COLLECTION TABOU. Les Mimosas (2/7)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION TABOU. Les Mimosas (2/7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION TABOU. Les Mimosas (2/7)
Pour aider Kevin, mon fils ainsi qu’Olga, ma belle-fille ayant fait de mauvaise affaire, à éviter qu’ils se retrouvent à la rue, je me retire dans le chalet de notre début de mariage leur laissant la jouissance de la grande maison.
Il me promet que rapidement, je serais grand-père, à cet égard, ma belle-fille venant me rendre mes vêtements lavés et repassés profite de ce que je bande ayant regardé ma rousse voisine pour une faire une fellation d'ouf.

Le vendredi, je suis à ma table de travail profitant de la douce chaleur de cette fin de matinée, les mimosas en fleurs embaumants l’air quand je la vois monter avec son panier à course à la main, son regard se portant là où elle sait qu’elle va pouvoir assouvir son vice.

• Beau-papa, j’espérais que vous seriez descendue me voir ces matins après le départ de votre fils.

Sans plus se poser de questions, elle recule mon siège et vient se placer entre mes jambes, la salope, même si elle garde ses vêtements, le décolleté qu’elle me montre ne me cache rien, du moins pas grand-chose de sa poitrine.
Mon petit-fils aura de quoi se nourrir quand ils déborderont de lait, instinctivement, je bande, ce qu’il ne m’arrivait plus avec ma maîtresse qui devait me pomper et me caresser pendant de longues minutes.
Elle commence une fellation toujours aussi bonne que la première fois, je décharge dans sa bouche, son visage s’irradie quand elle doit sentir mon sperme descendre le long de sa gorge.
Fellation, accro au sperme, bonne piste pour Blanche ma sudiste américaine avec Nat son esclave black, depuis le début de son histoire, je sentais qu’elle baisait comme sa mère hormis la dernière fois où elle s’est empalée sur son dépuceleur en étant dessus.

• Merci beau-papa, vous êtes vraiment plus poivré que votre fils, ça doit venir des plats de Chili con carné que je vous achète.
Je m’excuse de ne faire que vous pomper, je reste fidèle à votre fils, ma chatte est à lui.

J’ai failli lui demander si elle se fait enfiler le petit, mais elle reste ma bru et je garde en mémoire les moments, ou je faisais l'amour à ma maîtresse faisant cocu son mari, elle adorait cela et je ne m’en privais pas.
J’allais dire son prénom et celui de son mari, je les avais déjà tapés, je les retire, par égard à toutes les femmes de Bormes-les-Mimosas ayant le même nom ainsi que part un fait du hasard le nom du mari.
Vous seriez capable d’aller la voir pour lui demander si c’est elle la salope que j’enfilais quand j’allais chez elle.

Les jours passent, je vais souvent me baigner sans jamais me faire prendre, les terrains sont bornés, la piscine est choisie, les ouvriers viennent faire le trou et la maçonnerie, Olga vient régulièrement boire à ma source et Blanche avance dans ses turpitudes.

« Depuis que je monte et que je descends sur la verge de Nat, m’éclatant deux fois plus grâce à sa verge deux fois plus grosse que celle de Tom, je sais et elle sait que je suis en concurrence avec elle.
Une nuit où elle venait de se faire prendre, rugissant comme une lionne et qu’elle était partie semblant repu.
J’avais pris sa place avec ma bouche, nouvelle pratique que Nat, sans me parler, m’avait imposée en me prenant par les cheveux, j’ai eu du mal à la faire entrer, mais quand j’y suis arrivé, j’étais fière de faire ce que ma mère n’avait jamais fait.
La concurrence étant rude, je décidais de l’exclure de nos ébats nocturnes, j’ai fait courir une rumeur, rapportant ses pratiques avec des noirs.
Quelques soirs plus tard où je m’apprêtais à rejoindre Nat, j’ai entendu hurler dans la chambre de mes parents, je me suis approchée comme pourrait le faire une petite souris, la porte était mal fermée.
Une glace bien placée m’a fait voir ce qu’il se passait, mère était ligotée le cul en l’air sur le lit, mon père avait la cravache qui lui servait quand il allait visiter ses champs et voire si ses esclaves entretenaient bien ses champs d’arachides.
Nous l’accompagnons de temps en temps dans notre calèche tirée par deux chevaux, conduite par Tom qui vieillissant devait s’en occuper, j’ai souvent vu le morceau de cuir entamer les épaules de ceux qui lui déplaisaient.

• Tu aimes la queue de nos noires, à partir de ce jour, je vais te traiter comme j’aime leur faire voir qui est le maître ici, tu auras droit à ta volée pour te calmer.

J’ai vu la cravache s’abattre, rapidement le cul de mère a été massacré, ses cris se sont raréfiés pour faire place à des râles complètement différents.

• Tiens, prends ça.

J’ai vu la verge de père pour la première fois, rien de comparable avec celle de Nat, rapidement, j’ai la sensation de l’endroit où il est rentré, j’en ai confirmation quelques secondes après.

• Alors, ma verge dans ton cul, salope, elle est aussi bonne que celle de ton noir, dans ta chatte, tu vas voir demain, je vais m’occuper de lui. »
Je suis épuisé, il y a deux heures que j’écris, je me douche, je m’habille et je descends vers le village, je passe devant chez ma voisine, je vois que le portail commence à s’ouvrir, la voiture de la belle rousse arrive, mais ne peut sortir, car comme je l’ai vue de la fenêtre du chalet, elle s’arrête.

• Vous avez l’air d’avoir un souci avec votre portail automatique !
• Oui, il commence à s’ouvrir et s’arrête, quand je le ferme, le phénomène ne se reproduit pas.
• Je suis votre voisin, enchanté de faire votre connaissance, ce doit être un contact qui se fait mal à l’ouverture, permettez que je regarde, commandez la fermeture et après l’ouverture.
• Laissez, je vais appeler un réparateur, j’enverrai la facture aux anciens propriétaires, cela fait partie des vices cachés, ils me rembourseront.
• Permettez tout de même, que je regarde !

La porte manœuvre deux fois, deux fois, le phénomène se reproduit, je vais chercher un tournevis, Olga pense que je viens me faire sucer, elle est déçue quand je repars, j’ai pris l’habitude de lui donner sa ration de sperme, elle ne perd rien pour attendre.

• Essayez !
Ça marche, c’était un simple contact comme je vous l’avais dit, voyez inutile de paniquer.
• Je suis en retard, j’ai un rendez-vous à mon étude dans une heure, venez dimanche après-midi, je vous offrirais un café, il est annoncé du beau temps, si vous le désirez, nous pourrons nous baigner.
Pour votre gouverne, je m’appelle Blandine.

Je manque éclater de rire, je vois la rousse se faire sauter par Nat le grand noir.

• On m’appelle Chris, à dimanche.

De retour du village, ayant entendu les derniers potins à la mode, je retourne à mon écriture, le rapprochement du prénom de mon héroïne et de ma rousse voisine m’inspirant.

« Blanche n’a pas rejoint Nat ce soir-là, elle est venue se blottir au fond de son lit, à trop vouloir éloigner sa mère de son bel amant, elle risque que demain, il soit tué.
Elle a souvent vu son père, châtié ceux qui le défiaient, pas plus tard qu’il y a huit jours, une de ses esclaves qui avait été prise à voler une brosse à cheveux de mère s’était vu infliger trente coups de fouet.
Dès le dixième, son dos était en sang, au trentième, les vieilles esclaves ont difficilement réussi à le sauver, tout cela pour rien, car deux jours plus tard en nettoyant la chambre de mère, une autre esclave a retrouvé la brosse tombée sous son lit.
Quand il a appris la vérité, au repas, père a éclaté de rire, nous assurant que tôt ou tard, elle les aurait mérités.

À l’heure dite, tous les habitants de la plantation étaient réunis devant la demeure du maître, nous nous tenions sur la terrasse en bois à l’ombre, nos esclaves et leurs gardes restant à nos pieds en plein soleil.
Père se pavanait en seigneur sur son domaine, mère qui avait prétexté une migraine se tenait debout accrochée les bras à un poteau, pourtant une chaise avait été placée pour qu’elle s’assoie, son cul devait être trop douloureux, son cul devait lui cuire.
Père a fait un geste, l’un des gardes est parti vers les cases des esclaves, j’allais voir sortir mon amant et hélas peut être le perdre définitivement.
Les minutes s’égrenaient interminables, quand dans le soleil levant, j’ai vu sortir le premier de la case Nat tirant avec John un autre de nos esclaves le vieux Tom.
Il était juste vêtu d’un pantalon le dos nu, il regardait mère les yeux pleins d’incompréhension, c’est quand il a été devant lui que père a pris la parole.

• Je vous ai réuni aujourd’hui pour châtier ce vieux serviteur, qui a essayé de fuir il y a deux nuits, mes gardes l’ont rattrapé, il va recevoir quarante coups de fouet.
Quarante étant le nombre de lieux qu’il avait franchis avant que Pedro le rattrape avec ses chiens, que chacun de vous méditent sur ce qu’il arrivera, s’il lui vient l’envie de nous quitter.
Un lieu, un coup de fouet, depuis que mon père m’a cédé sa plantation aucun de nos esclaves ne, c'est échappé, passez-moi mon fouet.

Père a enlevé sa redingote, Mère avait eu droit à la cravache et semblait en porter les conséquences en restant debout, que dire des coups de fouet portés sur Tom, Je n’ai jamais revu Tom, Nat aisé de John l’ont détaché, Nat l'a chargé sur ses épaules tellement musculeuses et emporté vers les vieilles femmes qui attendaient devant la case d’où il l’avait sorti.
Pourquoi Tom et pas Nat, je ne l’ai jamais su, j’ai supputé que père ayant été prévenu de la tromperie de mère avec un noir, il l’avait pisté cette nuit-là, alors que de temps en temps elle allait se faire remplir le vagin par notre veille amant ?
C’est là qu’il l’avait surprise et la suite, on la connaît, il avait châtié le serviteur pour étouffer le comportement de mère.
Pendant huit jours, j’ai épié mes parents, mère ramassait sa volée tous les soirs, tous les soirs, il l’enculait semblant refusé d’entrer par la voix utilisée par l’esclave.
J’avais gagné ça, elle était hors course, huit jours plus tard, je me glissais dans la nuit vers celui qui m’attendait. »
Fatiguée, Blanche est repartie loin dans ma tête et je me suis endormi attendant dimanche avec une certaine impatience, une rousse, il paraît qu’elles ont un goût très poivré…

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