché sous le lavabo de la salle de bains quand Louisa fait répéter le processus qu’ils souhaitent me voir suivre pour détourner l’entreprise de monsieur Gandin.
Je dis encore monsieur Gandin alors que depuis cinq minutes, j’ai son sexe dans ma chatte après qu’il m’ait fait une feuille de rose.
Je suis courbé sur son bureau, il a écarté mon chemisier et tire allègrement sur mes seins, malgré la différence d’âge, j’aime faire l’amour avec lui, surtout depuis que Boby m’a traité comme une chienne dans ce club privé désaffecté.

• Merci, j’avais envie de toi, tu me redonnes une nouvelle jeunesse.

En me disant ces mots, je sens sa verge se tendre et ses jets taper mon utérus, je pourrais être déçu, mais quand je me retourne et que je vois son air penaud, je le prends dans mes bras comme j’aurais pu le faire avec mon grand-père si dieu lui avait prêté vie.

• Tu veux un whisky, cela va me requinquer, dès que je serais en forme, je vais te faire jouir.
• Oui, sers-moi un verre, attends-moi sur ton canapé, je vais prendre une douche.

Je tiens à être seule dans la douche, je veux continuer à chercher les pépettes, même si ce n’est que par le regard.
Je fais couler l’eau, je tire sur le meuble, pensant à une cache sur l’arrière, nada, le meuble est solidaire du lavabo qui lui est sur une colonne d’eau impossible d’y cacher quoi que ce soit.
Un peu frustré, je monte dans le bac à douche et je me lave, j’ai atteint le point où en restant plus longtemps à chercher, je prends des risques avec Albert, ne voulant pas le détromper pour le moment sur sa garce d’épouse.
Une fois rincée, je vais pour sortir du bac, heureusement, je me rattrape sur le mur opposé quand je perds l’équilibre, je regarde, ça y est, je sais où est leur cache, il fallait y penser.

• J’ai entendu du bruit, tu es tombé ?
• J’ai failli, mais je me suis rattrapé, je vais me rhabiller et rentrer, demain, je vais rencontrer Boby à son retour de vacances, tu sais où il était parti, il ne m’avait rien dit.
• Il est allé régler des problèmes aux USA, c’est Louisa qui me l’a dit.

Quand, je dis que cette femme est une salope, elle s’est fait tringler pendant huit jours entre deux descentes de ski avec Boby et a réussit à lui faire croire que son amant était aux USA.
S’il savait qu’il est interdit de séjour dans ce pays avec un risque s’il se fait prendre de ramasser de nombreuses années de prison, il se méfierait un peu plus, je le mettrais bien en garde quand nous dégustons notre verre de whisky.
Je suis sa maîtresse, mais comment réagira-t-il, si je lui dis la vérité, aura-t-il les mêmes œillères que lorsque je suis allé lui dire que mon supérieur me harcelait, ne croirait-il pas que je me suis laissé sauter pour mieux nuire à ceux que je sais être amant.
Je le quitte, bien décidé à revenir cette nuit, comme Cat la chatte afin de contrôler ce que je pense avoir trouver et surtout si j’ai raison, vider l’argent.

• Bisous Albert, rejoint ta femme des fois qu’elle se réveille et qu’elle cherche après-toi, il serait dommage qu’elle ait des doutes sur ta fidélité.
• Tu as raison, je t’attends, inutile de remettre les alarmes pour les couper de nouveaux dans quelques minutes.

Je perds une chance de contrôler mon idée, je verrais demain comment faire, inutile de tenter le diable en allant trop vite, tant que l’argent de la banque n’est pas rentré, je suis tranquille, ne serais-je pas demain le garant pour qu’ils obtiennent leur prêt.
J’ai toujours une longueur d’avance, je sais, ils ignorent que je sais.

Le lendemain, j’arrive au travail un peu stressé, comment Boby va aborder l’épineux gang bang qu’il m’a fait subir, si tenter que je l’ai vraiment subi.

• Bonjour, réunion dans la salle de conférences dans cinq minutes, ne soit pas en retard, j’ai une grande nouvelle à t’annoncer, j’espère que tu comprendras tout ce que je t’ai fait subir, j’avais besoin de voir la femme que tu étais capable d’être.

Je suis à l’heure et quand j’entre dans la salle, les responsables des différents services sont déjà là, en bout de table comme à son habitude, monsieur Gandin, mais il n’est pas seul, Louisa est debout à ses côtés appuyés sur son épaule comme pour dire, c’est moi le chef.
D’ailleurs, elle prend la parole.

• Mon mari et moi, nous aspirons à vivre une vie tranquille avec les biens que nous avons gagnés aux cours de notre vie, Albert travaille depuis l’âge de 14 ans, nous allons nous retirer dans notre maison dans les Cévennes.
Monsieur Smith, a fait une proposition de rachat de la société que nous avons accepté, je lui passe la parole et nous allons vous laisser.

Albert se lève comme un zombi, j’ai nettement l’impression que la vente ne lui plait pas.

• Bonjour à ceux que je n’ai pas vu depuis mon retour des USA, voilà, j’achète notre entreprise et je vais être directe, des considérations personnelles m’empêche de prendre la direction de mon entreprise.
Depuis que je suis ici, je vous observe, je vous aie même tester pour certains et je vais vous donner le nom de celui qui va devenir votre patron, je devrais dire, celle qui va diriger, Joelle, ce fauteuil est le tient.
• Vous croyez que j’en ai les capacités ?
• Qui ici, est mieux placé que vous, vous avez sous ma houlette remis le service exportation très concurrentiel, c’est donc vous qui mérité de gérer mon bien.
Merci à tous, reprenez votre travail, Joelle, nous pouvons nous voir dans votre nouveau bureau.

Je me dirige vers le lieu où leur pognon m’attend, du moins je le crois, je m’assois sur le siège qui a vu Albert me mettre son sexe dans la chatte, je passe ma main là ou mes seins ont frottés.
Boby arrive, il a un attaché-case à la main qu’il ouvre.

• Joelle, j’ai vu avec la banque de monsieur Gandin, ils le connaissent et sont près à nous prêter 10 millions d’euros, grâce au mari de Geneviève la chef comptable que j’ai rencontré, il y a deux jours, nous allons pouvoir développer notre activité dans mon pays.
Peux-tu me signer ces cinq feuillets, tu me fais confiance.

En me disant cela, il passe dans mon dos et me caresse mon sein gauche.

• Bien sûr, tu me fais confiance, j’en fais de même pour toi, donne, je te signe tes papiers.

Je signe, il les prend et les range dans sa mallette.

• Je te laisse, j’ai rendez-vous à la banque avec monsieur Gandin, nous devons finaliser l’achat et la demande de prêt.

Sans qu’il le sache, je viens de marquer un point, il n’avait jamais vu ma signature.
J’attends et je vais dans la salle d’eau, je ferme la porte à clef, j’avais raison pour la cache installée par Polo, deux mallettes sont là, ils ont confiance de leur cachette, elles n’ont même pas de fermeture à code.
Mon seul problème, c’est à quel moment les sortir de leur cachette, n’y trop top, ni trop tard, à moins que je force le destin.
Je quitte la société et j’appelle Christian que je réveille.

• Tu veux ma mort, je viens juste de me coucher.
• Blonde ou brune.
• Perdu, rousse, je ne te dis pas, elles sont chaudes ces Américaines, j’ai eu du mal à rentrer, elle s’accrochait à ma bite, tu suçais bien, c’est normal, c’est moi qui t’ai formé, avec elle, j’ai cru que rien ne ressortirait, tellement elle m’avalait.
• Et c’est à moi que tu parles, Joelle, ton amie, tu as de la chance que je le sois restée après ce que tu m’as fait.
• Tu as raison Joelle, et en plus, c’est toi qui payes la communication, pourquoi appelles-tu ?
• Je voulais te demander, tu as passé un contrat avec le dénommé Boby Smith.
• Ne me dis pas qu’il s’est servi de moi.

Je le mets au courant et lui demande de faire une action décisive, je sors et je retourne dans la rue où se trouve le club où j’en ais satisfait trente, pardon trente-deux, mais cela, on le sait déjà.
Mon œil avait bien vu, il y a une plaque marquée « À vendre » sur la porte, avec un numéro de téléphone en 06.
J’appelle.

• Vous êtes une agence ?
• Non, votre local m’intéresse, j’ai une idée de relance de l’activité qui se passait ici.
• C’est mon père qui a acheté ce club échangiste, il est mort il y a presque deux ans, j’ai fermé ce lieu de perdition, je suis au séminaire à Paris, pour devenir prêtre.
• Peut-on se voir.
• Vous avez de la chance, je suis dans le logement que mon père habitait, j’étais venu pour trier quelques papiers, je descends vous ouvrir, la porte à gauche à cinq mètres.

J’ignorais qu’il y avait un logement, le garçon qui vient m’ouvrir est très mignon, vingt-cinq ans environ, il est en civil avec comme seul signe de son appartenance une croix sur son revers et un col rigide sortant de sa chemise.
Nous arrivons sur un palier, il me fait entrer directement dans une pièce qui fait salon, salle à manger avec coin cuisine.

• Pouvez-vous me faire visiter les lieux, je connais un peu les salles du club, je dois dire que j’ai fréquenté le club de votre père quand il était ouvert.
J’avais un mari qui était échangiste, mais j’ai divorcé depuis.
J’ai été très proche de votre père, j’adorais les cheveux poivre et sel d’Alain, vous avez énormément de ressemblance avec lui.

On peut penser que je parle espérant tomber juste, erreur, il est debout près d’un meuble où il y a une photo qui doit avoir été prise juste avant la mort du père, il est avec son fils, ce qui me permet de voir ses cheveux poivre et sel, la ressemblance avec le fils et surtout le bras du père qui porte une gourmette en or blanc avec une grosse bague où il est marqué le prénom « Alain ».

• Vous l’avez bien connu, mais certainement bibliquement, car il était PD comme un phoque.
• Vous me choquez, monsieur le Curé, il était homo, tout le monde le savait, il était toujours avec son ami.
• Polo, vous avez connu Polo, je passais mon temps à dire à mon père que cet homme avait un comportement trouble…

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Toujours un plaisir à lire, vivement la suite.
J’aimerais beaucoup discuter avec vous.



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