COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (4/16)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (4/16) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (4/16)
Ma vie vient de basculer, quand j’ai vu mes parents emmenés dans une charrette avec d’autres voisins dont Justin, la tête coupée, plantée sur un pic après qu’un des révolutionnaires lui eût tranché d’un coup de hache.
Vers où a-t-on conduit père et mère, je l’ignore et je suis très anxieuse.
Le Duc, amant de mère vient de devenir mon propre amant, mère lui ayant promis de lui couper les couilles s’il me dépucelait, mais je crois que je peux continuer à me lover dans ses bras, car Dieu seul sait où est mère ce soir.

• J’ai senti ton hymen casser, pour une première fois, tu as aimé, je crois que tu as eu un orgasme, tu as mal excuse-moi, les filles ont toujours mal la première fois.
• Un peu, mais presque pas, je dois te remercier, car tu m’as fait jouir.
• C’est certainement Tyran qui t’a dépucelé.
• Tu es fou, avec un animal.
• Non, bien sûr, mais à force de sauter sur sa selle, tu as dû déchirer en partie ton hymen sans le savoir, regarde, j’ai quelques gouttes de sang sur mon gland.
• Tu as raison dans les premiers jours où je l’ai dressé il a essayé plusieurs fois de me désarçonner et le deuxième jour, j’ai eu mal, a, comment dit-on à la.
• La chatte, c’est bien, il va falloir que je t’apprenne tout comme avec.

Il s’arrête quelques secondes, je suis sûr qu’il allait dire « comme avec ta maman ».

• La mère de Justin, embrasse-moi.

Je sens cet homme dans la force de l’âge à deux doigts d’avoir une larme, c’est moi qui le prends dans mes bras et qui le cajole comme le faisait avec moi mère le soir à la lueur des chandeliers qui donnaient de la lumière dans la pièce et qui projetaient des ombres vacillantes sur les murs et au plafond, me faisant peur dans mon adolescence.

• Tu veux que je te guide pour devenir une femme sachant faire plaisir aux hommes.
• Aux hommes, non à mon homme.
• Tu sais, vis cette journée et demain soir, tu diras que tu as vécu une journée de plus, regarde Justin au moment où j’ai rejoint ta.

Une fois de plus, il a failli en dire trop et parler une nouvelle fois de mère.

• Ta lisière de forêt et de t’empêcher de faire une bêtise.
Regarde ma queue, les femmes doivent savoir sucer leur mari pour les combler, si nous arrivons à nous sortir de ce guêpier, tu te marieras et grâce à moi, tu le rendras fou de plaisir.

J’ai envie de lui dire que je connais et que si je le fais avec lui, maintenant que j’ai perdu ma virginité notre monde me mettra au ban de la noblesse et je serais considéré comme une fille de petite vertu, mais je suis fasciné par ce que nous faisons et je me tais.

• Masturbe-moi.
Prends-la dans tes mains, fait la glisser de haut en bas, tu vois le sommet, c’est mon gland, tu le mets dans ta bouche et tu aspires, lèches, aspires, les hommes appellent cela se faire faire une pipe ou une bouffarde.

J’ai quelques réponses à mes questions, je la prends avec mes deux mains que je fais bouger de haut en bas, j’avance mes lèvres et je sors ma langue, comme pour mes mains, je la fais glisser de bas en haut contente d’avoir réussi à ce qu’elle se développe au maximum.
La première fois, j’ai perdu ma lucidité, mais là, je profite entièrement de ce moment jusqu’à ce que ma main entre en contact avec une des deux grosses boules que j’essaye de faire entrer dans ma bouche, elles m’échappent en faisant un bruit de succion aussi, je recommence, car je sens le souffle du Duc s’accélérer.

• C’est bien, jolie petite salope, tu me suces les couilles comme aucune femme ne me les a sucés, à ce jour.

Je viens de comprendre l’un des mots qui m’a interrogé quand il baisait avec mère, couilles, alors sans aucune pudeur en reprenant ma masturbation, j’égraine ce mot.

• Couilles, couilles, couilles, couilles, couilles.

Jusqu’au moment où éclatant de rire, il me fait basculer sous lui et que sa queue finie une nouvelle fois dans ma chatte qui bave d’attendre de le recevoir.

• Tu es un vrai petit monstre, tu mérites une fessée.
• Père m’en a donné une, une fois, car je lui avais tenu tête, au début j’ai eu mal quand ses grandes mains se sont abattues sur ma fesse gauche, mais bien vite, j’ai ressenti un certain plaisir, alors fesse moi.
• Mais regardez-moi cette petite vicieuse, elle aime se faire martyriser, tu verras demain ou après-demain si un insurgé t’attrape, si tu aimeras qu’il te fesse avec son ceinturon, viens sur moi et empale-toi.

Je comprends pourquoi mère a fait de lui son amant, mais je vide mon cerveau de sa pensée, car en ce moment, c’est peut-être elle qui reçoit des coups de ceinturon d’un de ses geôliers, voire plusieurs.
Alors je vis le moment présent comme si c’était peut-être le dernier et la nuit qui est tombée entend mes cris de plaisir avant de m’écrouler sur la poitrine de mon amant, pendant ce temps, l’orage est passé.

• Chut, écoute, j’ai entendu du bruit, je reviens, reste ici.

La nuit sans lune m’empêche de voir quoi que ce soit, j’attends de longues minutes persuadées qu’à tout moment des soudards vont venir éteindre le petit plaisir qui reste au fond de mon ventre depuis que mon amant a déchargé sur mon buisson comme il se doit dans notre monde et ce qu’il a fait avec mère
Je passe ma main, je récupère la semence de mon amant, j’essaye de calmer ma faim en léchant la totalité de ce qu’il a éjaculé sur moi.
J’ai bien des pommes à mes côtés, mais elles sont tellement vertes que si je croque, je vais faire un bruit d’enfer avec mes mâchoires, alors j’attends.
Combien de temps, c’est impossible de le dire, la seule chose que je sais, c’est que j’entends une première fois un bruit bizarre, suivit d'un autre quelques minutes après.

• Ah !
• C’est bon, j’ai réglé le problème, nous pouvons dormir tranquilles demain nous aurons certainement une rude journée qui nous attend pour rester en vie.
• Qu’as-tu, je sens un liquide poisseux sur toi ?
• Pas d’inquiétude, tu peux dormir tranquille.

Il fait jour quand je me réveille, le Duc me regarde dormir, évitant de me réveiller, à quel moment ais-je mit ma main sur sa verge, comment est-elle sortie de son pantalon alors qu’il la remit sur lui.

• Mais, qu’as-tu sur toi, tu es couvert de rouge, mais c’est du sang, c’est comme moi tous les mois quand j’ai mes choses, comme le dit mère.
• Quand nous descendrons, tu fermeras les yeux, car je pense que ce que j’ai été obligé de faire doit être difficile à regarder.
• Je veux te faire sortir ton sperme.
• Tu cherches à toute force que je te fesse, debout fainéante, la route nous attend, à la grâce de Dieu.

Je me signe à l’évocation du très haut, j’en profite pour lui faire une prière rapide et cinq minutes après, je descends l’échelle de la grange où nous avions trouvé refuge.

• Tiens, met cela au fond de ta poche, je les ai récupérés dans ma ceinture pour te les donner, tu peux en avoir besoin si nous nous trouvons séparer.

Il me met dans la main deux pièces, deux Louis d’or, c’est la première fois de ma vie que j’en vois, car dans notre milieu, c’est l’homme qui s’occupe de l’argent comme le Duc qui semble le garder autour de son ventre.
Nous descendons.

• Ah ! Ah ! Ah !
• Chute, je t’ai dit de fermer les yeux.
• C’est toi qui as fait cela ?
• Qui, veux-tu que ce soit, quand nous avons joui, ils devaient arriver pour venir se coucher dans notre grange, mais ils ont fait du bruit que j'aie entendus alors je t’ai quitté après avoir remis mon pantalon et récupérer ma dague.
En route.
• Et le sang sur toi ?
• Si nous rencontrons des insurgés, ils penseront que nous venons de faire passer de vie à trépas un certain nombre des gens de notre castre et nous serons leurs héros.

Nous marchons, marchons, marchons vers l’ouest évitant les fermes et les villages, nous buvons de l’eau dans les ruisseaux et nous mangeons des baies et autres mûres encore vertes, car il est trop tôt dans la saison.

• Regarde, un monastère en haut de cette colline, ils doivent respecter les curées et les bonnes sœurs, allons chercher de l’aide.

Nous entendons des voix de femme qui chantent à l’intérieur, la porte à une cloche que nous faisons tinter.

• Bonjour ma sœur, pouvez-vous nous accorder l’hospitalité ?
• Je vais appeler la mère supérieure.

Le petit judas qu’elle a ouvert se referme et environ dix minutes après, il s’ouvre de nouveau avec pendant ce temps beaucoup d’anxiété, car nous sommes complétement à découvert.

• Que cherchez-vous messieurs ?
• Le gîte.
• Impossibles, les seuls hommes qui entrent dans ce couvent sont notre évêque ou notre confesseur qui monte du village voisin un jour par semaine, il m’est impossible de faire entrer deux hommes parmi nous.
• Ma mère, cette jeune personne est une jeune femme qui fuit avec moi la barbarie qui s’est emparée de nos gens, regardez ses seins.

Le Duc attrape ma chemise qu’il ouvre d’une seule main.

• Voyez.
• J’ouvre à cette jeune fille que nous allons cacher pendant quelques jours en espérant que les barbares que nous voyons passer du haut de nos fenêtres nous épargneront, mes sœurs et moi prions le très haut d’être épargné.
Entrez ma fille.
• Et toi, que vas-tu devenir ?
• Je vais continuer ma route, mais en te laissant ici, j’espère te sauver et seul j’irais plus vite jusqu’au terme de mon voyage où j’espère être en sécurité.

C’est sans un baiser que j’entre, regardant une dernière fois derrière moi, celui qui grâce à qui je suis provisoirement sauvé et qui m'a fait devenir femme.

• Venez ma fille, je vais vous montrer votre cellule, vous faire faire un brin de toilette et vous donner des effets qui vont vous cacher au milieu de mes filles…

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Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (4/16)
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