LES ROUTIERS SONT SYMPAS - 4

- Par l'auteur HDS Petikokin -
Récit érotique écrit par Petikokin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LES ROUTIERS SONT SYMPAS - 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LES ROUTIERS SONT SYMPAS - 4
LES ROUTIERS SONT SYMPAS …(4)
L’auto-stoppeuse idéale – En Allemagne
Après une nuit « réparatrice », nous nous retrouvons, Christine et moi en pleine forme pour affronter cette nouvelle journée.

En prévision d’un éventuel et imprévu blocage sur les routes, par mauvais temps par exemple, sous la couchette, il y a des casiers. Quelques affaires de camping y sont rangées ainsi que quelques provisions : du café soluble, de sucre, du lait concentré en tube, des biscottes, de la charcuterie, des boîtes de conserves, de l’eau, etc.

Avec un petit camping-gaz, je fais chauffer de l’eau et prépare deux grandes tasses de café. Je fais « chauffer » le moteur du camion pendant que nous prenons un petit déjeuner « léger ».

Nous roulons jusqu’à une aire de service ou nous pouvons nous doucher, acheter quelques provisions supplémentaires, nous sustenter.

Frais et dispos, nous reprenons la route.

Quittant la France pour entrer en Belgique, le passage des frontières n’étant qu’une simple formalité administrative, l’arrêt dure une vingtaine de minutes. Par contre, l’entrée en Allemagne est plus longue. Le pays était destinataire de la marchandise. Les déclarations et les contrôles douaniers peuvent durer plusieurs heures. C’est un bureau spécialisé qui s’occupe des formalités.

L’Euro n’étant pas encore mis en place, nous allons échanger, dans une agence bancaire, quelques centaines de Francs en Deutschemarks. Cela nous permet de visiter, à pied, les commerces alentour.

Nous achetons quelques souvenirs. Comme à chaque arrêt, Christine inscrit des notes dans son « livre de route » et le fait tamponner par les commerçants.

En revenant vers le camion, nous entrons dans un bâtiment abritant, entre autres, des toilettes publiques. Dans le hall se trouvent divers appareils :
- « C’est quoi ça ? - me demande Christine.

- Ce sont des distributeurs... En Allemagne, on en trouve beaucoup dans les lieux publics... Tu peux avoir des bonbons, des cigarettes, des préservatifs, et d’autres petites choses... Tu payes en y glissant des pièces... Si tu n’en as pas, généralement, il y a un échangeur de monnaie... La réputation organisationnelle des Allemands n’est pas surfaite...

- Comment ils sont les préservatifs ?

- Cela dépend... Il y a les « normaux » en boîtes de trois, six ou dix... Il y a aussi des préservatifs « fantaisie » à l’unité...

- Ha bon... Ils sont comment ?

- Viens voir ; là tu as un préservatif avec des « petits picots » souples, celui-là a des petites ventouses, celui-ci et « perlé ». Il y en a avec d’autres particularités..., Celui-ci est fluorescent, il brille dans le noir...

- Pourquoi ils sont « particuliers ?...

- Pour mettre un peu de « piment » dans les relations sexuelles.

- Cela procure des sensations « spéciales », surtout aux filles... Pour les garçons, ils sont moins « confortables » ; Ils sont en latex plus épais que les préservatifs « normaux ». Ils sont moins « souples » et serrent davantage...

- Surtout quand on est bien monté, comme toi...

- Ils sont aussi lavables, on peut les réutiliser cinq ou six fois...

- Je voudrai biens essayer... On en achète ....

- Si tu veux... Il faut aussi acheter un petit flacon qu’il y a là...

- Pourquoi ?

- C’est un produit désinfectant et lubrifiant. Une fois utilisé et lavé, cela permet de rendre le préservatif stérile. C’est aussi un lubrifiant. Il évite qu’il ne se sèche ; Il deviendrait cassant...

- Tu sembles connaitre...

- C’est mon troisième voyage en Allemagne... Et puis les anciens chauffeurs m’ont bien renseigné... »
Nous achetons trois préservatifs de différents modèles, un flacon, quelques bonbons et autres babioles.

Après avoir satisfait nos besoins naturels et liquides (uriner), nous rejoignons le camion pour y déposer nos achats.

Sur le siège conducteur, je trouve l’autorisation de circuler que je dois faire tamponner après qu’un policier ai contrôlé nos identités et qu’un douanier soit venu vérifier si, dans la cabine, il n’y avait pas de produits de contrebandes ou illicites, de la drogue par exemple.

Nous reprenons la route et arrivons à destination en fin de journée. La marchandise ne sera déchargée que le lendemain.

Le dépôt du destinataire se trouve sur une zone industrielle clôturée et gardée.

L’un des vigiles, parlant assez bien le français, m’explique que je ne dois pas laisser mon véhicule sur les voies de circulation mais sur un parking. Nous pouvons dormir dans le camion mais nous devons pas nous en éloigner de plus d’une dizaine de pas. Il nous indique ou se trouve une « cantine ». Nous pouvons y manger et faire notre toilette.

Suivant ses indications et ses conseils, j’immobilise l’ensemble routier derrière la cantine. Nous entrons dans l’établissement ou nous trouvons quelques autres chauffeurs français avec qui nous partagerons le repas après nous être douchés.

De retour au camion, rideaux de la cabine tirés, nous nous préparons pour la nuit. Nous dormirons en slip et petite culotte. Mais avant nous allons essayer l’un des préservatifs. Notre choix se porte sur celui avec les petits picots. Rien que d’y penser, j’ai une érection instantanée et Christine mouille sa culotte. Je l’attrape dans mes bras, la serre contre mon corps et l’embrasse « goulûment ». Une de nos mains se porte, respectivement, sur ma verge et sur sa vulve. Chacun de nous peut ressentir la tension qui anime l’autre...

Nos bouches se séparent et, par petits baisers ou « léchages », parcourent le corps de l’autre.

Après m’être attardé sur ses seins et en avoir « sucées » les pointes, je continue jusqu’à ce que mon menton vienne se perdre dans sa fourrure pubienne.

De son côté, Christine a suivi le même chemin sur ma poitrine pour arriver à la pointe de ma verge ou elle commence à en lécher le bout comme si c’était une glace.

Toujours enlacés, dans un mouvement d’ensemble, nous nous retrouvons allongés, « tête bêche » sur la couchette.

Nous entamons un soixante-neuf torride. À coups de langue je vais chercher le nectar d’amour au plus profond de sa source. Christine a pris mon « pivot de la joie » dans sa bouche et, aidée d’une main, commence à le caresser sur toute sa longueur.

Chaque fois que j’arrive en haut de sa fente, j’aspire son bouton sensible et le « titille » du bout de la langue.

De son autre main, Christine me masse délicatement les testicules. Son clitoris, en gonflant, ne tarde pas à sortir de sous son capuchon. Je bande tellement que ma verge se trouve à l’étroit dans sa bouche. Christine la rejette ; Il n’y a plu que le gland entre ses lèvres. J’attrape son clito, gonflé au maximum, entre mes lèvres et le « taquine » toujours du bout de la langue en appuyant de plus en plus. Ce qui était un « noyau rond de cerise » est devenu un « noyau d’Olive », long et ovale... J’introduis un, puis deux doigts pour explorer sa grotte.

Elle me masturbe de plus en plus vite. Je sens son plaisir « monter ». Son souffle est plus court, ses râles plus profonds, les mouvements de son bassin plus « nerveux ». Sa main arrête les va et viens et serre ma verge plus fort, à la limite de la douleur.

Je continue mes léchages. Mes mains se sont posées sur ses seins où mes doigts s’occupent de « rouler » les mamelons aussi dur que des sucres d’orge.

Soudain, son bassin « vibre » comme s’il recevait des décharges électriques. Son orgasme « éclate » en un long cri de jouissance. Son corps se cambre et se raidit dans cette position pendant quelques secondes avant de retomber inanimé. Elle semble « flotter » dans un autre monde.

Je me retourne pour être joue contre joue à attendre son « retour ». Le calme revenu, elle me dit :
- « Mon « salaud », quel bonheur de faire l’amour avec toi... Je n’ai jamais autant joui de ma vie...

- Je t’avais prévenu, je ne fais pas l’amour à une fille ou une femme tant qu’elle n’a pas eu un orgasme pendant les préliminaires...

- Et toi, tu ne prends pas ton plaisir.

- Mon plaisir, c’est d’abord en donner à ma partenaire. Ensuite, c’est quand nous allons nous accoupler que je vais tout donner et me lâcher...

- Alors, on l’essaie ce préservatif ?

- Oui... Tiens, prends-le et mets-le en place... Au fait, en parlant de préservatif, tu n’as pas peur d’être enceinte ?

- Non, depuis un mois, je prends cette nouvelle pilule contraceptive... Et puis, à l’hôpital où je travaille, il y a tout ce qu’il faut pour le faire passer...

- On peut donc faire l’amour comme des fous !...»
Je suis couché sur le dos, la verge toujours raide, tel un pieu. Christine, à genoux à côté de moi, pose le préservatif sur le bout et le déroule sur toute la longueur. Pendant cette opération, mes mains sont actives. Le majeur de l’une fouille son vagin, le pouce masse son clitoris. L’autre main est occupée sur ses seins.

Le latex en place, Christine fait passer une jambe par-dessus mon corps, toujours à genoux, à califourchon sur mon bassin, elle me fait face. Elle me regarde avec un sourire et un air qui en dit long sur ce qui va se passer.

Attrapant mon membre viril d’une main, elle en frotte ses lèvres intimes tout en s’abaissant. Je sens mon gland qui écarte ses chairs délicates et commence à pénétrer dans le « couloir du bonheur ». Le lubrifiant de la capote et sa cyprine facilitent la pénétration. Le glissement se fait en douceur et en profondeur.

Quand le bout touche le fond, elle s’arrête un moment pour savourer ce contact. Elle commence à agiter son bassin. Se penchant en avant, elle fait frotter le « concierge du couloir » contre le « survêtement » de mon phallus. Il ne faut pas longtemps à Christine pour « s’envoler » plus vite, plus haut que le septième ciel. En même temps, je lâche toute la purée que j’avais en réserve en longues giclées. Les oreilles me « sifflent ». Je perds conscience quelques secondes...

Le retour de Christine vers les réalités terrestres est beaucoup plus long que le précédent. Je commence à m’en inquiéter quand elle ouvre les yeux, me regarde, sourit, me prend par le cou pour attirer ma bouche contre la sienne. Nous nous laissons aller dans une longue et vertigineuse embrassades.

Quand elle peut parler, elle me dit :
- « Ce préservatif est merveilleux...

- Je m’en doute... Tu es « tombée dans les pommes » quelques minutes... Je commençais à m’inquiéter...

- C’est trop fort un tel plaisir, une telle émotion... C’est trop délicieux,... Je ne trouve pas les mots pour le dire...

- Alors, ne dis rien... Savoure ton bonheur...

- Je vais en acheter d’autres pour offrir à mes meilleures copines qui ont de la peine à jouir...

- Tu les connais ....

- Tu sais, entre filles et entre infirmières, on se fait des confidences sur tout y compris nos pratiques sexuelles... Quand je vais leur raconter, je suis sûre qu’il y en a qui vont en « crever de jalousie »...

- Je crois plutôt qu’elles vont vouloir faire un long voyage dans mon camion...

- Faire un voyage, peut-être pas... Mais te connaître, surement...

- Tu te fais une autre idée des routiers ....

- Un peu... Mais toi, tu es exceptionnel !... »
Nous continuons ces bavardages jusqu’à ce que le sommeil nous prenne. Nous nous endormons, nus, dans les bras l’un de l’autre jusqu’à l’aube.

C’est le bruit de la reprise d’activité sur la zone qui nous réveille. Rapidement, nous nous habillons, allons prendre le petit déjeuner, faire notre toilette et nous présenter au déchargement.

Pour contacter mon entreprise, je demande au chef d’équipe ou je peux trouver un téléscripteur (télex). Il me conduit dans un bureau ou se trouve cet appareil. J’envoie un message pour dire où j’en suis de la livraison et demander s’ils ont trouvé du fret pour mon retour. La réponse est positive : je dois charger, pas très loin de Duisburg, 25 tonnes de tôles pour la région bordelaise. On m’informe que la semaine prochaine une autre semi-remorque est chargée de conserve. C’est moi qui devrais aller les livrer à Anvers, en Belgique.

De retour près du camion, j’informe Christine de mon futur travail.

Quand je lui dis que je dois aller en Belgique, elle a un moment d’hésitation, puis, me sautant au cou, elle me dit :
- « je pourrai venir ?...

- Si tu veux... Merci !

- Tu es un chic type... »
Je ne peux pas répondre car elle me « roule une pelle » d’enfer.

La suite est une autre histoire...

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Texte coquin : LES ROUTIERS SONT SYMPAS - 4
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