COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (7/16)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (7/16) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(7.0 / 10)

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COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (7/16)
Le pays est en effervescence depuis le début de la révolution dans notre région ou nos paysans considère que nous les nobles nous nous sommes accaparé le maximum des terres agricoles à notre profit et leur ont demandé un surcroît de taxes et charges supplémentaires.

Cette fronde m’a obligé de fuir avec notre voisin le Duc amant de mère et qui va devenir le mien en me dépucelant dans une grange, il me laisse dans un couvent où je constate que la vie en groupe pour ces femmes est loin d’être idéale à cause des contraintes qui leur sont imposées.

Si nos paysans ont du ressentiment envers la noblesse, c’est aussi le cas dans cette communauté de femmes où je finis par améliorer l’ambiance en m’opposant à sœur Isabelle rapporteuse auprès de la Prieure, elle-même bras droit de la mère supérieur.
Comme hier au soir, alors que la cloche a sonné pour que nous rentrions dans nos cellules, nous montons dans le clocher où la situation semble stable autour de nous, les incendies de bâtiment étant stabilisés.
Revenue dans ma cellule toujours accompagnée de sœur Agnès, je m’installe pour écouter sa vie depuis qu’elle est arrivée ici.

• Comme je te l’ai dit, sœur Odette qui avait ma fonction s’est occupée de moi.
Elle m’a rapidement prise sous sa coupe, car elle était seule, j’ignorais ce que deux femmes pouvaient faire entre elles et surtout quand j’ai juré fidélité envers notre seigneur, elle a réussi à me persuader que ce qui nous était interdit avec des hommes était sans importance entre femmes.
Comme autour de moi de nombreuses sœurs avaient une amante, je l’ai cru et c’est avec un cierge bien plus long, mais moins gros que celui-ci qu’elle m’a dépucelé, dans son discours elle a réussi à me faire taire devant notre confesseur comme les autres le fond pour nos ébats amoureux les unes les autres.
Si je t’ai posé la question sur ton propre dépucelage et que tu m’aies dit que tout c’était passé sans grande douleur, avec sœur Odette, j’ai eu mal pendant presque une semaine.
La différence d’âge était énorme, mais c’était une si bonne amante que je suis resté avec elle jusqu’à ce qu’elle tombe malade et hélas se dirige dans les heures prochaines vers une issue définitive.
Tu es arrivée et je crois que je t’ai fait découvrir les délices qu’une femme peut apporter à une autre.

Nous roulons sur ma couche et une nouvelle fois nous nous faisons éclater principalement grâce à nos langues et au gros cierge qu’Agnès a cachés sous ma paillasse.
Le lendemain, je m’arrange pour avoir des nouvelles de sœur Juliette ayant passé la nuit avec Isabelle avant d’aller à la prière, ce que sœur Juliette me dit me fait éclater de rire faisant se retourner la mère supérieure.

• Blanche tout va bien, ce matin sœur Isabelle a été charmante, mais hier au soir, j’ignore pourquoi quand elle a été allongée sur le lit, elle s’est endormie immédiatement.

D’où mon rire, car dans mon intervention pour décrisper la situation Agnès et moi avons complétement oublier les somnifères incorporés dans la nourriture de certaines soeurs.
Matinée de prière et de travail avant que l’après-midi, on me dise d’aller dans une petite salle à côté de la chapelle pour que je me fasse confesser.
La mère supérieure passe en premier et je dois passer après.
Le confesseur est derrière un paravent, je m’agenouille sur un prie-dieu.

« Quelle sainte femme cette mère supérieure, jamais un péché »

C’est ce que marmonne celui avec qui je vais essayer d’avoir le pardon de mes pêchers étant bien décidé à lui taire nos turpitudes avec Agnès et ce qui se passe entre presque toutes les sœurs, il ne connaît pas le Duc, pourquoi lui en parler.
Je me persuade que ce que sœur Odette a dit à ma copine est vrai et qu’il est inutile de faire comme sœur Isabelle de la délation.

• Pardonnez-moi mon père parce que j’ai péché.
• Dis-moi, tu es Blanche, la mère supérieure m’a dit qu’elle te cachait à la barbarie qui s’est installée sur notre pays.
• Oui, mon père.
• Alors qu’as-tu à confesser ?

Il sent ma confusion, car je mets du temps à répondre.

• Je vais t’aider, par ces temps troublés as-tu pêché avec un homme.

Je réfléchis vite, il faut lâcher quelque chose pour protéger les habitantes du couvent.

• Oui, mon père, j’ai été obligé pour sauver ma vie.
• Raconte-moi mon enfant, attention, je veux tous les détails si tu veux que je chasse le démon que cet homme a fait entrer en toi.

Je lui raconte tout, mère et père ayant été arrêtés, de Justin la tête tranchée que j’ai vue au bout d’un pic, mais j’en rajoute en ce qui concerne mes rapports avec le Duc père de mon futur époux.
J’en rajoute un peu et je lui dis que le Duc m’a beaucoup forcé.

• T’a-t-il violé ?
• Pas tout à fait, mais presque.

Je pense en rester là, mais c’est sans compter avec le confesseur qui me demande des détails, je lui rapporte l’aventure dans la grange allant même à parler des égorgements quand j’entends un drôle de bruit de l’autre côté du paravent.

• Ma fille, venez jusqu’à moi, je vais faire chasser le démon qu’il a mis en vous.

Sans penser à mal, je me lève et je contourne le panneau de bois, ce que je vois est gigantesque, l’homme qui est de l’autre côté, a ouvert sa soutane et se masturbe.

• Agenouille-toi Blanche, prends mon goupillon dans ta bouche, je vais essayer de le faire sortir de ton corps.

Le salopard, il y a quelques jours, je l’aurais cru, mais là, je comprends qu’il veut se soulager, car mon récit l’a émoustillé, alors je le prends dans ma bouche et je me sers de ma main pour le masturber comme le Duc me l’a appris.

• Bien ma fille, je vois qu’il est retors et refuse de sortir, met toi à quatre pattes devant moi et soulève ta jupe par-dessus ta tête.
• Mais.
• Dépêche-toi, il est presque sorti par ta bouche grâce à mon goupillon, je vais l’avoir par ce côté.

Je me mets dans la position qu’il m’a demandée et je sens qu’il se lève de la chaise où il était assis.

• Que faîte vous mon père, c’est plus bas qu’il est rentré, pourquoi entrez-vous dans mon petit trou ?
• C’est nécessaire au traitement pour que tu sois définitivement débarrassé du démon qui est en toi, il va partir part où il est entré.

Il entre en moi, me prends par les hanches, quand le Duc m’a pris la chatte, j’ai eu juste un peu mal, ce goupillon qui m’encule, mot que je vais apprendre lui aussi plus tard, me déchire l’anus, mot appris avec mon précepteur quand nous avons parlé de l’anatomie masculine et féminine avec le bébé la tête en bas.

• Père François, venez, j’ai besoin de vous.

Je vois sortir de derrière une colonne un autre curé.

• N’est pas peu ma fille, c’est un jeune abbé que je forme à la confession, il va m’aider à faire sortir cette pute de démon qui me résiste, à deux, on va y arriver.

De la part d’un curé, ces mots orduriers auraient dû me choquer, il sort lui aussi sa queue en ouvrant sa soutane, avance jusqu’à moi et me la met dans la bouche, contrairement à l’autre confesseur la sienne est gros et noueux et me remplit la bouche.

• Le sentez-vous, je le repousse vers vous.
• Attendez, au séminaire, ils nous ont dit comment réussir dans des cas extrêmes, comme celui-là.

Il sort de ma bouche et s’allonge au sol la queue bien droite.

• Blanche vient sur moi, fait entrer ma verge par le chemin où il est passé, mais enlève ta robe, ils nous ont recommandé que la possédée soit nue.

J’enlève mes vêtements, j’ai un peu honte d’être nue devant ces deux hommes d'Église, je passe une jambe par-dessus son corps et aussi bien le Duc que la bougie d’Agnès me permette de m’empaler sans soucis.

• Père Olivier, je suis dans sa chatte, prenez-lui la rosette comme vous venez de le faire, ils m’ont dit qu’avec ce double traitement, il va sortir par sa bouche.

Mon dieu, ils sont fous ces curés, je sens le plaisir monter en moi-même du côté de mon anus ou un plaisir différent se diffuse.
Je finis par jouir et mieux même au moment où les deux verges se déversent, j’hurle de plaisir avant de m’affaisser la poitrine sur le torse du jeune curé.

• On l’a eu, François vous avez entendu le cri qu’il a poussé quand il est parti mécomptant que nous l’ayons expulsé de cette jeune femme.

Ils sont drôles, j'ai seulement joui et eu un orgasme en sentant ces deux queues se sont déversés en moi.

• Remets tes affaires, viens que je te pardonne tes pêchés, après tu fais entrer la sœur suivante, tu te tais sur ce qui vient de se passer entre nous, car immédiatement, le diable retournera dans ton corps sans possibilité de le faire sortir te condamnent au feu de l’enfer après ta mort.

Habillé, je m’approche et il me met la main sur le front sur lequel il trace une croix.

• Vas en paix ma fille, tu es lavée de tous tes pêchers.

Quand il me fait ce signe, je baisse les yeux et les chaussures que porte le père devant moi sont des brodequins que portent nos paysans plutôt que les petites chaussures que notre curé portait quand nous nous confessions avec mère.
Je vais pour sortir quand j’entends le père Olivier dire au père François une phrase qui me fait comprend qui ils sont.

• Tu vois frérot, je t’avais dit que nous allions bien nous amuser quand nous sommes allés chez le curé et que nous lui avons emprunté ses soutanes…

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