Maîtresse web ?

- Par l'auteur HDS Gentleman pervers -
Auteur homme.
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Récit libertin : Maîtresse web ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Maîtresse web ?
Ce récit se déroule à Montréal…Je me suis inscrit à un truc web, je voulais une maîtresse web, pas de rencontre, pas de web cam, juste une fille qui me donne des ordres quand ça lui chante par texto ou messenger. Étant avec la même copine depuis un bon bout déjà, je n’appellerais pas ça trompé. J’ai eu beau chercher, je n’ai rien trouvé jusqu’au jour où l’une de mes amies avec qui j’avais couché il y a longtemps me recontacta par téléphone (ce qui est rare, on se textait et c’est tout).

-Je suis plus en couple, j’accepte d’être ta maîtresse virtuelle.

Pour vrai? C’est ben cool!

-Minute, je connais ton style, t’es pas trop du genre à vouloir te crisser un jouet dans le cul, t’es beaucoup plus intellectuel, voir imaginaire, alors je vais m’ajuster à toi mais tu dois faire tout ce que je te dis ou texte pendant 1 mois, en me répondant maîtresse.

Ok…
-Ça part crissement mal là!

Ok maîtresse. Lol!

-Parfait, trois derniers points, on va aller virer une brosse ensemble, pendant la brosse, tu vas m’avouer tes petits délires de pervers fucké qui traîne dans ta tête, à la fin de la soirée, je vais prendre une photo de toi nu et si j’apprends qu’une seule fois, tu ne m’as pas écouté, je calisse ça sur le web.

C’est vraiment nécessaire maîtresse?

-Pas tant, tu auras toujours le droit d’ignorer mes ordres, tant que tu me le dis, mais si tu veux du fun, du challenge, pis moi aussi j’en veux, t’as intérêt à pas me mentir et avec cette photo, j’aurai un argument pivot, t’inquiète pas, tu me connais, dans un mois, je la delete, deal?

Deal maîtresse.

-Deuxième point, ça peut être n’importe quoi et n’importe quand, alors je veux pas de « c’est un mauvais timing », fuck, c’est une maîtresse que tu veux alors joue le jeu, mais ne m’appelle pas comme ça en public.

Toujours d’accord maîtresse.

-Et dernièrement, je ne vais pas en parler à personne, fait de même, je sais que tu dis tout à ta blonde, alors elle s’est ok, mais avoue que tu vas juste avoir l’air d’un cave.

Parfait, je garde ça à ma discrétion.

Le dimanche suivant, on est allez dans un bar où on avait déjà été, je là décris rapidement : une mignonne petite rousse, pas beaucoup de seins (genre 32 a), assez maigre et des petites fesses qui ne laissent entrer personne. C’est beaucoup plus psycholo-sexo-giquement que ça connectait.
Arriver au bar, elle était habiller d’un legging qui la moule beaucoup plus que je le voudrais (comme la dernière fois où l’on c’était vu et que j’avais fini par la doigter sur le trottoir.) On a jaser de tout et de rien pendant une bonne heure en mangeant et buvant, puis, elle a commandé des shooters, c’est rapproché de moi et avec la bière qui continuait, j’ai pratiquement tout déballé. Je ressentais un peu de honte mélangé à de l’excitation. Bien évidemment, je ne vous dirai pas ce que je lui ai avoué puisque ça gâcherais le reste de l’histoire.
Par la suite on a payé et on est sorti pour prendre le dernier métro, il devait être minuit et quelque chose dans une nuit de décembre, des flocons tombait mais il devait faire -3. C’est là qu’elle m’amène dans un fond de ruelle, loin des regards et sors un vieux polaroid.

-C’est le moment de la photo, awoye, à poil.

Tu me niaises?

-Ben là, pas au complet, fait juste baisser tes pantalons que je te photographie avec ta petite queue frigorifiée.

Je m’exécute et effectivement, à cette température, je n’étais pas à mon meilleur. Par la suite, elle mit la photo dans une enveloppe et elle me guida vers un préteur sur gage. Le dude en question garderait l’enveloppe pendant 30 jours et je pourrai la reprendre (sauf dans l’éventualité où je choke/ment à ma maîtresse).
On est rendu mardi, deux jours ont passés depuis le deal et je n’ai toujours pas de nouvelles, je ne suis toujours bien pas pour la texter! Et c’est vers 13 :30 que je reçois son texte : Tu as une minute, va aux toilettes.
J’arrête ce que je fais et je m’y rends.

-Tu es là?

Oui maîtresse.

-Parfait, baisse tes pants et sers-toi les couilles.

Je le fais et après 15 secondes, je reçois un autre texte : Plus fort.

Je le fais mais je ne peux m’empêcher de lui dire : Mais ça fait mal maîtresse.

-Encore plus fort.

Après une minute de ce traitement que je m’inflige à moi-même, j’ai crissement mal, mais aussi un début d’érection, c’est alors que je reçois une photo d’elle, ou du moins, de son bas ventre caché d’un string fluo. Puis un autre où il est écrit : tu as le droit de te finir si tu le désires. Je ne me suis pas finit, mais je resté aux toilettes pendant 5 longues minutes de plus, seulement pour débander.

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