Vengeance perverse

- Par l'auteur HDS Flyx13 -
Récit érotique écrit par Flyx13 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Vengeance perverse Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Vengeance perverse
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Dimanche, 18h, je sors de chez ma copine, enfin, mon ex copine, car j'ai appris que cette salope m'avait trompé. Je savais qu'elle était limite nympho, c'est d'ailleurs une des raisons pour laquelle nous nous étions mis ensemble, elle aimait la bite, et à chaque fois qu'on se voyait, elle en voulait un coup, peu importe où nous étions, chez elle, chez moi, dans la forêt, un magasin, la voiture, peu importe, il fallait qu'elle ait ma bite en main ou dans un de ses trous béants. On n’habitait pas ensemble, mais on se voyait souvent, quasiment tous les jours, au minimum tous les 2 jours, et elle mettait un point d’honneur à avoir ses coups de queue à chaque fois. Mais ma bite ne lui suffisait pas, et j’ai appris qu’elle se faisait régulièrement déglinguer pas des amis, des collègues de boulot, des fois même juste après que l’on ait baisé comme des sauvages, bref, en plus des miens, elle prenait des coups de bites à longueur de journée.
Et bien à partir de maintenant, elle se débrouillera sans ma bite, mais je me fais pas de soucis pour elle, elle aura sa dose quotidienne de foutre cette petite catin.
Bordel, j’étais en pétard contre cette pute qui me faisait sans doute cocu depuis le début. J’avais les nerfs contre elle, fallait que je me calme mais j’arrivais pas à redescendre. Je me décide à aller boire un verre, histoire d’essayer d’arrêter de ruminer contre elle.

Je m’assois donc dans un bar, commande un verre, et, alors que je regarde dehors, les yeux perdus dans le vague, mes yeux sont attirés par une femme, de l’autre côté de la rue, qui attend de traverser la route. Elle a un style business-wowan, ses cheveux ont de beaux reflets blonds et elle porte une jupe gris clair qui descend jusqu’à mi-cuisse, ses jambes enveloppées de bas couleur chaire et un haut qui laisse deviner une belle paire de nichons. Elle porte aussi une petite veste de tailleur boutonnée juste assez haut pour laisser son décolleté bien en vue, décolleté qui était autre que plongeant, il invite presque à venir y mettre le nez ou mettre une bonne bite posée dessus, au choix. Cette belle salope est vraiment bonne, elle le sait et en joue ; je m’imagine alors la baiser comme une chienne, pas de chichis, de courbettes ou autres douceurs, que du cul, animal, viril… ça se voit que j’avais encore les nerfs à cause de mon ex, et c’est elle qui prenait chère dans mes pensées.
Je la suis du regard et la vois entrer dans le bar. Maintenant qu’elle était plus près, son allure me disait quelque chose. De là où j’étais, elle comme moi ne pouvions nous voir, mais un courant d’air fit venir à moi les effluves d’un parfum entêtant que je connaissais, une de ces odeurs qui fait tourner la tête et semble vous ôter tout contrôle. Ce parfum était celui de Lana, une nana avec laquelle j’avais eu une relation très brève car un de ces kiffes était le pluralisme, elle aimait se faire prendre par une armée de mecs au fond d’un parking désert ou d’une sordide aire d’autoroute, des fois même, elle voulait se faire prendre sans s’y attendre par n’importe qui, elle s’amusait donc à chauffer les mecs pour les pousser à la soumettre, à l’humilier et à la saillir. C’était un comportement totalement inconscient, et elle le savait mais ne pouvait pas s’en empêcher, sa perversion était plus forte qu’elle. La mienne n’était pas à la hauteur pour elle, raison pour laquelle elle n’avait pas voulu aller plus loin, même si elle a avoué aimer ma bite. Ça faisait bien deux ans que je ne l’avais pas vu et elle avait l’air changé d’apparence, plus sérieuse mais, je ne sais pas, quelque chose me disait qu’au fond d’elle-même, sa perversion extrême était toujours présente, son parfum si spécifique en était la preuve. Je ne pouvais pas m’empêcher de la regarder, son beau cul rebondi parfaitement moulé dans sa jupe, on pouvait deviner distinctement ses deux fesses bouger l’une après l’autre lorsqu’elle marchait. On devinait aussi facilement que si elle portait un sous-vêtement, celui-ci ne devait vraiment pas être très fourni en tissu car on ne le remarquait même pas… Elle demande un paquet de cigarettes, le buraliste le lui tend puis elle paie son paquet, le met dans son sac à main et fait volte-face pour sortir du bar. Je me penche discrètement et arrive à apercevoir son visage. C’est bien elle. Elle roulait encore plus du cul qu’à l’aller, et je suis sûr qu’elle le faisait exprès, par provocation. Une autre salve de son odeur me remit une nouvelle gifle, et là, mon sang ne fit qu’un tour. Elle me trouvait trop soft pour elle ? J’allais lui prouver que je pouvais être pervers moi aussi !! J’avale alors mon verre d’une seule traite, me lève et sors en vitesse pour la suivre.
Je la suivais à une bonne dizaine de mètres, et je sentais toujours les effluves de son parfum qui entretenaient cette envie de lui donner une bonne leçon, histoire de la punir elle, et indirectement celle qui m’avait cocufié. Je ne voyais qu’une chose : son cul, son décolleté, ses jambes, cette foutue odeur… Je n’avais envie que de la baiser, la baiser comme une chienne, histoire de me défouler.

J’attendais le bon moment. Les rues n’étaient pas trop bondés, mais pour ce que je voulais lui faire, valait mieux un minimum de discrétion. On sembla marcher une éternité quand elle prit la direction de la gare. Dimanche aidant, elle était pratiquement déserte. Elle prit les escaliers pour prendre le passage souterrain, et je ralentis un peu pour pas me faire griller, guettant le bruit de ses talons, et une fois en train de remonter de l’autre côté, je me précipite pour la rejoindre. Je monte doucement et la vois qui se dirige à l’abri d’une petite bâtisse sur le quai de la gare, luttant contre le petit vent qui soufflait pour allumer sa cigarette. Elle finit par l’allumer et reste là, sortant son téléphone et pianotant dessus, presque dos à moi, négligemment appuyée contre le mur. C’était le moment ou jamais, la gare était en pleine ville, mais c’était calme, et le panneau d’affichage indiquait 15 minutes avant l’arrivée du prochain train. J’hésitais, mais un léger souffle d’air ramène encore son odeur entêtante vers moi. Plus d’hésitations, j’y vais !

Je m’approche doucement d’elle, et une fois tout proche, je lui lance :
- Bonsoir Lana !!
Elle lève le regard vers moi et son visage change alors de ton, je sais qu’elle m’a reconnu. Ses yeux s’écarquillent et avant qu’elle n’ait eu le temps de dire quoi que ce soit, je mets ma main sur sa bouche et la plaque brusquement dos au mur. Sa clope et son téléphone tombent au sol, suivi de son sac. Ses mains essayant de me repousser, je saisis une de ces mains et lui murmurent à l’oreille :
- Tu te souviens à l’époque quand tu m’as dit que j’étais pas assez pervers pour toi ? Et bien il est temps de remettre les pendules à l’heure chérie !!
Je relève alors sa jupe et envoie directement ma main vers sa chatte, cette salope n’avait qu’un bas-culotte, et je pouvais sentir sa chatte bien charnue à travers. Ma main toujours posée sur sa bouche, elle criait dedans, ses yeux commençaient à rougir et à se baigner de larmes. J’appuyais sur sa chatte de plus en plus fort tout en plongeant mon nez dans son décolleté. Hmmmmmm, cette odeur me remplit d’excitation et commença à me faire bander comme un âne. Je lui dis alors :
- Je vais enlever ma main, soit une gentille fille et ne hurle pas !
Je retire alors ma main et elle me dit en sanglotant :
- Flo, arrête, je me suis casé maintenant, je ne suis plus la même !!
- Arrête Lana, pas à moi. Ton décolleté, ton parfum, tes fringues moulantes… Tu continues à vouloir allumer tout ce qui bouge ! dis-je en déboutonnant mon jean.
Ma bite était presque bandée entièrement, et, la voyant sortir de mon pantalon, elle la fixa en haletant.
- Non, je ne peux pas, j’ai un mec… me dit-elle sans lâcher ma bite du regard ;
- Ta bouche dit non mais ton corps en crève d’envie, alors ne te fais pas prier !!
Je la fais accroupir brusquement et lui appuie mon gland trempé de mouille sur les lèvres. Elle résiste un temps, mais bloquée entre le mur et ma queue, elle finit par ouvrir la bouche et ma bite s’engouffre en elle. Elle durcit rapidement, la remplissant alors entièrement. Je fais des va et vient dans sa bouche, sentant mon gland bouillant au fond de sa gorge, sa langue ne pouvant faire autrement que de parcourir ma bite et d’envelopper mon gland. Les bruits de déglutition qu’elle faisait avec ma bite dans sa bouche qui la pénétrait m’excitait au plus au point. Je bloquais sa tête avec ma bite entièrement en elle, sentant le fond de sa gorge enserrant mon gland, une bonne gorge profonde, c’est le top !! Elle tapait mollement de ses poings sur mes cuisses pour se délivrer de mon emprise. Je me retire alors complètement ; ma bite recouverte de sa salive, de la bave coulant de ses lèvres, elle tousse un peu avant de relever son visage vers moi, son mascara commençant à couler le long de ses joues, elle me dit d’une voix tremblotante, en tentant de reprendre son souffle :
- Arrête s’il te plaît, laisse-moi...
Je lui lance alors un regard dédaigneux et lui dit :
- Tu rigoles, ça ne fait que commencer chérie !!
Je la relève et lui déchire complètement son haut. Ses seins débordaient de son soutif, un tétons pointant même en dehors à cause de l’agitation. Je les fis sortir du soutien-gorge et me mit à les lécher l’un après l’autre. J’arrache l’attache de son soutif, et ses seins étaient libres, une belle paire de nichons avec de belles auréoles brunes et de beaux tétons que je m’empresse d’aller sucer. Ils étaient bien durs et roulaient parfaitement sous ma langue.
Pendant que je continue à lui sucer les nichons, je dirige mes mains vers son entre-jambes, attrape son bas et tire bien fort pour déchirer le tissu. Sentant cela, elle gémit en poussant un « nooooon » long et sanglotant. Je passe ma main sur sa chatte, elle était douce et charnue, parfaitement épilée, mais surtout trempée de mouille. Alors que je glisse quatre doigts en elle, mon pouce titillant son clito bien découvert, je lui murmure à l’oreille :
- Arrête de me dire non, tes tétons sont durs à souhait et ta chatte est trempée, ça t’excite espèce de salope, t’aime la bite alors arrête de te plaindre !!
Elle se contente cette fois-ci de gémir sans aucun autre mot.
Je la retourne, achève de déchirer son bas et place ma bite entre ses jambes. Ses cuisses étaient serrées et je m’amusais alors à faire des va et vient comme ça, sa chatte juste au-dessus enrobant ma bite de mouille. Puis, d’un pied, j’écarte une de ses jambes, prends mon sexe et le met d’une traite jusqu’au fond de sa chatte. Elle rentra en elle sans forcer. Elle gémit alors presque en criant et je m’empresse d’aller lui mettre mes doigts trempés de sa mouille dans sa bouche pour la faire taire. Je me mets à la pilonner bien fort en tapant bien mon bassin contre ses fesses qui tremblaient à chacun de mes assauts. Elle gémit à chacun de mes coups de reins qui se font toujours plus fort. Sa chatte est bouillante et trempée, ma bite coulisse parfaitement en elle, c’est un délice !! Je retire mes doigts de sa bouche et lui dis :
- Ose me dire que tu n’aimes pas ça !!
Elle pousse un « oui » léger mais néanmoins bien audible entre ses gémissements. Je souris intérieurement, elle n’avait pas changé, j’en étais sûr !!!
Je la penche alors un peu plus, lui agrippe les fesses et me met à la pénétrer de plus en plus vite et profondément. Elle ne pousse à présent plus que des petits gémissements, résigner à subir mes assauts.
J’écarte ses fesses pour dévoiler son petit trou qui semblait n’attendre qu’une chose, qu’on le dilate !
Je crache sur son anus et commence à y mettre un doigt, puis rapidement un deuxième.
- Non, non, pas ça, pas ça !! gémit-elle ;
- Ferme là, t’as toujours aimé te prendre des coups de bite par là, donc je vais t’enculer, que tu le veuilles ou non !!
Avant qu’elle ait eu le temps de protester en criant, je retire mes doigts de son cul pour lui fourrer dans sa bouche. Je me retire alors de sa chatte, place mon gland bien gonflé à l’entrée de son petit trou et la sodomise. Et pile au moment où ma queue entre entièrement dans son cul, un train passe à toute vitesse en gare, couvrant le cri qu’elle poussa en sentant ma queue l’enculer entièrement.
Je retire mes doigts de sa bouche pour de nouveau attraper son cul et le pilonner violemment. Elle poussait des petits cris à chacun de mes coups de reins, cris qui ressemblaient plus à une prise de plaisir qu’à de la souffrance.
Elle serrait son trou autour de ma bite, elle voulait me faire jouir la salope. Qu’à cela ne tienne, elle veut que je jouisse, à son aise !! J’accélère alors la cadence et, sentant venir ma jouissance, je lui dis :
- Je vais jouir dans ton cul et ta chatte espèce de salope !!
- Non, pas ma chatte, pas en moi, arrête !!
A peine a-t-elle finit sa complainte que je sens une puissante giclée de sperme, puis une seconde, s’écouler au fond de son cul. Je sers ma bite bien fort, me retire vite de son cul, et vient directement la mettre bien profond dans sa chatte encore ouverte de la première pénétration. Je relâche ma main et sens de nouvelles et abondantes giclées de sperme inonder sa chatte. Je pousse alors un long gémissement de contentement en bougeant doucement ma bite dans sa chatte. Mon sperme coulait de son cul pour venir s’étaler sur ma bite qui allait et venait dans sa chatte. Elle se mit à sangloter de plus belle me tirant de ma jouissance. Je me retire de sa chatte, une bonne dose de sperme coulant directement le long de ses cuisses. Elle se laissa alors tomber au sol, à moitié assise. Ma bite était souillée de mon sperme et de sa mouille, je relevais son visage en lui attrapant les cheveux et lui dit :
- Tiens, nettoie ma bite salope !!
Elle ne résista même pas quand je mis ma queue dans sa bouche . Elle suça alors ma queue quelques secondes, puis je me retirais, la bite propre, sans plus aucune trace de sperme, juste sa salive.
Je me remets le jean en la regardant assise par terre, du sperme coulant de sa chatte et de son cul sur le sol. Elle relève son visage vers moi, me fait un petit sourire en coin et me dit :
- T’as bien changé dis-donc, dommage que tu n’étais pas comme ça à l’époque, ça aurait pu le faire entre nous…
- T’as pas changé non plus, malgré ce que tu veux bien dire !
Elle sourit et, après s’être léchée un doigt avec lequel elle est allé récupérer un peu de sperme sur les pourtours de sa chatte, dit :
- Si, vraiment… Mais j’avoue que ça m’avait manqué ! lance-t-elle avec un clin d’œil.
Je ricane puis tourne les talons et la laisse seule, baignant dans mes sécrétions.

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